13e division de montagne de la Waffen SS Handschar







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13e Waffen-Gebirgs-Division der SS Handschar

Image illustrative de l’article 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar
Insigne de la 13e division de montagne de la Waffen-SS Handschar

Création

1943
Dissolution

1945
Pays

État indépendant de Croatie
Allégeance

Flag of the German Reich (1935–1945).svg Allemagne nazie
Branche

Flag of the Schutzstaffel.svg Waffen-SS
Type

Division SS
Rôle

Chasse aux partisans
Effectif
21 000
Guerres

Seconde Guerre mondiale

La 13e division de montagne de la Waffen-SS Handschar (en bosnien, Handžar) était l'une des 38 divisions des Waffen-SS durant la Seconde Guerre mondiale. Elle était composée presque entièrement de musulmans de Bosnie, alors annexée par l'État indépendant de Croatie. La division fut nommée Handžar en référence au cimeterre turc, usuel dans la région[1]. Le mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini ainsi que le mufti de Mostar, participèrent activement au recrutement de ses membres[2].




Sommaire






  • 1 Formation de la 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar


  • 2 Histoire


    • 2.1 Entraînements et constitution finale de l'unité


    • 2.2 La mutinerie de Villefranche-de-Rouergue (17 septembre 1943)


    • 2.3 Retour en Bosnie


    • 2.4 Éclatement de l'unité et dispersion




  • 3 Liste des commandants successifs


  • 4 Désignations successives


  • 5 Hymne de division


  • 6 Notes et références


  • 7 Annexes


    • 7.1 Bibliographie


    • 7.2 Voir aussi







Formation de la 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar |




Hadj Amin al-Husseini passant en revue une unité de la 13e division de montagne de la Waffen-SS Handschar (Silésie, novembre 1943).


La division Handschar était composée majoritairement de Musulmans bosniaques, en partie recrutés dans les rangs des milices autonomistes musulmanes malgré les réticences de l'État indépendant de Croatie d'Ante Pavelić, mais aussi de catholiques croates et d'Allemands (Volksdeutsche) de Croatie afin d'atteindre le nombre minimal requis de 20 000 recrues[3].


La formation d'une division SS musulmane est étrange au vu des critères raciaux, physiques et psychologiques très stricts des Waffen-SS. En juillet 1942, Heinrich Himmler s'inquiétait déjà de la diminution de ces critères d'incorporation dans la Waffen-SS. Mais la réalité de la guerre a modifié cela. La défaite de Rommel à El-Alamein, le débarquement en Afrique du Nord et la reddition de la VIe armée de Friedrich Paulus à Stalingrad ont mené à une évolution dans la composition des divisions Waffen-SS en février 1943 avec l'approbation d'Adolf Hitler. Pour justifier cette décision en contradiction avec les théories qu'il défendait, Heinrich Himmler, proposant lui-même la création de cette division, prétendit que les musulmans bosniaques étaient à l'origine des Goths donc Aryens[4],[5]. La propagande allemande crée également à cette occasion le terme de germano-musulman[6].


L'uniforme de la division Handschar présente deux particularités :



  • le port du fez musulman, avec la tête de mort, traditionnel emblème des SS ;

  • sur le col de chemise, les Sieg Rune sont remplacées par un cimeterre et une croix gammée.


Ces particularités vestimentaires sont portées dans le carnet militaire des soldats, notamment afin de justifier du port du fez lors des permissions en Allemagne face à la feldgendarmerie[6].


Contrairement aux autres divisions de SS, qui n'étaient pas particulièrement religieuses, la division Handschar est encadrée par des imams et des mollahs, et les soldats font régulièrement les prières musulmanes[7]. Himmler, une fois la troupe formée, s'intéresse de plus près à la religion musulmane, s'enquiert des rites et coutumes de ces soldats. Il déclare même que cette religion, qui promet le paradis aux soldats mourant dans l'honneur au combat, est bonne pour le moral des troupes.



Histoire |


Après la chute de Sarajevo, le 16 avril 1941, l'État indépendant de Croatie (Nezavisna Država Hrvatska, NDH) fut créé sur une partie des territoires des actuelles Croatie, Bosnie-Herzégovine et Serbie (la Syrmie). Ante Pavelić, chef des Oustachis, y est installé à sa tête.


Dès le 6 juillet 1941, Mile Budak (en), ministre de la culture et de l'éducation du nouvel État, proclame que les musulmans sont partie intégrante du NDH en tant que Croates convertis à l'Islam. Une mosquée est construite sous ordre de Pavelić.[réf. nécessaire]


Au même moment, les Bosniens musulmans proclameront trois fatāwa dénonçant les mesures prises par les Oustachis envers les Serbes et les Juifs, à Sarajevo en octobre 1941, à Mostar en 1941, et à Banja Luka le 12 novembre 1941[8].


Dès la fin 1942, le Reichsführer SS Heinrich Himmler propose à Hitler de former une division SS musulmane en Bosnie-Herzégovine, à l'instigation du Grand Mufti de Jérusalem, el-Hadj Amin al-Husseini. C’est seulement le 10 février 1943 que Hitler donnera son accord quant à la constitution de cette formation de la Waffen-SS. Le 10, Himmler charge le SS-Gruppenführer Artur Phleps, alors commandant de la division Prinz Eugen, de mener à bien le recrutement de la nouvelle unité SS. Malgré les réticences des autorités croates, Phleps obtient finalement de celles-ci leur accord à condition que les effectifs soient prélevés au sein des Oustachis, le parti de Pavelić, et que la nouvelle division prenne la dénomination de « SS-Ustascha Division Kroatien » voire division « Bosnien-Herzegovinien ». La campagne de recrutement est lancée dans le centre de la Bosnie grâce aux réseaux islamistes de la JMO et de la JMM, deux composantes politiques de bosniens musulmans[réf. nécessaire].


Très vite, cette unité de montagne prend des attributs distinctifs : cimeterre recourbé et croix gammée au col des uniformes à la place des S runiques, port du fez, etc. Au mois d’avril 1943, le grand mufti de Jérusalem se rend sur place afin d’inciter les Musulmans à rejoindre la Waffen-SS[6]. Environ 10 000 volontaires se présentent mais le recrutement stagne, face à l’obstruction de Pavelić. En effet, celui-ci accuse les Allemands de lui prendre les recrues dont il a besoin pour sa propre armée. Il suppose surtout que cette unité risque de développer certaines idées autonomistes chez les musulmans de Bosnie et remettre en cause l'unité de son État indépendant de Croatie. Finalement, ce sont les unités oustachies qui sont affectées dans les rangs de la nouvelle unité de Waffen SS (Cadres verts, bataillon de Hussein Miljkovic, etc.).


L’organisation de la nouvelle division de montagne de la Waffen-SS est confiée au SS-Standartenführer Herbert von Obwurzer. L’encadrement devait être assuré par des officiers musulmans mais, à défaut de ceux-ci, il sera assuré par des Volksdeutsche yougoslaves (du Banat) provenant de la division « Prinz Eugen » auxquels sont adjoints des officiers musulmans formés dans les écoles de la SS, comme Sennheim (Cernay en Alsace) et la SS-Junkerschule Bad Tölz en Bavière.


Face au manque de tact de Obwurzer envers ces volontaires, il est démis de ses fonctions de commandant de la division. Il est remplacé par le SS-Oberführer Sauberzweig, le 1er août 1943[9].


Le représentant de Himmler dans l'État indépendant de Croatie, le SS-Gruppenführer und Generaleutnant der Polizei Konstantin Kammerhofer, est chargé par celui-ci de reprendre en main le recrutement. Le Reichsführer-SS lui accorde un mois pour lever les 26 000 hommes nécessaires à la constitution de la division, plus 2 millions de Reichsmarks pour relancer la campagne de recrutement. Kammerhofer finit par convaincre Pavelić ; il donne son accord quant à l’enrôlement des Musulmans. Malgré tout, le nombre de volontaires demeure insuffisant et recours est fait à la conscription (rétablie par le gouvernement croate) mais aucun recrutement forcé n'est à noter, comme en attestent les archives militaires allemandes[10]. Des Albanais du nord sont incorporés, ainsi que 2 800 catholiques croates, ce qui ne manque pas de provoquer des tensions au sein de l’effectif. Il est nécessaire de préciser que le nombre maximal de soldats au sein de la Handschar sera de 21 065 hommes, fin 1943.



Entraînements et constitution finale de l'unité |




Des soldats de la division Handschar dans le sud de la France lisant une brochure intitulée L'Islam et le Judaïsme (juin 1943).


Face aux risques de désertions et surtout à l’hostilité des populations locales, il sera décidé que l’entraînement aura lieu en France, la troupe étant répartie sur six départements (Puy-de-Dôme, Cantal, Haute-Loire, Aveyron, Lozère et Corrèze) dans le Massif Central, région rappelant le relief yougoslave. Le transfert a lieu tout au long du mois de juillet. Le P.C. de la division se situe au Puy et son dépôt à Mende.


La rude discipline imposée aux volontaires de la SS ne semble pas convenir aux jeunes Bosniens. Himmler est amené à réagir et c’est en ce sens qu’il adresse une lettre à Phleps et Kammerhofer dans laquelle il insiste sur le fait que les Musulmans « doivent être en mesure d’accomplir les préceptes de leur religion » et que les auteurs de plaisanteries à l’égard des Musulmans soient punis : une véritable exception dans un corps national-socialiste très influencé par la mystique germano-païenne.


Les musulmans de l'unité sont autorisés à suivre les préceptes de l'Islam. Il fait donner des cours de cuisine sans porc ni alcool aux services de ravitaillement[11]; des vivres de remplacement doivent leur être attribués (ordre d’Himmler). Les impératifs religieux : prière cinq fois par jour tourné vers La Mecque, l’encadrement religieux : un mollah (docteur de la loi coranique) par régiment et un imam (chef religieux) par bataillon. Le 6 août 1943, Hitler promulgua les dispositions suivantes :



« On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. (…) Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leur ont été assurés. (…) J’ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte »[12].

Du point de vue de son armement, la 6e division SS de montagne Nord a reçu l'ordre de l'Office principal de commandement SS (SS-Führungshauptamt - SS-FHA) de céder une partie de son armement et de son personnel pour la constitution de la 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar mais aussi pour la 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen et la 10e Panzerdivision SS Frundsberg au grand dam de la 20e armée dont la 6e division SS de montagne Nord faisait partie en Scandinavie[13].



La mutinerie de Villefranche-de-Rouergue (17 septembre 1943) |


Dans la nuit du 16 au 17 septembre 1943 un peu après minuit, pendant que l'un des bataillons de la division (SS-Gebirgs-Pionier-Bataillon 13) était en garnison à Villefranche-de-Rouergue, en France, un groupe de recrues menées par Ferid Džanić (en), Eduard Matutinović, Luftija Dizdarević et Nikola Vukelić a organisé une mutinerie. Ils ont capturé la plupart des Allemands et ont exécuté cinq officiers allemands. Apparemment, les mutins ont cru que beaucoup de soldats les rejoindraient. La révolte a été réprimée avec l'assistance du SS-imam Halim Malkoc (en) et du Dr Schweiger. Environ vingt des rebelles ont été tués sommairement ou après un procès. Les Allemands ont été convaincus qu'ils étaient des communistes qui avaient infiltré l'unité pour le perturber[14]. Quand la ville a été libérée en 1944, les habitants ont décidé de rendre hommage aux mutins en appelant une de ses rues Avenue des Croates. Selon Louis Erignac, Villefranche-de-Rouergue était la première ville libre de la France occupée. Le SS-Reichsfuhrer Heinrich Himmler a décerné personnellement au Dr Schweiger la Croix de fer et au SS-imam Halim Malkoc, la Croix de fer (2e classe).



Retour en Bosnie |


À la fin du mois de septembre 1943, les premières unités commencent à quitter la France, les autres suivent durant le mois d’octobre. Elles prennent leurs quartiers à Neuhammer, en Silésie, pour y parfaire leur entraînement. Heinrich Himmler est intervenu personnellement pour empêcher l'envoi de la division en Bosnie malgré l'ordre de l'OKW. Cela permet à la division de continuer son entraînement encore plusieurs mois[15].


En décembre, la division est envoyée en Autriche, elle y stationne jusqu’à son retour dans les Balkans en février 1944.


Février 1944 : la division stationne en Bosnie centrale. Elle est rattachée à la 2. Panzer Armee (Groupe d’armée F), son P.C. est situé dans le nord de la Bosnie, à Brčko. Les Bosniaques sont engagés dans des opérations de lutte contre les partisans de Tito dans le secteur de Vinkovci (40 kilomètres au nord de Brčko). La division est alors rattachée au V. SS Gebirgs Korps.


Les opérations de lutte anti-partisans menées par les SS musulmans se poursuivront jusqu’en septembre 1944, notamment dans la région de Mostar-Sarajevo et dans le sandžak de Novi Pazar. Les troupes SS se distinguent dans des opérations de combat contre les partisans communistes et dans des opérations de représailles contre les civils serbes, faisant de plusieurs centaines à quelques milliers de morts parmi ces derniers[1].


Sauberzweig étant appelé à commander le futur corps de montagne SS musulman, le commandement de la Handschar est confié au SS-Standartenführer Desiderius Hampel au mois de juin 1944. La Handschar repasse durant cette même période sous contrôle du V.SS Geb. Korps, pour rejoindre à la fin septembre-début octobre le IX. Waffen Gebirgs Korps der SS avec la nouvelle division « croate » musulmane Kama. Début octobre 1944, le commandement SS prend la décision de se séparer de ses volontaires musulmans en tant qu'unité constituée.



Éclatement de l'unité et dispersion |


Octobre 1944 : l’Armée rouge pénètre en Serbie, permettant aux Partisans de Tito de prendre l'avantage. Les désertions au sein de l’effectif croate musulman se sont multipliées ; de nombreux soldats désertent pour retrouver et protéger leurs familles restées en Bosnie et en Croatie. Un accord de Tito amnistie partiellement les volontaires musulmans qui rejoignent les rangs de l'Armée Populaire de Libération yougoslave communiste.


Le 11 octobre, les volontaires musulmans sont donc réorganisés et dispersés au sein de diverses unités de la Waffen-SS (dont la 7e division SS de volontaires de montagne Prinz Eugen ; et la mutinerie du 17 octobre 1944 (touchant aussi la Kama), à la veille de la libération de Belgrade le 20, marque la fin officielle de la division SS musulmane Handschar en tant que division constituée.



Liste des commandants successifs |



























Début
Fin
Grade
Nom
9 mars 1943
9 août 1943

Standartenführer

Herbert von Obwurzer (de)
9 août 1943
19 juin 1944

Brigadeführer

Karl-Gustav Sauberzweig (en)
19 juin 1944
8 mai 1945

Brigadeführer

Desiderius Hampel (en)


Désignations successives |


La division devait être nommée SS Ustasa Division puisque cette formation ne devait pas tant être une division SS qu'une unité croate levée avec l'aide des SS. Ses régiments devaient recevoir des noms régionaux tels que Bosna, Krajina, Una, etc[16].




  • 1er mars 1943 : Kroatische SS-Freiwilligen-Division

  • 2 juillet 1943 : Kroatische SS-Freiwilligen-Gebirgsdivision

  • 9 octobre 1943 : SS-Freiwilligen Bosnien-Herzegowina Gebirgsdivision (Kroatien)

  • 22 octobre 1943 : 13. SS-Freiwilligen Bosnien-Herzegowina Gebirgsdivision (Kroatien)

  • 15 mai 1944 - 8 mai 1945 : 13. Waffen-Gebirgsdivision der SS Handschar (Kroatische Nr.1)


Le dernier changement de titre met en lumière le fait que la division était composée de nationaux étrangers, puisque l'on parle d'une division « de la SS » et non plus « SS »[17].



Hymne de division |


Sur l'air de Wir fahren gegen Engelland[18] :





Sa Pjesmom u Boj


Pjesma jeci, sva se zemlja trese,

SS-vojska stupa roj u roj,

SS-vojska sveti barjak vje.

SS-vojska sve za narod svoj.

Daj mi ruku ti, draga Ivana,

Oj s Bogom sad, oj s Bogom sad, oj s Bogom sad

idem branit, idem branit, idem branit mili,

Rodni kraj, rodni kraj.

U boj smjelo vi SS-junaci

Pokazite domovini put!

Podjite putem slavnih pradjedova

Dok ne padne tiran klet i ljut.

Ljubav nasa nek u srdcu plamti,

I sa pjesmom podjimo u boj.

Za slobodu mile domovine

Svaki rado datce zivot svoj.






Dans la bataille en chanson


Une chanson est dans l'air, la terre entière tremble,

Les colonnes de SS marchent au pas,

Les SS agitent les bannières sacrées.

Les SS font tout pour le peuple.

Donne-moi la main, chère Ivana,

Suis Dieu maintenant, suis Dieu maintenant, suis Dieu maintenant

Je défendrai, je défendrai, je défendrai ma bien-aimée

Patrie, patrie

Les SS sont des héros dans la bataille

Montre le chemin à notre patrie

Suis la route de nos glorieux aïeux

Jusqu'à ce que tombe la tyrannie, maudite et amère

Que l'amour brûle en nos cœurs

Et sur une chanson entrons dans la bataille

Pour libérer notre bien-aimée patrie

Pour laquelle chacun sacrifierait sa vie avec joie.






Notes et références |




  1. a et b(en) Noel Malcolm, Bosnia, Londres, Pan Books, 2016, 384 p. (ISBN 978-1-509-84190-5, OCLC 992322255), p. 189-191.


  2. Magazine l'Histoire no 219, mars 1998


  3. (en) Stevan K. Pavlowitch, Hitler's new disorder : the Second World War in Yugoslavia, New York, Columbia University Press, 2008, 332 p. [détail de l’édition] (ISBN 978-1850658955), p. 176-177.


  4. Rochas 2007, p. 35.


  5. Leleu 2007, p. 72.


  6. a b et cDocumentaire allemand réalisé par Heinrich Billstein en 2009. Durée : 50 min., « La croix gammée et le turban - La tentation nazie du grand mufti. »


  7. Rochas 2007, p. 55.


  8. (en) Stephen Schwartz, The Jews, the Serbs, and the Truth, front page mag


  9. Rochas 2007, p. 68.


  10. BA/MA, RS 3-13


  11. Mohammed Aïssaoui, L'étoile jaune et le croissant, Editions Gallimard, 9 janvier 2014(ISBN 9782072524691, lire en ligne)


  12. (en) Roger James Bender et Hugh Page Taylor, Uniforms, organization and history of the Waffen-SS. 1 1, Bender, 1971, p. 144-145


  13. Leleu 2007, p. 596.


  14. Mirko D. Grmek et Louise L. Lambrichs, Les révoltés de Villefranche : mutinerie d'un bataillon de Waffen-SS à Villefranche-de-Rouergue, septembre 1943, Paris, Le Grand livre du mois, 1998, 378 p. (ISBN 978-2-702-81605-9, OCLC 465814530)


  15. Leleu 2007, p. 598.


  16. Rochas 2007, p. 47.


  17. Rochas 2007, p. 144.


  18. Chanson allemande de 1940. Rochas 2007, p. 191.



Annexes |



Bibliographie |



  • Archives militaires allemandes : BA/MA, RS-3 - 13.

  • (en) George Lepré, Himmler's Bosnian Division : the Waffen-SS Handschar Division, 1943-1945, Atglen, PA, Schiffer Military History, 1997 (réimpr. 2004), 378 p. (ISBN 978-0-764-30134-6, OCLC 443640308)

  • Roger Faligot, Le croissant et la croix gammée ou les secrets de l'alliance entre l'Islam et le nazisme d'Hitler à nos jours, Paris, Albin Michel, 1990, 308 p. (ISBN 978-2-226-03955-2, OCLC 901141263)


  • Jean-Luc Leleu, La Waffen-SS : soldats politiques en guerre, Paris, Perrin, 2007, 1237 p. (ISBN 978-2-262-02488-8, OCLC 521531733) Document utilisé pour la rédaction de l’article


  • Amandine Rochas, La Handschar. Histoire d'une division de Waffen-SS bosniaque, Paris, L'Harmattan, coll. « La librairie des humanités / Les sentiers de la liberté », 2007, 211 p. (ISBN 978-2-296-03117-3, OCLC 237207590, lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article

  • (de) Simon Wiesenthal, Grossmufti grossagent der Achse, 1947

  • Jean-Luc Aubarbier, Le Chemin de Jérusalem, Calviac-en-Périgord, Éditions du Pierregord, coll. « Pierrefeu », 2007, 259 p., poche (ISBN 978-2-35291-009-1, OCLC 228301146)

  • Mirko Grmek et Louise Lambrichs, Les Révoltés de Villefranche: Mutinerie d'un bataillon de Waffen-SS septembre 1943, Éditions du Seuil, 1998, 378 p. (ISBN 978-2-02-029910-7, OCLC 417211068)



Voir aussi |


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