Canton de Genève
Pour les articles homonymes, voir Genève pour la ville et Genève (homonymie).
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Blason | Drapeau |
Localisation du canton en Suisse. | |
Noms | |
---|---|
Nom allemand | Republik und Kanton Genf |
Nom italien | Repubblica e Canton Ginevra |
Nom romanche | Republica ed il chantun Genevra |
Administration | |
Pays | Suisse |
Entrée dans la Confédération | 1815 |
ISO 3166-2 | CH-GE |
Chef-lieu | Genève |
Districts | Aucun |
Communes | 45[1] |
Exécutif | Conseil d'État (7 sièges)[2] |
Législatif | Grand Conseil (100 sièges)[3] |
Conseil des États | 2 sièges[4] |
Conseil national | 11 sièges[5] |
Démographie | |
Gentilé | Genevois, Genevoise |
Population permanente | 495 249 hab. (31 décembre 2017) |
Densité | 1 753 hab./km2 |
Rang démographique | 6e[6] |
Langue officielle | français |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 13′ 05″ nord, 6° 09′ 58″ est |
Altitude | Min. Rhône à Chancy 332 m Max. Les Arales[7] 516 m |
Superficie | 282,48 km2 |
Rang | 21e[8] |
Liens | |
Site web | www.ge.ch |
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La république et canton de Genève est un canton suisse peuplé d’un peu moins de 500 000 habitants.
Il s’agit du successeur de la république de Genève, indépendante depuis le XVIe siècle jusqu'à son intégration dans la République française en 1798. Elle recouvre son indépendance le 31 décembre 1813 après la défaite des armées de Napoléon Ier, puis devient un canton suisse le 19 mai 1815.
La république et canton de Genève a une superficie modeste mais est densément peuplée. Elle se situe à l'extrémité ouest de la Suisse et du Léman, et est entourée en grande partie par la France. Son chef-lieu est la ville de Genève.
Sommaire
1 Histoire de Genève
2 Géographie
3 Communes
4 Population
4.1 Langues
4.2 Religions
5 Politique
5.1 Niveau fédéral
5.2 Niveau cantonal
5.3 Niveau communal
6 Économie
7 Éducation
8 Jours fériés
9 Transport et mobilité
9.1 Réseau ferroviaire
9.2 Réseau fluvial
9.3 Réseau routier
9.4 Transports publics
10 Notes et références
11 Voir aussi
11.1 Bibliographie
11.2 Articles connexes
11.3 Liens externes
Histoire de Genève |
L'histoire du canton se confond avec celle de la ville de Genève, particulièrement jusqu'à l'annexion par la France en 1798 de la république de Genève, fondée en 1541 par Jean Calvin, où elle devient fin août la préfecture et chef-lieu du département du Léman[9]. C'est la première fois que la commune est considérée comme une entité administrative distincte de son territoire. En 1813, à la suite de la défaite de l'armée napoléonienne, la restauration de la république de l'ancien régime est proclamée[10]. Cette indépendance n'est toutefois que de courte durée car très rapidement les magistrats de la ville, conscients que Genève ne peut plus former un État isolé, se tournent vers la Suisse, allié historique, pour demander leur rattachement à la confédération, effectif le 19 mai 1815 à la suite du congrès de Vienne, après avoir négocié avec le duché de Savoie le transfert territorial de 108,8 km2 de terres pour désenclaver le futur canton par rapport au canton de Vaud, et obtenu six communes françaises à titre de dédommagement de l'occupation napoléonienne (Collex-Bossy, Le Grand-Saconnex, Pregny, Vernier, Meyrin et Versoix soit 49,3 km2)[11].
En 1846, une révolution dirigée par James Fazy renverse le gouvernement de la Restauration et établit la constitution[12] qui régira jusqu'en 2012, date de la nouvelle constitution genevoise. Au cours du XIXe siècle et au début du XXe siècle, Genève accueille de nombreux réfugiés politiques. Suivant les idées du Genevois Henri Dunant, le comité international de la Croix-Rouge est créé en 1864, première des institutions internationales que la ville va abriter.
La mission internationale de Genève s'affirme après la Première Guerre mondiale, lorsqu'elle est choisie comme siège de la Société des Nations, ancêtre de l'Organisation des Nations unies (ONU).
Géographie |
Situé à l'extrémité occidentale de la Suisse, au bout du Léman, ce canton partage plus de 95 % de ses frontières avec la France (103 km contre 4,5 km si l'on exclut les frontières dans le canton de Vaud avec les exclaves de la commune de Céligny)[13].
Il est entouré des départements de l'Ain à l'ouest, et de la Haute-Savoie à l'est et au sud, ainsi que du canton de Vaud au nord, dans lequel est enclavée la commune genevoise de Céligny.
On donne le nom de cuvette genevoise à cette région ciselée en trois cadrans par le Léman dont les pierres du Niton servent à mesurer l’altitude (373,6 mètres), le Rhône, et l’Arve provenant du massif du Mont-Blanc via la vallée de l'Arve.
Elle est ceinturée, sur territoire français, par le massif du Jura au nord-ouest dont le point culminant s'établit au Crêt de la Neige à 1 720 mètres, là où le point le plus élevé du canton se situe aux environs de 516 mètres sur la commune de Jussy (à Monniaz). Le Vuache à l'ouest, séparé des Monts du Jura par le creuset du Rhône, le Fort l'Écluse a été construit pour dominer la région du Genevois. Le Mont-de-Sion au sud, décrit par César dans la guerre des Gaules comme le seul passage franchissable pour les convois de chars désirant quitter Genava en direction de la Narbonnaise. Le Salève, au sud-est, est situé en France mais on le surnomme la montagne des Genevois de par sa grande facilité d’accès (téléphérique) mais aussi grâce à sa situation privilégiée de surplomb au-dessus du canton et du lac, qui offre une vue pour le moins spectaculaire. Par temps clair, on bénéficie d'un panorama allant de Fort l'Écluse, passage du Rhône creusé lors de la dernière glaciation par son glacier que l’on estimait s’étendre jusqu’aux alentours de Lyon et qui façonna les reliefs vallonnés et caillouteux de la plaine, jusqu’à Nyon dans le canton de Vaud.
La caractéristique principale du canton consiste en ce mélange très homogène entre d'un côté une ville moyenne par sa taille, mais grande par son rayonnement international aidé en cela par son aéroport créé en 1923 (17,4 millions de passagers en 2017) et de l'autre par une campagne encore bien conservée, située au maximum à environ 15 kilomètres du centre-ville. Le Mandement, au nord-ouest du canton, est une partie vallonnée qui a été notamment creusée par l’Allondon, un affluent du Rhône prenant sa source au pied du Jura et qui regroupe les communes viticoles de Dardagny, Russin, et Satigny. Le barrage de Verbois construit sur le Rhône fournit une bonne partie de l’énergie genevoise et relie le Mandement à la région de la Champagne, sur la rive gauche, entre les communes de Russin et Aire-la-Ville.
Dans la Champagne genevoise se trouve la commune de Chancy, la commune la plus occidentale de la Suisse. C’est à Bernex, la bourgade principale, que se trouve le lieu-dit du Signal, le deuxième point le plus haut du canton avec 509,9 mètres, sur lequel on allumait jadis un feu d’alarme destiné à être vu par le plus grand nombre et que l’on relayait de sommets en sommets[réf. nécessaire]. La commune de Bernex, qui regroupe sous son administration les villages de Lully et Sézenove, avoisine les 10 000 habitants. On trouve encore dans cette région de petits villages au cachet typique comme ceux qui ont été cédés par le duché de Savoie en 1815 lors de l’entrée de Genève dans la Confédération tels Sézegnin, Athenaz, Avusy, Laconnex, Soral, Cartigny ou encore Avully. La plus grande partie de la frontière entre la Champagne et la France est délimitée par la Laire, petit affluent du Rhône qui passe à proximité de Soral et Sézegnin et le Rhône.
La région comporte principalement des exploitations agricoles mais aussi viticoles et fournit, de par les couches de sédiments déposées par le glacier du Rhône, d’importantes ressources en gravier.
Communes |
Au 31 décembre 2015, le canton de Genève compte 13 villes (plus de 10 000 habitants) sur les 45 communes genevoises :
Genève, 201 164 habitants
Vernier, 35 298 habitants
Lancy, 31 557 habitants
Meyrin, 22 399 habitants
Carouge, 21 741 habitants
Onex, 18 697 habitants
Thônex, 14 140 habitants
Versoix, 13 439 habitants
Le Grand-Saconnex, 12 171 habitants
Chêne-Bougeries, 11 318 habitants
Veyrier, 11 298 habitants
Plan-les-Ouates, 10 374 habitants.
Bernex, 10 098 habitants.
Source :
Statistiques cantonales (République et Canton de Genève)
Population |
Évolution de la population du canton de Genève de 1999 à 2016 :
Population au 1er janvier | Naissances | Décès | Solde naturel | Solde migratoire | Population au 31 décembre | Accroissement | % | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1999 | 398 910 | 4 598 | 3 089 | 1 509 | 2 042 | 403 067 | 4 157 | 1,0 |
2000 | 403 067 | 408 146 | 5 079 | 1,3 | ||||
2001 | 408 146 | 4 526 | 3 001 | 1 525 | 3 147 | 413 618 | 5 472 | 1,3 |
2002 | 413 618 | 4 646 | 3 076 | 1 570 | 3 447 | 418 747 | 5 129 | 1,2 |
2003 | 418 747 | 4 368 | 3 230 | 1 138 | 3 854 | 423 993 | 5 246 | 1,3 |
2004 | 423 993 | 4 714 | 2 919 | 1 795 | 1 653 | 427 396 | 3 403 | 0,8 |
2005 | 427 396 | 4 817 | 3 054 | 1 752 | 1 331 | 430 638 | 3 242 | 0,8 |
2006 | 440 982 | 4 617 | 3 110 | 1 507 | 2 817 | 445 306 | 4 324 | 1 |
2007 | 445 306 | 4 934 | 3 103 | 1 831 | 447 | 447 584 | 2 278 | 0,5 |
2008 | 447 584 | 4 849 | 3 105 | 1 744 | 4 111 | 453 439 | 5 855 | 1,3 |
2009 | 453 439 | 4 540 | 3 195 | 1 345 | 2 844 | 457 628 | 4 189 | 0,9 |
2010 | 457 682 | 4 959 | 3 214 | 1 745 | 4 546 | 463 919 | 6 291 | 1,4 |
2011 | 463 919 | 4 869 | 3 037 | 1 832 | 1 167 | 466 918 | 2 999 | 0,6 |
2012 | 466 918 | 4 645 | 3 201 | 1 444 | 2 150 | 470 512 | 3 594 | 0,8 |
2016 | 493 706 | 5 131 | 3 363 | 1 768 | 1 360 | 493 706 |
Source :
- OFS - État de la population et évolution démographique - Analyses
- Pour 2006 à 2012 OCSTAT - Bilan et état de la population de Genève par années
Langues |
Le tableau suivant détaille la population du canton suivant la langue principale, en 2014[14] :
Langue principale | Pourcentage |
---|---|
Français | 81,04 % |
Anglais | 10,84 % |
Portugais | 9,89 % |
Espagnol | 7,82 % |
Allemand | 5,32 % |
Note : les personnes interrogées ont la possibilité de mentionner plusieurs langues principales.
Religions |
Le tableau suivant détaille la population du canton suivant la religion, en 2014[15] :
Religion | Pourcentage |
---|---|
Sans religion | 37,16 % |
Catholiques romains | 35,98 % |
Protestants | 9,93 % |
Autres chrétiens | 5,48 % |
Musulmans | 5,90 % |
Juifs | 1,02 % |
Politique |
Niveau fédéral |
- Au Conseil des États, le canton est représenté par 2 sièges.
- Au Conseil national, le canton est représenté par 11 sièges.
Niveau cantonal |
- Le Conseil d'État est composé de 7 sièges.
- Le Grand Conseil est composé de 100 sièges.
Niveau communal |
Les communes genevoises de moins de 3 000 habitants sont administrées par un maire et deux adjoints. Les communes plus grandes élisent un conseil administratif de 3 membres, ce nombre étant porté à 5 pour la Ville de Genève. Chaque commune élit également un conseil municipal, dont la taille varie selon la population (de 9 membres pour les communes de moins de 600 habitants à 80 pour la Ville de Genève)[16].
Économie |
L'économie genevoise est principalement orientée vers les services même si le canton a une longue tradition agricole et viticole. Elle comprend un important secteur financier qui est spécialisé dans le secteur bancaire et le financement du commerce international (négoce).
De nombreuses banques sont représentées à Genève, parmi lesquelles les banques privées[17] Baumann & Cie, Bordier & Cie, E. Gutzwiller & Cie, Gonet & Cie, Landolt & Cie, La Roche & Co Banquiers, Lombard Odier & Cie, Mirabaud & Cie, Mourgue d'Algue & Cie, Pictet & Cie, Rahn & Bodmer, Reichmuth & Co, Wegelin & Co, etc.
Entre mars et septembre 2008, Genève est passée de la septième à la sixième place au classement des places financières mondiales selon
le Global Financial Centres Index[18] de la City of London.
Genève est le siège international de compagnies comme Merck Serono (départ annoncé en 2012) et STMicroelectronics. Beaucoup d'autres compagnies multinationales comme Alcon, DuPont de Nemours, Electronic Arts, Hewlett-Packard, IBM, McDonald's, Procter & Gamble, Thomson Reuters, Colgate-Palmolive et Sun Microsystems y ont installé leurs sièges européens.
Le canton a également une longue tradition dans le domaine de l'horlogerie : en 2007, 75 sociétés actives dans ce secteur sont basées à Genève[19] avec des marques telles que Baume & Mercier, Chopard, DeWitt, FP Journe, Franck Muller, Hublot, Patek Philippe, Piaget, Roger Dubuis, Tudor, Urwerk, Vacheron Constantin et surtout Rolex, le plus important employeur du canton en 2010[20].
Firmenich et Givaudan, deux producteurs importants d'arômes et de parfums y ont leurs sièges et leurs centres de production.
Éducation |
L'éducation publique est gérée par le département de l'instruction publique[21] :
- 164 écoles primaires réunies en 58 établissements ;
- 19 cycles d'orientation ; enseignement secondaire ;
- 10 Collèges de Genève. Formation gymnasiale à plein temps est l'une des trois filières de l'enseignement secondaire II. Elle s'adresse prioritairement à des jeunes gens qui ont le goût des études. Elle dispense une culture générale dans une perspective humaniste et comprend 4 grands domaines d'études : les langues (30-40 %), les mathématiques et les sciences expérimentales (25-35 %), les sciences humaines (10-20 %), les arts (5-10 %) ;
Université de Genève.
Le canton compte également 43 écoles privées[22].
Jours fériés |
Le Jeûne genevois est un jour férié propre au canton de Genève qui est célébré le jeudi suivant le premier dimanche de septembre.
Le 31 décembre est aussi un autre jour férié propre au canton de Genève. C'est l'anniversaire de la Restauration de la République décrétée en 1813 après l'épisode napoléonien.
Transport et mobilité |
Réseau ferroviaire |
Les chemins de fer fédéraux suisses (CFF) et la société nationale des chemins de fer français (SNCF) avec le TGV Lyria ainsi que le TER Rhône-Alpes desservent le canton.
Le canton comporte plusieurs gares dont la gare de Genève-Cornavin et la gare de Genève-Aéroport. Le canton est au cœur du futur réseau Léman Express ou RER franco-valdo-genevois et dont sa clé de voûte est la réalisation du CEVA, la nouvelle ligne ferroviaire entre Genève et Annemasse qui sera terminée fin 2019.
Réseau fluvial |
Les Mouettes genevoises assurent les traversées entre la rive gauche et la rive droite du Léman à travers quatre lignes, accessibles avec les titres de transport Unireso. Plusieurs lignes de la Compagnie générale de navigation sur le lac Léman desservent Genève. Notons l'existence d'une ligne touristique descendant le Rhône jusqu'au barrage de Verbois.
Réseau routier |
L'autoroute A1 traverse le canton du nord au sud, en contournant Genève par l'ouest et en finissant à la douane de Bardonnex tandis que la route principale 1 aboutit dans le centre-ville de Genève. Le canton possède un important réseau routier cantonal, on peut citer par exemple la route 101 qui relie Genève au CERN et la frontière française.
Transports publics |
Les transports publics genevois (TPG) font partie de la communauté tarifaire Unireso, permettant ainsi aux usagers d'emprunter différents moyens de transport avec le même ticket ou abonnement pour se rendre d'un point à un autre. Ce réseau s'étend sur plus de 420 km de lignes, à travers quatre lignes de tramway, six lignes de trolleybus et une cinquantaine de lignes d'autobus, dont plusieurs s'étendent jusqu'en France ou sont même intégralement en territoire français. Le canton a la particularité, commune avec celui de Bâle-Ville de n'avoir aucune ligne CarPostal[23].
La commune de Céligny, enclavée dans le canton de Vaud, bénéficie quant à elle d'une desserte par les transports publics de la région nyonnaise (TPN), qui font aussi partie d'Unireso, et qui offrent plusieurs points de correspondances avec les TPG.
La nuit, le réseau de bus Noctambus dessert l'intégralité du canton, ainsi que de nombreuses communes vaudoises et françaises.
Notes et références |
[xls] « Liste officielle des communes de la Suisse - 01.01.2008 », sur Office fédéral de la statistique (consulté le 8 décembre 2008)
« Conseil d'Etat > Le pouvoir exécutif », sur genève.ch (consulté le 8 décembre 2008)
« Parlement cantonal », sur ge.ch (consulté le 8 décembre 2008)
« Liste des conseillers aux Etats par canton », sur parlement.ch (consulté le 8 décembre 2008)
« Liste des conseillers nationaux par canton », sur parlement.ch (consulté le 8 décembre 2008)
« Population résidente du canton de Genève, selon l'origine et le sexe, par commune, en mars 2017 », sur Site officiel de l’État de Genève.
[xls] « Les points culminants des cantons suisses », sur Office fédéral de la statistique (consulté le 8 décembre 2008)
« Statistique de la superficie 2004/09 : Données communales », sur Office fédéral de la Statistique (consulté le 26 août 2017)
(fr) Frédéric Joye, « La période française de 1798-1814 », MEMO, 2007
Louis Binz, Brève histoire de Genève, p. 50
Louis Binz, Brève histoire de Genève, p. 51-53
Louis Binz, Brève histoire de Genève, p. 58.
Genève aujourd'hui en quelques chiffres, site officiel de la ville de Genève
Population résidante permanente âgée de 15 ans ou plus selon la langue principale
Population résidante permanente âgée de 15 ans ou plus selon l'appartenance religieuse
« Loi sur l'administration des communes », sur Site officiel de l'État de Genève (consulté le 18 décembre 2012)
« Association des banquiers privés suisses », sur genevaprivatebankers.com (consulté le 20 novembre 2008)
[PDF] (en) « The Global Financial Centres Index - 4, September 2008 », sur zyen.com (consulté le 20 novembre 2008)
[PDF] « Enquête conjoncturelle annuelle 2007-2008 », sur Chambre de commerce, d'industrie et des services de Genève (consulté le 20 novembre 2008)
Rolex reste le premier employeur du canton de Genève, Tribune de Genève du 5 juin 2010, consulté le 13 février 2014.
« DIP en bref », sur genève.ch (consulté le 18 décembre 2012)
Éric Budry, « Les écoles privées pèsent 345 millions de francs », La Tribune de Genève, 19 mai 2009(lire en ligne)
Bernard Wuthrich, « L’astuce qui fait tomber le chef de CarPostal », sur https://www.letemps.ch, 6 février 2018(consulté le 8 février 2018)
Voir aussi |
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Bibliographie |
- Alfred Dufour, Histoire de Genève, Presses universitaires de France, Que-sais-je ?, no 3210, 1997
Articles connexes |
- Drapeau et armoiries du canton de Genève
- Communes du canton de Genève
Cé qu'è lainô, hymne du Canton de Genève
Liens externes |
- Site officiel
- Portail Web de Genève
- Office cantonal de la statistique
- « Canton de Genève » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- Portail de Genève et son canton