Paris-Nice





Ne doit pas être confondu avec Critérium Paris-Nice.



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Paris-Nice



Logo de Paris-Nice (depuis 2011)

















































Généralités
Sport
Cyclisme sur route
Création
1933
Organisateur(s)
ASO
Éditions
76 (en 2018)
Catégorie
UCI World Tour
Type / Format
Course à étapes
Périodicité
Annuelle (mars)
Lieu(x)
Drapeau de la France France
Participants
176 (en 2017)
Statut des participants
Professionnel
Site web officiel
www.paris-nice.fr


















Palmarès
Tenant du titre
Drapeau : Espagne Marc Soler
Plus titré(s)
Drapeau : Irlande Sean Kelly
(7 victoires)



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Pour la dernière compétition voir :
Paris-Nice 2018





Paris-Nice est une course cycliste à étapes professionnelle française. Créée en 1933, elle est organisée par Amaury Sport Organisation. Elle a lieu au mois de mars pendant huit jours, ce qui en fait la première course par étapes majeure de l'année en Europe. La course commence généralement par un prologue dans la région parisienne et se termine avec une dernière étape à Nice ou sur le Col d'Èze qui surplombe la ville[1]. La compétition est surnommée la « Course au soleil », car elle a lieu dans la première moitié de mars, commençant généralement dans des conditions froides et hivernales dans la capitale française avant d'atteindre le soleil de printemps sur la Côte d'Azur[2]. Le parcours vallonné dans les derniers jours de course favorise les puncheurs-grimpeurs. L'épreuve se déroule en partie en même temps que Tirreno-Adriatico.


Paris-Nice fait partie de l'UCI World Tour, dont elle est chronologiquement la sixième course du calendrier et la première course par étapes en Europe. Elle est organisée par Amaury Sport Organisation, qui gère également la plupart des autres courses françaises du World Tour, et plus particulièrement les courses prestigieuses que sont le Tour de France et Paris-Roubaix. À son palmarès, figure quelques-uns des plus grands champions cyclistes, notamment Jacques Anquetil, Eddy Merckx, Miguel Indurain et Alberto Contador[1]. L'Irlandais Seán Kelly y détient le record de victoires avec sept succès consécutifs entre 1982 et 1988.


Lors de l'édition 2003, le coureur kazakh Andrei Kivilev est décédé à la suite d'une blessure à la tête subie lors d'une chute[3],[4]. Sa mort incite l'Union cycliste internationale à imposer le port du casque dans toutes les compétitions de cyclisme, à l'exception de la dernière ascension d'une course si l'arrivée est située en côte. La règle est modifiée par la suite pour exiger l'utilisation des casques sur l'intégralité des courses.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Création et premières éditions


    • 1.2 La Course au soleil


    • 1.3 Course World Tour




  • 2 Parcours


    • 2.1 Départ


    • 2.2 Arrivée


    • 2.3 Villes-étapes




  • 3 Maillots distinctifs


  • 4 Dopage


  • 5 Palmarès


    • 5.1 Podiums


    • 5.2 Classements annexes




  • 6 Statistiques et records


    • 6.1 Par coureurs


    • 6.2 Par pays


    • 6.3 Victoires d'étapes




  • 7 Paris-Nice en chiffres


  • 8 Notes et références


  • 9 Liens externes





Histoire |



Création et premières éditions |




Parcours de l'édition inaugurale remportée par le Belge Alphonse Schepers.


Albert Lejeune souhaite, au début des années 1930, créer un événement cycliste afin de promouvoir les deux journaux qu'il dirige : Le Petit Journal à Paris et Le Petit Niçois à Nice[5]. En 1933, il crée une course par étapes reliant la capitale française avec la ville balnéaire à la mode de Nice, sur la côte méditerranéenne de la France. Elle a lieu en mars, à la fin de l'hiver, dans le prolongement de la saison cycliste sur piste durant laquelle les courses de six jours sont prisées à l'époque. D'une durée de six jours, la course est nommée « Six jours de la route ». La course doit permettre aux coureurs de reprendre la compétition sur route. Par conséquent et comme la plupart des routes de montagne sont encore impraticables à cette période, le parcours évite les Alpes et suit la vallée du Rhône. Seul l'arrière-pays niçois présente quelques difficultés. La première étape est tracée entre Paris et Dijon sur une distance de 312 km, soit la plus longue étape de l'histoire de Paris-Nice. Cette édition inaugurale est remportée par le Belge Alphonse Schepers, qui porte le maillot de leader de la première à la dernière journée[6].


La course est un succès et sept éditions vont suivre jusqu'en 1939. Les journaux Lyon Républicain et Marseille-Matin sont partenaires des journaux de Lejeune dans l'organisation de la course. En 1939, les organisateurs sont Ce soir et Le Petit Niçois, qui reçoivent le concours de L'Auto. En 1940, la Seconde Guerre mondiale empêche la tenue de la course. Le fondateur de la course, Lejeune est condamné à mort et exécuté après la libération de la France en 1945.


Le journal Ce soir organise la première édition d'après-guerre en 1946. Malgré la satisfaction de ses journalistes Georges Pagnoud et François Terbeen, il ne prolonge pas l'opération et l'organisation de la course est interrompue[5].



La Course au soleil |


En 1951, la course est organisée sous le nom de « Paris-Côte d’Azur » par l'hebdomadaire Route et piste, à l'initiative de Jean Médecin, maire de Nice, qui souhaite promouvoir la Côte d'Azur[5]. Elle prend le nom de Paris-Nice en 1954. Durant cette période, elle passe du statut de course de préparation et d'entraînement à celui de course à part entière, notamment par le biais des victoires de Louison Bobet et Jacques Anquetil. En 1957, Jean Leulliot, directeur de la course depuis 1951, quitte Route et piste dont il est rédacteur en chef. Il devient l'organisateur de Paris-Nice via la société Monde Six[7].


En 1959, la course est courue sur un parcours Paris-Nice-Rome et donne lieu à trois classements : un premier entre Paris et Nice, un deuxième entre Nice et Rome, et un troisième additionnant les deux. Devant les critiques à l'encontre de la longueur de la course (1 955 km), la formule est abandonnée.





Jacques Anquetil remporte la course à cinq reprises, souvent à la suite d'un duel avec Raymond Poulidor.


En 1966, la course est le théâtre d’une rivalité entre les icônes du cyclisme français Raymond Poulidor et Jacques Anquetil qui divise la France pendant une décennie. Anquetil remporte son cinquième et dernier Paris-Nice, dépassant au classement Poulidor lors de la dernière étape à Nice[8],[9].


À partir de 1969, l'arrivée quitte la promenade de bord de mer à Nice pour le sommet du col d'Èze. Le jeune Eddy Merckx remporte le contre-la-montre final et le premier de ses trois Paris-Nice consécutifs. Raymond Poulidor est une nouvelle fois deuxième, tandis que Jacques Anquetil complète ce podium étoilé pour sa dernière participation. Cette édition permet à la course d'acquérir ses lettres de noblesse et c'est également l'une des rares courses où se sont affrontées Merckx et Anquetil. En 1972, l'éternel second Poulidor met un terme à la série de victoires du « Cannibal » en remportant le contre-la-montre final de justesse devant Merckx[10] . L'année suivante, il répète cet exploit à l'âge de 37 ans.


Jean Leulliot meurt en 1982. Sa fille Josette lui succède à la tête de la société Monde Six. Dans les années 1980, le coureur complet irlandais Sean Kelly gagne la course sept fois consécutivement (il détient toujours le record de victoires). La Course au soleil est remportée plusieurs fois par des coureurs, surtout dans les années 1990, notamment l'Espagnol Miguel Indurain et le Suisse Tony Rominger. Le coureur polyvalent français Laurent Jalabert s'adjuge la course trois fois de suite, la dernière fois en 1997, et reste le dernier vainqueur français à ce jour.


En 2000, l'ancien coureur Laurent Fignon rachète l'épreuve à la famille Leulliot pour quatre millions et demi de francs, au détriment de la société organisatrice du Tour de France elle aussi candidate au rachat. Il devient organisateur de l'épreuve mais en 2002, déficitaire, il revend Paris-Nice à (ASO) qui ne lui a pas facilité la tâche[11].


En 2003, la course est marquée par la mort du coureur kazakh Andrei Kivilev, à la suite d’une chute lors de la deuxième étape, arrivant à Saint-Étienne[3],[4]. Kivilev ne portait pas de casque. Il meurt dans la nuit et, le lendemain, le peloton entier est d’accord pour neutraliser la troisième étape, courue à un rythme très lent et sans la moindre attaque[12]. La course reprend sa tournure normale lors de la quatrième étape arrivant au Mont Faron, qui voit la victoire du compatriote de Kivilev, Alexandre Vinokourov, en solitaire, qui brandit une photo de son ami décédé en passant la ligne[13].



Course World Tour |





Davide Rebellin avec le maillot jaune devant le peloton lors de la montée du Col d'Èze en 2008.


En 2005, Paris-Nice est inclus dans la première édition de l'UCI Pro Tour, mais la course est au centre d'un litige entre l'UCI et ASO, juste avant l'édition 2008. En effet, avant son départ, la course est marquée par la polémique entre l’organisateur de la course, A.S.O., et l’Union cycliste internationale (UCI). Le 7 mars 2008, à deux jours du départ, Patrick McQuaid (président de l’UCI) annonce que les équipes qui prendront le départ de la course seront exclues de l’Union Cycliste Internationale[14]. Le même jour l’association des équipes (AIGCP) vote à la majorité (15 voix pour et 8 abstentions) en faveur de la participation à la course. Le tribunal arbitral du sport qui avait été saisi par le groupement des équipes de ProTour, de son côté, se déclare incompétent à juger la légalité d’éventuelles sanctions qui pourraient être prises contre les coureurs ou les équipes[15]. Le problème est finalement résolu et depuis 2011, Paris-Nice sert de course d'ouverture en Europe de l'UCI World Tour[16].


En 2012, le Britannique Bradley Wiggins s'impose quelques mois avant sa victoire sur le Tour de France. Il devient le neuvième coureur vainqueur de Paris-Nice avant de gagner le Tour de France[17]. Plus récemment, l'Espagnol Alberto Contador et l'Australien Richie Porte ont remporté la course à deux reprises[18],[19]
.



Parcours |




Parcours de l'édition 2015.



Départ |


Paris a été la ville-départ de Paris-Nice jusqu'en 1962. À partir de 1963, la course s'élance d'une ville différente presque chaque année. 22 villes ont accueilli le départ de Paris-Nice depuis cette date. La plupart d'entre elles sont situées en Île-de-France. Parmi celles-ci, Issy-les-Moulineaux a été ville-départ à neuf reprises (1980, 1983, 1984 et de 2002 à 2007) et Fontenay-sous-Bois six fois (en 1975 et de 1991 à 1995). La course est revenue à Paris en 1986, 1987, 1989, 1990 et 2000. En 1982, le départ a été donné à Luingne en Belgique (province de Hainaut). Quatre autres villes situées en dehors de la région parisienne ont accueilli le départ : Villefranche-sur-Saône en 1988, Châteauroux en 1996, Nevers en 2001, et Amilly depuis 2008[7]. En 2011, Paris-Nice part de Houdan, dans les Yvelines. En 2013, le prologue du Paris-Nice se déroule à Houilles, dans les Yvelines à nouveau.



Arrivée |


L'arrivée de Paris-Nice a été située à Nice de 1933 à 1968, d'abord sur le quai des États-Unis jusqu'en 1939, puis sur la promenade des Anglais de 1946 à 1968. De 1968 à 1995, la course s'est achevée au col d'Èze. Seule l'édition de 1977 revient à Nice en raison d'éboulements rendant la route du col impraticable. Les cinq premières arrivées au col donnent lieu à un duel entre Eddy Merckx et Raymond Poulidor. Les trois premières tournent à l'avantage de Merckx ; les deux suivantes permettent à Poulidor de s'emparer de la première place. Il bat par ailleurs le record de l'ascension en 1972, en 20 minutes et 4 secondes. Le Néerlandais Joop Zoetemelk s'adjuge trois fois la victoire au col de 1973 à 1975, y ajoutant la victoire finale en 1974 et 1975. Il renouvelle cet exploit en 1979, un an après que son compatriote Gerrie Knetemann en a fait de même. Les coureurs irlandais gagnent neuf fois l'étape durant les années 1980. De 1982 à 1988, l'Irlandais Seán Kelly gagne sept fois Paris-Nice, dont cinq en gagnant au col d'Èze. Il bat le record de Poulidor en 1986. Stephen Roche, déjà vainqueur en 1981, gagne l'étape en 1985, 1987 et 1989. Quatre des six dernières arrivées au col voient gagner le lauréat de Paris-Nice : Tony Rominger en 1991 et 1994, Jean-François Bernard en 1992, Alex Zülle en 1993. Lors de la dernière arrivée, Vladislav Bobrik devance Laurent Jalabert.




La promenade des Anglais, lieu d'arrivée de Paris-Nice


En 1996, l'arrivée revient sur la promenade des Anglais en raison du faible nombre de spectateurs se déplaçant au col d'Éze et du budget important dont dispose la ville de Nice. En 1996 et 1997, la dernière étape est un contre-la-montre couru à Nice, remporté par Chris Boardman puis Viatcheslav Ekimov. À partir de 1998, la dernière étape est disputée en ligne, partant et arrivant à Nice. De 1998 à 2002, les étapes s'achèvent par un sprint massif. Le Belge Tom Steels s'impose deux fois. En 2003, le vainqueur David Bernabéu, échappé, est déclassé pour dopage. Depuis 2005, la dernière étape présente un parcours montagneux, passant par le col de la Porte, La Turbie et le col d'Èze. En 2007, Alberto Contador a pris la première place à Davide Rebellin en attaquant dans l'ascension du col d'Èze[20],[7].



Villes-étapes |


Nice est la ville ayant accueilli le plus d'arrivées d'étapes : 67 en 68 éditions. Seule l'édition de 1991 ne présentait pas d'arrivée à Nice. Saint-Étienne a été ville-étape à 58 reprises. Elle l'a été sans interruption de 1935 à 1939 et de 1953 à 1995. Le col d'Éze a connu 29 arrivées. Viennent ensuite Nevers (20 arrivées, notamment durant les années 1930, 1950 et 1990), Mandelieu (17 de 1979 à 1995, dont 3 au col du Grand Duc), Vergèze (15 arrivées), Cannes (14 arrivées), Marseille (13 arrivées), Montceau-les-Mines (12 de 1960 à 1966), Manosque (10 arrivées).


Alors que les massifs montagneux sont évités à la création de Paris-Nice, les côtes prennent ensuite davantage d'importance dans la course. Outre le col d'Éze qui devient le lieu d'arrivée de 1969 à 1995, le nombre d'étapes se terminant par une ascension s'accroît durant les années 1980. Le mont Faron, introduit en 1968, est un lieu d'arrivée d'étape en 1974, 1975, de 1986 à 1992 et en 2002, 2003 et 2005, comme le Chalet-Reynard sur le mont Ventoux en 1984, 1986 et 1987 et le col du Grand Duc à Mandelieu-la-Napoule de 1991 à 1993. L'édition 1986 présente ainsi trois arrivées en altitude[7]. En 1999, l'étape du samedi arrive dans la station de Valberg (1 672 m). Le mont Serein en 2008 et la montagne de Lure en 2009 sont les deux dernières ascensions finales ayant fait leur apparition sur le parcours de Paris-Nice. La montagne de Lure n'avait jamais été empruntée par une course internationale[21]. Dans les années 2010, les arrivées au sommet inédites se multiplient dans l'arrière-pays niçois : à la Madonne d'Utelle en 2016, au col de la Couillole en 2017 et à la station de la Colmiane (col Saint-Martin) en 2018.



Maillots distinctifs |


Le leader du classement général porte un maillot jaune, depuis 2008. À la création de la course en 1933, le maillot est azur et or. Ces couleurs évoquent la Méditerranée et le soleil et demeureront jusqu'en 1939. En 1946, le maillot est vert. En 1951, l'organisation opte pour un maillot jaune à liseré orange. Elle adopte adopte le maillot blanc en 1955. Cette couleur reste celle du leader du classement général jusqu'en 2001. En 2002, à la suite du rachat de la course par Amaury Sport Organisation, organisateur du Tour de France, le maillot devient jaune et blanc, jusqu'en 2007.





Clément Lhotellerie, maillot à pois de Paris-Nice 2008


Le leader du classement par points porte un maillot vert. C'était déjà le cas à la création de ce classement en 1954. Il a ensuite été rose pendant plusieurs années, jusqu'en 1984. Le classement par points disparaît jusqu'en 1996. Jusqu'en 1999, il prend la couleur jaune du sponsor Béghin-Say. Il devient ensuite rose et mauve en 2000 et 2001. Comme le maillot de leader du classement général, il change de couleur en 2002 et devient vert et blanc, jusqu'en 2006.


Le maillot distinctif du classement de la montagne est blanc à pois rouge, comme celui du Tour de France, depuis le rachat par ASO en 2002. Ce classement a été introduit en 1952. Le maillot a changé de couleur à plusieurs reprises. Durant les années 1970, il est jaune et rouge. Il est ensuite blanc et mauve. En 1984, il devient jaune et bleu, couleurs de son sponsor le Crédit lyonnais. Il est bleu l'année suivante. Agrigel devient sponsor en 1990 et lui donne ses couleurs jaune et bleue.


Le maillot du classement des jeunes est blanc depuis 2007. Il a été bleu et blanc de 2002 à 2006[22],[7].



Dopage |


Paris-Nice a connu plusieurs cas de dopage. En 1968, Rolf Wolfshohl remporte la course alors qu'il fait l'objet d'une suspension pour dopage aux championnats du monde de cyclo-cross. N'ayant pas reçu la notification de suspension, il peut participer à la course[7]. En 1974, Roger Legeay est contrôlé positif et bénéficie d'une amnistie présidentielle[23]. En 1977, Bernard Thévenet fait également l'objet d'un contrôle positif. Il remporte le Tour de France quelques mois plus tard[24].


En 1997, les coureurs Luca Colombo, Erwann Menthéour et Mauro-Antonio Santaromita sont exclus en raison d'un hématocrite supérieur à 50 %. Ce sont les premiers coureurs à faire l'objet de cette mesure à la suite de son instauration par l'UCI en début d'année[25].


En 2003, David Bernabéu et Rui Lavarinhas, tous deux membres de l'équipe Milaneza-MSS, sont contrôlés positifs aux corticoïdes. Bernabeu, vainqueur de la dernière étape, est déclassé[26].



Palmarès |



Podiums |




















































































































































































































































































































































































































































































Année
Vainqueur
Deuxième
Troisième

1933

Drapeau de la Belgique Alfons Schepers

Drapeau de la Belgique Louis Hardiquest

Drapeau de la France Benoît Faure

1934

Drapeau de la Belgique Gaston Rebry

Drapeau de la France Roger Lapébie

Drapeau de la France Maurice Archambaud

1935

Drapeau de la France René Vietto

Drapeau de la Belgique Antoine Dignef

Drapeau de la France Raoul Lesueur

1936

Drapeau de la France Maurice Archambaud

Drapeau de la France Jean Fontenay

Drapeau de la Belgique Alfons Deloor

1937

Drapeau de la France Roger Lapébie

Drapeau de la France Sylvain Marcaillou

Drapeau des Pays-Bas Albert van Schendel

1938

Drapeau de la Belgique Jules Lowie

Drapeau de la Belgique Albertin Disseaux

Drapeau des Pays-Bas Albert van Schendel

1939

Drapeau de la France Maurice Archambaud

Drapeau de la Belgique Frans Bonduel

Drapeau de la Belgique Gérard Desmet

1946

Drapeau : Italie Fermo Camellini

Drapeau de la France Maurice De Muer

Drapeau de la Belgique Frans Bonduel

1951

Drapeau de la Belgique Roger Decock

Drapeau de la France Lucien Teisseire

Drapeau de la France Kléber Piot

1952

Drapeau de la France Louison Bobet

Drapeau de l'Italie Donato Zampini

Drapeau de la Belgique Raymond Impanis

1953

Drapeau de la France Jean-Pierre Munch

Drapeau de la France Roger Walkowiak

Drapeau de la France Roger Bertaz

1954

Drapeau de la Belgique Raymond Impanis

Drapeau de la France Nello Lauredi

Drapeau de la France Francis Anastasi

1955

Drapeau de la France Jean Bobet

Drapeau de la France Pierre Molinéris

Drapeau de la France Bernard Gauthier

1956

Drapeau de la Belgique Alfred De Bruyne

Drapeau de la France Pierre Barbotin

Drapeau de la France François Mahé

1957

Drapeau de la France Jacques Anquetil

Drapeau de la Belgique Désiré Keteleer

Drapeau de la Belgique Jean Brankart

1958

Drapeau de la Belgique Alfred De Bruyne

Drapeau de l'Italie Pasquale Fornara

Drapeau de la Belgique Germain Derijcke

1959

Drapeau de la France Jean Graczyk

Drapeau de la France Gérard Saint

Drapeau de l'Italie Pierino Baffi

1960

Drapeau de la Belgique Raymond Impanis

Drapeau de la France François Mahé

Drapeau de la France Robert Cazala

1961

Drapeau de la France Jacques Anquetil

Drapeau de la France Joseph Groussard

Drapeau de la Belgique Joseph Planckaert

1962

Drapeau de la Belgique Joseph Planckaert

Drapeau du Royaume-Uni Tom Simpson

Drapeau de l'Allemagne Rolf Wolfshohl

1963

Drapeau de la France Jacques Anquetil

Drapeau de l'Allemagne Rudi Altig

Drapeau de la Belgique Rik Van Looy

1964

Drapeau des Pays-Bas Jan Janssen

Drapeau de la France Jean-Claude Annaert

Drapeau de la France Jean Forestier

1965

Drapeau de la France Jacques Anquetil

Drapeau de l'Allemagne Rudi Altig

Drapeau de l'Italie Italo Zilioli

1966

Drapeau de la France Jacques Anquetil

Drapeau de la France Raymond Poulidor

Drapeau de l'Italie Vittorio Adorni

1967

Drapeau du Royaume-Uni Tom Simpson

Drapeau de la France Bernard Guyot

Drapeau de l'Allemagne Rolf Wolfshohl

1968

Drapeau de l'Allemagne Rolf Wolfshohl

Drapeau de la Belgique Ferdinand Bracke

Drapeau de la France Jean-Louis Bodin

1969

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau de la France Raymond Poulidor

Drapeau de la France Jacques Anquetil

1970

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau : Espagne Luis Ocaña

Drapeau des Pays-Bas Jan Janssen

1971

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau de la Suède Gösta Pettersson

Drapeau : Espagne Luis Ocaña

1972

Drapeau de la France Raymond Poulidor

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau : Espagne Luis Ocaña

1973

Drapeau de la France Raymond Poulidor

Drapeau des Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

1974

Drapeau des Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau de la France Alain Santy

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

1975

Drapeau des Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

1976

Drapeau de la France Michel Laurent

Drapeau des Pays-Bas Hennie Kuiper

Drapeau : Espagne Luis Ocaña

1977

Drapeau de la Belgique Freddy Maertens

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau de la Belgique Jean-Luc Vandenbroucke

1978

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau de la France Bernard Hinault

Drapeau des Pays-Bas Joop Zoetemelk

1979

Drapeau des Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau de la Suède Sven-Åke Nilsson

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

1980

Drapeau de la France Gilbert Duclos-Lassalle

Drapeau de la Suisse Stefan Mutter

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

1981

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau des Pays-Bas Adrie van der Poel

Drapeau de la Belgique Fons De Wolf

1982

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la France Gilbert Duclos-Lassalle

Drapeau de la Belgique Jean-Luc Vandenbroucke

1983

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la Suisse Jean-Marie Grezet

Drapeau des Pays-Bas Steven Rooks

1984

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau de la France Bernard Hinault

1985

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau de la France Frédéric Vichot

1986

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la Suisse Urs Zimmermann

Drapeau des États-Unis Greg LeMond

1987

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la France Jean-François Bernard

Drapeau de la France Laurent Fignon

1988

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la France Ronan Pensec

Drapeau de l'Espagne Julián Gorospe

1989

Drapeau de l'Espagne Miguel Indurain

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau de la France Marc Madiot

1990

Drapeau de l'Espagne Miguel Indurain

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau de la France Luc Leblanc

1991

Drapeau de la Suisse Tony Rominger

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau de la France Martial Gayant

1992

Drapeau de la France Jean-François Bernard

Drapeau de la Suisse Tony Rominger

Drapeau de l'Espagne Miguel Indurain

1993

Drapeau de la Suisse Alex Zülle

Drapeau de la France Laurent Bezault

Drapeau de la France Pascal Lance

1994

Drapeau de la Suisse Tony Rominger

Drapeau de l'Espagne Jesús Montoya

Drapeau de la Russie Viatcheslav Ekimov

1995

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau de la Russie Vladislav Bobrik

Drapeau de la Suisse Alex Zülle

1996

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau des États-Unis Lance Armstrong

Drapeau du Royaume-Uni Chris Boardman

1997

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau de la Suisse Laurent Dufaux

Drapeau de l'Espagne Santiago Blanco

1998

Drapeau de la Belgique Frank Vandenbroucke

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau de l'Espagne Marcelino García

1999

Drapeau des Pays-Bas Michael Boogerd

Drapeau de la Suisse Markus Zberg

Drapeau de la Colombie Santiago Botero

2000

Drapeau de l'Allemagne Andreas Klöden

Drapeau de la France Laurent Brochard

Drapeau de l'Espagne Francisco Mancebo

2001

Drapeau de l'Italie Dario Frigo

Drapeau de la Lituanie Raimondas Rumšas

Drapeau de la Belgique Peter Van Petegem

2002

Drapeau du Kazakhstan Alexandre Vinokourov

Drapeau de la France Sandy Casar

Drapeau de la France Laurent Jalabert

2003

Drapeau du Kazakhstan Alexandre Vinokourov

Drapeau de l'Espagne Mikel Zarrabeitia

Drapeau de l'Italie Davide Rebellin

2004

Drapeau de l'Allemagne Jörg Jaksche

Drapeau de l'Italie Davide Rebellin

Drapeau des États-Unis Bobby Julich

2005

Drapeau des États-Unis Bobby Julich

Drapeau de l'Espagne Alejandro Valverde

Drapeau de l'Espagne Constantino Zaballa

2006

Drapeau des États-Unis Floyd Landis

Drapeau de l'Espagne Patxi Vila

Drapeau de l'Espagne Antonio Colom

2007

Drapeau de l'Espagne Alberto Contador

Drapeau de l'Italie Davide Rebellin

Drapeau de l'Espagne Luis León Sánchez

2008

Drapeau de l'Italie Davide Rebellin

Drapeau de l'Italie Rinaldo Nocentini

Drapeau de l'Ukraine Yaroslav Popovych

2009

Drapeau de l'Espagne Luis León Sánchez

Drapeau du Luxembourg Fränk Schleck

Drapeau de la France Sylvain Chavanel

2010[27]

Drapeau de l'Espagne Alberto Contador

Drapeau de l'Espagne Luis León Sánchez

Drapeau de la République tchèque Roman Kreuziger

2011

Drapeau de l'Allemagne Tony Martin

Drapeau de l'Allemagne Andreas Klöden

Drapeau du Royaume-Uni Bradley Wiggins

2012

Drapeau : Royaume-Uni Bradley Wiggins

Drapeau : Pays-Bas Lieuwe Westra

Drapeau : Espagne Alejandro Valverde

2013

Drapeau : Australie Richie Porte

Drapeau : États-Unis Andrew Talansky

Drapeau : France Jean-Christophe Péraud

2014

Drapeau : Colombie Carlos Betancur

Drapeau : Portugal Rui Costa

Drapeau : France Arthur Vichot

2015

Drapeau : Australie Richie Porte

Drapeau : Pologne Michał Kwiatkowski

Drapeau : Slovénie Simon Špilak

2016

Drapeau : Royaume-Uni Geraint Thomas

Drapeau : Espagne Alberto Contador

Drapeau : Australie Richie Porte

2017

Drapeau : Colombie Sergio Henao

Drapeau : Espagne Alberto Contador

Drapeau : Irlande Daniel Martin

2018

Drapeau : Espagne Marc Soler

Drapeau : Royaume-Uni Simon Yates

Drapeau : Espagne Gorka Izagirre



...puis Sean Kelly -ici en 2009- remporte Paris-Nice sept fois d'affilée, entre 1982 et 1988.




Alphons Schepers, premier vainqueur de Paris-Nice en mars 1933...




Classements annexes |










































































































































































































































































































































































































































































































































Année

Classement par points

Grand Prix de la montagne

Classement du combiné

Classement par équipes

1937




Drapeau : France France Sport-Wolber

1938

Drapeau : Belgique Jules Lowie



Drapeau : France Mercier-Hutchinson

1939




Drapeau : France France Sport-Wolber

1946




Drapeau : France Mercier-Hutchinson

1951


Drapeau : France Jacques Vivier


Drapeau : France Stella-Dunlop

1952




Drapeau : France Stella

1953




Drapeau : France Bertin

1954

Drapeau de la Belgique Raymond Impanis



Drapeau : France Mercier

1955




Drapeau : France Mercier

1956

Drapeau de la France Max Cohen



Drapeau : France Saint Raphael-Geminiani

1957

Drapeau de l'Irlande Seamus Elliott



Drapeau : France Helyett-Essor-Felix Potin-Leroux

1958


Drapeau du Royaume-Uni Brian Robinson


Drapeau : Italie Carpano

1959

Drapeau de la France Nicolas Barone

Drapeau de la France Louison Bobet


Drapeau : France Saint Raphael-Geminiani

1960

Drapeau de la Belgique Rik Van Looy

Drapeau de l'Italie Romeo Venturelli


Drapeau : France Saint Raphael-Gitane

1961

Drapeau de la Belgique Rik Van Looy

Drapeau de la France Raymond Poulidor


Drapeau : France Fynsec-Helyett

1962

Drapeau de la Belgique Rik Van Looy

Drapeau de la France Raymond Poulidor


Drapeau : Belgique Faema-Flandria

1963

Drapeau de la Belgique Rik Van Looy



Drapeau : France Saint Raphael

1964





1965

Drapeau de l'Allemagne Rudi Altig

Drapeau de l'Italie Gianni Motta


Drapeau : France Ford France-Gitane

1966

Drapeau de la France Gianni Marcarini

Drapeau de la France Gilbert Bellone


Drapeau : France Ford France

1967

Drapeau de la France Jean-Claude Wuillemin

Drapeau de la France Bernard Guyot


Drapeau : France Pelforth-Sauvage-Lejeune

1968

Drapeau de la Belgique Valere Van Sweevelt

Drapeau de la Belgique Wilfried David


Drapeau : France Bic

1969

Drapeau de l'Italie Marino Basso

Drapeau de la France Gilbert Bellone


Drapeau : France Bic

1970

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx


1971

Drapeau : France Jacky Mourioux

Drapeau de la France Michel Périn

Drapeau de la Belgique Eddy Merckx


1972

Drapeau de la France Jacques Cadiou



Drapeau : France Bic

1973

Drapeau de la France Jacques Esclassan

Drapeau du Danemark Leif Mortensen


Drapeau : France Bic

1974

Drapeau de la Belgique Rik Van Linden

Drapeau de la France Jean-Pierre Danguillaume


Drapeau : France Gan-Mercier

1975

Drapeau de la Belgique Freddy Maertens

Drapeau de la France Raymond Delisle


Drapeau : France Gan-Mercier

1976

Drapeau de la Belgique Freddy Maertens

Drapeau de la France Jean-Jacques Fussien


Drapeau : Pays-Bas Ti-Raleigh

1977

Drapeau de la Belgique Freddy Maertens

Drapeau de la France Michel Laurent


Drapeau : France Peugeot-Esso-Michelin

1978

Drapeau des Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau de la France Michel Laurent


Drapeau : Pays-Bas TI-Raleigh-Mc Gregor

Année

Classement par points

Grand Prix de la montagne

Meilleur jeune

Classement par équipes

1979

Drapeau de l'Italie Giuseppe Martinelli

Drapeau de la France Bernard Hinault

Drapeau : Belgique Daniel Willems

Drapeau : Pays-Bas TI-Raleigh-Mc Gregor

1980

Drapeau : Belgique Daniel Willems

Drapeau de la Suède Tommy Prim

Drapeau de la Suisse Stefan Mutter

Drapeau : France Peugeot-Esso-Michelin

1981

Drapeau de la Belgique Jean-Luc Vandenbroucke

Drapeau de la France Michel Laurent


Drapeau : France Peugeot-Esso-Michelin

1982

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Espagne Alberto Fernández Blanco

Drapeau de l'Irlande Stephen Roche

Drapeau : France Sem-France Loire

1983

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de la Suisse Jean-Marie Grezet

Drapeau : France Sem-France Loire

1984

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly


Drapeau : France Skil-Reydel

1985


Drapeau de la France Jean-Claude Bagot

Drapeau de la France Charly Mottet


1986

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly

Drapeau : Espagne Iñaki Gastón

Drapeau : Espagne Kas

1987

Drapeau de la Belgique Luc Roosen

Drapeau de l'Irlande Seán Kelly


Drapeau : France Système U

1988





1989


Drapeau de la Colombie Julio César Cadena



1990


Drapeau de l'Italie Claudio Chiappucci



1991





1992



Drapeau de la France Richard Virenque


1993

Antonio Miguel Diaz



1994


Drapeau de l'Autriche Harald Maier



1995





1996

Drapeau de la France Laurent Jalabert

Drapeau de la France Laurent Brochard


Drapeau : États-Unis Motorola

1997

Drapeau de la Belgique Tom Steels

Drapeau de la France Laurent Jalabert


Drapeau : France Festina-Lotus

1998

Drapeau de la Belgique Tom Steels



Drapeau : Espagne Once

1999




Drapeau : Pays-Bas Rabobank

2000

Drapeau de la France Laurent Brochard

Drapeau de l'Italie Francesco Casagrande


Drapeau : Allemagne Telekom

2001

Drapeau de l'Allemagne Danilo Hondo

Drapeau de la Pologne Piotr Wadecki


Drapeau : Espagne Once-Eroski

2002

Drapeau de l'Italie Alessandro Petacchi

Drapeau de la Croatie Vladimir Miholjević

Drapeau de la France Sandy Casar

Drapeau : France Cofidis

2003

Drapeau de la France Laurent Brochard

Drapeau des États-Unis Tyler Hamilton

Drapeau de la France Sylvain Chavanel

Drapeau : Espagne Once

2004

Drapeau de l'Italie Davide Rebellin

Drapeau de l'Espagne Aitor Osa

Drapeau de l'Australie Michael Rogers

Drapeau : Danemark CSC

2005

Drapeau de l'Allemagne Jens Voigt

Drapeau de la France David Moncoutié

Drapeau de l'Espagne Alejandro Valverde

Drapeau : Danemark CSC

2006

Drapeau de l'Espagne Samuel Sánchez

Drapeau de la France David Moncoutié

Drapeau de l'Espagne Luis León Sánchez

Drapeau : Italie Lampre-Caffita

2007

Drapeau de l'Italie Franco Pellizotti

Drapeau de la France Thomas Voeckler

Drapeau de l'Espagne Alberto Contador

Drapeau : Espagne Caisse d'Épargne

2008

Drapeau de la Norvège Thor Hushovd

Drapeau de la France Clément Lhotellerie

Drapeau des Pays-Bas Robert Gesink

Drapeau : Belgique Quick Step

2009

Drapeau de la France Sylvain Chavanel

Drapeau de l'Allemagne Tony Martin

Drapeau de la Belgique Kevin Seeldraeyers

Drapeau : Danemark Saxo Bank

2010

Drapeau de la Slovaquie Peter Sagan

Drapeau de la France Amaël Moinard

Drapeau de la République tchèque Roman Kreuziger

Drapeau : France AG2R La Mondiale

2011

Drapeau de l'Australie Heinrich Haussler

Drapeau de la France Rémi Pauriol

Drapeau de l'Estonie Rein Taaramäe

Drapeau : États-Unis RadioShack

2012

Drapeau : Royaume-Uni Bradley Wiggins

Drapeau : Belgique Frederik Veuchelen

Drapeau : États-Unis Tejay van Garderen

Drapeau : Pays-Bas Vacansoleil-DCM

2013

Drapeau : France Sylvain Chavanel

Drapeau : Suisse Johann Tschopp

Drapeau : États-Unis Andrew Talansky

Drapeau : Russie Katusha

2014

Drapeau : Allemagne John Degenkolb

Drapeau : Pays-Bas Pim Ligthart

Drapeau : Colombie Carlos Betancur

Drapeau : Espagne Movistar

2015

Drapeau : Australie Michael Matthews

Drapeau : Belgique Thomas De Gendt

Drapeau : Pologne Michał Kwiatkowski

Drapeau : Royaume-Uni Sky

2016

Drapeau : Australie Michael Matthews

Drapeau : Canada Antoine Duchesne


Drapeau : Espagne Movistar

2017

Drapeau : France Julian Alaphilippe

Drapeau : France Lilian Calmejane

Drapeau : France Julian Alaphilippe

Drapeau : Belgique Quick-Step Floors

2018

Drapeau : Belgique Tim Wellens

Drapeau : Belgique Thomas De Gendt

Drapeau : Espagne Marc Soler

Drapeau : Bahreïn Bahrain-Merida


Statistiques et records |







Par coureurs |







































































































# Coureurs Victoires Deuxième Troisième Total
1

Drapeau : Irlande Seán Kelly
7
0
0
7
2

Drapeau : France Jacques Anquetil
5
0
1
6
3

Drapeau : Belgique Eddy Merckx
3
2
2
7
4

Drapeau : France Laurent Jalabert
3
2
1
6
5

Drapeau : Pays-Bas Joop Zoetemelk
3
1
1
5
6

Drapeau : France Raymond Poulidor
2
2
0
4

Drapeau : Espagne Alberto Contador
2
2
0
4
8

Drapeau : Suisse Tony Rominger
2
1
0
3
9

Drapeau : France Maurice Archambaud
2
0
1
3

Drapeau : Espagne Miguel Indurain
2
0
1
3

Drapeau : Belgique Raymond Impanis
2
0
1
3

Drapeau : Australie Richie Porte
2
0
1
3



Par pays |


















































































































# Pays Victoires Deuxième Troisième Total
1

Drapeau de la France France
22
26
23
71
2

Drapeau de la Belgique Belgique
14
8
14
36
3

Drapeau de l'Irlande Irlande
8
4
1
13
4

Drapeau de l'Espagne Espagne
6
8
13
27
5

Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
6
5
8
19
6

Drapeau de l'Allemagne Allemagne
4
3
2
9
7

Drapeau de la Suisse Suisse
3
6
1
10
8

Drapeau du Royaume-Uni Grande-Bretagne
3
2
2
7
9

Drapeau de l'Italie Italie
2
5
4
11
10

Drapeau des États-Unis États-Unis
2
2
2
6
11

Drapeau de l'Australie Australie
2
0
1
3

Drapeau de la Colombie Colombie
2
0
1
3
13

Drapeau du Kazakhstan Kazakhstan
2
0
0
2




Victoires d'étapes |























































# Coureurs Victoires
1

Drapeau : Belgique Eddy Merckx
21
2

Drapeau : Irlande Seán Kelly
14
3

Drapeau : Belgique Freddy Maertens
12
4

Drapeau : Belgique Rik Van Looy
11
5

Drapeau : Belgique Eric Leman
10
6

Drapeau : Allemagne Rudi Altig
9
7

Drapeau : France Jacques Anquetil
8

Drapeau : Pays-Bas Gerrie Knetemann
8

Drapeau : Italie Mario Cipollini
8

Drapeau : Belgique Tom Steels
8


Paris-Nice en chiffres |



  • Le plus jeune vainqueur est René Vietto en 1935, à l'âge de 21 ans.

  • Le vainqueur le plus âgé est Raymond Poulidor en 1973, à l'âge de 37 ans.

  • La France détient le record du nombre de victoires par nation, mais aucun Français n'a été victorieux depuis Laurent Jalabert en 1997.

  • Neuf vainqueurs de la course ont également remporté le Tour de France durant leur carrière : Louison Bobet, Jacques Anquetil, Jan Janssen, Eddy Merckx, Joop Zoetemelk, Stephen Roche, Miguel Indurain, Alberto Contador et Bradley Wiggins. Ils ont tous remporté sans exception leur premier ou leur seul Paris-Nice avant d'avoir remporté le Tour de France, prouvant que la course est une bonne répétition qui lui vaut parfois le surnom de « mini Tour de France »[28].



Notes et références |





  1. a et b« Paris-Nice », sur UCI (consulté le 3 décembre 2015)


  2. Zeb Woodpower, « Preview », sur Cycling News, Immediate Media Company (consulté le 3 décembre 2015)


  3. a et bJeff Jones, « Kivilev dies of injuries », sur Cycling News (consulté le 3 décembre 2015)


  4. a et b« Andrei Kivilev: September 21, 1973 - March 12, 2003 », sur Cycling News (consulté le 3 décembre 2015)


  5. a b et c« History », sur letour.fe, ASO (consulté le 7 décembre 2015)


  6. « Paris - Nice 1933 », sur siteducyclisme.net (consulté le 7 décembre 2015)


  7. a b c d e et f[PDF] « Guide historique de Paris-Nice », sur letour.fr (consulté le 14 novembre 2009)


  8. « Paris-Nice1966 », sur siteducyclisme.net (consulté le 7 décembre 2015)


  9. Roger Guillerminet, Roger Pingeon, Saint-Cyr-sur-Loire, 2005, 63–68 p.


  10. « Paris-Nice 1972 », sur siteducyclisme.net (consulté le 7 décembre 2015)


  11. Valérie Fignon, Laurent, Grasset, 2013, p. 180


  12. « Stage 3 neutralised after Kivilev's death », sur Cylingnews (consulté le 9 décembre 2015)


  13. « Emotional Vinokourov does it for Kivilev », sur Cyclingnews (consulté le 9 décembre 2015)


  14. Cyclisme – UCI – McQuaid passe à l’attaque, lequipe.fr, 7 mars 2008.


  15. Paris-Nice – L’AIGCP ne recule pas", lequipe.fr, 7 mars 2008.


  16. « Paris-Nice 2011 Tony Martin wins race to the sun after Thomas Voeckler claims second stage on Cote-dAzur », sur telegraph.co.uk (consulté le 7 décembre 2015)


  17. Reuters, « Bradley Wiggins wins Paris-Nice », The Guardian, Guardian Media Group,‎ 11 mars 2012(lire en ligne)


  18. « Team Sky's Richie Porte becomes first Australian Paris-Nice winner », BBC Sport, BBC,‎ 10 mars 2013(lire en ligne)


  19. « Richie Porte says second Paris-Nice title is 'sweeter' than the first », sur Skysports.com, 15 mars 2015(consulté le 7 décembre 2015)


  20. « Le col d'Eze, final oublié de Paris-Nice », sur cyclismag.com, 11 mars 2006(consulté le 16 novembre 2009)


  21. « Le Pic de Lure, l'inconnu de Paris-Nice », sur cyclismag.com, 25 février 2009(consulté le 18 novembre 2009)


  22. « Les maillots distinctifs », sur cyclismag.com, 28 août 2006(consulté le 16 novembre 2009)


  23. « Legeay, symbole d’un autre temps ? », sur humanite.fr, 13 juillet 2004(consulté le 18 novembre 2009)


  24. (en) The Story of the Tour de France, Bill et Carol McGann, 2008


  25. Jean-Pierre de Mondenard, Dictionnaire du dopage, Paris, Masson, 2004, 1237 p. (ISBN 2-294-00714-X et 978-2-294-00714-9), p. 485


  26. (en) « Lavarinhas suspended », sur cyclingnews.com, 5 septembre 2003(consulté le 18 novembre 2009)


  27. Le 31 mai 2010 le Tribunal arbitral du sport suspend 2 ans Alejandro Valverde (Caisse d'Épargne) à la suite de son implication dans l'affaire Puerto. La suspension commence à partir du 1er janvier 2010. Il conserve donc les résultats acquis antérieurement, mais perd ceux acquis en 2010, dont sa deuxième place à Paris-Nice. Lien : Alejandro Valverde initialement deuxième de l'édition 2010 a été déclassé


  28. PARIS-NICE 2016 : Ce mini Tour de France se jouera sur les pentes du Mont Ventoux




Liens externes |


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