Émile Verhaeren





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Emile Verhaeren01.jpg

Portrait d'Emile Verhaeren






























Biographie
Naissance

21 mai 1855Voir et modifier les données sur Wikidata
Saint-AmandVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès

27 novembre 1916Voir et modifier les données sur Wikidata (à 61 ans)
RouenVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance

Emile Adolphe Gustave Verhaeren
Nationalité

BelgeVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation

Université catholique de LouvainVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités

Écrivain, poète, dramaturgeVoir et modifier les données sur Wikidata













Autres informations
Membre de

Cercle Artistique et Littéraire (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement

SymbolismeVoir et modifier les données sur Wikidata


signature d'Émile Verhaeren

signature




Émile Adolphe Gustave Verhaeren, né à Saint-Amand dans la province d'Anvers (Belgique), le 21 mai 1855 et mort (accidentellement) à Rouen le 27 novembre 1916, est un poète belge flamand, d'expression française. Dans ses poèmes influencés par le symbolisme, où il pratique le vers libre, sa conscience sociale proche de l'anarchisme lui fait évoquer les grandes villes dont il parle avec lyrisme[1] sur un ton d'une grande musicalité. Il a su traduire dans son œuvre la beauté de l'effort humain.




Sommaire






  • 1 Biographie


  • 2 Divers


  • 3 Dans un champ d'orge


  • 4 Œuvres


    • 4.1 Principaux recueils


    • 4.2 Œuvre critique


    • 4.3 Théâtre


    • 4.4 Prose


    • 4.5 Éditions bibliophiliques posthumes




  • 5 Correspondance


  • 6 Reconnaissance, honneurs


  • 7 Représentations


  • 8 Exposition


  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références




  • 10 Bibliographie


  • 11 Liens externes





Biographie |


Verhaeren est né à Saint-Amand (en néerlandais : Sint-Amands) en Belgique, au bord de l'Escaut, dans une famille aisée où l'on parlait le français, tandis qu'au village et à l'école régnait le flamand. Il fréquenta d'abord l'internat francophone Sainte-Barbe, tenu par des jésuites à Gand, puis il étudia le droit à l'université catholique de Louvain. C'est là qu'il rencontra le cercle des écrivains qui animaient La Jeune Belgique et il publia en 1879 les premiers articles de son cru dans des revues d'étudiants.





La Lecture (1903) par Théo van Rysselberghe. Verhaeren est représenté en veston rouge.


Chaque semaine, l'écrivain socialiste Edmond Picard tenait à Bruxelles un salon où le jeune Verhaeren put rencontrer des écrivains et des artistes d'avant-garde. C'est alors qu'il décida de renoncer à une carrière juridique et de devenir écrivain. Il publiait des poèmes et des articles critiques dans les revues belges et étrangères, entre autres L'Art moderne et La Jeune Belgique. Comme critique d'art, il soutint de jeunes artistes tels que James Ensor.


En 1883, il publia son premier recueil de poèmes réalistes-naturalistes, Les Flamandes, consacré à son pays natal. Accueilli avec enthousiasme par l'avant-garde, l'ouvrage fit scandale au pays natal. Ses parents essayèrent même avec l'aide du curé du village d'acheter la totalité du tirage et de le détruire. Le scandale avait été un but inavoué du poète, afin de devenir connu plus rapidement. Il n'en continua pas moins par la suite à publier d'autres livres de poésies. Des poèmes symbolistes au ton lugubre caractérisent ces recueils, Les Moines, Les Soirs, Les Débâcles et Les Flambeaux noirs.


En 1891, il épousa Marthe Massin, peintre connue pour ses aquarelles, dont il avait fait la connaissance deux ans plus tôt, et s'installa à Bruxelles. Son amour pour elle s'exprime dans trois recueils de poèmes d'amour : Les Heures claires, Les Heures d'après-midi et Les Heures du soir.





Les Hommes du jour, n°82, 14 août 1909, dessin de Aristide Delannoy.


Dans les années 1890, Verhaeren s'intéressa aux questions sociales et se lança dans la « révolte anarchiste ». Son implication sociale apparaît clairement dans des articles et des poèmes parus dans la presse libertaire[2] (L’En-dehors[3], Le Libertaire[4], La Revue blanche[5], etc.) et surtout dans des manuscrits inachevés et demeurés inédits, comme la pièce La Grand-Route et le roman Désiré Menuiset et son cousin Oxyde Placard[6],[7].


Il travailla à rendre dans ses poèmes l'atmosphère de la grande ville et son opposé, la vie à la campagne. Il exprima ses visions d'un temps nouveau dans des recueils comme Les Campagnes hallucinées, Les Villes tentaculaires, Les Villages illusoires et dans sa pièce de théâtre Les Aubes. Ces poèmes le rendirent célèbre, et son œuvre fut traduite et commentée dans le monde entier. Il voyagea pour faire des lectures et des conférences dans une grande partie de l'Europe. Beaucoup d'artistes, de poètes et d'écrivains comme Antonio de La Gandara[8], Georges Seurat, Paul Signac, Auguste Rodin, Edgar Degas, August Vermeylen, Léon Bazalgette, Henry van de Velde, Max Elskamp, Maurice Maeterlinck, Stéphane Mallarmé, André Gide, Rainer Maria Rilke, Gostan Zarian et Stefan Zweig[N 1] l'admiraient, correspondaient avec lui, cherchaient à le fréquenter et le traduisaient. Les artistes liés au futurisme subissaient son influence. Émile Verhaeren était aussi un ami personnel du roi Albert et de la reine Élisabeth ; il fréquentait régulièrement toutes les demeures de la famille royale.




Transfert des restes d'Émile Verhaeren en Belgique, 1927.


En 1914 la Première Guerre mondiale éclata et, malgré sa neutralité, la Belgique fut occupée presque entièrement par les troupes allemandes. Verhaeren se réfugia en Angleterre[9]. Il écrivit des poèmes pacifistes et lutta contre la folie de la guerre dans les anthologies lyriques : La Belgique sanglante, Parmi les Cendres et Les Ailes rouges de la Guerre. Sa foi en un avenir meilleur se teinta pendant le conflit d'une résignation croissante. Il n'en publia pas moins dans des revues de propagande anti-allemandes et tenta dans ses conférences de renforcer l'amitié entre la France, la Belgique et le Royaume-Uni. Le 27 novembre 1916, il alla visiter les ruines de l'abbaye de Jumièges. Le soir, après avoir donné une nouvelle conférence à Rouen, il mourut accidentellement, ayant été poussé par la foule, nombreuse, sous les roues d'un train qui partait[10].


Le gouvernement français voulut l'honorer en l'ensevelissant au Panthéon, mais la famille refusa et le fit enterrer au cimetière militaire d'Adinkerque. En raison du danger que représentait l'avancée des troupes, ses restes furent encore transférés pendant la guerre à Wulveringem avant d'être en 1927 définitivement enterrés dans son village natal de Saint-Amand où depuis 1955 un musée, le musée provincial Émile Verhaeren, rappelle son souvenir.



Divers |


  • En 2015-2016, à l'approche du centenaire de sa mort, le musée des Avelines de Saint-Cloud, en région parisienne, lui consacre une exposition hommage intitulée Émile Verhaeren (1855-1916), poète et passeur d'Art.

  • Un buste de Verhaeren en bronze signé et dédicacé par Charles van der Stappen (1843-1910) figure dans une vente publique à Lille le 26 juin 2017 (reprod. coul. dans La Gazette Drouot du 16 juin 2017 reprod. coul. p. 232).


Dans un champ d'orge |


Poème autographe paru dans La Plume en février 1904.


Emile Verhaeren - Dans un champ d'orge.jpg



Œuvres |



Principaux recueils |




Portrait d'Émile Verhaeren
par Félix Vallotton
paru dans Le Livre des masques
de Remy de Gourmont (1898).




  • Les Flamandes, 1883


  • Les Moines, 1886


  • Les Soirs, 1887


  • Les Débâcles, 1888


  • Les Flambeaux noirs, 1891


  • Les Apparus dans mes chemins, 1892


  • Les Campagnes hallucinées, 1893


  • Les Bords de la route, 1895


  • Les Villes tentaculaires, 1895


  • Les Villages illusoires, 1895


  • Les Heures claires, 1896


  • Les Visages de la vie, 1899


  • Petites Légendes, 1900


  • Les Forces tumultueuses, 1902


  • Toute la Flandre, 1904-1911


  • Les Heures d'après-midi, 1905


  • La Multiple Splendeur, 1906


  • Les Rythmes souverains, 1910


  • Les Heures du soir, 1911


  • Les Blés mouvants, 1912


  • Les Ailes rouges de la guerre, 1916


  • Les Flammes hautes, 1917


  • À la vie qui s'éloigne, 1923


  • Quelques chansons de village, (posthume), 1924



Œuvre critique |



  • James Ensor

  • Rembrandt

  • Monet


  • Impressions (3 volumes) recueils de textes et d'articles critiques sur des écrivains.


  • Pages belges 1926, recueils de textes sur des écrivains belges.



Théâtre |




  • Le cloître (drame en quatre actes).

  • Philippe II

  • Hélène de Sparte

  • Les Aubes



Prose |




  • Le travailleur étrange, recueil de nouvelles

  • Villes meurtries de Belgique. Anvers, Malines et Lierre


  • Impessions d'Espagne Ed. Casimiro, (ISBN 9788416868858)



Éditions bibliophiliques posthumes |




  • Belle chair, poèmes d'Émile Verhaeren, lithographies originales de Philippe Cara Costea, Éditions Les Francs Bibliophiles, 1967.

  • Belle Chair, poèmes suivi de chants dialogués ; petites légendes ; feuilles éparses, Mercure de France, 3° edition (1939) (ASIN B003X1CO6G)


  • Les villes à pignons, le texte du poète s’accompagne de 35 eaux-fortes originales du peintre et aquafortiste Julien Célos, Éditions Victor Dancette, 1946.


  • Le Vent, livre d'artiste sur le poème d'Émile Verhaeren, conçu sous forme d'une œuvre d'art au sein du Laboratoire du livre d’artiste, en 2014[11].



Correspondance |



  • Émile Verhaeren - Stefan Zweig 1996

  • À Marthe Verhaeren Mercure de France 1937

  • Verhaeren-Rilke / Verhaeren-Dehmel Correspondance. (Archives et Musée de la littérature - AML)



Reconnaissance, honneurs |


Le roi Albert Ier de Belgique a donné le titre honorifique de Poète national à Émile Verhaeren en 1899[12].



Représentations |



  • Portrait d'Émile Verhaeren par Pierre Hodé, a été reproduit dans La Revue du foyer, novembre 1916.


  • Buste en bronze du poète dû à Henri Lagriffoul dans les jardins de l'hôtel de ville de Rouen (1948).

  • Buste par Louis Mascré au parc Josaphat à Bruxelles[13].

  • Buste du poète à Roisin au lieu dit "Le caillou qui bique" où il a séjourné, ce petit domaine dans le Bois d'Angre parcouru par la Grande Honnelle est un lieu de détente agréable et bien connu.

  • Des pierres sculptées où sont gravés certains de ces poèmes sont placés tout au long du parcours "Circuit des pierres Verhaeren".

  • Buste de Verhaeren à Paris, square André-Lefèbvre, jouxtant l'église Saint-Séverin à Paris.




Exposition |



  • Émile Verhaeren. Poète et Passeur d’art. Saint-Cloud, Musée des Avelines, du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016[14].


Notes et références |



Notes |




  1. « Durant ces trois heures, j'appris à aimer cet homme, comme je l'ai ensuite aimé toute ma vie. Il y avait dans tout son être une sécurité qui ne donnait pas un instant l'impression de la suffisance. Il restait indépendant à l'égard des biens de fortune, il préférait mener une existence campagnarde plutôt que d'écrire une ligne qui n'eût eu d'actualité que celle du jour et de l'heure. Il demeurait indépendant à l'égard du succès, ne s'appliquait pas à l'augmenter par des concessions, des complaisances ou des camaraderies [...] Il demeura ouvert dans tous les sens du terme, n'étant gêné par aucune entrave, égaré par aucune vanité, un homme libre et heureux, facile à tous les enthousiasmes ; quand on était avec lui, on se sentait animé par sa propre volonté de vivre ». Le monde d'hier, Stefan Zweig



Références |



  • (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Émile Verhaeren » (voir la liste des auteurs).




  1. C. Gras, L'hiver aux trousses, Paris, Gallimard, février 2016(ISBN 978-2-07-046794-5), chap. 1 (« Premier automne »)


  2. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : Émile Verhaeren (1855-1916).


  3. Thierry Maricourt, Histoire de la littérature libertaire en France, Albin Michel, 1990, page 82.


  4. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : Le Libertaire.


  5. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : La Revue blanche.


  6. Émilien Sermier, « D. Gullentops, Émile Verhaeren inédit », Fabula,‎ 28 octobre 2015(lire en ligne).


  7. Éric Clémens, « Émile Verhaeren, la pensée anarchiste d’un poète », Le Carnet et les Instants,‎ 11 décembre 2015(lire en ligne).


  8. Cité dans Ecrits sur l'art 1881-1916


  9. Jacques Marx, Verhaeren. Biographie d’une œuvre, Bruxelles, Académie royale de langue et de littérature françaises, 1996, p. 501-509


  10. Jérôme Dupuis, « Les morts les plus stupides de l'Histoire », L'Express, 31 octobre 2012(consulté le 1er novembre 2012)


  11. Pour l'interprétation du poème Le Vent a été utilisée la version prononcée par le poète le 12 mars 1913 dans son enregistrement sonore. Le livre contient deux linogravures originales par Anne Arc, et huit compositions plastiques (découpages sous forme de disques noirs sur papier Himalaya 90g/m²) par Serge Chamchinov. Fait à douze variantes uniques à Granville et à Saint-Aubin (Jersey). Exposé à Bruxelles en 2014 et en 2017, à Mons et en Aix-en-Provence en 2015. Trois exemplaires se trouvent en Belgique (Archives et Musée de la Littérature de Belgique, Réserve précieuse de la Bibliothèque royale de Belgique, Musée des Arts du Livre et de la Reliure). En France, quatre exemplaires sont consultables auprès des réserves précieuses des médiathèques de Niort, Caen, Valenciennes et Nice, par ailleurs, une variante accompagnée par les documents génétiques (épreuves et maquettes) est conservée à la bibliothèque littéraire Jacques-Doucet à Paris.


  12. « La Belgique s'enrichit d'un Poète national », dans: La Libre Belgique, quotidien belge, 15 janvier 2014.


  13. Photo du buste dû à Louis Mascré, parc Josaphat, Bruxelles


  14. « Émile Verhaeren. Poète et Passeur d’art (1855-1916) », sur latribunedelart.com (consulté le 13 septembre 2016).




Bibliographie |




  • Charles Baudouin, Le Symbole chez Verhaeren, Genève : Mongenet, 1924.


  • André Mabille de Poncheville, Vie de Verhaeren, Paris, Mercure de France, 1953.

  • Jean-Marie Culot, Bibliographie de Émile Verhaeren, Duculot, 1954.

  • Gilles Van Grasdorff et Alain Antoine-Plisnier, Dites-nous Émile Verhaeren, Bruxelles : Chabassol, 1986.

  • Béatrice Worthing, Émile Verhaeren (1855-1916), Paris : Mercure de France, 1992.

  • Marcel Wardavoir, Les Heures sombres d'Émile Verhaeren, Le Livre, 1995.

  • Jacques Marx, Verhaeren, biographie d'une œuvre, Académie royale de langue et de littérature françaises, 676 p., 1996 (ISBN 2-8032-0020-1)

  • David Gullentops, L'inventaire de la bibliothèque d'Émile Verhaeren, Paris, 1996.

  • David Gullentops, Poétique de la lecture. Figurativisations et espace tensionnel dans la poésie d'Émile Verhaeren, VUB-University Press, 2001.


  • Kilien Stengel, Les poètes de la bonne chère, Anthologie de poésie gastronomique, Collection Petite Vermillon Éditions de la Table ronde (groupe Gallimard), 2008. (ISBN 2710330733)

  • Stefan Zweig, Émile Verhaeren - Sa vie - son œuvre, CreateSpace Independent Publishing Platform, 2015(ISBN 978-1511692656)


  • Flax, Émile Verhaeren, illustration Aristide Delannoy, Les Hommes du jour, n°82, 14 août 1909, lire en ligne.

  • Danielle Derrey-Capon, « Verhaeren, Emile (1855 - 1916), writer, critic », notice du Grove Art Online, lire en ligne (ISBN 9781884446054)

  • James Kearns, « Verhaeren, Émile (1855–1916) », notice du The New Oxford Companion to Literature in French, lire en ligne (ISBN 9780191735004)

  • « VERHAEREN, Emil (1855 - 1916) », notice du Who Was Who, lire en ligne (ISBN 9780199540891)

  • David Gullentops, Émile Verhaeren inédit, Bruxelles, Éditions VUB-Press, 2015, (ISBN 978 90 5718 462 8).

  • Émile Verhaeren et Roger Berthole (Commentaires), Le Travailleur étrange et autres récits, Ombres, coll. « Petite Bibliothèque Ombres », 2013(ISBN 978-2841421961)

  • Émile Verhaeren, À la vie qui s'éloigne, poèmes, suivis de Trois épîtres lyriques, Sept épitaphes, Au delà, Feuilles tombées, Mercure de France, 1924(ASIN B001BMXID2)



Liens externes |


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  • Fonds Émile Verhaeren, déposé par la Bibliothèque royale de Belgique aux Archives et Musée de la Littérature (AML)


  • « Émile Verhaeren », mises en scène des pièces et dramaturgies d’Émile Verhaeren sur Aspasia - l'Annuaire du spectacle


  • Le Passeur d'eau dit par Émile Verhaeren


  • Léon Somville, « Émile Verhaeren », sur Service du Livre Luxembourgeois.



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