Limay
Pour les articles homonymes, voir Limay (homonymie).
Pour l’article ayant un titre homophone, voir Limé.
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L'église Saint-Aubin. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Mantes-la-Jolie | ||||
Canton | Limay (bureau centralisateur) | ||||
Intercommunalité | Grand Paris Seine et Oise | ||||
Maire Mandat | Éric Roulot (PCF) 2014-2020 | ||||
Code postal | 78520 | ||||
Code commune | 78335 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Limayens | ||||
Population municipale | 16 356 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 1 425 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 59′ 39″ nord, 1° 44′ 12″ est | ||||
Altitude | 28 m Min. 17 m Max. 137 m | ||||
Superficie | 11,48 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
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Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | ville-limay.fr | ||||
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Limay est une commune des Yvelines et de la région Île-de-France. C'est une petite ville industrielle, situé en bord de Seine, au sud du Vexin français, face à Mantes-la-Jolie à 53 km à l'ouest de Paris. La commune, qui dispose de 300 hectares classés en espaces naturels sensibles, est devenue depuis le 1er juillet 2005 « ville-porte » du parc naturel régional du Vexin français.
Elle participe au Concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs depuis 2007[1].
Ses habitants sont appelés les Limayens.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Situation
1.2 Hydrographie
1.3 Relief et géologie
1.4 Climat
1.5 Utilisation du territoire
1.6 Voies de communication et transports
2 Toponymie
3 Histoire
4 Politique et administration
4.1 Rattachements administratifs et électoraux
4.2 Intercommunalité
4.3 Tendances politiques et résultats
4.4 Liste des maires
5 Démographie
6 Économie
6.1 Revenus de la population et fiscalité
7 Culture locale et patrimoine
7.1 Lieux et monuments
7.2 Patrimoine naturel
7.3 Personnalités liées à la commune
7.4 Limay dans les arts
7.5 Héraldique
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.3 Liens externes
9 Notes et références
9.1 Notes
9.2 Références
Géographie |
Situation |
Limay est une commune riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord du département des Yvelines, à 1,5 km environ au nord de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 43 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
Elle est limitrophe de Guitrancourt au nord-est, de Porcheville à l'est, de Guerville et Mantes-la-Ville au sud, de Mantes-la-Jolie au sud-ouest (ces trois dernières communes se trouvant sur la rive gauche du fleuve), de Follainville-Dennemont à l'ouest et de Fontenay-Saint-Père au nord.
Le territoire communal englobe en grande partie une île de la Seine, l'île de Limay, la partie appartenant à Mantes-la-Jolie étant appelée île aux Dames.
Hydrographie |
La source Saint-Sauveur où allaient boire de l'eau les femmes mariées désirant une grossesse[2].
Relief et géologie |
Le territoire communal forme un vaste amphithéâtre tourné vers la Seine au sud, et adossé au plateau de Vexin français. Il s'étage en trois niveaux, du nord au sud, un plateau en pente douce entre 130 et 115 mètres d'altitude, une partie de transition à la pente plus accentuée et la basse plaine alluviale entre 20 et 30 mètres d'altitude.
Climat |
Le climat à Limay est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[3]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.
Utilisation du territoire |
Type d'occupation[Quand ?][réf. nécessaire] | % | Hectares |
---|---|---|
Espace urbain construit | 33 % | 383,06 |
Espace urbain non construit | 17 % | 199,18 |
Espace rural | 49 % | 565,46 |
Le territoire de la commune est fortement urbanisé (33 %), avec plus de cent hectares de zones d'activités économiques[4], cependant près de la moitié du territoire (plus de 500 hectares) reste rural.
L'espace habité se compose d'un noyau ancien entre l'église et la Seine et des extensions concentriques comprenant des lotissements de maisons individuelles mais également beaucoup d'immeubles collectifs. L'urbanisation récente atteint désormais le plateau (plaine des Bouleaux) le long de la RD 983.
L'espace rural occupe surtout la partie nord et nord-ouest de la commune et se compose de terrains cultivés (grande culture céréalière) et une forte proportions de zones boisées, notamment la forêt de Saint-Sauveur. 300 hectares ont été classés par la commune comme espace naturel sensible.
Voies de communication et transports |
Les communications routières sont assurées par plusieurs axes :
- dans les sens nord-sud, la route départementale D 983 (ancienne route nationale 183) traverse le centre-ville pour rejoindre Mantes-la-Jolie. Cette route qui assure un important trafic de transit dans l'ouest des Yvelines vers le sud et vers Magny-en-Vexin plus au nord a été déviée dans les années 1990 par une rocade contournant la ville par l'est.
- dans le sens est-ouest, l'axe principal est constitué par la route départementale D 190 qui relie Limay à Poissy en suivant la rive droite de la Seine, doublé plus au sud et plus près de la Seine par la route départementale D 146 qui assure notamment la desserte des zones industrielles et du port fluvial situés dans l'est de la commune.
Deux ponts routiers franchissent la Seine, le pont de Mantes, très ancien lieu de passage, reconstruit en 1951, et le viaduc plus récent (1992) de la rocade, à 2 x 2 voies. Ce dernier permet de rejoindre l'autoroute A13 à l'échangeur de Mantes-la-Ville (Mantes-Est).
Sur le plan ferroviaire, la commune est traversée par la ligne Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie par Conflans-Sainte-Honorine qui franchit la Seine par le pont ferroviaire de Limay, viaduc à arches de ciment s'appuyant sur l'île de Limay. Un embranchement particulier s'en détache pour assurer la desserte du port fluvial de Limay. La gare de Limay est située dans le sud de la ville et est desservie par les trains de banlieue du Transilien.
Limay dispose également d'un port fluvial situé dans la pointe sud du territoire communal et constitué d'une darse de huit hectares creusée perpendiculairement au fleuve. Ce port est géré par l'établissement public du Port autonome de Paris.
Toponymie |
Le nom de la localité est attesté sous les formes Limetium au VIIe siècle[5], Limaium en 1249[6].
Limay, toponyme en rapport avec des limites (la Seine servant de frontière)[7],[5].
Mais l'explication de l'origine du mot "Limay" de Toussaint-Duplessis semble avoir été adoptée par la plupart des historiens locaux ; le nom de "Limay" paraît être abrégé de celui de Limais ou plutôt Li Mais, qui veut dire la maison, la demeure, l'habitation, en latin Mansio[8].
Histoire |
Le site de Limay était déjà habité à l'époque préhistorique. De nombreux restes archéologiques tels que pierres polies et taillées, pointes de flèches, haches, ont été trouvés dans le territoire communal, notamment à l'occasion de l'exploitation de sablières et ballastières dans les alluvions quaternaires.
Avant la conquête romaine, le territoire était occupé par le peuple celte des Véliocasses, rattachée à la Gaule belgique.
En 1376, Charles V fonde à Limay un monastère de Célestins, situé au milieu des rochers et des carrières de Saint-Aubin et le dédie à la Sainte-Trinité. Le monastère fut démoli à la Révolution[9].
En 1614, Marie de Médicis fait débuter la construction du couvent des Capucins, situé hors du bourg. Les pierres de la citadelle de Mantes servent à sa construction. Le couvent est désormais une vieille bâtisse[9].
Politique et administration |
Rattachements administratifs et électoraux |
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[10], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Elle est rattachée à son arrondissement de Mantes-la-Jolie. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.
La commune était depuis 1801 le chef-lieu du canton de Limay. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton, dont Limay est désormais le bureau centralisateur, a été modifié.
Intercommunalité |
La commune était le siège de la communauté de communes des Coteaux du Vexin créée en 2013 et qui regroupait deux autres communes.
Cette intercommunalité a fusionné avec d'autres pour former, le 1er janvier 2016 la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.
Limay fait partie de l'opération d'intérêt national Seine-Aval créée en 2008.
Tendances politiques et résultats |
Liste des maires |
Démographie |
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[17],[Note 1].
En 2015, la commune comptait 16 356 habitants[Note 2], en augmentation de 0,33 % par rapport à 2010 (Yvelines : +1,32 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %).
Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,2 %, 15 à 29 ans = 24,2 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 18,8 %, plus de 60 ans = 13,2 %) ;
- 49,9 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 24,9 %, 30 à 44 ans = 21 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 13,2 %).
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,2 | 0,3 | |
3,3 | 4,9 | |
9,7 | 8,0 | |
18,8 | 19,1 | |
20,5 | 21,0 | |
24,2 | 24,9 | |
23,2 | 21,8 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 0,9 | |
4,3 | 6,6 | |
11,2 | 11,6 | |
20,3 | 20,7 | |
22,1 | 21,5 | |
19,9 | 18,9 | |
21,9 | 19,8 |
Économie |
Port fluvial de Limay-Porcheville : dépendant du port autonome de Paris, c'est le premier port fluvio-maritime d'Île-de-France, accessibles à des caboteurs maritimes de 5 000 tonnes.- Inauguré en février 2008, Limay Terminal[Quoi ?] affiche un bilan plus que positif.
- Le trafic des conteneurs a véritablement commencé le 14 novembre 2007. Du 14 novembre 2007 au 21 décembre 2007, 844 conteneurs, équivalent vingt pieds (EVP) ont transité sur le quai de Limay Terminal[réf. nécessaire].
- De février 2008 à décembre 2008, ce sont 3573 EVP qui ont été transportés via la voie fluviale. Les destinations sont principalement Le Havre et Nogent-sur-Seine. Les types de fret, des produits et matériaux destinés l’équipement de la maison, des céréales, des produits destinés à la grande distribution, des pièces automobiles, des ferrailles, etc.
- Grâce à mode de transport - fluvio-maritime - moins consommateur d'énergie et plus respectueux de l'environnement, ce sont donc 4417 conteneurs qui ont transité[Quand ?] sur le port de Limay depuis l'ouverture du terminal, ce qui représente 4417 camions en moins sur nos routes[réf. nécessaire].
- Zone industrielle, dont une usine de traitement de déchets dangereux.
Revenus de la population et fiscalité |
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 725 €[22].
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
Limay compte trois monuments historiques sur son territoire.
Église Saint-Aubin, rue de l'Église / place de la République (classée monument historique par arrêté du 26 mai 1944[23]) : Elle remonte, dans ses parties les plus anciennes, aux années 1140. Ce sont la base du clocher et l'ancien chœur de style roman tardif, qui faisaient suite à une nef unique de la même époque démolie vers la fin du XVIIe siècle. Le reste de l'église actuelle fut édifié à partir de 1230 environ au nord de l'église romane, dans le style gothique. Il s'agit d'un chœur-halle carré, au chevet plat, et d'une double nef, le tout voûté d'ogives et à un seul niveau d'élévation. Les deux premières travées de la double nef furent reconstruites après la guerre de Cent Ans, y compris le portail, dans le style flamboyant. La flèche en pierre du clocher datait de la même époque que le chœur gothique, mais a été entièrement rebâtie au début du XXe siècle.
- L'église est surtout remarquable pour son plan à double vaisseau, ses deux voûtes d'ogives antérieures au milieu du XIIe siècle et son clocher, et abrite un mobilier intéressant et varié[24].
Vieux pont de Limay, sur la Seine (classé par arrêté du 15 juin 1923, avec les restes de ses anciennes portes et la maison du passeur) : C'est un ancien pont des Xe et XIIe siècles[25], reconstruit par Sully en 1613, dont il ne reste que quelques arches côté Limay à la suite de nombreuses vicissitudes, dont les dernières furent la destruction de deux arches en 1940. Ce pont figure dans plusieurs tableaux du peintre Jean-Baptiste Camille Corot.- Château des Célestins, avec les restes de l'ancien couvent, et son parc[26].
- Les façades et toitures du bâtiment principal et de l'aile en retour et les trois pièces décorées du rez-de-chaussée de style Empire sont inscrites aux monuments historiques par arrêté du 16 juin 1970[27]
Patrimoine naturel |
Site géologique de Limay : il s'agit d'une ancienne carrière du groupe Lafarge classé « réserve naturelle régionale » (RNR) par le conseil régional d'Île-de-France en 2009. Cet espace protégé de 69 hectares, acquis par la ville en 2008, est pourvu d'une grande richesse géologique (avec des formations sédimentaires du Crétacé, du Sparnacien et du Lutétien moyen), faunistique et floristique[28].
Personnalités liées à la commune |
Gaston Laurent-Atthalin (1848-1912), magistrat français, mort dans sa propriété des Moussets, à Limay.
Ernest Chausson : compositeur (né à Paris en 1855, mort à Limay (accident de bicyclette) le 10 juin 1899).
Derka : présentateur, rappeur, né en 1982, a passé son enfance à Limay.
Limay dans les arts |
- Cinéma
Parmi les films tournés à Limay, on peut citer[29]
Balzac, film de télévision de Josée Dayan.
Jules et Jim, film de François Truffaut, dont la séquence finale se déroule sur le vieux pont de Limay.
- Peinture
Frank-Will (1900-1950) a peint un grand tableau Limay, aujourd'hui propriété de la commune[30].
Héraldique |
Les armes de Limay se blasonnent ainsi : Ce blason adopté par la municipalité en 1967 est dû à l'héraldiste Robert Louis[31]. Le pont à trois arches évoque le vieux pont de Limay et le chef à trois fleurs de lys le rattachement de la ville au Vexin français. Il a remplacé un premier blason instauré en 1945 par la commission d'héraldique de Seine-et-Oise qui se blasonnait ainsi :
|
Voir aussi |
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Bibliographie |
Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328),page 28.- Maurice Quettier, Limay, les racines du futur. La belle histoire du renouveau municipal, Éditions sociales, 1999 (ISBN 2-911833-14-7)
- Georges Mercier, Limay et son canton, Éditions Alan Sutton, mémoire en images, 1996 (ISBN 2-84253-009-8)
- Édouard Fosse, Limay en cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne Zaltbonnel, 1976
- Édouard Fosse (ancien maire de Limay), Histoire de Limay des origines à nos jours, préface de Rodolphe Walter, 1972
- Michel Bourlier, Christophe Eberhardt, Limay et ses habitants. De l'origine jusqu'à la fin du XIXe siècle, GREM, 2012
Articles connexes |
- Liste des communes des Yvelines
- Canton de Limay
- Église Saint-Aubin de Limay
- Moulins du vieux pont de Limay
- Vieux pont de Limay
- Gare de Limay
Liens externes |
- Site de la mairie
- Limay sur le site de l'INSEE
Notes et références |
Notes |
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
Références |
Fiche sur le site des Villes et villages fleuris
Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 28
Climat des Yvelines sur le site de Météo-France
Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
Actes du colloque "Frontières en Gaule." - 1981 - Page 101.
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
Pierre Bauduin - La première Normandie (Xe-XIe siècles): sur les frontières de la haute Normandie : identité et construction d'une principauté,Pôle universitaire normand, 2004, page 50.
Explication de l'origine du mot "Limay" de Toussaint-Duplessis.
« Découvrir Limay », sur ville-limay.fr
Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
Édouard Fosse, op. cit., p. 256.
« Limay : l’ancien maire donne son nom à l’école », Le Parisien, édition des Yvelines, 6 septembre 2017(lire en ligne).
« Le maire, Jacques Saint-Amaux, va prendre sa retraite : Jacques Saint-Amaux a annoncé qu'il quitterait son fauteuil au cours du premier semestre 2010 au profit d'Eric Roulot », Le Parisien, édition des Yvelines, 8 janvier 2010(lire en ligne) « L'un des trois maires communistes du département tire sa révérence. Mercredi soir, au cours de la cérémonie des vœux de Limay, Jacques Saint-Amaux a annoncé qu'il quitterait son fauteuil de maire avant l'été. « Ni fatigué ni malade », il entend, à 62 ans, et après quinze ans à la tête de cette commune de 16 000 habitants, quitter « la scène en haut de l'affiche ». « C'est le bon moment pour laisser ma place. » Eric Roulot, son adjoint à la sécurité, lui succédera entre mars et juin. Jacques Saint-Amaux restera conseiller municipal et conseiller général ».
« Jacques Saint-Amaux quittera la vie politique en 2015 : L'un des derniers élus PC ne participera pas aux cantonales », Le Parisien, édition des Yvelines, 10 avril 2015(lire en ligne).
« Eric Roulot intronisé maire », Le Parisien, édition des Yvelines, 11 avril 2010(lire en ligne).
M.G., « Limay : Roulot - Saint-Amaux, la fin d’une histoire », Le Parisien, édition des Yvelines, 25 février 2016(lire en ligne).
L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
« Évolution et structure de la population à Limay en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 21 avril 2011)
« Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du 17 septembre 2011], sur le site de l'Insee (consulté le 21 avril 2011)
« Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 22 avril 2017)
« Église Saint-Aubin », notice no PA00087470, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Limay, Paris, Éditions du Valhermeil, 1988, 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 319-322 ; Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Limay, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, 1927, 170 p., p. 163-166
« Vieux pont de Limay (également sur commune de Mantes-la-Jolie) », notice no PA00087471, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Le parc du château des Célestins », notice no IA78000626, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Château des Célestins », notice no PA00087469, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Réserve Naturelle Régionale (RNR) du site géologique de Limay », Ville de Limay (consulté le 6 mai 2014).
Lieux de tournage cinématographique
Frank-Will, Limay, œuvre reproduite en page 66 de la monographie Frank-Will par Denis Coisne, Éditions du Chêne Vert, 1986.
Édouard Fosse, Histoire de Limay des origines à nos jours, 1972, p. 23.
Les armoiries des communes de Seine-et-Oise, tome 1, chefs-lieux de canton - 1944, cité par Édouard Delafosse.
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