Mel Gibson
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Nom de naissance | Mel Columcille Gerard Gibson |
---|---|
Naissance | 3 janvier 1956 Peekskill (État de New York, États-Unis) |
Nationalité | Américaine |
Profession | Acteur Producteur Réalisateur Scénariste |
Films notables | Mad Max (saga) voir filmographie. |
Mel Gibson est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain, né le 3 janvier 1956 à Peekskill (État de New York).
Après avoir passé une partie de sa jeunesse en Australie, il devient célèbre en tenant le rôle-titre de Mad Max. Il prend ensuite place parmi les acteurs les mieux payés d'Hollywood en tenant la vedette de L'Arme fatale. Grâce à l'énorme succès de ces deux franchises, il fonde sa propre société Icon Productions, qui lui permet de produire et de réaliser ses propres films comme Braveheart (dans lequel il joue et pour lequel il remporte l'Oscar du meilleur réalisateur et celui du meilleur film en 1996) et La Passion du Christ qui suscite une vive polémique en 2004. Après plusieurs années difficiles, il renoue avec le succès commercial et critique avec son cinquième long-métrage en tant que réalisateur Tu ne tueras point, qui lui permet d'obtenir plusieurs prix, dont 9 ACCTA Award ainsi que le people Choice Award. Le Director Hollywood Film Award lui est également décerné la même année avant d'être nommé aux Oscars 2017 dans 6 catégories dont Meilleur film et Meilleur réalisateur .
En 1985, Mel Gibson est le premier acteur à être élu l'« homme le plus sexy du monde » par le magazine People. Au total, les films dans lesquels il a joués (ou qu'il a réalisés) ont rapporté 2 milliards de dollars aux États-Unis et 5 milliards de dollars dans le monde, ce qui le place parmi les acteurs les plus rentables de l'histoire du cinéma.
Sommaire
1 Biographie
1.1 Jeunesse et formation
1.2 Carrière
1.2.1 Années 1980 : débuts et révélation internationale
1.2.2 Années 1990 : consécration commerciale et critique
1.2.3 Années 2000 : apogée et controverses
1.2.4 Années 2010 : retrait, seconds rôles et grand retour
1.3 Vie privée
1.4 Controverses
1.5 Philanthropie
2 Filmographie
2.1 Acteur
2.1.1 Années 1970
2.1.2 Années 1980
2.1.3 Années 1990
2.1.4 Années 2000
2.1.5 Années 2010
2.1.6 Années 2020
2.2 Réalisateur
2.3 Scénariste
2.4 Producteur
2.5 Directeur artistique
3 Box-office
4 Cachets
5 Distinctions
5.1 Récompenses
5.2 Nominations
5.3 Autres distinctions
6 Voix françaises
7 Notes et références
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Liens externes
Biographie |
Jeunesse et formation |
Mel Gibson est le sixième des onze enfants (six filles et cinq garçons) d'Hutton Gibson et d'Anne Reilly Gibson. Sa mère est d'origine irlandaise et sa grand-mère paternelle, Eva Mylott, était une chanteuse d'opéra australienne. Un de ses frères, Donal, est également acteur. En 1968, la famille Gibson s'installe en Australie alors que Mel est âgé de douze ans, son père venant de gagner son procès pour un accident du travail contre son employeur et ayant reçu 145 000 $ à titre de compensation.
Pour la famille Gibson, l'émigration en Australie est un signe de protestation contre la guerre du Viêt Nam à un moment où l'aîné risque d'être appelé sous les drapeaux. C'est aussi pour Hutton Gibson, catholique fervent, le moyen de protester contre la « décadence morale » qu'il voit dans la transformation des mœurs de la société américaine[1]. À la suite des bouleversements liturgiques et théologiques de Vatican II, Hutton Gibson est en effet devenu traditionaliste. Habitué des offices de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, il en fonde la chapelle à Sydney.
Travaillant d'abord aux côtés de ses frères dans une usine, Mel Gibson trouvera sa vocation d'acteur grâce à sa sœur qui l'incite à se présenter aux auditions de l'Institut national d'art dramatique de Sydney. Il réussit les épreuves et sera formé pendant trois ans aux pratiques du théâtre. C'est durant ces années qu'il commence à se présenter à des castings[2], et se lie d'amitié avec des futurs acteurs célèbres comme Steve Bisley et Geoffrey Rush, avec qui il partage un appartement.
Carrière |
Années 1980 : débuts et révélation internationale |
En 1977, à l'âge de 21 ans, Mel Gibson commence sa carrière d'acteur dans la série télévisée The Sullivans et le film Summer City. Après une bagarre dans un bar, il accompagne un ami au casting d'un film à petit budget, Mad Max de George Miller. Son allure de bad boy lui permet de décrocher le rôle et c'est ainsi qu'il connaîtra le succès en incarnant le héros de ce qui deviendra le film australien le plus rentable de tous les temps. Contre toute attente, Mel Gibson est propulsé au rang de star du cinéma et reprendra le personnage de Max Rockatansky dans les deux suites qui imposeront la saga comme l'une des références de la science-fiction post-apocalyptique (Mad Max 2 : Le Défi et Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre). Son nouveau statut ne l'empêche pas de varier ses rôles, en témoignent ses prestations d'attardé mental dans Tim et de jeune soldat inconscient dans Gallipoli de Peter Weir. Ces deux interprétations lui permettent de gagner ses galons critiques, puisqu'il remporte deux fois le Prix du Meilleur acteur de la part de l'Australian Film Institute. Il retourne ensuite sous la direction de Peter Weir dans L'Année de tous les dangers aux côtés de Sigourney Weaver.
En 1984, Mel Gibson reprend le rôle de Fletcher Christian dans le film britannique Le Bounty, aux côtés d'acteurs réputés comme Anthony Hopkins, Liam Neeson et Daniel Day-Lewis. Devenu une vedette internationale réclamée par le cinéma américain, il revient dans son pays natal où il tourne la même année le film La Rivière.
En 1987, il confirme son statut de star hollywoodienne pour son rôle de flic suicidaire dans L'Arme fatale (Lethal Weapon) de Richard Donner. Ce film d'action entre polar et comédie est un énorme succès mondial. Son duo mouvementé avec Danny Glover marque à jamais le cinéma américain et lui permet de devenir l'un des acteurs les mieux payés du monde.
Années 1990 : consécration commerciale et critique |
Alors que s'égrènent durant cette décennie les aventures de Martin Riggs et Roger Murtaugh, avec L'Arme fatale 2, L'Arme fatale 3 et L'Arme fatale 4, qui voient vieillir les personnages, et feront un tabac à chaque sortie, malgré une tonalité familiale chaque fois de plus en plus marquée, l'acteur multiplie les projets, et se diversifie. Les propositions de rôles deviennent de plus en plus nombreuses, et il en refuse beaucoup, comme celui de Bruce Wayne dans le Batman de Tim Burton (il pensait que le film ferait un flop[3]), celui de John McClane dans Piège de cristal, celui d'Elliott Ness dans Les Incorruptibles de Brian De Palma, ainsi que des rôles dans Les Affranchis et dans Abyss.
En 1990, l'acteur s'écarte des blockbusters pour tenter la tragédie classique, en interprétant Hamlet dans le film de Franco Zeffirelli. Il en profite pour créer sa société Icon Productions avec son associé Bruce Davey, afin de produire des films plus intimistes comme Forever Young et L'Homme sans visage, qui marque ses débuts à la réalisation. Ce virage vers des œuvres plus personnelles ne l'empêche pas de retourner dans des films grand public, et c'est ainsi qu'il retrouve Richard Donner pour le western Maverick, aux côtés de Jodie Foster et James Garner.
En 1995, Mel Gibson s'attaque à son œuvre la plus ambitieuse, le film historique Braveheart, dans lequel il incarne le révolutionnaire écossais William Wallace. Ce grand succès public et critique relance les films épiques dans le cinéma hollywoodien et permet à Mel Gibson de remporter l'Oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur, ainsi que le Golden Globe du meilleur réalisateur.
Entretemps, il prête sa voix au capitaine John Smith dans le film d'animation Pocahontas : une légende indienne des studio Disney. Après ces triomphes au box-office, il enchaîne les films policiers, qui l'amènent vers un cinéma de plus en plus noir : (La Rançon, Complots, Payback) tout en s'essayant au film d'auteur avec The Million Dollar Hotel de Wim Wenders. La même année, à l'opposé, il double son avatar animé dans la série télévisée Les Simpson, lors du 1er épisode de la onzième saison de la série, intitulé Mel Gibson les cloches.
Années 2000 : apogée et controverses |
En 2000, Mel Gibson poursuit dans le doublage pour le film d'animation Chicken Run, mais reprend surtout le combat pour le film de guerre The Patriot, de Roland Emmerich, et Nous étions soldats de Randall Wallace, le scénariste de Braveheart.
Parallèlement, il s'essaie à la comédie romantique avec Ce que veulent les femmes de Nancy Meyers et retrouve la science-fiction dans Signes de M. Night Shyamalan. L'acteur est au sommet puisque ces deux derniers films font les meilleures recettes de sa carrière et permettent à ses cachets de s’élever jusqu'à 25 000 000 $[4].
En 2003, Mel Gibson écrit, produit et réalise le péplum biblique La Passion du Christ. Cette reconstitution des douze dernières heures de Jésus Christ fait énormément de bruit car il a choisi de la tourner en araméen, en hébreu et en latin. Les critiques du film sont très partagées, déplorant les scènes extrêmement violentes et le message supposé antisémite. Cela ne l'empêche pas de battre des records au box-office en devenant le plus grand succès pour un film indépendant et d'être nommé pour trois Oscars. Ces rentrées financières lui permettent de lancer un projet plus risqué : en 2006, il poursuit en effet sa carrière de réalisateur avec Apocalypto, une fresque brutale sur l'empire maya avant sa conquête par les Espagnols, avec une distribution d'acteurs quasi-inconnus de nationalité amérindienne ou mexicaine. Là encore, la sortie du film est accompagnée de nombreux débats quant à la direction prise par le cinéma de Gibson. Mais c'est surtout une image publique de plus en plus controversée qui l'amène à s'éloigner par la suite des plateaux.
Années 2010 : retrait, seconds rôles et grand retour |
En 2010, après six ans d'absence en tant qu'acteur, il revient devant la caméra pour le thriller d'action Hors de contrôle, de Martin Campbell. Mais c'est en 2011 qu'il livre une interprétation étonnante en tête d'affiche du film indépendant Complexe du Castor, de Jodie Foster, à qui il avait autrefois donné la réplique dans Maverick, et devenue depuis une amie proche.
Il enchaîne avec le petit film d'action Get the Gringo, dont il signe aussi le scénario, mais qui passe inaperçu.
L'acteur se contente donc de seconds rôles dans des projets mineurs : il incarne l'opposant principal des films Machete Kills potacherie d'action signée Robert Rodriguez et le blockbuster vintage Expendables 3, où il prête ses traits à Conrad Stonebanks, un dangereux et redoutable trafiquant d'armes.
En 2015, c'est sous la direction du metteur en scène français Jean-François Richet, pour l'adaptation du roman Blood Father de Peter Craig, qu'il prépare son retour : il y incarne un ancien détenu essayant de protéger son enfant de dangereux trafiquants de drogue[5].
La même année, il est choisi par le réalisateur Xiao Feng afin d'occuper le poste de directeur artistique du film The Bombing, œuvre relatant le bombardement de la ville de Chongqing par les forces armées japonaises durant la Seconde Guerre mondiale. L'armée, sous le commandement de Chiang Kai-Shek, utilisait la ville pour se ravitailler. The Bombing sera réalisé en 3D. Bruce Willis obtient un rôle dans le casting.
Il dirige ensuite son 5e long métrage, Tu ne tueras point (Hacksaw Ridge), avec Andrew Garfield dans le rôle de Desmond Doss, premier objecteur de conscience à avoir remporté la Medal of Honor pour son courage pendant la bataille d'Okinawa durant la Seconde Guerre mondiale. Le film sort fin 2016 et lui vaut d'obtenir une nomination au Golden Globe du meilleur réalisateur[6] et plusieurs distinctions. L'œuvre du cinéaste est également nommée dans 6 catégories dont meilleur acteur, meilleur film et meilleur réalisateur, aux Oscars 2017. Parallèlement, Tu ne tueras point permet à Gibson de renouer avec le succès commercial, puisqu'il totalise près de 175 millions de $ de recettes mondiales, pour un budget de 40 millions $[7],[8]. L'accueil critique est plus contrasté : ainsi en France, Écran large ("impeccable de tenue et de construction dramatique"[9]) ou 20 minutes ("fresque dont le souffle épique laisse le spectateur sonné par sa puissance et sa virtuosité"[9]) le portent aux nues, tandis que Le Monde exprime son malaise face au "prosélytisme" du réalisateur qui voudrait à la fois "élever l’âme et satisfaire les plus bas instincts du spectateur"[10], et que La Croix le juge "abject et complaisant"[11].
La même année, il est annoncé en tant que réalisateur de la mini-série The Barbary Coast, d'après l'auteur Herbert Asbury , dont la trame est située à San Francisco durant la ruée vers l'or de 1850. Kurt Russell et Kate Hudson tiennent les rôles principaux[12]. Il croisera ensuite Sean Penn pour le film The Professor and the Madman de Farhad Safinia, coscénariste de Apocalypto[13].
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En 2018, Mel Gibson joue aux côtés de Naomi Watts dans le film Boss Level signé Joe Carnahan, oeuvre d'anticipation attendue en 2019. Par la suite l'acteur réalisera son sixième long métrage Destroyer : Hell from the Heavens, avec Mark Wahlberg dans le rôle principal.
Vie privée |
Mel Gibson a épousé Robyn Moore le 7 juin 1980, dans la ville de Forestville, en Nouvelle-Galles du Sud (Australie). Le couple a donné naissance à sept enfants (une fille et six garçons)[14] : Hannah, Edward, Christian, William, Louis, Milo et Tommy. Sa fille Hannah Gibson s'est mariée au musicien Kenny Wayne Shepherd le 16 septembre 2006. En avril 2007, son épouse Robyn demande le divorce après 27 ans de mariage.
Le 30 octobre 2009, sa fiancée Oksana Grigorieva met au monde une fille nommée Lucia. C'est le 8e enfant de Mel Gibson. Oksana et Mel se sont séparés en avril 2010[15].
Il fréquente, depuis 2015, la cavalière et scénariste Rosalind Ross[16]. En septembre 2016, il est annoncé que Rosalind attend un enfant, il s'agira du neuvième pour Mel et du premier pour Rosalind[17]. Elle donne naissance en janvier 2017 à un garçon prénommé Lars Gerard.
Selon le Los Angeles Times, Mel Gibson possédait un patrimoine de 850 millions de dollars en 2006, ce qui faisait de lui l'acteur le plus riche de Los Angeles et la 47e plus grosse fortune de cette ville[18]. Ses propriétés incluent une villa à Malibu, une île privée dans les Fidji, ainsi que des ranch en Australie et au Costa Rica[19]. Cependant, son divorce lui a coûté 400 millions de dollars[20] et reste jusqu'à présent le plus cher de l'histoire d'Hollywood.
Controverses |
Mel Gibson ne s'est jamais publiquement identifié aux conservateurs républicains américains en dépit d'affirmations contraires dans des journaux comme le Washington Times ou le site WorldNetDaily. Il devait produire le film de Michael Moore, Fahrenheit 9/11, mais avait finalement cédé ses droits à Miramax. Moore avait alors affirmé que les républicains avaient intimidé Mel Gibson. En 1995, dans une interview à Playboy Magazine, il s'en était pris au président Bill Clinton en qui il voyait un opportuniste de bas niveau. Opposé à la guerre en Irak, Mel Gibson a indiqué en 2006 que dans certains événements ou personnages de son film Apocalypto, il y avait un peu du président « George W. Bush et de ses gars ».
Selon Wensley Clarkson, auteur d'une biographie non autorisée de Mel Gibson, l'acteur connaîtrait des problèmes avec l'alcool depuis l'adolescence. En 1984, il était déjà arrêté pour conduite en état d'ivresse à Toronto, au Canada. En 2004, dans une interview à Diane Sawyer, il reconnut avoir abusé de drogues dans le passé au même titre que de l'alcool[21]. Le 28 juillet 2006, Mel Gibson est arrêté en état d'ivresse et tient des propos antisémites. Il présentera ses excuses, le 1er août 2006, à la communauté juive, excuses qui furent acceptées par l'organisation Anti-Defamation League. Le 17 août 2006, il plaide coupable et est condamné à trois ans de probation. Il annonce alors s'être inscrit à un programme de désintoxication. Ses déboires lui ont valu d'être parodié dans la série télévisée South Park (épisode La Passion du Juif), où il est décrit comme un dangereux sado-masochiste, et dans Big Movie où il est en prison à la suite de son arrestation pour conduite en état d'ivresse.
Mel Gibson est catholique traditionaliste tandis que son ex-femme est anglicane. Très pratiquant, attaché à la messe tridentine, il a publiquement dénoncé les recherches sur les cellules souches à partir d'embryons humains. Bien que n'en faisant pas de publicité particulière, Mel Gibson participe à de nombreuses actions philanthropiques ou d'œuvres de charité comme Healing the Children.
Philanthropie |
La famille Gibson n'a pas pour habitude de communiquer au sujet de son engagement humanitaire, cependant on a su qu'ils ont soutenu des institutions en leur donnant des sommes substantielles. Parmi ces institutions se trouve Healing the Children. D'après Cris Embleton, l'un de ses fondateurs, les Gibson ont donné plusieurs millions de dollars pour financer des traitements médicaux pour les enfants dans le besoin à travers le monde. Les Gibson ont aussi soutenu les arts : ils ont financé la restauration d'œuvres d'art de la Renaissance et donné plusieurs millions de dollars au NIDA, où Mel Gibson avait fait ses classes.
Pendant le tournage d'Apocalypto au Mexique, Mel Gibson a donné 1 million de dollars au Rotary Club pour construire des maisons pour les personnes qui avaient perdu leur toit à la suite d'une inondation, dans la région de Yucatan. Le réalisateur a commenté son geste : « Ils ont beaucoup d'inondations là-bas. C'était comme en Louisiane, dans ces régions plus au sud. Ils ont connu une très importante inondation et quelque chose comme un million de personnes se sont retrouvées déplacées et dépouillées. J'ai toujours en tête que si vous allez dans le pays de quelqu'un d'autre pour faire un film, vous n'y allez pas pour juste profiter des lieux. Vous apportez un cadeau. C'est comme aller dans la maison de quelqu'un. Vous leur apportez une bouteille de vin, un bouquet de fleurs ou une boite de chocolat et c'est le même genre de chose sur une plus grande échelle quand vous allez dans le pays de quelqu'un et qu'ils vont vous aider à faire votre film. Vous les aidez d'abord d'une certaine manière ou bien vous leur donnez un cadeau ou alors vous les aidez de la manière que vous pouvez. C'est pourquoi nous les avons en quelque sorte aidés pour les dégâts liés à l'inondation. ».
Mel Gibson a fait don de 500 000 dollars au El Mirador Basin Project pour protéger la dernière piste à travers la forêt vierge en Amérique centrale et pour poursuivre les recherches archéologiques concernant la civilisation des Mayas. En juillet 2007, il a visité de nouveau l'Amérique centrale pour faire des dons et organiser leur utilisation pour la population indigène. Il est même allé jusqu'à rencontrer Óscar Arias Sánchez, le président du Costa Rica. Il a aussi financé la construction d'une église pouvant accueillir 400 personnes par un don de 37 millions de dollars dans les collines de Malibu (Californie), où il habite. Par ailleurs, Mel Gibson possède la compagnie qui effectuera ces travaux. Des messes respectant la forme tridentine du rite romain y sont célébrées chaque matin. Il s'engage pour la cause des enfants défavorisés à travers son association Mending Kids dont les fonds servent à soigner des enfants malades[réf. nécessaire].
Mel Gibson s'est impliqué aussi de manière discrète en soutenant personnellement d'autres artistes qui ont souffert de dépendance pour des substances addictives. Il est notamment intervenu pour soutenir Robert Downey Jr., son ancien partenaire d'Air America, quand celui-ci était incarcéré à la Corcoran State Prison. La chanteuse de rock Courtney Love a remercié Mel Gibson de l'avoir sauvée d'une rechute dans la drogue après que l'acteur eut aidé à la faire réhabiliter. Il a vu la chanteuse dans un hôtel de Los Angeles, alors qu'elle recommençait à prendre de la drogue. Mel Gibson avait aussi aidé Britney Spears quand elle traversait sa période la plus difficile en 2008[22].
Filmographie |
Acteur |
Années 1970 |
1976 : The Sullivans (en) (série télévisée australienne) : Ray Henderson
1977 : Jamais je ne t'ai promis un jardin de roses (I Never Promised You a Rose Garden) d'Anthony Page : Un joueur de baseball (non crédité)
- 1977 : Summer City de Christopher Fraser : Scollop
1979 : The Hero de Martin Williams (téléfilm) : Rob Mulligan- 1979 : Mad Max de George Miller : « Mad » Max Rockatansky
- 1979 : Tim de Michael Pate : Tim
Années 1980 |
1980 : Réaction en chaîne (The Chain Reaction) de Ian Barry (en) : Le mécanicien barbu (non crédité)
1981 : Punishment (en) (série télévisée australienne) : Rick Monroe- 1981 : Gallipoli de Peter Weir : Frank Dunne
- 1981 : Tickled Pink (série télévisée australienne, saison 2, épisode 3, Honeymoon Honeymoon)
- 1981 : Mad Max 2 (Mad Max 2: The Road Warrior) de George Miller : « Mad » Max Rockatansky
1982 : Force de frappe (Attack Force Z) de Tim Burstall (en) : Le capitaine Paul Kelly- 1982 : L'Année de tous les dangers (The Year of Living Dangerously) de Peter Weir : Guy Hamilton
1984 : Le Bounty (The Bounty) de Roger Donaldson : Fletcher Christian
- 1984 : La Rivière (The River) de Mark Rydell : Tom Garvey
- 1984 : Mrs. Soffel de Gillian Armstrong : Ed Biddle
1985 : Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre (Mad Max: Beyond Thunderdome) de George Miller et George Ogilvie : « Mad » Max Rockatansky
1987 : L'Arme fatale (Lethal Weapon) de Richard Donner : Martin Riggs
1988 : Tequila Sunrise de Robert Towne : Dale « Mac » McKussic
1989 : L'Arme fatale 2 (Lethal Weapon 2) de Richard Donner : Martin Riggs
Années 1990 |
1990 : Comme un oiseau sur la branche (Bird on a Wire) de John Badham : Rick Jarmin- 1990 : Air America de Roger Spottiswoode : Gene Ryack
- 1990 : Hamlet de Franco Zeffirelli : Hamlet
1991 : Mel Gibson Goes Back to School de Mel Gibson (documentaire pour HBO) : Lui-même
1992 : L'Arme fatale 3 (Lethal Weapon 3) de Richard Donner : Martin Riggs
- 1992 : Earth and the American Dream de Bill Couturié (documentaire) : Un des narrateurs
- 1992 : Forever Young de Steve Miner : Le capitaine Daniel McCormick
1993 : The Chili Con Carne Club de Jonathan Kahn (court-métrage) : Mel- 1993 : L'Homme sans visage (The Man Without a Face) de Mel Gibson : Justin McLeod
1994 : Maverick de Richard Donner : Bret Maverick
1995 : Braveheart de Mel Gibson : William Wallace
- 1995 : Casper de Brad Silberling : Lui-même (non crédité)
- 1995 : Pocahontas : une légende indienne (Pocahontas) de Mike Gabriel et Eric Goldberg : John Smith (voix dans la version originale)
1996 : La Rançon (Ransom) de Ron Howard : Tom Mullen
1997 : La Fête des pères (Father's Day) d'Ivan Reitman : Scotty, un perceur professionnel (non crédité)
- 1997 : Complots (Conspiracy Theory) de Richard Donner : Jerry Fletcher
- 1997 : Le Mystère des fées : Une histoire vraie (FairyTale: A True Story) de Charles Sturridge : Le père de Frances (non crédité)
1998 : L'Arme fatale 4 (Lethal Weapon 4) de Richard Donner : Martin Riggs
1999 : Les Simpson (The Simpsons) (série animée, saison 11, épisode 1, Beyond Blunderdome) : Lui-même (voix dans la version originale)
- 1999 : Payback de Brian Helgeland : Porter
Années 2000 |
2000 : The Million Dollar Hotel de Wim Wenders : L'inspecteur Skinner- 2000 : Chicken Run de Peter Lord et Nick Park : Rocky (voix dans la version originale)
- 2000 : The Patriot de Roland Emmerich : Capitaine/Colonel Benjamin Martin
- 2000 : Ce que veulent les femmes (What Women Want) de Nancy Meyers : Nick Marshall
2001 : The Quest for Captain Kidd de Charles Vanderpool (téléfilm) : Le narrateur
2002 : Nous étions soldats (We Were Soldiers) de Randall Wallace : Le lieutenant-colonel Hal Moore- 2002 : Signes (Signs) de M. Night Shyamalan : Graham Hess
2003 : The Singing Detective de Keith Gordon : Le Dr Gibbon
2004 : Paparazzi : Objectif chasse à l'homme (Paparazzi) de Paul Abascal : Le patient de la thérapie contre l'énervement (non crédité)
- 2004 : Les Sauvages (Complete Savages) (série télévisée, saison 1, épisodes 5, 10 et 19) : L'inspecteur Steve Cox
Années 2010 |
2010 : Hors de contrôle (Edge of Darkness) de Martin Campbell : Thomas Craven
2011 : Le Complexe du castor (The Beaver) de Jodie Foster : Walter Black
2012 : Kill the Gringo (Get the Gringo) d'Adrian Grunberg : Barns, Le chauffeur
2013 : Machete Kills de Robert Rodriguez : Luther Voz
2014 : Expendables 3 (The Expendables 3) de Patrick Hughes : Conrad Stonebanks
2016 : Blood Father de Jean-François Richet : John Link
2017 : Very Bad Dads 2 (Daddy's Home 2) de Sean Anders : Mr. Mayron
2018 : Dragged Across Concrete de S. Craig Zahler : Brett Ridgeman
2019 : Boss Level (en) de Joe Carnahan : Clive Ventor (en postproduction)
Années 2020 |
- 2020 : Waldo de Tim Kirby
- 2020 : The Professor and the Madman de Farhad Safinia : Professeur James Murray (en postproduction)
L'Arme Fatale 5 de Richard Donner : Martin Riggs (projet)
Réalisateur |
1991 : Mel Gibson Goes Back to School (documentaire pour HBO)
1993 : L'Homme sans visage (The Man Without a Face)
1995 : Braveheart
2004 : La Passion du Christ (The Passion of the Christ)
2004 : Les Sauvages (Complete Savages) (série télévisée, saison 1, épisodes 1, 2 et 11)
2006 : Apocalypto
2016 : Tu ne tueras point (Hacksaw Ridge)- 2020 : Destroyer (en projet)
- 2021 : La Horde Sauvage : remake (en projet)
- ? : La Résurrection du Christ (en projet)
Scénariste |
2004 : La Passion du Christ (The Passion of the Christ) de Mel Gibson
2004 : Les Sauvages (Complete Savages) (série télévisée, saison 1, épisode 4)
2006 : Apocalypto de Mel Gibson
2011 : The Brain Storm de Jeff Roe (court-métrage)
2012 : Kill the Gringo (Get the Gringo) d'Adrian Grunberg
Producteur |
(sont répertoriés ici les films auxquels il a participé en tant que producteur ou producteur délégué, et non l'ensemble des films produits par sa société de production, Icon Productions)
1992 : Forever Young de Steve Miner (producteur délégué, non crédité)
1995 : Braveheart de Mel Gibson (producteur)
2000 : The Three Stooges de James Frawley (téléfilm) (producteur délégué)
2001 : Invincibles (Invincible) de Jefery Levy (téléfilm) (producteur délégué)
2003 : Family curse (téléfilm)(producteur délégué)
2003 : The Singing Detective de Keith Gordon (producteur)
2004 : La Passion du Christ (The Passion of the Christ) de Mel Gibson (producteur)
2004 : Paparazzi : Objectif chasse à l'homme (Paparazzi) de Paul Abascal(producteur)
2004 : Evel Knievel (en) de John Badham (téléfilm) (producteur délégué)
2004 : Les Sauvages (Complete Savages) (série télévisée)(producteur délégué)
2004 : Clubhouse (série télévisée, saison 1, épisodes 1, 2 et 6)(producteur délégué)
2005 : Leonard Cohen: I'm Your Man de Lian Lunson (documentaire)(producteur délégué)
2006 : Apocalypto de Mel Gibson (producteur)
2008 : Carrier (en) (série documentaire) (producteur délégué)
2008 : Another Day in Paradise de Deborah Dickson (documentaire)(producteur)
2012 : Kill the Gringo (Get the Gringo) d'Adrian Grunberg (producteur)
2014 : Hysteria (Stonehearst Asylum) de Brad Anderson (producteur)
2017 : The Professor and the Madman de Farhad Safinia
Directeur artistique |
2018 : Les Sentinelles du Pacifique (Air Strike) de Xiao Feng
Box-office |
Cette liste reprend les plus grands succès commerciaux de Mel Gibson, c'est-à-dire uniquement les films ayant dépassé les 100 000 000 $ au box-office mondial. Au total, l'acteur-réalisateur a rapporté 5 053 469 379 $ aux studios pour lesquels il a tourné[7].
Film | Distributeur | Budget | États-Unis [7] | France [23] | Monde [7] |
---|---|---|---|---|---|
La Passion du Christ | Icon | 30 000 000 $ | 370 782 930 $ | 1 762 563 entrées | 611 899 420 $ |
Signes | Touchstone | 72 000 000 $ | 227 966 634 $ | 2 059 812 entrées | 408 247 917 $ |
Ce que veulent les femmes | Paramount | 70 000 000 $ | 182 811 707 $ | 3 014 191 entrées | 374 111 707 $ |
Pocahontas : une légende indienne | Walt Disney | 55 000 000 $ | 141 579 773 $ | 5 639 591 entrées | 346 079 773 $ |
L'Arme fatale 3 | Warner Bros | 35 000 000 $ | 144 731 527 $ | 4 480 670 entrées | 321 731 527 $ |
La Rançon | Touchstone | 80 000 000 $ | 136 492 681 $ | 2 193 932 entrées | 309 492 681 $ |
L'Arme fatale 4 | Warner Bros | 140 000 000 $ | 130 444 603 $ | 3 303 483 entrées | 285 444 603 $ |
L'Arme fatale 2 | Warner Bros | 25 000 000 $ | 147 253 986 $ | 1 844 828 entrées | 227 853 986 $ |
Chicken Run | DreamWorks | 42 000 000 $ | 106 834 564 $ | 3 152 330 entrées | 224 834 564 $ |
The Patriot | Columbia | 110 000 000 $ | 113 330 342 $ | 1 160 975 entrées | 215 294 342 $ |
Braveheart | 20th Century Fox Paramount | 53 000 000 $ | 75 609 945 $ | 1 231 534 entrées | 210 409 945 $ |
Expendables 3 | Lionsgate | 90 000 000 $[24] | 39 322 544 $ | 1 063 124 entrées | 214 657 577 $ |
Maverick | Warner Bros | 40 000 000 $ | 101 631 272 $ | 1 425 544 entrées | 183 031 272 $ |
Payback | Paramount Warner Bros | 90 000 000 $ | 81 526 121 $ | 1 400 025 entrées | 161 626 121 $ |
Tu ne tueras point | Summit Entertainment Icon Films Distribution | 40 000 000 $ | 66 386 078 $ | 542 664 entrées | 164 080 491 $ |
Comme un oiseau sur la branche | Universal | 20 000 000 $ | 70 978 012 $ | 787 034 entrées | 138 697 012 $ |
Complots | Warner Bros | 75 000 000 $ | 75 982 834 $ | 1 202 722 entrées | 136 982 834 $ |
Forever Young | Warner Bros | 21 000 000 $ | 55 956 187 $ | 1 105 415 entrées | 127 956 187 $ |
Apocalypto | Touchstone | 40 000 000 $ | 50 866 635 $ | 442 730 entrées | 120 654 337 $ |
L'Arme fatale | Warner Bros | 15 000 000 $ | 65 207 127 $ | 1 857 521 entrées | 120 207 127 $ |
Nous étions soldats | Paramount | 75 000 000 $ | 78 122 718 $ | 156 815 entrées | 114 660 784 $ |
Tequila Sunrise | Warner Bros | 23 000 000 $ | 41 292 551 $ | 397 563 entrées | 105 932 000 $ |
Cachets |
Cette liste reprend les cachets fixes significatifs du moins élevé au plus élevé de la carrière de Mel Gibson.
Année | Film | Cachet[25],[26] |
---|---|---|
1977 | Summer City | 400 AU$ |
1979 | Mad Max | 15 000 AU$ |
1985 | Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre | 1 200 000 AU$ |
1992 | L'Arme fatale 3 | 10 000 000 $ |
1994 | Maverick | 15 000 000 $ |
1996 | La Rançon | 20 000 000 $ |
1997 | Complots | 20 000 000 $ |
1998 | L'Arme fatale 4 | 20 000 000 $ |
2000 | The Patriot : Le Chemin de la liberté | 25 000 000 $ |
2000 | Chicken Run | 1 000 000 $ |
2002 | Signes | 25 000 000 $ |
2002 | Nous étions soldats | 25 000 000 $ |
Distinctions |
Récompenses |
Cette liste reprend les récompenses les plus prestigieuses remises à Mel Gibson.
Récompense | Année | Catégorie | Film |
---|---|---|---|
Australian Film Institute Award | 1979 | Meilleur acteur | Tim[27] |
1981 | Gallipoli[27] | ||
MTV Movie Awards | 1993 | Meilleure scène d'action | L'Arme fatale 3[27] |
1993 | Meilleur duo à l'écran | L'Arme fatale 3[27] | |
Oscar | 1996 | Meilleur film | Braveheart[27] |
1996 | Meilleur réalisateur | Braveheart[27] | |
Golden Globes | 1996 | Meilleur réalisateur | Braveheart[27] |
Critics' Choice Movie Award | 1996 | Meilleur réalisateur | Braveheart[27] |
Blockbuster Entertainment Award | 1997 | Meilleur acteur | La Rançon[27] |
1998 | Complots[27] | ||
2000 | The Patriot[27] | ||
Festival du film de Hollywood | 2016 | Meilleur réalisateur | Tu ne tueras point[28] |
Nominations |
1983 : Saturn Award de la meilleure performance masculine dans un film d'action pour Mad Max 2 (1981)
1983 : Australian Film Institute de la meilleure performance masculine dans un film d'action pour L'Année de tous les dangers (1982)
1993 : MTV Movie Awards du meilleur baiser dans un film d'action pour L'Arme fatale 3 (1992) partagé avec Rene Russo
1993 : MTV Movie Awards de l'homme le plus désirable dans un film d'action pour L'Arme fatale 3 (1992)
1993 : MTV Movie Awards de la meilleure scène d'action pour L'Arme fatale 3 (1992)
1996 : MTV Movie Awards de l'homme le plus désirable
1996 : MTV Movie Awards de la meilleure performance masculine dans un film dramatique pour Braveheart (1995)
1996 : Nomination au David Lean Award lors des BAFTA Awards pour sa réalisation pour Braveheart (1995)
1996 : Directors Guild of America du meilleur réalisateur pour Braveheart (1995)
1997 : Golden Globes de la meilleure performance masculine dans un film dramatique pour La rançon (1996)
1999 : Blockbuster Entertainment Awards du meilleur duo dans un film d'action pour L'Arme fatale 4 (1998) partagé avec Danny Glover
1999 : MTV Movie Awards de la meilleure scène d'action dans un film d'action pour L'Arme fatale 4 (1998) partagé avec Danny Glover
2000 : Blockbuster Entertainment Awards du meilleur acteur un film d'action pour Payback (1999)
2001 : Blockbuster Entertainment Awards du meilleur acteur dans une comédie romantique pour Ce que veulent les femmes (2000)
2001 : Golden Globes de la meilleure performance masculine dans un film dramatique pour Ce que veulent les femmes (2000)
2001 : MTV Movie Awards de la meilleure performance masculine dans un film dramatique pour The Patriot (2000)
2001 : Kids' Choice Awards de la meilleure voix dans un film d'animation pour Chicken Run (2000)
2003 : Fangoria Chainsaw Awards du meilleur acteur dans un film dramatique pour Signes (2002)
2007 : BAFTA Awards du meilleur film en langue non anglais pour Apocalypto (2006)
2007 : Saturn Award du meilleur réalisateur dans le film dramatique Apocalypto (2006)- 2014 : Globe de Crystal pour sa contribution à l'industrie cinématographique (2014)
- 2016 : Critic's Choice Movie Award du meilleur film pour Tu ne tueras point (2016)
- 2016 : Hollywood Director Film Award pour Tu ne tueras point (2016)
- 2016 : Huading Global Film Award pour Tu ne tueras point (2016)
- 2016 : Critic's choice Award Best action movie pour Tu ne tueras point (2016)
- 2017 : ACCTA Internationale du meilleur réalisateur pour Tu ne tueras point (2017)
- 2017 : ACCTA Award du Meilleur Film pour Tu ne Tueras point (2017)
- 2017 : AFI Awards 2016 Honoring a year of excellence Epic American War Movie pour Tu ne tueras point (2017)
Autres distinctions |
En 1985, il est le premier à être élu « Homme le plus sexy » par le magazine People[29].
En 1995, il refuse discrètement de se faire conférer le grade de chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres, en protestation contre la reprise des essais nucléaires en Polynésie française.
Le 25 juillet 1997, Mel Gibson est nommé officier de l'ordre d'Australie (AO) en reconnaissance de ses « services pour l'industrie du film australien ».
En 2004, Time magazine le choisit avec Michael Moore pour être « la personnalité de l'année » mais il refuse les séances photos et l'interview. La couverture montre finalement George W. Bush.
Voix françaises |
En France, Jacques Frantz est la voix française régulière de Mel Gibson depuis le troisième volet de Mad Max. Il y a eu cependant quelques exceptions comme La Fête des pères.
Au Québec, Hubert Gagnon est la voix la plus courante de l'acteur[30].
- En France
|
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- Au Québec
- Note' : la liste indique les titres québécois.
Hubert Gagnon[30] dans :
- L'Arme Fatale
- L'Arme Fatale 3
- Une seconde chance
- L'Homme sans visage
- Maverick
- Cœur Vaillant
- Rançon
- Complot Mortel
- Le Règlement
- Ce que femme veut
- Nous étions soldats
- Signes
- La Frontière des Ténèbres
- Prison tout inclus
- Les Sacrifiés 3
Denis Mercier dans L'Arme fatale 4[30]
Sylvain Hétu dans Le Retour de papa 2
Notes et références |
Biographie sur www.cinemapassion.com
http://www.cinemapassion.com/fiche-personnalite-155.php
http://www.justcinema.net/article-ces-acteurs-qui-ont-refuse-des-roles-de-legende-113861178.html
http://www.the-numbers.com/people/MGIBS.php
Brigitte Baronnet, « Jean-François Richet dirige Mel Gibson en ancien taulard », sur Allociné, 28 juin 2015.
https://www.ladepeche.fr/article/2016/12/12/2477217-golden-globes-mel-gibson-nomme-pour-tu-ne-tueras-point.html
(en) « Mel Gibson Movie Box Office Results », sur Box Office Mojo (consulté le 7 avril 2018).
http://www.the-numbers.com/movie/Hacksaw-Ridge#tab=summary
« Andrew Garfield: «Mel Gibson était comme un général dirigeant ses troupes au milieu du chaos» », sur www.20minutes.fr (consulté le 8 octobre 2017).
Thomas Sotinel, « « Tu ne tueras point » : sermon gore », Le Monde.fr, 8 novembre 2016(lire en ligne).
« « Tu ne tueras point », l’obscénité de Mel Gibson », La Croix, 7 novembre 2016(ISSN 0242-6056, lire en ligne).
(en) « Mel Gibson, Kate Hudson and Kurt Russell Team for ‘Barbary Coast’ TV Series », sur Variety, 18 avril 2016(consulté le 2 août 2016).
« Mel Gibson et Sean Penn réunis dans "Professor and the Madman" », sur La Dépêche du Midi (consulté le 2 août 2016).
http://www.quelprenom.com/prenom_enfant_celebrite.php?star_id=28
La rédaction, « Oksana Grigorieva revient sur sa rupture avec Mel Gibson », Voici.fr, 21 avril 2010(lire en ligne)
http://www.telestar.fr/2016/photos/festival-de-cannes-2016-mel-gibson-et-sa-petite-amie-de-24-ans-complices-sur-le-tapis-rouge-photos-210307
Closermag.fr, « Mel Gibson papa pour la 9ème fois : sa compagne Rosalind Ross est enceinte », Closermag.fr, 17 septembre 2016(lire en ligne)
« Mel Gibson : acteur le plus riche de Los Angeles », 16 mai 2006.
« Les sept enfants de Mel Gibson refusent de lui parler ! », actustar.com, 24 avril 2009.
« Ce que veut l'ex-femme », Le Figaro Madame, 2 décembre 2011.
« How Despairing Gibson Found 'The Passion' », sur ABC news, 17 février 2004
Britney peut compter sur son amitié avec Mel Gibson, Metly.fr.
http://www.jpbox-office.com/fichacteur.php?id=254
Bruce Willis 'wanted $1m a day for Expendables 3'.
Salaire de Mel Gibson sur the-movie-times.
(en) « Mel Gibson - Box Office Data Movie Star », the-numbers.com (consulté le 17 avril 2011)
http://www.oceleb.com/mel-gibson/awards.html
(en-US) « 2016 Honorees | Hollywood Film Awards », Hollywood Film Awards, 2016(lire en ligne)
http://www.people.com/people/gallery/0,,1113899_612349_617267,00.html
« Comédiens ayant doublé Mel Gibson au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 3 novembre 2014.
« Comédiens ayant doublé Mel Gibson en France » sur RS Doublage
http://www.allodoublage.com/acteurs_vo/definition.php?val=111_gibson+mel
Voir aussi |
Bibliographie |
- David Da Silva, Mel Gibson: Le bon, la brute et le croyant. La Madeleine : LettMotif, 2018, 216 p. (ISBN 978-2-36716-229-4)
- Corinne Doucet, Mel Gibson : Passion sur grand écran. Boulogne-Billancourt : Horizon illimité, 2004, 285 p. (ISBN 2-8478-7082-2)
Liens externes |
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(en) Mel Gibson sur l’Internet Movie Database
(en) Melgibsonsite.com
(en) The Numbers.com
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