Bagnères-de-Luchon





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Bagnères-de-Luchon
Bagnères-de-Luchon : l'aérodrome, la piste du cynodrome, la ligne de chemin de fer, la gare de Luchon et le lac de Badech.

Blason de Bagnères-de-Luchon
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Occitanie

Département

Haute-Garonne

Arrondissement

Saint-Gaudens

Canton

Bagnères-de-Luchon
(bureau centralisateur)

Intercommunalité

communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises

Maire
Mandat
Louis Ferré
2014-2020

Code postal
31110

Code commune
31042
Démographie

Gentilé
Luchonnais

Population
municipale
2 384 hab. (2015 en diminution de 8,06 % par rapport à 2010)
Densité 45 hab./km2
Géographie

Coordonnées

42° 47′ 27″ nord, 0° 35′ 38″ est

Altitude
Min. 611 m
Max. 2 737 m

Superficie
52,80 km2
Localisation


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Liens

Site web

Site officiel


Bagnères-de-Luchon, également nommée Luchon par métonymie (en occitan gascon Luishon ou Banhèras de Luishon), est une commune française située dans l'arrondissement de Saint-Gaudens du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Surnommée « la reine des Pyrénées », c'est une station thermale doublée d'une station de ski (Luchon-Superbagnères) implantée sur la commune voisine de Saint-Aventin mais accessible au départ de Bagnères-de-Luchon par télécabine ou par la route départementale 46 via la vallée du Lys. Depuis 1801, Bagnères-de-Luchon a été le chef-lieu du canton du même nom et en est depuis 2015 le bureau centralisateur.


Ses habitants sont appelés les Luchonnais.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Climat


    • 1.6 Voies de communication et transports




  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement


    • 2.3 Projets d'aménagements




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Administration municipale


    • 5.3 Liste des maires


    • 5.4 Instances judiciaires et administratives


    • 5.5 Politique environnementale


    • 5.6 Finances locales


    • 5.7 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


    • 6.2 Enseignement


      • 6.2.1 Établissements scolaires




    • 6.3 Manifestations culturelles et festivités


    • 6.4 Santé


    • 6.5 Sports


    • 6.6 Médias


    • 6.7 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises et commerces




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


    • 8.2 Patrimoine culturel


    • 8.3 Personnalités liées à la commune


    • 8.4 Héraldique, logotype et devise




  • 9 Pour approfondir


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


Bagnères-de-Luchon est située dans les Pyrénées (Luchonnais), à 50 km au sud-ouest de Saint-Gaudens, à la frontière avec l'Espagne, au sud du département de la Haute-Garonne, au confluent de la Pique et de l'One. Au sud, les montagnes du Luchonnais forment une barrière naturelle. Vers l'est, Bagnères-de-Luchon communique avec le val d'Aran en Espagne par le col du Portillon et vers l'ouest avec la vallée du Larboust et au-delà, avec celle du Louron par le col de Peyresourde. Elle est la ville-centre de l'unité urbaine et de l'aire urbaine de Bagnères-de-Luchon.



Communes limitrophes |


Bagnères-de-Luchon est limitrophe de douze autres communes dont six communes espagnoles.




Carte de la commune de Bagnères-de-Luchon et de ses proches communes.






















Communes limitrophes de Bagnères-de-Luchon[1],[2]

Cazarilh-Laspènes

Moustajon

Juzet-de-Luchon,
Montauban-de-Luchon

Saint-Aventin
Bagnères-de-Luchon[1],[2]
Saint-Mamet


Benasque
(Espagne)


Bossòst, Arres,
Vilamòs, Es Bòrdes, Vielha
(Espagne)




Géologie et relief |



La superficie de la commune est de 5 280 hectares ; son altitude varie de 611 à 2 737 mètres[3].



Hydrographie |




Climat |


Articles détaillés : Climat des Pyrénées, Végétation des Pyrénées et Géologie des Pyrénées.

La commune est située dans un versant assez épais qui laisse entrer des couches sèches. Les températures hivernales varient de -10 à 10 degrés et les températures estivales varient de 10 à 35 degrés. Le flux de nord amène des conditions plutôt anticycloniques et le flux de sud-ouest ou de nord-ouest est très souvent annonciateur d'une perturbation (pluie ou neige). Parfois les flux de nord et de sud s'inversent entraînant des orages sur la vallée parfois forts et accompagnés de grêle à cause des couches humides du sud et sèches du nord.



Voies de communication et transports |


Accès par la route nationale 125 et par la gare de Luchon qui est le terminus SNCF de la ligne Montréjeau - Luchon qui la relie à Toulouse via Montréjeau. Le week-end (tous les jours en été), un train de nuit reliait directement Bagnères-de-Luchon et Paris. Le trafic de la ligne Montréjeau-Luchon est cependant suspendu depuis novembre 2014 pour une durée indéterminée.


Une télécabine fait la liaison depuis 1993 de Bagnères-de-Luchon à Superbagnères. Elle a pris la relève du chemin de fer de Luchon à Superbagnères à crémaillère (système Strub) qui fut exploité de 1912 à 1966.
La commune dispose aussi d'un aérodrome, l'aérodrome de Bagnères-de-Luchon.
Venu de Toulouse, le Sentier de grande randonnée 86 se termine aux thermes de Luchon.



Urbanisme |



Morphologie urbaine |




Logement |




Projets d'aménagements |




Toponymie |


Le nom de Bagnères-de-Luchon vient d'une part de son thermalisme (bagnères = bains), et d'autre part d'un dieu local, Illixo (Ilixoni deo[4], traité avec la désinence latine non étymologique -onis[5]).


D'après l'Académie Julien Sacaze, Ilixo, dieu des sources, a donné son nom à la vallée de Luxon ou Luchon[6]. Cette correspondance a été mise en avant par les chercheurs Achille Luchaire, Raymond Lizop, Gerhard Rohlfs ou Joan Coromines.


Le nom Ilixo contient vraisemblablement la base basque ili 'domaine, ville'[5],[7].



Histoire |


Article connexe : Histoire du Val d'Aran.



Cercles de pierres des environs de Luchon découverts lors des fouilles de Chaplain Duparc.




Plan de Luchon (1914).




Vue de Luchon en 1908, photographie d'Eugène Trutat.




Moulin à Scie à Luchon par Eugène de Malbos, lithographie vers 1840.




Source ferrugineuse, près Luchon au milieu du XIXe siècle par Joseph Latour.


Cette ville a plus de deux millénaires. La présence de population est attestée depuis le néolithique au moins à la grotte de Saint-Mamet. La présence de cromlech atteste aussi une occupation très ancienne[8].


En 76 av. J.-C., Pompée, de retour d'une expédition de maintien de l'ordre en Espagne (où il fonde notamment la ville de Pampelune qui porte son nom), s'arrête dans la région et fonde la ville nouvelle de Lugdunum Convenarum, où se rassemblent les tribus convènes éparses (convènes = regroupés, rassemblés) ; c'est la future Saint-Bertrand-de-Comminges.


Un de ses soldats, atteint d'une maladie de peau, vient s'immerger dans les eaux thermales de Luchon, et de ses bains « onésiens » dont il découvre les vertus thermales. Au bout de 21 jours (durée traditionnelle et toujours actuelle d'une cure), il en sort complètement guéri.


En 25 av. J.-C., Tibère Claude fait creuser trois piscines et développe les thermes.
Les thermes s'enorgueillissent dès lors de la peu modeste devise « Balneum Lixonense post Neapolitense primum » (les thermes de Luchon sont les premiers après ceux de Naples) qui est toujours aujourd'hui celle de la ville.
Les invasions des Goths et des Wisigoths passent par la région, ainsi que les incursions des Maures. Les populations se réfugient dans les vallées hautes du Larboust ou d'Oueil. Des traces de ces invasions subsistent dans certains mythes et légendes locaux.


Charlemagne, Gaston Fébus donnent à la région un statut particulier de marche frontière avec une certaine autonomie, entre France et Espagne.


La région est relativement épargnée par la Guerre de Cent Ans et par les guerres de religion liées au catharisme et à la Réforme. Les populations restent fidèles à un catholicisme « adapté » et bien peu orthodoxe, que les évêques de Saint-Bertrand mettront des siècles à reprendre en main : prêtres vivant en communautés, parfois armés et mariés, peu éduqués et mal formés, extorquant des messes funéraires payées sous forme de repas dûment arrosés, cadets plus fidèles aux intérêts de leur Maison d'origine (la famille, la casa pyrénéenne) qu'à Rome...


En 987[réf. nécessaire], le village de « Banières » et ses thermes sont décrits comme assez prospères, autour de son église. À la Toussaint a lieu une foire importante, qui n'a cependant pas la renommée de celle de Saint-Béat, qui profite davantage du commerce avec l'Espagne.


Vers 1200, l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem installe une commanderie à Frontés, entre Montauban et Juzet-de-Luchon. L'objectif est de garder le passage vers la montagne, de ce chemin secondaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et d'organiser des hospices pour les pèlerins et les commerçants, qui risquent leur vie en hiver. La création du bâtiment de l'hospice de France date de cette époque et est la seule trace qui subsiste des chevaliers hospitaliers. L'ouverture du port (col) de Vénasque est, quant à elle, postérieure.


Commence alors une lutte continue de plusieurs siècles entre les chevaliers hospitaliers et les populations guidées par leurs prêtres. L'objectif devint rapidement plus économique que religieux et il n'était pas question de partager les impôts. Finalement, l'ordre abandonna la région.


Il y a toujours eu très peu de nobles dans cette région où la paysannerie a toujours lutté pour sa survie. Les anciens traités de Lies et passeries associaient les populations des deux versants de la montagne par des accords de libre circulation et de libre échange, même au cas où les royaumes auraient été en guerre. Un boycott un peu soutenu aurait en effet facilement décimé les populations. Ces traités étaient systématiquement renouvelés et imposés aux rois comme aux évêques. Une forme de représentation populaire élue, les consuls, existait. On a ainsi pu parler de républiques pyrénéennes.


Les rois de France cherchent à mettre un terme à cette situation qui leur paraît anormale.




Allées d'Étigny.


En 1759, le baron Antoine Mégret d'Étigny, intendant de Gascogne, est envoyé à Luchon. Il commence par créer une route carrossable, à coups de corvées et d'expropriations. Il est obligé de faire appel à une compagnie de Dragons pour tenir la population en respect, peu habituée à un traitement aussi autoritaire. En 1761, il réorganise les thermes et leur donne les bases de leur futur essor. En 1763, il fait venir prendre les eaux au maréchal, duc de Richelieu, qui reviendra en 1769 avec une grande partie de la Cour. La station thermale est lancée. Il développe également l'exploitation forestière, capitale pour fournir du bois pour la marine et du charbon de bois pour les forges. Il meurt en 1767, à l'âge de 47 ans, ruiné et disgracié.


Son successeur donnera son nom aux allées d'Étigny, principale artère de la ville, et une statue élevée en 1889 à son effigie se trouve toujours placée devant les Thermes.


La Révolution et l'Empire ont peu d'impact à Luchon.


De nombreux visiteurs célèbres viennent ensuite à Luchon, attirés par la vogue des eaux thermales pyrénéennes, lancée par l'Impératrice Eugénie, ou les débuts du pyrénéisme par le comte Henry Russell. Lamartine (en 1840 dans la rue qui porte désormais son nom), Victor Hugo (en 1861), José-Maria de Heredia (qui résida aussi dans un village non loin de Luchon, Marignac ; c'est là qu'il s'inspira du Pic du Gar pour un des poèmes de son recueil Les Trophées), le prince Louis-Napoléon Bonaparte, le prince impérial (fils de Louis Napoléon Bonaparte, soigné par le Docteur Ernest Lambron, dont l'avenue faisant face au pavillon impérial porte le nom), Edmond Rostand, Gustave Flaubert (1840 et 1872), Guy de Maupassant, Octave Mirbeau, Stéphen Liégeard, Moulay Mohammed (futur Mohammed V du Maroc), Alphonse XIII d'Espagne, Sacha Guitry, Francis Carco, François Mauriac comptent parmi ces hôtes les plus illustres.


L'arrivée du train en 1873, la construction du casino en 1880 développent encore la popularité de la ville où des touristes huppés et cosmopolites ne tardent pas à affluer, jusqu'aux années folles. Les acquis sociaux (congés payés puis sécurité sociale) démocratisent ensuite la population touristique.


Des installations hydro-électriques sont mises en place dès les années 1890 par la société La Luchonnaise.


Le tour de France cycliste fait de la ville une de ses étapes obligées depuis ses débuts.


L'ouverture de l'hôtel d'altitude de Superbagnères (travaux finis en 1922), relié par un train à crémaillère et aujourd'hui par une télécabine, complète la ville thermale par une station de sports d'hiver. Aux jeux olympiques d'hiver de 1968, Ingrid Lafforgue défend les couleurs de la station. Sa sœur jumelle Britt Lafforgue a un palmarès non moins éloquent aux championnats du monde de ski alpin. En 2010, c'est Marie-Laure Brunet qui se distingue à Vancouver.


Un golf et un aéroclub font bien mériter à la ville son surnom de « Reine des Pyrénées » donné par Vincent de Chausenque en 1834 dans son ouvrage Les Pyrénées ou voyages pédestres.


Enfin, l'eau minérale de Luchon est commercialisée depuis quelques années dans toute la France.


Des fouilles ont permis de retrouver la trace de trois vastes piscines revêtues de marbre avec circulation d'air chaud et de vapeur.


La tempête Xynthia, qui a causé fin février 2010 la mort d'une cinquantaine de personnes en France, a durement touché Luchon et sa région. Des vents ont soufflé à 200 km/h sur les sommets, ce qui a occasionné de très nombreux dégâts.



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |




Administration municipale |




Liste des maires |


Article détaillé : liste des maires de Bagnères-de-Luchon.

Depuis 1947, cinq maires se sont succédé :
















































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité

1947

1971
Alfred Coste Floret
UDF

Procureur

1971

1974
Albert Castaigne
UDF
-

1974

1995

Jean Peyrafitte

PS

Hôtelier, sénateur

1995

2008
René Rettig

UMP

Directeur d'hôpital

2008
en cours
Louis Ferré

PS

Professeur d'université (statistique)



Instances judiciaires et administratives |


Bagnères-de-Luchon abrite un peloton de gendarmerie de haute montagne.



Politique environnementale |


Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a renouvelé son attribution de trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[9].



Finances locales |


Cette sous-section présente la situation des finances communales de Bagnères-de-Luchon[Note 1].


Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Bagnères-de-Luchon s'établit à 12 869 000 € en dépenses et 13 301 000 € en recettes[A2 1] :


En 2013, la section de fonctionnement[Note 2] se répartit en 11 589 000 € de charges (4 175 € par habitant) pour 11 851 000 € de produits (4 269 € par habitant), soit un solde de 262 000 € (94 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :



  • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 3] pour une somme de 6 389 000 € (55 %), soit 2 302 € par habitant, ratio supérieur de 556 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (351 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 2 152 € par habitant en 2010 et un maximum de 2 302 € par habitant en 2013 ;

  • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 4] pour une valeur de 5 840 000 € (49 %), soit 2 104 € par habitant, ratio supérieur de 334 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (485 € par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 1 874 € par habitant en 2010 et un maximum de 2 104 € par habitant en 2013.


Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Bagnères-de-Luchon[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :



  • la taxe d'habitation constante 24,76 % ;

  • la taxe foncière sur le bâti égale 27,77 % ;

  • celle sur le non bâti constante 85,92 %.


La section investissement[Note 5] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :



  • des dépenses d'équipement[Note 6] pour une valeur totale de 719 000 € (56 %), soit 259 € par habitant, ratio inférieur de 35 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (396 € par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio diminue de façon continue de 649 € à 259 € par habitant ;

  • des remboursements d'emprunts[Note 7] pour une valeur totale de 529 000 € (41 %), soit 190 € par habitant, ratio supérieur de 129 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (83 € par habitant).


Les ressources en investissement de Bagnères-de-Luchon se répartissent principalement en[A2 4] :




  • nouvelles dettes pour un montant de 200 000 € (14 %), soit 72 € par habitant, ratio inférieur de 19 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (89 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 72 € par habitant en 2013 et un maximum de 553 € par habitant en 2010 ;


  • subventions reçues pour une valeur de 144 000 € (10 %), soit 52 € par habitant, ratio inférieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (72 € par habitant).


L'endettement de Bagnères-de-Luchon au 31 décembre 2013 peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 8], l'annuité de la dette[Note 9] et sa capacité de désendettement[Note 10] :



  • l'encours de la dette pour 4 535 000 €, soit 1 634 € par habitant, ratio supérieur de 95 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (838 € par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio diminue de façon continue de 2 283 € à 1 634 € par habitant[A2 5] ;

  • l'annuité de la dette pour une valeur de 728 000 €, soit 262 € par habitant, ratio supérieur de 130 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (114 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 262 € par habitant en 2013 et un maximum de 830 € par habitant en 2009[A2 5] ;

  • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une valeur de 499 000 €, soit 180 € par habitant, ratio inférieur de 14 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (210 € par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 180 € par habitant en 2013 et un maximum de 646 € par habitant en 2011[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 9 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ 2 années en 2011 et un maximum élevé d'un montant de 22 années en 2001.



Jumelages |


Bagnères-de-Luchon est jumelée avec[10] :




  • Drapeau de l'Angleterre Harrogate (Angleterre) depuis 1952 ;


  • Drapeau de l'Espagne Sitges (Espagne) depuis 1981 ;



Population et société |



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[12].



En 2015, la commune comptait 2 384 habitants[Note 11], en diminution de 8,06 % par rapport à 2010 (Haute-Garonne : +7,35 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 164 1 080 1 396 1 683 2 077 2 385 2 629 2 770 2 770



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 016 3 294 3 921 3 829 4 012 4 256 3 729 3 528 3 720



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 260 3 465 3 415 3 635 3 820 3 884 3 591 4 105 3 666



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015
3 888 4 123 3 484 3 498 3 094 2 900 2 619 2 585 2 384

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)



Histogramme de l'évolution démographique










































Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années :

1968[15]

1975[15]

1982[15]

1990[15]

1999[15]

2006[16]

2009[17]

2013[18]
Rang de la commune dans le département
13
23
27
45
56
71
79
86
Nombre de communes du département
592
582
586
588
588
588
589
589


Voir aussi l'unité urbaine de Bagnères-de-Luchon et l'aire urbaine de Bagnères-de-Luchon.



Enseignement |


Bagnères-de-Luchon est située dans l'académie de Toulouse.



Établissements scolaires |


La ville administre xx[Combien ?]écoles maternelles et xx[Combien ?]écoles élémentaires communales.


Le département gère le collège Jean-Monnet et la région le lycée général Edmond-Rostand. On y trouve plusieurs options :



  • section ski alpin ;

  • section tennis ;

  • académie de gardiens de but ;

  • section européenne.

  • bachi bac


Le lycée professionnel des métiers de la première transformation du bois, situé sur le territoire de la commune voisine de Montauban-de-Luchon, propose les formations suivantes[19] :




  • CAP mécanicien affûteur ;

  • CAP constructeur bois ;


  • Baccalauréat professionnel technicien de scierie ;


  • BTS technico-commercial bois et dérivés (en apprentissage) ;

  • Formation pluriactivité : option ski alpin - Métiers de la montagne ;

  • Formation professionnelle d'agent de soins en thermalisme et thalassothérapie.



Manifestations culturelles et festivités |



Affiche de Jules Chéret pour la fête des Fleurs du 10 août 1890.


Affiche de Jules Chéret pour la fête des Fleurs du 10 août 1890.




  • Festivals de cinéma : le Festival du film de télévision de Luchon.

  • La Fête des Fleurs.

  • Les Rencontres Lyriques de Luchon.


  • Brandon de la Saint-Jean - Classé au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO en 2015.



Santé |




Sports |


Nombreuses stations de ski à proximité : Superbagnères, Peyragudes, Bourg-d'Oueil.


Bagnères-de-Luchon a été une ville-étape et de passage du Tour de France cycliste dans les Pyrénées. Le 6 juillet 1926, Lucien Buysse a remporté l'étape Bayonne-Luchon, dans des conditions climatiques difficiles. Le 15 juillet 1969, Eddy Merckx a gagné l'étape Luchon-Mourenx-Ville-Nouvelle avec près de huit minutes d'avance sur le deuxième, et après cent quarante kilomètres d'échappée en solitaire.


Golf, sentiers de grande randonnée GR 86 GR 10...


Bagnères-de-Luchon abrite la Compagnie des guides de Luchon.




Aérogare de Luchon (juillet 2008).


Aérogare de Luchon, vol possible au dessus des massifs pyrénéens



Médias |



Luchon Mag, un site d'information pour le Pays de Luchon[20].



Cultes |




Économie |



Revenus de la population et fiscalité |




Emploi |




Entreprises et commerces |


Thermalisme (Thermes de Luchon), sports d'hiver (Superbagnères), eaux minérales, tourisme, service ambulancier.



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |




Statue de la vallée du Lys,
à côté des thermes de Luchon,
par Jean-Marie Mengue.



  • Les alignements mégalithiques ont été classés monument historique par liste en 1889[21] de même qu'un cromlech[22].

  • La chapelle Saint-Étienne de Barcugnas dont la porte romane du XIIe siècle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1931[23].

  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est un édifice néoroman construit de 1847 à 1857 sur l'emplacement de l'ancienne église romane. Les peintures murales sont de Romain Cazes[24].

  • Les thermes construits de 1854 à 1858 dont les peintures murales du grand hall ont été inscrites par arrêté du 6 octobre 1977[25].

  • Trois villas du XIXe siècle ont été totalement ou partiellement inscrites. La villa Édouard de style néo-gothique, construite en 1864[26], la villa Pyrène[27], et la villa Santa Maria. La villa Santa Maria (ou Narychkine) construite vers 1840, aux façades néo-palladiennes côté rue a abrité la princesse Narychkine et Alexandre Dumas fils[28].

  • Les toitures et façades des trois chalets Spont, construits entre 1848 et 1855, sont inscrites[29].

  • Il en est de même pour la résidence Charles Tron qui date de 1854[30].

  • Le casino construit entre 1878 et 1880 en brique-pierre dans un style historiciste classique, puis agrandi en 1929 avec ajout du décor Art Déco de la façade antérieure. Le parc est dessiné autour d'une pièce d'eau serpentine avec grotte artificielle. Le parc du casino, ses deux pavillons d'entrée et le pavillon normand ont été inscrits par arrêté du 10 mai 1999[31].

  • Le Château Lafont qui date du XVIIIe siècle est inscrit par arrêté du 2 mars 1927 et son escalier est classé (8 juin 1931)[32]. Il abrite le musée du pays de Luchon.

  • À proximité : des balades dans le massif des Pyrénées (notamment l'Hospice de France, arboretum de Jouéou, la tour à signaux de Castelvielh, la vallée du Lys, etc.).



Patrimoine culturel |




  • Musée de la ville de Luchon Musée du Pays de Luchon.


  • Musée de l'aéronautique Léon-Elissalde (situé à l'aérodrome de Bagnères-de-Luchon).

  • Musée de la Crémaillère au Grand Hôtel de Superbagnères par les Villages Club du Soleil et Alban Leymarie coréalisateur.



Personnalités liées à la commune |




Statue d'Antoine Mégret d'Étigny.




  • Antoine Mégret d'Étigny (1719-1767), intendant de la généralité de Gascogne, Béarn et Navarre. La commune lui a rendu hommage : les allées d'Étigny forment la principale artère de la ville, et une statue à son effigie se trouve devant les Thermes.


  • Nérée Boubée (1806-1862), naturaliste, entomologiste, géologue et enseignant à l'Université de Paris, mort à Luchon.


  • Théodore Gobley (1811-1876), pharmacien et chimiste, membre de l'Académie nationale de médecine, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Stéphen Liégeard (1830-1925), écrivain et poète français, auteur de Vingt journées d'un touriste au pays de Luchon (1874).


  • Auguste Scheurer-Kestner (1833-1899), chimiste et homme politique, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Édouard Broustet, (1836-1901), compositeur et chef d'orchestre, directeur de l'orchestre du casino de Luchon, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Jean-Marie Mengue (1855-1939), sculpteur né à Bagnères-de-Luchon.


  • Henri Gadeau de Kerville (1858-1940), zoologue, botaniste et archéologue, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Henry de Gorsse ou Henri de Gorsse (1868-1936), homme de lettres, dramaturge, scénariste et parolier, né à Luchon.


  • Edmond Rostand (1868-1918), auteur dramatique qui passa à Luchon 22 étés de sa jeunesse et y composa Les Musardises. Dans Cyrano de Bergerac, Acte IV, Scène VI, l'auteur s'est inspiré de la toponymie de la vallée de Luchon, entre autres, pour nommer ses cadets de Gascogne : on y trouve un « Chevalier d’Antignac-Juzet ».


  • Jules Brévié (1880-1964) est un administrateur colonial, gouverneur général de l'Afrique occidentale française (AOF) et de l'Indochine française, ministre, né à Bagnères-de-Luchon.


  • Georges Lucien Guyot (1885-1973), artiste animalier dont l'œuvre l'« Ours des Pyrénées » est au parc des Thermes.


  • Jean Arlaud (1896-1938), médecin et alpiniste.


  • Lys Gauty (1908-1994), chanteuse, reprit la direction du Casino de Luchon en 1950 et y créa le Festival de la Voix.


  • Michel Warlop (1911-1947), violoniste de jazz, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Guy Lapébie (1916-2010), coureur cycliste, mort à Bagnères-de-Luchon.


  • Jean Peyrafitte (1922-2017), maire de Bagnères-de-Luchon de 1974 à 1995, conseiller général du canton de Bagnères-de-Luchon de 1980 à 1992, sénateur de la Haute-Garonne de 1980 à 1998.


  • Alexis Kanner (1942-2003), acteur, né à Bagnères-de-Luchon.


  • Britt Lafforgue et Ingrid Lafforgue, nées en 1948 à Bagnères-de-Luchon, championnes de ski.


  • Olivier Pédémas (1968-), footballeur né à Bagnères-de-Luchon.


  • Sylvia Cazeneuve, artiste lyrique, directrice artistique des Rencontres lyriques de Luchon.



Héraldique, logotype et devise |







Armes de Bagnères-de-Luchon


Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :


d'or à la montagne de sable mouvant du flanc dextre d'où jaillit un jet d'eau d'argent dans une baignoire d'azur, le tout posé sur une terrasse aussi de sable ; au chef parti au premier de gueules chargé de quatre otelles d'argent posées en sautoir et au second d'azur à l'autel votif d'argent chargé sur le dé des inscriptions ILIXIONI DEO V.S.L.M. en lettres capitales romaines de sable.





Symbolique


Le champ de l'écu symbolise les sources thermales qui jaillissent du pied des montagnes des Pyrénées.
Le premier quartier du chef est aux armes de Comminges, quant à la stèle, elle atteste de l'origine gallo-romaine des bains dont Ilixo était le dieu tutélaire.
Les ornements extérieurs représentaient une pomme de pin vers 1880 qui fut remplacée depuis 1907 par deux isards.


La devise : BALNEUM LIXONENSE POST NEAPOLITENSE PRIMUM. (Les premiers bains après ceux de Naples) - indique la renommée des bains de Luchon.



Pour approfondir |


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Bibliographie |




  • Nérée Boubée, Promenade de Bagnères au lac d’Oô. Réédition de 2009, Éditions Aux pages d'antan, 88 p.

  • Anne Dupic, Économie et démographie dans la commune de Bagnères-de-Luchon, 1815-1870, mém. de maitrise, Université Toulouse II, 1976 (relève notamment la difficulté de mesurer l'impact réel du développement du tourisme pour la population autochtone).

  • Philippe Francastel, Luchon et ses vallées, Éditions Privat, 1999 (ISBN 2-7089-9123-X) (épuisé)

  • Philippe Francastel, Le Pays de Luchon - poésie et lumière, Atlantica, 2004 (ISBN 2-84394-711-1)

  • Jean-Bernard Frappé, Autrefois Bagnères de Luchon, 2 tomes, Atlantica, 2001 (ISBN 2-84394-432-5)


  • Henri Gadeau de Kerville, Autour du canton de Bagnères-de-Luchon (France et Espagne), Toulouse, Privat, 1928


  • Henri Gadeau de Kerville, Bagnères-de-Luchon et son canton (Haute-Garonne), Toulouse, Édouard Privat, 1925 ; Lorisse, 2003 (ISBN 9782843733543)

  • Alban et André Leymarie, Le Chemin de fer à crémaillère de Luchon à Superbagnères, 1912- 1966, Éditions Lacour-Olle, 2006 (ISBN 2-7504-0702-8)

  • Henri Pac, Luchon et son passé, Éditions Privat, 1984 (ISBN 2-7089-2385-4)

  • Anne Samson, Thermes tragiques, (ISBN 2-9501-3090-9) (un roman policier se déroulant à Luchon)

  • Patrick Turlan, Bagnères-de-Luchon à la Belle époque. Pau, imprimerie Ipadour, 1999, 63 pp., [nombreuses reproductions de cartes postales anciennes de Luchon.], Préface de Henri Dénard (conseiller général du canton de Luchon).

  • Patrick Turlan, La fête des fleurs de Bagnères-de-Luchon à la Belle époque. Pau, imprimerie Ipadour, 1999, 32 pp., [nombreuses reproductions de cartes postales anciennes de Luchon. Histoire des Guides...], Préface de Jean Peyrafitte (ancien sénateur-maire de Luchon).

  • Ernest Philippe Lambron, Les Pyrénées et les eaux thermales sulfurées de Bagnères-de-Luchon, Paris, N. Chaix, 1863-1864, 1152 p. (lire en ligne)



Articles connexes |



  • Luchonnais

  • Liste des stations thermales françaises

  • Liste des communes de la Haute-Garonne



Liens externes |



  • Site de la mairie

  • Site de l'office de tourisme



Notes et références |



Notes |




  1. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances.
    Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal.
    Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Bagnères-de-Luchon.
    Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.



  2. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.


  3. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.


  4. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.


  5. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.


  6. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.


  7. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.


  8. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au 31 décembre de l'année considérée


  9. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année


  10. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Bagnères-de-Luchon.


  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.



Références |


Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes :




  1. a et b
    « Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : chiffres clés » (consulté le 13 août 2015).




  2. « Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : opérations de fonctionnement » (consulté le 13 août 2015).



  3. a et b
    « Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : fiche détaillée » (consulté le 13 août 2015).



  4. a et b« Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : opérations d'investissement » (consulté le 13 août 2015).


  5. a et b
    « Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : endettement » (consulté le 13 août 2015).




  6. « Les comptes des communes - Bagnères-de-Luchon : autofinancement » (consulté le 13 août 2015).



Autres références :




  1. Carte IGN sous Géoportail


  2. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le 12 janvier 2018)


  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].


  4. Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften, Corpus Inscriptionum Latinarum, vol. XIII : Inscriptiones trium Galliarum et Germaniarum Latinae, Berlin, Theodor Mommsen, Otto Hirschfeld, Alfred von Domaszewski, 1889-1907 (ISBN 3-11-001408-4, OCLC 490529984, lire en ligne), p. 345, 347.


  5. a et b(es) Joaquín Gorrochategui Churruca, Estudio sobre la onomástica indígena de Aquitania, Bilbao, Euskal Herriko Unibertsitatea, 1984, 384 p. (ISBN 84-7585-013-8, OCLC 14272684), p. 333.


  6. Histoire des thermes de Bagnères-de-Luchon.


  7. Michel Morvan, Noms de lieux du Pays basque et de Gascogne, Paris, Bonneton, 2004, 231 p. (ISBN 978-2-86253-334-6), p. 127.


  8. Luchon, onglet « Découvrir Luchon », « Historique de la ville », consulté le 14 septembre 2017.


  9. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.


  10. Annuaire des villes jumelées sur le site de l'Association française du conseil des communes et régions d'Europe, consulté le 7 juillet, 2013.


  11. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  12. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.


  15. a b c d et eINSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, 15 octobre 2015(consulté le 10 janvier 2016)


  16. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2009(consulté le 8 janvier 2016)


  17. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2012(consulté le 8 janvier 2016)


  18. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2016(consulté le 8 janvier 2016)


  19. http://pedagogie.ac-toulouse.fr/lp-bois-montauban-luchon


  20. Luchon Mag


  21. « Alignements », notice no PA00094275, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  22. « Cromlech », notice no PA00094278, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  23. « Chapelle Saint-Étienne », notice no PA00094276, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  24. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA00094279, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  25. « Thermes Chambert », notice no PA00094281, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  26. « Villa Édouard », notice no PA31000060, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  27. « Villa Pyrène », notice no PA31000061, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  28. « Villa Santa Maria ou Narychkine », notice no PA31000077, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  29. « Chalets Spont », notice no PA00125564, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  30. « Résidence Charles Tron », notice no PA00094280, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  31. « Casino », notice no PA31000035, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.


  32. « Château Lafont », notice no PA00094277, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 18 juin 2010.




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