Coupe de France de football
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Sport | Football |
---|---|
Création | 1917 |
Autre(s) nom(s) | Coupe Charles-Simon (1917-1919) |
Organisateur(s) | CFI (1917-1919) FFF (depuis 1919) |
Éditions | 101 (en 2017-2018) |
Périodicité | Annuelle |
Nations | France |
Statut des participants | Amateur et professionnel |
Site web officiel | fff.fr |
Tenant du titre | Paris Saint-Germain |
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Plus titré(s) | Paris Saint-Germain (12) |
pour la compétition en cours voir :
Coupe de France de football 2018-2019
La Coupe de France de football est une compétition de football à élimination directe organisée par la Fédération française de football (FFF), ouverte aux clubs amateurs et professionnels qui lui sont affiliés.
La Coupe de France offre à son vainqueur une place pour la phase de groupe de la Ligue Europa suivante. Si le vainqueur vient à se qualifier pour la Ligue des champions, cette place qualificative est attribuée selon le classement de la Ligue 1.
La compétition est répartie en treize tours plus une finale où chaque division entre une à une en jeu[1].
La finale se déroule au Stade de France à Saint-Denis depuis 1998. Auparavant, la finale se tenait généralement au Parc des Princes à Paris ou au Stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes.
L'organisation de la compétition, prévoyant un tirage au sort intégral et une inversion des deux équipes tirées en cas d'écart important entre les divisions des deux équipes, permet d'enregistrer chaque année de nombreuses « surprises » signées par des clubs amateurs, car l'inversion leur permet de jouer à domicile.
Le club le plus titré est le Paris Saint-Germain avec douze trophées.
Sommaire
1 Histoire
2 Déroulement de la compétition
3 Palmarès
3.1 Palmarès par édition
3.2 Palmarès par club
4 Statistiques
5 Notes et références
6 Bibliographie
7 Voir aussi
Histoire |
La Coupe de France est créée le 15 janvier 1917[2] par le Comité français interfédéral (ancêtre de la Fédération française de football) en mémoire de Charles Simon, fondateur dudit comité tombé au champ d'honneur dès 1915. Elle prend alors le nom de Coupe Charles Simon[3], pour des raisons politiques[4]. C'est le secrétaire général Henri Delaunay qui donne l'impulsion décisive à cette création[5]. Le trophée est créé en 1917 par un ouvrier joaillier de Ménilmontant, M. Chovillon[3].
À l'image de l'Union sacrée, alors de mise durant la Première Guerre mondiale, cette compétition est ouverte à tous les clubs membre des quatre fédérations régissant alors le football en France[6]. Cette ouverture fait une partie du charme de l'épreuve qui rassemble 48 clubs à sa première édition en 1917, plus de 1 000 en 1949 et plus de 7 000 en 2013[7]. De fait, les exigences pour participer à l'épreuve sont minimalistes : être licencié à la fédération, payer les droits d'inscription de l'épreuve et disposer d'un terrain homologué. C'est ce dernier point qui pose problème aux deux tiers des clubs français, non-inscrits. Les « grands clubs » tentent, dès les années 1920, de limiter l'accès à l'épreuve à une élite élargie comme pour le modèle anglais mais la fédération reste inflexible[8]. L'inflation du nombre d'inscrits oblige l'organisation à mettre en place des tours préliminaires avant les trente-deuxièmes de finale. Un premier tour préliminaire est ajouté lors de l'édition 1919-1920 puis un deuxième en édition 1920-1921. Actuellement il y a 8 tours préliminaires avant les trente-deuxièmes de finale et même un tour préliminaire supplémentaire dans certaines ligues (en région parisienne notamment) qui se dispute généralement un mois avant la finale de l'édition précédente.
Le président de la République remet traditionnellement le trophée au capitaine vainqueur. C'est Gaston Doumergue qui inaugure cette tradition[9] - que tous les présidents suivants s'attacheront à suivre[10] - le 8 mai 1927, la remettant au capitaine marseillais Ernest Clère. L'image de Charles de Gaulle lors de la finale de 1967 au Parc des Princes renvoyant le ballon depuis la tribune où il avait été dégagé est restée célèbre[9]. Le président François Mitterrand sera présent lors des 14 éditions s'étant déroulé sous son mandat, record de présence d'un président en fonction[9]. En 2002, lors de la finale opposant Lorient à Bastia, le président Jacques Chirac quitte provisoirement la tribune : des supporters bastiais ayant sifflé La Marseillaise[9].
Ce trophée est conservé une année par le club vainqueur puis revient à la Fédération pour une petite restauration avant d'être remis en jeu. La Coupe est volée une fois, en 1979, après la première victoire nantaise, mais elle est rapidement retrouvée.
À l'origine, les matchs de Coupe de France se jouent sur terrain neutre avec match à rejouer en cas d'égalité. C'est la règle jusqu'en 1968 et l'introduction des matchs en aller-retour sur le modèle de la Coupe des clubs champions européens[11]. Les trente-deuxièmes de finale se jouent toujours sur terrain neutre mais à partir des seizièmes de finale on joue en aller-retour, formule moins propice aux surprises. Paradoxalement trois clubs amateurs parviennent à se hisser en quarts de finale lors de l'édition 1968-1969, une première depuis l'instauration du professionnalisme en 1932.
Une nouvelle réforme a lieu en 1989 avec l'abandon de la formule en aller-retour, ce qui permet d'alléger le calendrier. On joue alors les matchs sur le terrain du club tiré au sort le premier lors du tirage. Afin de protéger les clubs hiérarchiquement plus faibles, on joue systématiquement sur le terrain d'un club se situant à au moins deux niveaux en dessous de son adversaire. On assiste alors à une multiplication des « surprises ».
Jusqu'en 1967, en cas d'égalité il n'y a ni prolongations ni tirs au but, les matchs étant rejoués voire tirés au sort après trois matchs nuls. Cette règle du tirage au sort après trois matchs nuls a été instaurée en 1964 à la suite du marathon qui oppose le Racing Club Agathois et l'AS Pierrots Vauban : quatre matchs pour départager ces deux formations. Le 10 mai 1967 après trois matchs nuls en demi-finales, l'Olympique lyonnais et l'AS Angoulême sont départagés à la pièce pour accéder en finale (l'OL remporte le pile ou face)[12]. Avec l'instauration de la formule en aller-retour, un match d'appui est instauré pour départager deux formations à égalité. Dès les seizièmes de finale de l'édition 1968-1969, le cas se présente avec les oppositions Évreux AC - RC Bollène et Stade saint-germanois - Étoile sportive La Ciotat. Les séries de tirs au but sont introduites en 1970. En trente-deuxièmes de finale de l'édition 1970-1971, le Red Star et le RC Strasbourg se qualifient aux tirs au but à l'issue du match à rejouer. La règle du match à rejouer en cas d'égalité reste en application jusqu'en 1975 mais ne concerne plus que les trente-deuxièmes de finale car les autres tours se jouent en aller-retour.
Traditionnellement, les finales de la Coupe de France se disputent à Paris ou dans sa banlieue. Depuis 1918, sept enceintes parisiennes ont accueilli au moins une finale : Stade de la Rue Olivier-de-Serres, Parc des Princes (dans ses trois configurations), Stade Bergeyre et Stade Pershing à Paris, Stade olympique Yves-du-Manoir à Colombes, Stade Bauer à Saint-Ouen et Stade de France à Saint-Denis. Là aussi, le principe du match à rejouer en cas d'égalité reste longtemps la règle. La première finale disputée sans possibilité de match à rejouer est celle de 1982 en raison de la tenue de la Coupe du monde 1982 quelques jours plus tard. Cette finale ne délivre pas de vainqueur après 120 minutes de jeu et une série de tirs au but désigne le vainqueur. À titre exceptionnel, les demi-finales de cette édition ont même été jouées sur un seul match et sur terrain neutre afin d'alléger le calendrier[13]. Dès la saison suivante la coupe retrouve sa formule normale avec possibilité de matchs aller-retour en demi-finales et possibilité de match à rejouer en finale. La possibilité de finale à rejouer est définitivement abandonnée en 1986, le match s'achevant désormais par une série de tirs au but.
Les rencontres opposant les professionnels et les amateurs produisent régulièrement des surprises mettant alors en lumière un petit club, surnommé « Petit Poucet » ou « Cendrillon » de la Coupe de France. Lorsque cette situation se présente, on parle souvent de la « magie de la coupe » pour qualifier le fait que des équipes de divisions inférieures parviennent sur un match à mettre en difficulté des équipes théoriquement supérieures. Ainsi, le 4 février 1957, le club algérien du SCU El Biar élimine le Stade de Reims, finaliste de la précédente coupe des clubs champions européens[14]. D'autres formations amateures ont éliminé des équipes professionnelles, parmi lesquelles l'US Quevilly qui est finaliste en 1927, puis victorieux en huitième de finale de l'Olympique lyonnais en 1968 avant d'enchaîner deux séries mémorables en trois ans : en 2010 face au Angers SCO, au Stade rennais et à l'US Boulogne avant de perdre en demi-finale 1-0 contre le Paris Saint-Germain; puis en 2012 face au Angers SCO, à l'Olympique de Marseille et au Stade rennais avant d'échouer 1-0 contre l'Olympique lyonnais en finale.
Cependant depuis les débuts de la Coupe de France, seuls Le Havre AC (Ligue 2) en 1959 et l'En Avant de Guingamp (Ligue 2) en 2009 l'ont gagnée en étant pensionnaires d'une division inférieure.
De son côté, la Ligue de football professionnel se dote d'une coupe : la Coupe de la Ligue, réservée aux seuls clubs professionnels. Ces derniers participent toujours à la Coupe de France, beaucoup moins dotée que sa concurrente mais beaucoup plus prestigieuse. Le fait de voir des amateurs affronter des professionnels conduit « mécaniquement » l'opinion publique à prendre la plupart du temps fait et cause pour les amateurs lors de ces matchs, comme ce fut le cas lors de l'épopée du Calais RUFC en 2000. Guy Lacombe, entraîneur du club professionnel de l'AS Monaco, s'est énervé publiquement de cette logique en 2011 après l'élimination de son équipe par le Stade olympique de Chambéry en 32e de finale (aux tirs au but), match où son équipe s'est vu refuser deux buts selon lui valables. Il a notamment qualifié la compétition de « dérive populiste », estimant qu'« il fallait que les petits passent car les médias sont là ».
La Coupe de France assure aujourd'hui à son vainqueur une qualification directe pour l'édition suivante de la Ligue Europa. Un temps évoquée avec l'élection de Michel Platini à la tête de l'UEFA, l'option d'autoriser les vainqueurs des coupes nationales à intégrer la Ligue des champions de l'UEFA formulée au cours de l'année 2007 est abandonnée.
Traditionnellement la finale de la Coupe Gambardella, qui est l'équivalent de la Coupe de France pour les moins de 19 ans, se joue en lever de rideau de la finale de celle-ci.
Le 30 janvier 2014, la Fédération française de football conclut un accord de 16,5 millions d'euros par saison pendant quatre ans avec France Télévisions et Eurosport pour la diffusion de la compétition[15]. La finale de la Coupe de France est codiffusée par les deux chaînes.
Depuis juillet 2013, le président de la Commission fédérale de la Coupe de France est Willy Sagnol ; il succède à Jean Djorkaeff, qui a présidé la commission durant treize ans.
Déroulement de la compétition |
La compétition est répartie en treize tours plus une finale où chaque division entre une à une en jeu[1].
- Ainsi les clubs évoluant en districts départementaux ou en ligue régionale entrent lors du premier ou deuxième tour.
- Les clubs de National 3 entrent en compétition au troisième tour.
- Les clubs de National 2 entrent en compétition au quatrième tour.
- Les clubs de National entrent en compétition au cinquième tour.
Ces six premiers tours sont organisés par les ligues régionales. Chaque ligue dispose d'un nombre de qualifiés, stable depuis plusieurs années, définis en fonction du nombre de clubs engagés et du nombre d'équipes participant à des compétitions nationales. En fonction de cette répartition, elles gèrent l'organisation des six premiers tours (parfois avec un tour préliminaire).
À titre indicatif voici le nombre de clubs par ligue autorisés à prendre part au septième tour pour la Coupe de France (depuis l'édition 2017-2018) :
Auvergne-Rhône-Alpes : 19
Bourgogne-Franche-Comté : 7
Bretagne : 14
Centre-Val de Loire : 4
Corse : 2
Grand-Est : 21
Hauts-de-France : 20
Méditerranée : 5
Normandie : 8
Nouvelle-Aquitaine : 12
Occitanie : 11
Paris Île-de-France : 11
Pays de la Loire : 11
Guadeloupe : 2
Guyane : 2
Martinique : 2
Mayotte : 1
Réunion : 2
Nouvelle-Calédonie : 1
Tahiti : 1
- Les clubs de Ligue 2 et d'outre-mer entrent en compétition au septième tour.
- Les clubs de Ligue 1 ainsi que le club participant à la Ligue Europa au titre de la Coupe de France, s'il n'évolue pas en Ligue 1, entrent en compétition au neuvième tour (trente-deuxièmes de finale).
Ce dernier cas s'est produit en 2009-2010 où l'EA Guingamp, tenant du titre de la compétition et évoluant en seconde division, a été automatiquement qualifié pour les 1/32e. À noter que lors de l'édition 2000-2001, le finaliste héroïque de quatrième division, le Calais RUFC avait été invité par la fédération à entrer directement en 1/32e de finale au lieu du 4e tour. Cette invitation était pourtant en contradiction avec le règlement, aucun article ne prévoyant la possibilité pour ce club de ne pas débuter avec les autres équipes de CFA.
Les inversions de match comparée au tirage au sort ont lieu dès le 7e tour seulement s'il y a deux divisions d'écarts entre les deux clubs[16], ce qui permet à la plus petite équipe de recevoir les équipes évoluant dans de meilleures divisions. À noter qu'entre 1995 et 1999, la FFF avait mis en place le principe carton bleu, qui récompensait le fair-play. Des points étaient attribué à chaque club en fonction, du nombre de carton reçu, du comportement du public… À chaque tirage au sort, le club ayant le plus de point était bénéficiaire du carton bleu et assuré de recevoir (même avec plus de deux divisions d’écart)[17].
Pour les trente-deuxièmes de finale, les équipes encore en lice sont réparties en groupes, puis à compter des seizièmes de finale le tirage au sort devient intégral.
Les matchs se jouent en un aller simple à élimination directe où une équipe est éliminée lorsqu'elle perd un match. En cas d'égalité à l'issue du temps réglementaire (deux fois quarante-cinq minutes), le match se poursuit avec une prolongation de deux fois quinze minutes. Si l'égalité persiste, une séance de tirs au but a lieu.
Dans le cas des six premiers tours organisés par les ligues régionales, si, par suite de l’obscurité, de la pluie, de la neige, du gel, du brouillard et, en général, de toute intempérie, l’épreuve de tirs au but ne pouvait se dérouler, le club de la série inférieure ou, si les deux clubs appartiennent à la même série, le club visiteur est qualifié (est considéré comme club visiteur le club désigné initialement par la Commission, quel que soit le lieu de la rencontre)[1].
Palmarès |
Palmarès par édition |
N° | Édition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Affluence[18],[19] |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 1918 | Olympique | 3 - 0 | FC Lyon | Stade de la Légion Saint-Michel | 2 000 |
2 | 1919 | CA Sports généraux | 3 - 2 a.p. | Olympique | Parc des Princes | 10 000 |
3 | 1920 | CA Paris | 2 - 1 | Le Havre AC | Stade Bergeyre | 7 000 |
4 | 1921 | Red Star AC | 2 - 1 | Olympique | Stade Pershing | 18 000 |
5 | 1922 | Red Star AC (2) | 2 - 0 | Stade rennais UC | 25 000 | |
6 | 1923 | Red Star AC (3) | 4 - 2 | FC Sète | 20 000 | |
7 | 1924 | Olympique de Marseille | 3 - 2 a.p. | FC Sète | 20 000 | |
8 | 1925 | CA Sports généraux (2) | 1 - 1 a.p. rejoué : 3 - 2 | FC Rouen | Stade olympique Yves-du-Manoir | 20 000 18 000 |
9 | 1926 | Olympique de Marseille (2) | 4 - 1 | AS Valentigney | 30 000 | |
10 | 1927 | Olympique de Marseille (3) | 3 - 0 | US Quevilly | 23 800 | |
11 | 1928 | Red Star Olympique (4) | 3 - 1 | CA Paris | 30 000 | |
12 | 1929 | SO montpelliérain | 2 - 0 | FC Sète | 25 000 | |
13 | 1930 | FC Sète | 3 - 1 a.p. | RC France | 35 000 | |
14 | 1931 | Club français | 3 - 0 | SO montpelliérain | 30 000 | |
15 | 1932 | AS Cannes | 1 - 0 | RC Roubaix | 36 143 | |
16 | 1933 | Excelsior AC | 3 - 1 | RC Roubaix | 38 000 | |
17 | 1934 | FC Sète (2) | 2 - 1 | Olympique de Marseille | 40 600 | |
18 | 1935 | Olympique de Marseille (4) | 3 - 0 | Stade rennais UC | 40 008 | |
19 | 1936 | RC Paris | 1 - 0 | FCO Charleville | 39 725 | |
20 | 1937 | FC Sochaux-Montbéliard | 2 - 1 | RC Strasbourg | 39 538 | |
21 | 1938 | Olympique de Marseille (5) | 2 - 1 a.p. | FC Metz | Parc des Princes | 33 044 |
22 | 1939 | RC Paris (2) | 3 - 1 | Olympique lillois | Stade olympique Yves-du-Manoir | 52 431 |
23 | 1940 | RC Paris (3) | 2 - 1 | Olympique de Marseille | Parc des Princes | 25 969 |
24 | 1941 | Girondins AS Port | 2 - 0 | SC Fives | Stade Bauer | 15 230 |
25 | 1942 | Red Star Olympique (5) | 2 - 0 | FC Sète | Stade olympique Yves-du-Manoir | 44 654 |
26 | 1943 | Olympique de Marseille (6) | 2 - 2 a.p. rejoué : 4 - 0 | Girondins AS Port | 32 005 32 212 | |
27 | 1944 | É.F. Nancy-Lorraine | 4 - 0 | É.F. Reims-Champagne | Parc des Princes | 31 995 |
28 | 1945 | RC Paris (4) | 3 - 0 | LOSC Lille | Stade olympique Yves-du-Manoir | 49 983 |
29 | 1946 | LOSC Lille | 4 - 2 | Red Star Olympique | 59 692 | |
30 | 1947 | LOSC Lille (2) | 2 - 0 | RC Strasbourg | 59 852 | |
31 | 1948 | LOSC Lille (3) | 3 - 2 | RC Lens | 60 739 | |
32 | 1949 | RC Paris (5) | 5 - 2 | LOSC Lille | 61 473 | |
33 | 1950 | Stade de Reims | 2 - 0 | RC Paris | 61 722 | |
34 | 1951 | RC Strasbourg | 3 - 0 | US Valenciennes | 61 492 | |
35 | 1952 | OGC Nice | 5 - 3 | Girondins de Bordeaux | 61 485 | |
36 | 1953 | LOSC Lille (4) | 2 - 1 | FC Nancy | 58 993 | |
37 | 1954 | OGC Nice (2) | 2 - 1 | Olympique de Marseille | 56 803 | |
38 | 1955 | LOSC Lille (5) | 5 - 2 | Girondins de Bordeaux | 49 411 | |
39 | 1956 | UA Sedan-Torcy | 3 - 1 | AS Troyes-Savinienne | 47 258 | |
40 | 1957 | Toulouse FC | 6 - 3 | Angers SCO | 43 125 | |
41 | 1958 | Stade de Reims (2) | 3 - 1 | Nîmes Olympique | 56 523 | |
42 | 1959 | Le Havre AC | 2 - 2 a.p. rejoué : 3 - 0 | FC Sochaux-Montbéliard | 50 778 36 655 | |
43 | 1960 | AS Monaco | 4 - 2 a.p. | AS Saint-Étienne | 38 298 | |
44 | 1961 | UA Sedan-Torcy (2) | 3 - 1 | Nîmes Olympique | 39 070 | |
45 | 1962 | AS Saint-Étienne | 1 - 0 | FC Nancy | 30 654 | |
46 | 1963 | AS Monaco (2) | 0 - 0 a.p. rejoué : 2 - 0 | Olympique lyonnais | 32 923 24 910 | |
47 | 1964 | Olympique lyonnais | 2 - 0 | Girondins de Bordeaux | 32 777 | |
48 | 1965 | Stade rennais UC | 2 - 2 a.p. rejoué : 3 - 1 | UA Sedan-Torcy | Parc des Princes | 36 789 26 792 |
49 | 1966 | RC Strasbourg (2) | 1 - 0 | FC Nantes | 36 285 | |
50 | 1967 | Olympique lyonnais (2) | 3 - 1 | FC Sochaux-Montbéliard | 32 523 | |
51 | 1968 | AS Saint-Étienne (2) | 2 - 1 | Girondins de Bordeaux | Stade olympique Yves-du-Manoir | 33 959 |
52 | 1969 | Olympique de Marseille (7) | 2 - 0 | Girondins de Bordeaux | 39 460 | |
53 | 1970 | AS Saint-Étienne (3) | 5 - 0 | FC Nantes | 32 894 | |
54 | 1971 | Stade rennais UC (2) | 1 - 0 | Olympique lyonnais | 46 801 | |
55 | 1972 | Olympique de Marseille (8) | 2 - 1 | SEC Bastia | Parc des Princes | 44 069 |
56 | 1973 | Olympique lyonnais (3) | 2 - 1 | FC Nantes | 45 734 | |
57 | 1974 | AS Saint-Étienne (4) | 2 - 1 | AS Monaco | 45 813 | |
58 | 1975 | AS Saint-Étienne (5) | 2 - 0 | RC Lens | 44 725 | |
59 | 1976 | Olympique de Marseille (9) | 2 - 0 | Olympique lyonnais | 45 661 | |
60 | 1977 | AS Saint-Étienne (6) | 2 - 1 | Stade de Reims | 45 454 | |
61 | 1978 | AS Nancy-Lorraine | 1 - 0 | OGC Nice | 45 998 | |
62 | 1979 | FC Nantes | 4 - 1 a.p. | AJ Auxerre | 46 070 | |
63 | 1980 | AS Monaco (3) | 3 - 1 | US Orléans | 46 136 | |
64 | 1981 | SEC Bastia | 2 - 1 | AS Saint-Étienne | 46 155 | |
65 | 1982 | Paris Saint-Germain | 2 - 2 a.p. (6 - 5 t.a.b) | AS Saint-Étienne | 46 160 | |
66 | 1983 | Paris Saint-Germain (2) | 3 - 2 | FC Nantes | 46 203 | |
67 | 1984 | FC Metz | 2 - 0 a.p. | AS Monaco | 45 384 | |
68 | 1985 | AS Monaco (4) | 1 - 0 | Paris Saint-Germain | 45 711 | |
69 | 1986 | Girondins de Bordeaux (2) | 2 - 1 a.p. | Olympique de Marseille | 45 429 | |
70 | 1987 | Girondins de Bordeaux (3) | 2 - 0 | Olympique de Marseille | 45 145 | |
71 | 1988 | FC Metz (2) | 1 - 1 a.p. (5 - 4 t.a.b) | FC Sochaux-Montbéliard | 44 531 | |
72 | 1989 | Olympique de Marseille (10) | 4 - 3 | AS Monaco | 44 448 | |
73 | 1990 | Montpellier HSC (2) | 2 - 1 a.p. | RC Paris | 44 067 | |
74 | 1991 | AS Monaco (5) | 1 - 0 | Olympique de Marseille | 44 123 | |
75 | 1992 | La finale fut annulée en raison du drame de Furiani | ||||
76 | 1993 | Paris Saint-Germain (3) | 3 - 0 | FC Nantes | Parc des Princes | 48 789 |
77 | 1994 | AJ Auxerre | 3 - 0 | Montpellier HSC | 45 189 | |
78 | 1995 | Paris Saint-Germain (4) | 1 - 0 | RC Strasbourg | 46 698 | |
79 | 1996 | AJ Auxerre (2) | 2 - 1 | Nîmes Olympique | 44 921 | |
80 | 1997 | OGC Nice (3) | 1 - 1 a.p. (4 - 3 t.a.b) | En Avant de Guingamp | 44 131 | |
81 | 1998 | Paris Saint-Germain (5) | 2 - 1 | RC Lens | Stade de France | 76 766 |
82 | 1999 | FC Nantes (2) | 1 - 0 | CS Sedan Ardennes | 78 610 | |
83 | 2000 | FC Nantes (3) | 2 - 1 | Calais RUFC | 78 717 | |
84 | 2001 | RC Strasbourg (3) | 0 - 0 a.p. (5 - 4 t.a.b) | Amiens SC | 78 641 | |
85 | 2002 | FC Lorient | 1 - 0 | SC Bastia | 66 215 | |
86 | 2003 | AJ Auxerre (3) | 2 - 1 | Paris Saint-Germain | 78 316 | |
87 | 2004 | Paris Saint-Germain (6) | 1 - 0 | LB Châteauroux | 78 853 | |
88 | 2005 | AJ Auxerre (4) | 2 - 1 | CS Sedan Ardennes | 77 617 | |
89 | 2006 | Paris Saint-Germain (7) | 2 - 1 | Olympique de Marseille | 79 065 | |
90 | 2007 | FC Sochaux-Montbéliard (2) | 2 - 2 a.p. (5 - 4 t.a.b) | Olympique de Marseille | 79 797 | |
91 | 2008 | Olympique lyonnais (4) | 1 - 0 a.p. | Paris Saint-Germain | 79 087 | |
92 | 2009 | En Avant de Guingamp | 2 - 1 | Stade rennais | 80 056 | |
93 | 2010 | Paris Saint-Germain (8) | 1 - 0 a.p. | AS Monaco | 72 011 | |
94 | 2011 | LOSC Lille (6) | 1 - 0 | Paris Saint-Germain | 78 023 | |
95 | 2012 | Olympique lyonnais (5) | 1 - 0 | US Quevilly | 76 183 | |
96 | 2013 | Girondins de Bordeaux (4) | 3 - 2 | Évian Thonon Gaillard | 72 682 | |
97 | 2014 | En Avant de Guingamp (2) | 2 - 0 | Stade rennais | 77 619 | |
98 | 2015 | Paris Saint-Germain (9) | 1 - 0 | AJ Auxerre | 77 542 | |
99 | 2016 | Paris Saint-Germain (10) | 4 - 2 | Olympique de Marseille | 78 179 | |
100 | 2017 | Paris Saint-Germain (11) | 1 - 0 | Angers SCO | 78 000 | |
101 | 2018 | Paris Saint-Germain (12) | 2 - 0 | Vendée Les Herbiers | 73 772 | |
102 | 2019 | - |
Palmarès par club |
Rang | Clubs | Titres (éditions) | Finales perdues (éditions) |
---|---|---|---|
1 | Paris Saint-Germain | 12 (1982, 1983, 1993, 1995, 1998, 2004, 2006, 2010, 2015, 2016, 2017, 2018) | 4 (1985, 2003, 2008, 2011) |
2 | Olympique de Marseille | 10 (1924, 1926, 1927, 1935, 1938, 1943, 1969, 1972, 1976, 1989) | 9 (1934, 1940, 1954, 1986, 1987, 1991, 2006, 2007, 2016) |
3 | AS Saint-Étienne | 6 (1962, 1968, 1970, 1974, 1975, 1977) | 3 (1960, 1981, 1982) |
4 | LOSC Lille | 6 (1946, 1947, 1948, 1953, 1955, 2011) | 2 (1945, 1949) |
5 | AS Monaco | 5 (1960, 1963, 1980, 1985, 1991) | 4 (1974, 1984, 1989, 2010) |
6 | RC Paris | 5 (1936, 1939, 1940, 1945, 1949) | 3 (1930, 1950, 1990) |
Olympique lyonnais | 5 (1964, 1967, 1973, 2008, 2012) | 3 (1963, 1971, 1976) | |
8 | Red Star | 5 (1921, 1922, 1923, 1928, 1942) | 1 (1946) |
9 | Girondins de Bordeaux | 4 (1941, 1986, 1987, 2013) | 6 (1943, 1952, 1955, 1964, 1968, 1969) |
10 | AJ Auxerre | 4 (1994, 1996, 2003, 2005) | 2 (1979, 2015) |
11 | FC Nantes | 3 (1979, 1999, 2000) | 5 (1966, 1970, 1973, 1983, 1993) |
12 | RC Strasbourg | 3 (1951, 1966, 2001) | 3 (1937, 1947, 1995) |
13 | OGC Nice | 3 (1952, 1954, 1997) | 1 (1978) |
14 | FC Sète | 2 (1930, 1934) | 4 (1923, 1924, 1929, 1942) |
Stade rennais FC | 2 (1965, 1971) | 4 (1922, 1935, 2009, 2014) | |
16 | CS Sedan Ardennes | 2 (1956, 1961) | 3 (1965, 1999, 2005) |
FC Sochaux-Montbéliard | 2 (1937, 2007) | 3 (1959, 1967, 1988) | |
18 | Montpellier HSC | 2 (1929, 1990) | 2 (1931, 1994) |
19 | Stade de Reims | 2 (1950, 1958) | 1 (1977) |
FC Metz | 2 (1984, 1988) | 1 (1938) | |
En Avant de Guingamp | 2 (2009, 2014) | 1 (1997) | |
22 | CA Sports généraux | 2 (1919, 1925) | 0 |
23 | Olympique de Paris | 1 (1918) | 2 (1919, 1921) |
SC Bastia | 1 (1981) | 2 (1972, 2002) | |
25 | CA Paris | 1 (1920) | 1 (1928) |
Le Havre AC | 1 (1959) | 1 (1920) | |
27 | Club français | 1 (1931) | 0 |
AS Cannes | 1 (1932) | 0 | |
EAC Roubaix | 1 (1933) | 0 | |
ÉF Nancy-Lorraine | 1 (1944) | 0 | |
Toulouse FC | 1 (1957) | 0 | |
AS Nancy-Lorraine | 1 (1978) | 0 | |
FC Lorient | 1 (2002) | 0 | |
34 | Nîmes Olympique | 0 | 3 (1958, 1961, 1996) |
RC Lens | 0 | 3 (1949, 1975, 1998) | |
36 | RC Roubaix | 0 | 2 (1932, 1933) |
FC Nancy | 0 | 2 (1953, 1962) | |
US Quevilly | 0 | 2 (1927, 2012) | |
Angers SCO | 0 | 2 (1957, 2017) | |
40 | FC Lyon | 0 | 1 (1918) |
FC Rouen | 0 | 1 (1925) | |
AS Valentigney | 0 | 1 (1926) | |
FCO Charleville | 0 | 1 (1936) | |
Olympique lillois | 0 | 1 (1939) | |
SC Fives | 0 | 1 (1941) | |
ÉF Reims-Champagne | 0 | 1 (1944) | |
Valenciennes FC | 0 | 1 (1951) | |
AS Troyes-Savinienne | 0 | 1 (1956) | |
US Orleans | 0 | 1 (1980) | |
Calais RUFC | 0 | 1 (2000) | |
Amiens SC | 0 | 1 (2001) | |
LB Châteauroux | 0 | 1 (2004) | |
Évian Thonon Gaillard FC | 0 | 1 (2013) | |
Les Herbiers VF | 0 | 1 (2018) |
Statistiques |
- Plus grand nombre de victoires : 12 victoires[21]
Paris Saint-Germain (1982, 1983, 1993, 1995, 1998, 2004, 2006, 2010, 2015, 2016, 2017 et 2018)
- Plus grand nombre de victoires consécutives : 4 victoires
Paris Saint-Germain (2015, 2016, 2017 et 2018)
- Plus grand nombre de finales : 19 finales
Olympique de Marseille (1924, 1926, 1927, 1934, 1935, 1938, 1940, 1943, 1954, 1969, 1972, 1976, 1986, 1987, 1989, 1991, 2006, 2007 et 2016)
- Plus grand nombre de finales perdues : 9 finales
Olympique de Marseille (1934, 1940, 1954, 1986, 1987, 1991, 2006, 2007 et 2016)
- Plus grand nombre de finales consécutives : 5 finales
LOSC Lille (1945, 1946, 1947, 1948 et 1949)
- Plus grand nombre de victoires pour un joueur : 5 victoires
Marceau Somerlinck (1946, 1947, 1948, 1953 et 1955 avec le LOSC Lille)
Dominique Bathenay (1974, 1975 et 1977 avec l'AS Saint-Étienne ; 1982 et 1983 avec le Paris Saint-Germain)
Alain Roche (1986 et 1987 avec les Girondins de Bordeaux ; 1993, 1995 et 1998 avec le Paris Saint-Germain)
- Plus grand nombre de victoires pour un entraîneur (depuis 1946) : 4 victoires
André Cheuva (1947, 1948, 1953 et 1955 avec le LOSC Lille)
Guy Roux (1994, 1996, 2003 et 2005 avec l'AJ Auxerre)
Plus grand nombre de finales pour un arbitre : 5 finales
Michel Vautrot (1979, 1982, 1983, 1984 et 1987)
- Plus grand nombre de buts marqués sur un match : 32 buts
- 32-0 pour RC Lens - Auby-Asturies en 16e de finale (1942)
- 32-0 pour RC Lens - Auby-Asturies en 16e de finale (1942)
- Plus large victoire en finale : 5 buts d'écart
- 5-0 pour AS Saint-Étienne - FC Nantes (1970)
- 5-0 pour AS Saint-Étienne - FC Nantes (1970)
- Plus grand nombre de buts marqués en finale : 9 buts
- 6-3 pour Toulouse FC - Angers SCO (1957)
- 6-3 pour Toulouse FC - Angers SCO (1957)
- Finale la plus fréquemment jouée : 4 fois
Girondins de Bordeaux - Olympique de Marseille (1943, 1969, 1986 et 1987)
- Record d'affluence lors d'une finale : 80 056 spectateurs
Stade rennais FC - En Avant de Guingamp (2009)
- Clubs de D2 ayant remporté la Coupe de France : 2 clubs
Le Havre AC (1959)
En Avant de Guingamp (2009)
- Clubs de D2 ayant disputé au moins une finale : 10 clubs
FCO Charleville (1936)
RC Lens (1948)
US Valenciennes-Anzin (1951)
Le Havre AC (1959)
AJ Auxerre (1979, 2015)
US Orléans (1980)
FC Sochaux-Montbéliard (1988)
CS Sedan Ardennes (1999, 2005)
LB Chateauroux (2004)
En Avant de Guingamp (2009)
- Clubs de D3 ayant disputé une finale : 4 clubs
Nîmes Olympique (1996)
Amiens SC (2001)
US Quevilly (2012)
Les Herbiers (2018)
- Clubs de D4 ayant disputé une finale : 1 club
Calais RUFC (2000)
- Vainqueur n'ayant encaissé aucun but durant tout son parcours : 1 club[22]
- 2 fois : Paris Saint-Germain (1993 et 2017)
- 2 fois : Paris Saint-Germain (1993 et 2017)
- Vainqueur sans avoir rencontré une seule équipe de D1 : 1 club
FC Metz (1988)
- Vainqueur n'ayant joué aucun match à domicile : 1 club
Girondins de Bordeaux (2013)
- Vainqueur relégué en D2 la même saison : 4 clubs
AS Saint-Étienne (1962)
OGC Nice (1997)
RC Strasbourg (2001)
FC Lorient (2002)
- Clubs ayant réalisé le doublé Coupe de France / Coupe Gambardella : 3 clubs
AS Saint-Étienne (1970)
FC Sochaux-Montbéliard (2007)
Girondins de Bordeaux (2013)
- Clubs ayant réalisé le doublé Championnat / Coupe de France : 12 clubs
- 4 fois : AS Saint-Étienne (1968, 1970, 1974 et 1975)
- 3 fois : Paris Saint-Germain (2015, 2016 et 2018)
- 2 fois : Olympique de Marseille (1972 et 1989) et LOSC Lille (1946 et 2011)
- 1 fois : FC Sète (1934), RC Paris (1936), OGC Nice (1952), Stade de Reims (1958), AS Monaco (1963), Girondins de Bordeaux (1987), AJ Auxerre (1996) et Olympique lyonnais (2008)
- 4 fois : AS Saint-Étienne (1968, 1970, 1974 et 1975)
- Clubs ayant réalisé le doublé Coupe de France / Coupe de la Ligue : 1 club
- 6 fois : Paris Saint-Germain (1995, 1998, 2015, 2016, 2017 et 2018)
- 6 fois : Paris Saint-Germain (1995, 1998, 2015, 2016, 2017 et 2018)
- Clubs ayant réalisé le quadruplé Trophée des champions / Championnat / Coupe de France / Coupe de la Ligue : 1 club
- 3 fois : Paris Saint-Germain (2015, 2016 et 2018)[23]
- 3 fois : Paris Saint-Germain (2015, 2016 et 2018)[23]
Notes et références |
« Règlement de la Coupe de France 2016-2017 » [PDF], sur fff.fr.
Finales de la Coupe de France.
Jean Cornu, « La petite histoire de la Coupe de France », Football Magazine, no 4, mai 1960, p. 8.
"Le temps que la France redevienne toute la France", en ces temps de guerre - L'Écho d'Alger, 28 avril 1917.
Collectif, « La Coupe a 50 ans », Les Cahiers de l'Équipe, 1967 (p. 84-85).
Collectif, « La Coupe a 50 ans », dLes Cahiers de l'Équipe, 1967 (p. 3).
Progression des engagements.
Le Ballon Rond, n° 80, 29 mars 1921 (p. 2) Première tentative dans ce sens en mars 1921, par le FC Cette qui propose d'exempter les grands clubs des tours préliminaires et de limiter l'entrée en lice aux seuls club inscrits en championnat.
Comprendre... Le président de la République en finale de la coupe de France, L’Équipe.
En 1945, juste après la libération de la France, il n'y a pas de président de la République en fonction, C'est le général Koenig, gouverneur militaire de Paris, qui remet la coupe. En 1959, première finale sous la Ve république, Charles de Gaulle assiste au match entre le FC Sochaux-Montbéliard et Le Havre AC mais celui-ci se termine par un match nul (2-2) et doit être rejoué deux semaines plus tard. Le président se fait alors représenter par son ministre des sports Maurice Herzog. Il n'assistera ensuite pas à toutes les finales ; s'il est présent à celle de 1967, année du cinquantenaire, il ne l'est ainsi pas l'année suivante, la finale se déroulant en plein mai 1968. C'est Jacques Chaban-Delmas, président de l'Assemblée nationale qui remet la coupe.
Collectif, La Coupe de France de football, de Jean-Michel Cazal, Pierre Cazal et Michel Oreggia, 1993 (p. 213).
Collectif, La Coupe de France de football de Jean-Michel Cazal, Pierre Cazal et Michel Oreggia, 1993 (p.205).
Collectif, La Coupe de France de football de Jean-Michel Cazal, Pierre Cazal et Michel Oreggia, 1993 (p. 276).
Collectif, La Coupe de France de football de Jean-Michel Cazal, Pierre Cazal et Michel Oreggia, 1993 (p. 164).
Droits TV: Revenus en hausse pour la FFF.
Coupe de France, réforme de l'inversion des matches.
Opération carton bleu.
http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=614370cf67.jpg.
http://www.fff.fr/coupes/fff/federation-francaise-de-football/2014/301844-coupe-de-france/details-articles/7889-1834-nombre-de-spectateurs-par-finale.
Palmarès des clubs.
Chiffres de la Coupe de France sur fff.fr.
Histoire de la Coupe de France Saison 1992-1993 sur www.om4ever.com.
Le triomphe du PSG est total sur Eurosport, le 21 mai 2016.
Bibliographie |
- coll., Coupe de France, la folle épopée, Paris, L'Équipe, 2007
- Jean-Michel Cazal, Pierre Cazal et Michel Oreggia, La Coupe de France de football, Paris, FFF, 1993 +livret 1992-1995, publié en 1995
- Hubert Beaudet, L'aventure fantastique de la Coupe de France de football, Paris, Carrère, 1989
- JP Oudot, La Coupe de France, Genève, Famot, 1979
- coll., La Coupe, 50 ans, Paris, L'Équipe, 1967
- coll., Cinquantenaire de la Coupe de France de football (1917-1967), Paris, Amphora, 1967
- coll., Le livre d'or de la Coupe de France de football (1917-1936), Saint-Brieuc, Louis Aubert, 1936
Voir aussi |
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