Beyrouth





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Beyrouth
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Blason de
Héraldique


Drapeau de
Drapeau


Beyrouth
Administration

Pays

Drapeau du Liban Liban

Gouvernorat

Beyrouth

Maire
Jamal Itani[1]
Démographie

Population
363 033 hab.[2](2015)
Densité 18 152 hab./km2
Population de l'agglomération
2 000 000 hab. (est.)
Géographie

Coordonnées

33° 53′ 23″ nord, 35° 30′ 01″ est

Superficie

2 000 ha = 20 km2
Localisation


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Beyrouth





Géolocalisation sur la carte : Liban



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Beyrouth







Beyrouth (بيروت) est la capitale du Liban et la ville la plus importante du pays. C'est une métropole. Elle compte environ 360 000[3],[4] habitants et l'agglomération urbaine en comporte entre 1,8 et 2 millions d'habitants[5] (le World Factbook de la CIA indique 1,909 million en 2009), soit près de 50 % de la population du pays. La ville forme le gouvernorat (muhafazat) de Beyrouth, le seul qui ne soit pas divisé en districts. Elle abrite le siège du gouvernement. Il n'existe pas d'entité officielle englobant Beyrouth et ses banlieues même si plusieurs administrations définissent à des fins d'études une Région métropolitaine de Beyrouth. Néanmoins, il est fréquent de parler de Beyrouth pour désigner la ville et ses banlieues.


Avant la guerre civile libanaise, la ville était un centre financier, un port de commerce et un centre culturel d'une importance majeure à l'est de la Méditerranée et au Proche-Orient. Elle est située entre l'Asie, l'Afrique et l'Europe, ce qui lui a donné une place stratégique dans les échanges mondiaux. Bien que l'influence économique de Beyrouth a diminué (en comparaison avec Tel Aviv, Dubaï, Abou Dhabi et Doha), la ville joue toujours un rôle important, notamment dans les domaines culturels et éducatifs, au Proche-Orient.


Du fait de la présence de nombreuses entreprises et de grandes banques internationales, elle joue un rôle central dans l'économie du pays. Beyrouth rivalisait avec Le Caire comme le centre culturel et éducatif du monde arabe. La ville a été nommée capitale mondiale du livre 2009 par l'UNESCO. Beyrouth a également été citée dans le New York Times comme première destination à visiter en 2009[6].


Les habitants de Beyrouth sont les Beyrouthins[7],[8] et ses habitantes les Beyrouthines.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Des origines à l'indépendance


    • 1.2 Depuis l'indépendance (1943-1990)


    • 1.3 Beyrouth d'une reconstruction à l'autre (après 1990)




  • 2 Géographie


    • 2.1 Situation


    • 2.2 Climat




  • 3 Quartiers


  • 4 Transports


  • 5 Culture


    • 5.1 Festivals


    • 5.2 Beaux arts


    • 5.3 Minéralogie


    • 5.4 Autres




  • 6 Vie nocturne


  • 7 Lieux de culte


  • 8 Institutions académiques


  • 9 Institutions gouvernementales


  • 10 Banlieues


  • 11 Relations internationales


    • 11.1 Jumelage




  • 12 Films tournés à Beyrouth


  • 13 Panoramas


  • 14 Personnalités liées à la ville


  • 15 Notes et références


  • 16 Voir aussi


    • 16.1 Bibliographie


    • 16.2 Articles connexes


    • 16.3 Liens externes







Histoire |



Des origines à l'indépendance |


Article détaillé : Bérytos.



Beyrouth au XIXe siècle.


Bérytos est fondée vers 5000 av. J-C. Petit port à l'origine, moins puissante que les autres cités phéniciennes tel que Tyr, Byblos, ou Sidon, elle gagne de l'importance pendant l'Empire romain. Elle est renommée pour son école de droit mais elle est ravagée en 552 par un violent séisme accompagné d'un tsunami.


Pendant les croisades, elle est le centre de la seigneurie de Beyrouth, vassale du royaume franc de Jérusalem. Elle est prise par les mamelouks en 1291.


Sous l'Empire ottoman, elle joue un rôle commercial actif parmi les échelles du Levant mais subit les effets du déclin économique de la Syrie ottomane. Elle ne retrouve sa place qu'au XIXe siècle.


L'essor de la ville doit beaucoup à son port, le premier de la région à avoir été doté d'une Quarantaine, et au choix de Beyrouth par les puissances occidentales qui y implantent leurs missions religieuses, leurs universités et leurs comptoirs commerciaux.


Lors de la Deuxième Guerre égypto-ottomane opposant Méhémet Ali, vice-roi d'Égypte, au sultan ottoman Mahmoud II, Beyrouth sert de base à l'armée égyptienne, ce qui lui vaut d'être bombardée le 3 octobre 1840 par la flotte anglaise venue en soutien des Ottomans et qui détruit la ville[9].


Elle redevient une grande ville au milieu du XIXe siècle avec notamment l'afflux de réfugiés fuyant les affrontements de 1860 dans la montagne entre druzes et maronites : Beyrouth sert alors de port de débarquement à l'expédition française en Syrie.


Beyrouth passe de 7 000 habitants en 1810 à 27 000 en 1845 et 130 000 en 1915. La route de Beyrouth à Damas est percée en 1863, le port de Beyrouth (en) est modernisé en 1888, le chemin de fer de Beyrouth à Damas entre en service en 1895. Le Collège protestant syrien, future université américaine de Beyrouth, ouvre en 1866. La ville devient la capitale d'une province, le vilayet de Beyrouth, en 1888[10].



Depuis l'indépendance (1943-1990) |




Statue des martyrs.


À la suite de l'effondrement de l'Empire ottoman après la Première Guerre mondiale, Beyrouth, avec le reste du Liban, a été placée sous mandat français. Quand le Liban a obtenu son indépendance le 22 novembre 1943, Beyrouth est devenue sa capitale. La ville est restée une capitale régionale intellectuelle, devenant une destination touristique majeure et un havre bancaire, notamment pour le pétrole du golfe Persique. Dès les années 1930, la ville excède ses limites administratives. Après l'Indépendance, l'urbanisation remplit peu à peu la plaine littorale et grimpe sur les montagnes qui entourent la ville. Une agglomération se constitue mais aucune nouvelle institution administrative n'est créée malgré les projets de l'urbaniste Michel Écochard. L'urbanisme de Beyrouth et de ses banlieues se caractérise par un décalage entre les plans, nombreux, qui ont été dressés pour la ville, et les réalisations, très partielles et inachevées[11].


L'ère de prospérité relative suivant l'Indépendance a pris fin en 1975 lorsque la guerre civile libanaise a éclaté. Pendant la majeure partie de la guerre, Beyrouth a été divisée entre une partie musulmane à l'Ouest et l'Est chrétien. La basse ville, autrefois centre d'une grande partie des activités commerciales et culturelles de la ville, est devenue alors une « terre inhabitée » désignée sous le nom de « Ligne verte ». Beaucoup d'habitants ont fui vers d'autres pays. Environ 60 000 personnes sont mortes durant les deux premières années de la guerre (1975-1976), et une partie importante de la ville a été dévastée.


Une période particulièrement destructrice a été le siège, en 1978, de l'armée syrienne contre Achrafieh, le principal quartier chrétien de Beyrouth. Les troupes syriennes ont bombardé sans relâche le quartier oriental de la ville. Les milices chrétiennes ont cependant réussi à repousser victorieusement de multiples tentatives des forces d'élite syriennes d'occuper la zone stratégique de la ville, dans une campagne de trois mois connue plus tard sous le nom de guerre des 100 jours.


Un autre chapitre destructeur a été l'invasion israélienne en 1982, pendant laquelle Beyrouth-Ouest fut assiégée par les troupes israéliennes. En effet, durant l'été 1982, la ville a été soumise par l'armée israélienne à un siège et à un blocus hermétique. Le 23 octobre 1983, les casernes françaises et américaines ont subi des attentats à la bombe du Hezbollah, tuant 241 militaires américains, 58 militaires français, 6 civils et les deux kamikazes.


Après 1982, la guerre à Beyrouth prend également une dimension intestine, via les affrontements à l'intérieur de chaque secteur entre des milices et des groupes qui luttent pour la suprématie locale. Des combats très violents se déroulent entre 1985 et 1987 entre la milice Amal et les forces palestiniennes : c'est la « guerre des camps ». En 1990, la rivalité entre l'armée libanaise, dirigée par le général Michel Aoun et les troupes miliciennes fidèles à Samir Geagea débouche sur deux rounds de guerre. Depuis 1987, l'armée syrienne est de retour à Beyrouth. Elle est combattue par le général Aoun dans la guerre de Libération nationale à partir de 1989 et les combats frappent durement plusieurs secteurs chrétiens ainsi que les zones environnants les positions syriennes dans l'agglomération. Le général Aoun est vaincu le 13 octobre 1990 et se réfugie en France.


Durant la guerre, les destructions sont très importantes. Plus de 15 000 immeubles sont détruits ou touchés. Les infrastructures sont endommagées par les combats ou, faute d'entretien, ne fonctionnent plus, comme l'électricité qui n'est plus assurée que six heures par jour à la fin de la guerre.


D'autre part, les déplacements entraînés par les combats conduisent à une forte extension de l'urbanisation dans les banlieues. La banlieue Sud se gonfle de réfugiés du Sud-Liban et des secteurs de Beyrouth-Est vidés par les milices chrétiennes. Inversement, Beyrouth-Est accueille les réfugiés en provenance du Chouf ou de Beyrouth-Ouest.


L'agglomération beyrouthine s'étend vers Jounieh et vers les localités de montagne[12]. La disparition de l'autorité de l'État et le fractionnement politique rendent impossible le contrôle de l'urbanisation. La ville et ses banlieues subissent alors de nombreuses infractions aux règles d'urbanisme et de la construction, qu'il s'agisse de l'occupation du littoral[13], des immeubles des quartiers chics ou moins chics qui ne respectent pas les réglementations urbaines[14], ou de secteurs construits illégalement, parfois sur des terrains squattés, surtout dans la banlieue sud mais également dans d'autres zones de l'agglomération[15].



Beyrouth d'une reconstruction à l'autre (après 1990) |


Depuis la fin de la guerre en 1990, les Libanais ont reconstruit Beyrouth, transformant la capitale en un énorme chantier, si bien qu'en 2006, au début du conflit entre Israël et le Liban, la ville n'avait pas ou très peu retrouvé son statut de centre touristique, commercial, culturel et intellectuel au Moyen-Orient, ainsi que pour la mode et les médias. La reconstruction du centre-ville de Beyrouth a été largement tirée par Solidere, une société de développement créée en 1994 par Rafik Hariri. Ce projet ambitieux a été vigoureusement combattu, de 1991 à 1994, par les ayants droit expropriés (propriétaires et locataires) ainsi que par des intellectuels comme les architectes Assem Salam et Jad Tabet, futurs présidents de l'Ordre des ingénieurs et architectes libanais, le sociologue Nabil Beyhum ou l'économiste, et futur ministre des Finances, Georges Corm. Ces critiques ont toutefois eu un résultat très limité et n'ont pas empêché la mise en œuvre du projet. Celui-ci a conduit à détruire 80% des parcelles, alors de nombre de bâtiments pouvaient être restaurés[16]. L'enjeu était, aux yeux des promoteurs du projet, la modernisation et la densification du centre-ville. Malgré les réalisations, le centre-ville ne se remplit pas aussi vite que prévu (1/3 seulement était construit en 2011), et de nombreux appartements et bureaux restent vides[17].


Beyrouth redevient une destination touristique et un centre commercial et médiatique. Elle abrite le couturier Elie Saab, le joaillier Robert Moawad et plusieurs stations populaires de télévision par satellite, telles que Future TV et New TV. La ville a accueilli la Coupe d'Asie des clubs champions de basket-ball en 1999 et 2000 et la Coupe d'Asie des nations de football en 2000. Beyrouth a également accueilli avec succès le concours de Miss Europe à neuf reprises, de 1960 à 1964 et de 1999 à 2002.




Coucher du soleil a Beyrouth


L'assassinat en 2005 de l'ancien premier ministre libanais Rafik Hariri, près de la baie Saint-Georges à Beyrouth, a secoué le pays tout entier. Environ un million de personnes se sont rassemblées pour une manifestation d'opposition à Beyrouth un mois après la mort de Hariri. À cette époque, la révolution du Cèdre a été le plus grand rassemblement dans l'histoire du Liban. Le 26 avril 2005, les dernières troupes syriennes se sont retirées de Beyrouth.


En 2006, pendant le conflit opposant Israël au Hezbollah, la marine et l'aviation israéliennes, poursuivant des cibles du Hezbollah, causent des dommages dans de nombreux quartiers de Beyrouth, détruisant infrastructures et voies d'accès, en particulier dans Beyrouth Sud, pauvre et largement chiite, qui est contrôlée par le Hezbollah. 270 immeubles sont alors détruits, près de 1 000 sont touchés à des degrés divers et 30 000 personnes doivent temporairement trouver refuge ailleurs[18].


En mai 2008, de violents affrontements éclatent à Beyrouth après que le gouvernement de Fouad Siniora ait entrepris de dissoudre le réseau de communications du Hezbollah, décision qui doit être annulée par la suite.




Immeubles sur la cote de Beyrouth



Haret Hreik, le quartier anéanti par les bombes israéliennes, a fait également l'objet d'une reconstruction sur un périmètre d'environ 40 hectares, achevée en 2012[19]. Un vif débat oppose des professionnels et universitaires sur les options à suivre. Finalement, le Hezbollah impose une reconstruction à l'identique, afin de faire l'économie du temps de nouvelles études et des aléas politiques du moment, craignant que ses adversaires de la coalition du 14 mars ne tirent profit de leur position de force au gouvernement pour bloquer ou retarder le projet de reconstruction. Le financement du projet est assuré par les indemnités reçues par les propriétaires, que ces derniers consentent à reverser à la structure Waad (la promesse en arabe)[20] qui coordonne les travaux. Le restant du financement, qui se monte au total à 400 millions de dollars, est apporté directement par les services sociaux du Hezbollah.




Beyrouth vu du BIEL




«Stop Solidere» sur l'hôtel Saint-Georges à Beyrouth.


Les quartiers de Beyrouth municipe subissent une transformation physique et sociale de grande ampleur. Les modifications de la loi sur la construction, les connivences entre la classe politique et les promoteurs bien mises en évidence par le chercheur Hisham EL-Ashkar[21] et la hausse des prix immobiliers poussée par l'argent en provenance du Golfe et les remises des émigrés en sont les causes. De plus, la loi qui protégeait les anciens locataires a été remise en cause par un vote parlementaire en mai 2014 même si elle n'est pas encore appliquée un an après. Tous ces éléments favorisent le départ des couches modestes de la zone centrale de la ville. Elles sont remplacées par des constructions de beaucoup plus grande hauteur, que leur prix réserve à des couches plus fortunées. Ce processus est bien entamé à Achrafieh[22], mais aussi Hamra, Qantari, Verdun, Gemmayzeh et Mar Mikhail, etc.


Depuis la crise syrienne, et en particulier à partir de la fin 2012, l'installation à Beyrouth de réfugiés syriens accroît la pression sur le marché du logement et sur celui du travail. Selon les données du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, près de 400 000 réfugiés syriens (soit environ 85 000 familles) sont enregistrés en mars 2015 à Beyrouth et dans le Mont Liban, la majorité d'entre elles étant dans le grand Beyrouth[23]. L'impact du conflit syrien se traduit aussi par une reprise des attentats comme ceux du 12 novembre 2015.


À partir d'août 2015, l'arrêt du service de ramassage des ordures, prolongé pendant plusieurs mois, déclenche une crise politique et sanitaire et un mouvement de protestation.



Géographie |




La grotte aux pigeons



Situation |




Beyrouth vu par le satellite Spot




Beyrouth vue générale.


Beyrouth se situe sur un cap rocheux qui constitue, à égale distance des frontières nord et sud du Liban, un élargissement de la plaine côtière du pays. La ville comprend deux collines : Achrafiyeh à l'est et Ras-Beyrouth à l'ouest et entre les deux, l'avenue venant de l'aéroport plonge vers le centre-ville, quartier le plus ancien.


Le sud de la ville (Bir Hassan, bois des Pins, Badaro...) est sablonneux. Beyrouth est tangentée sur son flanc est par Nahr Beyrouth (le fleuve) dont les sources se situent dans le Haut-Metn. Au nord, les collines plongent de manière abrupte dans la mer et les profondeurs marines sont importantes (ce qui avantage le port). À l'ouest, le bord de mer est marqué par quelques falaises (Raouché, grotte aux Pigeons), puis par une plage sableuse (Ramlet el-Baida).



Climat |


Avec des étés chauds et humides (mais sans précipitations et convection) et des hivers doux et pluvieux, Beyrouth jouit d'un climat méditerranéen.


De novembre à mars, la période hivernale est caractérisée par des orages parfois violents et des températures proches de 13 °C le jour. En décembre-janvier, le thermomètre de Beyrouth descend à 7 °C la nuit, quoiqu'il ne soit pas rare qu'il atteigne les 4 °C.
En avril-mai souffle le khamsin, apportant avec lui une couche de poussière qui déferle sur la ville.
De juin à septembre, s'étend la période estivale, avec une température moyenne de 31 °C le jour et de 24 °C la nuit et près de 13 heures d'ensoleillement.
Malgré un taux humidité relativement élevé durant toute l'année (55-85 %), les mois d'octobre et d'avril sont assez agréables, avec une température moyenne de 23 °C et des précipitations faibles (50 mm).


Cependant depuis les années 1980, Beyrouth connaît un réchauffement climatique important (près de 2,5 °C).






































































































Relevé météorologique de Beyrouth
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 11 11 12 14 18 21 23 23 23 21 16 13 17
Température maximale moyenne (°C) 17 17 19 22 26 28 31 32 30 27 23 18 24
Record de froid (°C) −1 −1 2 6 10 13 18 17 16 11 5 −1 −1
Record de chaleur (°C) 25 31 36 37 42 40 37 37 37 38 33 29 42
Précipitations (mm) 191 133 111 46 15 2 0 0 2 60 101 164 826

Source : BBC Weather




Quartiers |




Les Tours Marina.




Rue Gouraud, Gemmayzeh,زقاقة الدبس.




Le centre-ville;




La rue Alam à Badaro


Beyrouth intra-muros est divisée en douze quartiers, eux-mêmes divisés en secteurs.


























































Quartiers et secteurs de Beyrouth
Quartiers
Secteurs

Achrafieh
Furn el-Hayek, Mar Mitr, Ghabi, Corniche el-Nahr, Nasara, Achrafieh, Sioufi, Hôtel-Dieu, Adlieh
Ain Mreisse
Jamia, Ain Mreisse
Bachoura
Bachoura, Basta Tahta
Marfa'
Majidieh, Minet el-Hosn, Nejmeh, Marfa'

Mazraa
Basta Faouka, Abi Haidar, Ras el-Nabaa, Aamlieh, Mazraa, Horsh, Tareek Jdideh, Malaab
Medawar
Rmeil, Mar Mikhael, Khodr, Jisr
Minet Al Hosn
Kantari, Bab Idriss, Minet el-Hosn
Moussaitbeh
Tallet Druze, Sanayeh, Zarif, Dar el-Fatwa, Moussaitbeh, Wata, Tallet el-Khayat, UNESCO, Mar Elias
Ras Beyrouth
Ras-Beyrouth, Manara, Hamra, Qoreitem, Snoubra, Rawcheh, Ain el-Tineh
Remeil
Mar Nicolas, Al Hikmeh, Hôpital orthodoxe, Geitawi, Qobaiyat
Saifi
Gemmayzeh, Mar Maroun, Yassouieh
Zoukak el-Blat
Serail, Batrakieh

Le centre-ville est en majeure partie le centre historique de la ville. On retrouve la Place de l'Étoile, le Parlement, le Sérail, les boites de nuit et les bars à Gemmayzeh, ainsi que les tours Marina, image d'une économie à nouveau prospère.


Le quartier connu sous le nom de Badaro (appellation administrative : Horsh ou Parc), principalement résidentiel, est situé au cœur de Beyrouth. Il est approximativement délimité par la rue de Damas au nord, par l'hippodrome à l'ouest, par l'avenue Sami el Solh (avenue de la Forêt de Pins) au sud-est et par le rond-point Tayoune au sud. Le quartier est un des plus attrayants de Beyrouth, un bel endroit pour se promener pendant la journée et une destination pour sortir le soir. En raison de ses rues arborées, de ses larges trottoirs et de sa vie nocturne animée et de sa fréquentation, Badaro est un petit village au cœur de Beyrouth. Badaro est la partie urbanisée du secteur administratif du "Parc", à côté d'un parc public de 40 hectares (la « forêt des pins de Beyrouth ») et de l'hippodrome. C'est un quartier à échelle très humaine avec de petites épiceries à chaque coin de rue. À chaque coin on trouve restaurants, pubs et cafés-terrasses de presque tous les styles. À de nombreux endroits, il y a des snacks très abordables et on peut savourer son repas sur le trottoir. Il y a aussi quelques restaurants haut de gamme bien connus dans le quartier. Badaro est également le quartier ou l'on retrouve l'un des meilleurs hôtels de Beyrouth, le Smallville, avec son emplacement unique à côté du musée national de Beyrouth et sa décoration de style design très attractive. En plus de ses cafés animés, des bars et des restaurants, les principales attractions de Badaro sont ses deux remarquables musées: le musée national de Beyrouth et le Mineral Museum (MIM). ne surtout pas manquer une séance de jogging ou de balade dans le bois des pins, absolument magnifique. Le "Village" de Badaro fourmille de résidents, de Beyrouthins venus d'autres quartiers, d'employés de bureau (Badaro est aussi un quartier d'affaires apprécié) et de nombreux expatriés (Badaro se trouve dans le quartier francophone, entouré par des établissements francophones tels l'Université Saint-Joseph, ou français comme l'ambassade et le consulat français, le Lycée français et la résidence de l'ambassadeur de France, un palais exceptionnel connu sous le nom « la résidence des pins »).



Transports |




Intérieur de l'Aéroport international de Beyrouth - Rafic Hariri


Beyrouth est desservie par l'aéroport international Rafik Hariri au sud de la ville. L'accès s'y fait par taxi.


Beyrouth est également reliée à plusieurs villes grâce aux TTS BUSES : Beyrouth-Amman et Amman-Beyrouth. D'autres compagnies de bus relient Beyrouth à d'autres villes du pays : Zahlé, Tripoli, Saida[24].


L'agglomération est très mal dotée en transport en commun. La ville est traversée par onze lignes de bus. Le tarif du ticket est d'environ 1 500 LBP, soit 1 EUR ou 1 USD. Les lignes couvrent 186 km de l'agglomération et vont même jusqu'à Aley, Jbeil, Broummana et Khaldé. Elles fonctionnent de 6 h à 18 h et certaines jusqu'à 22 h[25]. Les taxis partagés, appelés localement taxis service, assurent une part importante des déplacements.


Mais la mobilité motorisée individuelle est prédominante et de nombreux usagers ont une mobilité très contrainte.


Selon des statistiques du bureau d'étude ELARD, en 2004, l'automobile privée assure 68 % des déplacements, les taxis et taxi-service 15 %, les bus 8 %, les minibus 8 % également[26].



Culture |



Festivals |





Musée national de Beyrouth


Chaque année a lieu à Beyrouth le Festival du film libanais.


Des festivals et d'autres manifestations à caractère international sont souvent organisés au BIEL (Beirut International Exhibition & Leisure Center).


Depuis 1994, le Festival Al-Bustan, qui a lieu en hiver, présente de la musique de chambre, de la musique symphonique, des chorales, des opéras et des spectacles de marionnettes.


Le Printemps de Beyrouth est un festival pluridisciplinaire organisé depuis 2009 par la Fondation Samir Kassir (journaliste et écrivain libanais mort en 2005). Chaque édition s'étend sur une semaine et sa programmation est ouverte à un large public, la représentation - différente chaque soir - ayant lieu dans un site différent de Beyrouth. Ce festival se démarque par la gratuité de ses activités.


Plusieurs fois par an l'Escalier de l'Art accueille les œuvres d'artistes amateurs et professionnels le long de l'Escalier Saint-Nicolas dans le quartier de Gemmayzé.



Beaux arts |


Le Beirut Art Center (Centre d'art contemporain), ouvert en 2009, accueille les œuvres d'artistes libanais.


Le musée national et le musée Sursock sont les deux autres principaux musées de la ville. Depuis quelques années Beyrouth voit l'ouverture de nombreuses galeries d'art contemporain, comme la Sfeir-Semler Gallery en 2005.


Le Farhat art Museum (متحف فرحات) et le Farhat Cultural Center (فرحات للثقافة والفنون), a pour but principal de soutenir les artistes arabes contemporains, mais il compte également différents artistes occidentaux tels que Suzanne Klotz (en), ou Rinaldo Cuneo (en), Albert Gleizes, Fernand Léger ou Raoul Dufy dans ses collections[27].



Minéralogie |


Le musée MIM est un musée privé de minéraux qui a ouvert ses portes au public en octobre 2013. Environ 1600 minéraux provenant de plus de 60 pays y sont exposés. La collection du MIM est aujourd’hui considérée comme l’une des plus importantes collections privées au monde par la variété et la qualité des minéraux qu’elle présente[28],[29] . Un parcours didactique, jalonné d’écrans présentant des films et des applications scientifiques sur la minéralogie, fait découvrir ce monde qui recèle des merveilles inattendues et inestimables tant du point de vue esthétique que scientifique.


Une aile spéciale est dédiée au mimodactylus libanensis « mimo », fossile d’un ptérodactyle unique au Moyen-Orient, découvert au Liban. Ce fossile est mis en valeur par ce que les techniques modernes comptent de plus surprenant : hologramme, film auto-stéréoscopique, reconstitution grandeur nature ainsi qu’un jeu permettant aux jeunes (et moins jeunes) de voler avec « mimo ».


mim accueille une exposition thématique « Fish’n’stone », organisée avec la collaboration de Mémoire du Temps. Elle illustre environ 200 des plus beaux fossiles marins. Célèbres dans le monde entier, ces fossiles sont dégagés dans les carrières libanaises. Une animation retraçant la formation de ces fossiles nous plonge dans le monde marin – et sous-marin d’il y a 100 millions d’années.



Autres |


Il existe dans l'agglomération beyrouthine de nombreux autres musées, cinémas et théâtres, dont le Picadilly (où jouait Fayrouz) dans le quartier de Hamra, le théâtre Monnot dans la rue Monnot et le Casino du Liban dans la banlieue nord près de la ville de Jounieh.


Le quotidien américain The New York Times a classé Beyrouth au premier rang des destinations mondiales pour l'année 2009[pertinence contestée][6].



Vie nocturne |




Terrasse de restaurant à Badaro


Beyrouth est réputée pour sa vie nocturne. Elle héberge de nombreuses discothèques, boîtes de nuit et pubs dans les quartiers Monnot, Verdun, Hamra, Gemmayzé, Badaro et sur les corniches du bord de mer et dans le centre-ville.


À Hamra, la rue comporte une multitude de restaurants, de cafés et de boutiques. Rue Monnot, les boîtes de nuits et les discothèques sont omniprésentes, ce qui en fait une des plus agitées de la ville.


La corniche de Beyrouth, longeant la mer, est fréquentée par des promeneurs à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit.


Le centre-ville est le quartier le mieux construit à Beyrouth, véritable œuvre d'art architecturale. Il a été entièrement rénové et comprend une multitude de restaurants, de cafés et boutiques. De nombreuses boutiques de marques de luxe européennes s'y sont installées.


Juste à proximité, le village Saifi, qui se démarque par son architecture, est presque entièrement voué aux galeries d'art.



Lieux de culte |




Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Institutions académiques |


Après le baccalauréat, les étudiants ont principalement le choix de poursuivre leurs études supérieures soit selon le système éducatif américain soit selon le système éducatif français. Les trois principales universités du pays sont :


Université Libanaise de Beyrouth, seul établissement universitaire public (ULB)


Système français : Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ)


Système américain : Université Américaine de Beyrouth (AUB)





Institutions gouvernementales |





Le Parlement



Banlieues |



  • Ouzai

  • Ghobairi

  • Haret Hreik

  • Chiyah

  • Burj El Barajneh

  • Laylaké

  • Hadeth

  • Hazmiyeh


  • Baabda, les Maronites constituent la communauté la plus nombreuse.

  • Ain el-Remmané

  • Furn ech Chebbak


  • Sin el Fil, la population est presque exclusivement chrétienne.


  • Bourj Hammoud, municipalité de la banlieue est de Beyrouth qui est considéré comme le fief de la communauté arménienne du Liban.


  • Jdeideh, quartier habité en majorité par des chrétiens maronites.



Relations internationales |


Article connexe : Liste des villes jumelées du Liban.


Jumelage |


La ville de Beyrouth est jumelée avec:



  • Drapeau de l'Italie Trieste, Italie[30]


Films tournés à Beyrouth |




  • 1975 : Beyrouth ô Beyrouth, de Maroun Bagdadi


  • 1978 : Lettre de Beyrouth, de Jocelyn Saab


  • 1981 : Hors la vie, de Maroun Bagdadi


  • 1982 : Petites guerres, de Maroun Bagdadi


  • 1982 : Beyrouth, ma ville, de Jocelyn Saab


  • 1994 : Il était une fois Beyrouth : histoire d'une star, de Jocelyn Saab


  • 1998 : West Beirut, de Ziad Doueiri


  • 1998 : Beyrouth fantôme, de Ghassan Salhab


  • 1999 : Civilisées, de Randa Chahhal Sabbagh


  • 1999 : Autour de la maison rose de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige


  • 2004 : Dans les champs de bataille, de Danielle Arbid


  • 2005 : A Perfect Day de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige


  • 2007 : Caramel de Nadine Labaki


  • 2008 : Je veux voir de Joana Hadjithomas

  • 2010 : Beirut Kamikaze de Christophe Karabache


  • 2011 : En secret (Circumstance) de Maryam Keshavarz


  • 2011 : Et maintenant, on va où ? de Nadine Labaki


  • 2017 : L'insulte de Ziad Doueiri

  • 2018 : Capharnaüm de Nadine Labaki



Panoramas |




Beyrouth et Jounieh panorama




Vue panoramique de Beyrouth.



Personnalités liées à la ville |





  • Hamed Sinno, chanteur libano-américain du groupe Mashrou'Leila populaire au Moyen-Orient


  • Simon Abkarian, acteur français d'origine arménienne


  • Krikor Agopian, peintre


  • Kheireddine al-Ahdab, Premier ministre


  • Nancy Ajram, chanteuse libanaise


  • Gabrielle Anwar, actrice


  • Abdel Rahman El Bacha, pianiste


  • André Bercoff, journaliste et écrivain français


  • Andrée Chedid, poète et écrivaine française, mère de Louis Chedid et grand-mère de Matthieu Chedid (-M-), chanteurs


  • Péri Cochin, animatrice de télévision


  • David Daoud, peintre


  • John Dolmayan, batteur de System of a Down


  • Michel Écochard, architecte et urbaniste, auteur de plusieurs plans d'urbanisme partiellement appliqués ainsi que de plusieurs bâtiments dont des écoles comme le Collège Protestant à Qoreïtem ou le Grand lycée d'Achrafiyyeh


  • Fayrouz (Nouhad Haddad), chanteuse emblématique du Liban


  • Carlos Ghosn, PDG des groupes Renault et Nissan


  • Joana Hadjithomas, artiste et cinéaste


  • Nicolas Hayek, président du groupe horloger Swatch Group


  • Khalil Joreige, réalisateur de film et photographe


  • Mahmoud Kahil (1936-2003), caricaturiste et dessinateur de presse


  • Mario Kassar, producteur de Basic Instinct 2 et de Terminator 3 (rise of the machines)


  • Samir Kassir, journaliste, historien de Beyrouth, mort assassiné dans cette ville le 2 juin 2005


  • Rabih Kayrouz, styliste et fondateur de la Maison de Couture Rabih Kayrouz


  • Steve Kerr, joueur de basket-ball, cinq fois sacré champion du NBA


  • Roberto Khatlab, écrivain, historien


  • Raymond Khoury, écrivain


  • Vénus Khoury-Ghata, écrivain et poète vivant en France


  • Ghassan Koteit, réalisateur de courts-métrages


  • Nadine Labaki, actrice, réalisatrice et scénariste


  • Marie Fadia Laham, en religion Agnès-Mariam de la Croix, religieuse carmélite et militante franco-libanaise


  • Amin Maalouf, écrivain


  • Ibrahim Maalouf, trompettiste


  • Massari, chanteur de hip-hop né à Beyrouth habitant Ottawa


  • Mazlo, joaillier


  • Mika, chanteur de pop libano-américain vivant à Londres et Paris.


  • Wajdi Mouawad, dramaturge, metteur en scène et comédien libano-québécois.


  • Lina Murr Nehmé, historienne franco-libanaise


  • Abdallah Naaman, écrivain


  • Alexandre Najjar, avocat et écrivain


  • Octavia Nasr, journaliste américano-libanaise


  • Hussein Oueini, Premier ministre


  • Magida Al-Roumi, chanteuse, poète et personnalité du milieu culturel et intellectuel


  • Elie Saab, couturier


  • Jocelyne Saab, réalisatrice


  • Edmond Safra, banquier


  • Saëb Salam, Premier ministre


  • Léa Salamé, journaliste franco-libanaise


  • Nicolas Saouaf, économiste


  • Rony Seikaly, ancien basketteur des Miami Heat


  • Salah Stétié, écrivain


  • Jacques J. Tabet, poète et écrivain, fondateur avec Youssef Aftimos du Grand Théâtre à Beyrouth, en 1929.


  • Serj Tankian, chanteur de System of a Down


  • Hiba Tawaji, chanteuse, participante de la saison 4 de l'émission de télévision The Voice, la plus belle voix


  • Charles Villeneuve, journaliste français et ancien président du Paris Saint-Germain Football Club


  • Haifa Wehbe, chanteuse, mannequin


  • Karl Wolf, chanteur canadien d'origine libanaise, né à Beyrouth


  • Abdallah al-Yafi, Premier ministre


  • Keanu Reeves, acteur


  • Hassan Sabeh, homme politique libanais, y est né en 1947.


  • Nazira Zain al-Din, activiste et autrice libanaise



Notes et références |




  1. http://www.lorientlejour.com/article/986438/jamal-itani-elu-doffice-president-du-conseil-municipal-de-beyrouth.html.


  2. http://data.un.org/Data.aspx?q=city+population&d=POP&f=tableCode%3a240>


  3. UNdata | record view | City population by sex, city and city type. Data.un.org. Consulté le 28 janvier 2013.


  4. Selon l'administration centrale des statistiques en 2007 : voir http://www.cas.gov.lb/images/PDFs/Demographic2007-ar.pdf. Il ne faut pas confondre la population résidente et la population selon l'état-civil ou sur les listes électorales. En 2008, la municipalité comptait environ 731 000 électeurs inscrits et il y a eu 418 000 votants en 2009. Voir http://www.localiban.org/spip.php?rubrique150.


  5. La délimitation de l'agglomération est malaisée. Selon les auteurs du projet e-Géopolis, sur la base d'estimations savantes, mais reposant inévitablement sur des hypothèses incontrôlables quoique plausibles, l'agglomération compterait un peu plus de 2 000 000 d'habitants en 2010. Le géographe Éric Verdeil a présenté une critique argumentée de cette estimation et propose plutôt un chiffre de 1 800 000 habitants : voir Eric Verdeil, "L’urbanisation au Liban selon Géopolis : incertitudes démographiques mais vertus d’une diffusion des données scientifiques en ligne", Rumor, 27/10/2011, http://rumor.hypotheses.org/2098.


  6. a et bThe nytimes : The 44 places to go in 2009.


  7. Arrêté français du 4 novembre 1993 relatif à la terminologie des noms d’États et de capitales#Liste annexée KLMNO : voir à Liban où « Beyrouth » et « Beyroutin(s) » sont cités.


  8. Le Petit Larousse illustré 2015, 2014 (ISBN 978-2-03-587373-6), 2048 p., 24 cm, mentionne Beyrouthins dans l’entrée « Beyrouth ».


  9. Colling 1949, p. 230.


  10. .Marlène Ghorayeb, Beyrouth sous mandat français: construction d'une ville moderne, Karthala, 2014, p. 7.


  11. Éric Verdeil, 2010, Beyrouth et ses urbanistes : une ville en plans (1946-1975), Beyrouth, Presses de l'IFPO, 397 p. http://books.openedition.org/ifpo/2101 Libre accès.


  12. Davie M. F., 1994, « Guerres, idéologies et territoires : l'urbanisation récente de la côte libanaise entre Jbayl et Sayda », Annales de Géographie, t. 103, n°575, 1994. pp. 57-73. http://www.persee.fr/doc/geo_0003-4010_1994_num_103_575_13725 Libre accès.


  13. Éric Verdeil, 2002, « Entre guerre et reconstruction, remblais et empiétements littoraux à Beyrouth », in Goeldner L., Velut S., Yellès-Baron N. (coord.), Le littoral. Mélanges en hommage à Fernand Verger , Paris, Presses de l'Ecole Normale Supérieure, pp.321-337. http://halshs.ccsd.cnrs.fr/halshs-00003471 Libre accès.


  14. Elie El-Achkar, 1998, Réglementation et formes urbaines : le cas de Beyrouth, (Cahiers du CERMOC, 20) Beyrouth, CERMOC, 180 p.


  15. Valérie Clerc-Huybrechts, 2008, Les quartiers irréguliers de Beyrouth : Une histoire des enjeux fonciers et urbanistiques dans la banlieue sud, Presses de l'Institut Français du Proche-Orient, 300 p. http://books.openedition.org/ifpo/63 Libre accès.


  16. Eric Verdeil, Verdeil Eric, 2002, Une ville et ses urbanistes  : Beyrouth en reconstruction, thèse de géographie, 646 p., Paris, Université Paris I-Panthéon-Sorbonne, 2002, 646 p.


  17. Eric Verdeil, Chapitre 1 - Beyrouth : reconstructions, fragmentation et crises infrastructurelles, Paris, Sciences Po Les Presses, 2017(lire en ligne), p. 61-108


  18. Eric Verdeil, 2007, « Le bilan des destructions », in Mermier Franck, Picard Elizabeth (dirs.), Été 2006. La Guerre d'Israël au Libanhttp://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00096466/fr/, Paris, La découverte, p. 13-21.


  19. « Éric Verdeil, « Retour sur l’atelier de travail sur la reconstruction de la banlieue sud de Beyrouth : une expérience unique », Les Carnets de l’Ifpo. La recherche en train de se faire à l’Institut français du Proche-Orient (Hypothèses.org), 11 septembre 2012. », sur Les Carnets de l’Ifpo, 11 septembre 2012(consulté le 26 avril 2015).


  20. Voir le site web de Waad http://www.waad-rebuild.com/.


  21. Ashkar, Hisham. 2014. « Lebanon 2004 Construction Law: Inside the Parliamentary Debates | Civil Society Knowledge Centre ». Civil Society Knowledge Center, Lebanon Support. octobre 16. http://cskc.daleel-madani.org/paper/lebanon-2004-construction-law-inside-parliamentary-debates.


  22. Achkar, Hicham. 2012. « The Lebanese State as Initiator of Gentrification in Achrafieh ». Les carnets de l’Ifpo. juillet 5. http://ifpo.hypotheses.org/3834.


  23. « Registration Trends for Syrians in Lebanon. Statistics as of: UNHCR Registration Unit 05 March 2015 », sur UNHCR, 5 mars 2015(consulté le 26 avril 2015).


  24. TTS Buses.


  25. LCC.


  26. Lucien Chardon, « Transports dans le Grand Beyrouth: la saturation », Le Commerce du Levant,‎ août 2009, pp.34-38.


  27. (en) « Artists », sur Farhat Art Museum.


  28. W. Wilson, The Opening of the Mim Mineral Museum in Beirut, Lebanon, The Mineralogical Record, vol. 45, n° 1, 2013, pp. 61 83.


  29. Opening of the MIM Museum, 12 octobre 2013.


  30. Elenco Aggiornato a Febbraio 2011 dei Gemellaggi Stipulati Dai Comuni del FVG



Voir aussi |


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Bibliographie |



  • Mohamad Ezzedine, "Beyrouth, capitale contre le Mont-Liban?", Ed. Edilivre, Paris 2013: http://www.edilivre.com/beyrouth-capitale-contre-le-mont-liban-ezzedine-mohamad.html

  • Valérie Clerc-Huybrechts, Les quartiers irréguliers de Beyrouth : Une histoire des enjeux fonciers et urbanistiques dans la banlieue sud, 2008, Presses de l'Institut Français du Proche-Orient, 300 p.


  • Samir Kassir, Histoire de Beyrouth, Éditions Fayard, 2003 ;


  • Lina Murr Nehmé, Si Beyrouth parlait, Aleph et Taw, Beyrouth, 2011

  • Abdallah Naaman, Le Liban. Histoire d'une nation inachevée, Editions Glyphe, Paris, 2015.


  • Alexandre Najjar, Le Roman de Beyrouth, Éditions Plon, 2005 ;


  • Josette Elayi et Hussein Sayegh, Un quartier du port phénicien de Beyrouth au Fer III/Perse. Les objets, Éditions Gabalda, Paris, 1998.

  • Eric Verdeil, Beyrouth et ses urbanistes : une ville en plans (1943-1975), Beyrouth, Presses de l'IFPO, 2010, http://ifpo.revues.org/2101


  • Josette Elayi, Histoire de la Phénicie, Éditions Perrin, 2013 ;

  • Marlène Ghorayeb, Beyrouth sous mandat français: construction d'une ville moderne, Karthala, 2014


  • Alfred Colling, La Prodigieuse Histoire de la Bourse, 1949. 



Articles connexes |



  • Seigneurie de Beyrouth

  • Bois des pins

  • Cimetière juif de Beyrouth

  • Ambassade de France au Liban

  • Siège de Beyrouth

  • Liste des aires urbaines du Moyen-Orient

  • Institut français du Liban



Liens externes |




  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d’autorité international virtuel • Bibliothèque nationale de France (données) • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • Bibliothèque nationale de la Diète • Bibliothèque nationale d’Israël • Bibliothèque nationale tchèque • WorldCat


  • (ar) (fr) (en) Fiche de la municipalité de Beyrouth - Localiban


  • (ar) (fr) (en) Municipalité de Beyrouth


  • (fr) (en) http://www.populationdata.net/index2.php?option=palmares&rid=4&nom=grandes-villes

  • (fr) Plusieurs vues en panorama avec textes sur Beyrouth http://www.discoverlebanon.com/vues_panorama_liban/beyrouth




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