Parti social-démocrate (Roumanie)







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Parti social-démocrate
(ro) Partidul Social Democrat

Image illustrative de l’article Parti social-démocrate (Roumanie)
Logotype officiel.
Présentation
Président

Liviu Dragnea
Fondation

1992 (FDSN)
1993 (PDSR)
2001 (PSD)
Scission de

FSN
Siège

Șoseaua Kiseleff nr. 10, Bucarest
Présidente exécutive

Viorica Dăncilă
Président d'honneur

Ion Iliescu
Secrétaire général

Codrin Ștefănescu (ro)
Trésorier

Mircea Gheorghe Drăghici (ro)
Porte-parole

Gabriela Firea

Positionnement

Centre gauche - Attrape-tout[1]
Idéologie

Social-démocratie[2]
Conservatisme social[3]
National-conservatisme[4]
Affiliation européenne

Parti socialiste européen
Affiliation internationale

Internationale socialiste
Adhérents
509 000 (2014) [5]

Couleurs

Rouge
Site web psd.ro
Présidents de groupe

Chambre des députés

Marcel Ciolacu

Sénat

Mihai Fifor

Parlement européen

Gianni Pittella (S&D)
Représentation
Députés

139 / 329

Sénateurs

69 / 136

Députés européens

9 / 32


Le Parti social-démocrate (en roumain : Partidul Social Democrat, PSD) est l'un des principaux partis politiques roumains, de type social-démocrate, membre du Parti socialiste européen et de l'Internationale socialiste.


De 1997 à 2000, le parti est présidé par le président Ion Iliescu. De 2010 à 2015, il est présidé par le Premier ministre Victor Ponta. À la suite de la démission de celui-ci en juillet 2015, Liviu Dragnea est depuis le congrès d'octobre 2015, le président exécutif du parti.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Du FDSN au PSD


    • 1.2 Entre gouvernement et opposition




  • 2 Organisation interne


    • 2.1 Organisation


    • 2.2 Associations liées au parti


    • 2.3 Institut social-démocrate Ovidiu Șincai




  • 3 Controverses


  • 4 Membre notables


    • 4.1 Présidents


    • 4.2 Premiers ministres issus du parti




  • 5 Résultats électoraux


    • 5.1 Élections parlementaires


    • 5.2 Élections présidentielles


    • 5.3 Élections européennes




  • 6 Notes et références


    • 6.1 Notes


    • 6.2 Références




  • 7 Voir aussi





Histoire |



Du FDSN au PSD |


Le 7 avril 1992, la lutte interne au Front de salut national (en roumain : Frontul Salvării Naționale, FSN), le parti issu de la révolution de 1989, entre la ligne orthodoxe menée par Ion Iliescu et la ligne réformiste de Petre Roman, élu président du parti en mars de la même année, conduit le groupe d'Iliescu à se retirer du FSN et à créer le Front démocratique de salut national (en roumain : Frontul Democrat al Salvării Naționale, FDSN).


Le FDSN remporte les élections législatives de 1992, et Iliescu est réélu président de la République la même année. De 1992 à 1996, le parti dirige le gouvernement roumain à la tête du « quadrilatère rouge » du Premier ministre Nicolae Văcăroiu, comprenant en plus du FDSN :



  • le Parti de l'unité nationale roumaine (PUNR), parti nationaliste dirigé par Gheorghe Funar

  • le Parti de la Grande Roumanie (PRM), parti nationaliste fondé et présidé par Corneliu Vadim Tudor

  • le Parti socialiste du travail (PSM), parti d'extrême gauche issu du PCR et dirigé par Ilie Verdeț (Premier ministre de Ceaușescu de 1979 à 1982)


Néanmoins, jusqu'en 1994 et l'entrée de membres du PUNR au gouvernement, seuls les sociaux-démocrates occupent des postes ministériels. Le PRM n'est quant à lui, jamais représenté au gouvernement, mais obtient des postes dans la haute administration.


Le 10 juillet 1993, le FDSN fusionne avec quatre petits partis de gauche : le Parti démocratique socialiste de Roumanie (en roumain : Partidul Socialist Democratic din România), le Parti républicain (en roumain : Partidul republican), le Parti coopératif (en roumain : Partidul Cooperatist) et le Parti de la solidarité sociale (en roumain : Partidul Solidarității Sociale). Ensemble ils donnent naissance au Parti de la démocratie sociale de Roumanie (en roumain : Partidul Democrației Sociale din România, PDSR).


Le mois de novembre 1996 voit la chute du PDSR, celui-ci perdant consécutivement les élections législatives, au profit d'une coalition de centre droit, la Convention démocratique roumaine (en roumain : Convenţia Democrată Română, CDR), et l'élection présidentielle, Ilescu ne rassemblant que 45 % des suffrages face au candidat de la CDR, Emil Constantinescu. À l'opposé, novembre 2000 est un mois de succès pour le parti. À la tête d'une coalition nommée le Pôle social démocratique de Roumanie (avec le Parti social démocrate roumain (PSDR), anciennement allié avec le PD-FSN, et le Parti humaniste roumain (PUR), remporte un tiers des voix aux élections législatives et forma le gouvernement de Adrian Năstase, alors qu'Iliescu décroche un troisième mandat lors de l'élection présidentielle avec 66 % des suffrages face à Corneliu Vadim Tudor.


Le 16 janvier 2001, le PSDR et PDSR fusionnent au sein d'une nouvelle formation, le Parti social-démocrate (PSD).



Entre gouvernement et opposition |


En novembre 2004, Adrian Năstase, Premier ministre sortant et candidat du PSD, termine en tête du premier tour de l'élection présidentielle, mais est battu au second tour par Traian Băsescu de l'alliance Justice et vérité. Aux élections législatives de la même année, le PSD arrive en tête des suffrages mais sans majorité au parlement, il est repoussé dans l'opposition, laissant la place au gouvernement Popescu-Tăriceanu (PNL-PD-UDMR-PUR).




Meeting du PSD à l'occasion de la venue de Poul Nyrup Rasmussen, président du PSE


Considéré comme un jeune réformateur, Mircea Geoană est élu président du parti en avril 2005 lors d'un congrès organisé à Bucarest. Sa victoire représente une défaite surprise pour l'ancien président, du parti et du pays, Ion Iliescu, qui s'attend à vaincre Geoană haut la main. La victoire de Geoană est attribuée par les médias au soutien de dernière minute apporté par des responsables du parti opposés à Iliescu, ainsi qu'aux gaffes faites par Iliescu lors de ce congrès, notamment l'utilisation de termes rappelant la période communiste pour désigner ses collègues[6].


Lors des élections législatives de 2008, le PSD, allié au Parti conservateur (nouvelle dénomination du Parti humaniste), termine premier du scrutin en rassemblant un tiers des suffrages. Néanmoins, du fait du mode de scrutin, le Parti démocrate-libéral (PDL) remporte un siège de député et deux de sénateurs de plus que le PSD, ce qui lui permet de former le nouveau gouvernement, dirigé par Emil Boc et rassemblant jusqu'au 1er octobre 2010 le PSD et le PDL. À cette date, l'ensemble des ministres sociaux-démocrates démissionnent, à la suite de la révocation du ministre de l'intérieur, Dan Nica, et le PSD vota avec le Parti national libéral (PNL) et l'Union démocrate magyare de Roumanie (UDMR) une motion de censure contre Emil Boc, afin de le remplacer par le maire de Sibiu, et président du Forum démocratique des Allemands de Roumanie, Klaus Iohannis. Néanmoins cette nomination est refusée par le président Băsescu et la désignation d'un nouveau premier ministre doit attendre l'élection présidentielle. Lors de cette élection, Băsescu bat Geoană au second tour avec seulement 0,67 point d'avance. Un second gouvernement Boc est alors nommé dans la foulée, soutenu par le PDL, l'UDMR et l'Union nationale pour le progrès de la Roumanie (UNPR), une dissidence du PSD qui refuse la rupture avec le PDL.





Victor Ponta (PSD) et Crin Antonescu (PNL) en 2011


À la tête de l'opposition, le PSD se choisit un nouveau président en 2010, Victor Ponta battant Geoană. L'année suivante le PSD, forme une alliance électorale avec le PNL et le PC, l'Union sociale-libérale (USL), dans la perspective des élections futures. En mai 2012, dans un contexte de très grande impopularité pour le gouvernement gouvernement Ungureanu, l'USL parvient à faire voter grâce au soutien d'UDMR et de l'UNPR, pourtant membre du gouvernement, une motion de censure contre Mihai Răzvan Ungureanu. Ponta forme alors un gouvernement composé de l'USL, qui remporte près de 60 % des suffrages lors des élections législatives de novembre 2012, et les deux tiers des sièges au Parlement. Néanmoins, l'USL disparait en février 2014, à la suite du départ des ministres libéraux-nationaux du gouvernement, mais Ponta peut toutefois demeurer premier ministre et former un troisième gouvernement, auquel prend part l'UDMR, jusque-là dans l'opposition.


Lors des élections européennes de 2014, le PSD, allié au Parti conservateur et à l'Union nationale pour le progrès de la Roumanie au sein de l'Union sociale-démocrate, termine premier en remportant plus de 32 % des suffrages exprimés et 12 sièges sur les 32 alloués à la Roumanie.


Début 2019, quelques mois après le départ de l'ancien Premier ministre Victor Ponta du parti, de nombreux cadres exclus du parti depuis l'arrivée en 2016 à sa tête de Liviu Dragnea, comme Mihai Tudose, ont rejoint son nouveau parti Pro Romania.



Organisation interne |



Organisation |


Le président du parti conduit l'activité générale du parti, du comité exécutif national et du bureau permanent national; et est responsable devant le congrès national. Il est élu à bulletin secret par le congrès pour un mandat de quatre ans.


Le président d'honneur est également élu par le congrès pour un mandat de cinq ans, parmi des personnalités reconnues du parti. Il participe aux activités des organes nationaux de direction du parti, et y détient un droit de vote.


Le secrétaire général s'occupe des services fonctionnels au niveau central et des relations avec les organisations locales. Il coordonne également le secrétariat exécutif du parti, formé de sept à neuf secrétaires exécutifs. Ceux-ci sont désignés par le Comité exécutif national, sur proposition du président, après consultation du secrétaire général.


Le bureau permanent national est composé du président, du président d'honneure, du secrétaire générale et des vice-présidents du parti. Mais y participent aussi régulièrement le président du conseil national, les chefs des groupes parlementaires, les présidents des organisations de jeunes et de femmes, le trésorier, le directeur de l'Institut social-démocrate, le représentant des présidents de județe, le représentant des maires et le représentant de la Ligue national des maires et conseillers PSD. Il se réunit chaque semaine, généralement le lundi, et constitue l'organe de gestion courante du parti.


La commission nationale d'arbitrage et d'intégrité morale veille à l'application et au respect des statuts du parti. Elle constitue l'organe juridique du parti. Elle est composée de huit membres élus par le Congrès pour une durée de quatre ans.


Le comité exécutif national coordonne l'activité du parti entre les sessions du conseil national. Il s'occupe des questions relatives au programme, à la stratégie électorale, aux alliances politiques et électorales, à la composition du gouvernement, aux désignations des candidats pour les élections et aux relations avec les autres partis et les organisations patronales et syndicales. Il est formé du président, du président d'honneure, du secrétaire général, des vice-présidents, du président du conseil national, des présidents des organisations locales et des présidents des organisations de jeunes et de femmes. Il se réunit systématiquement tous les deux mois.


Le conseil national est l'organe de direction du parti entre deux congrès. Il est constitué de maximum 751 membres, élus parmi les candidats proposés par les fédérations locales ou par le congrès. Il est élu et révoque à bulletin secret, son président et son trésorier, valide la composition du comité exécutif national et du bureau permanent national, décide des alliances politiques et répond de l'organisation des campagnes électorales. Les députés, sénateurs et eurodéputés, qui n'en sont pas membre, y participent sans droit de vote.


L'organe suprême de direction du parti est le congrès, qui se tient une fois tous les quatre ans. Il composé de délégués élus, à bulletin secret, par la conférences des fédérations locales, et adopte et modifie les statuts et le programme politique du parti, stabilise ses orientations et sa stratégie pour les quatre années suivantes. Il élit également le président, les vice-présidents, le secrétaire général du parti et les autres membres du conseil national, de la commission d’arbitrage et d'intégrité morale, de la commission nationale de contrôle financier. Enfin, il désigne les candidats du parti au poste de président de la république et de premier ministre.



Associations liées au parti |



  • La Jeunesse sociale-démocrate (en roumain : Tineretul Social Democrat, TSD), qui rassemble tous les membres du PDS de moins de 35 ans. Elle est membre de l'Union internationale de la jeunesse socialiste et d'ECOSY, son équivalent européen.

  • La Ligue des étudiants (en roumain : Liga Studenților Social-democrați, LSSD)

  • La Ligue des élèves (en roumain : Liga Elevilor, LESD)

  • La Ligue des jeunes entrepreneurs sociaux-démocrates (en roumain : Liga Tinerilor Întreprinzători Social Democrați, LTÎSD)

  • L'Organisation des femmes (en roumain : Organizația de Femei) rassemble toutes les femmes membres du parti.

  • La Ligue des retraités (en roumain : Liga Pensionarilor) rassemble les membres du PSD à la retraite.



Institut social-démocrate Ovidiu Șincai |


L'Institut social-démocrate Ovidiu Șincai (en roumain : Institutul Social Democrat Ovidiu Șincai) est une fondation politique proche du PSD s'intéressant à la révolution de 1989 et à la « modernisation de la société et de la sociale-démocratie roumaine et européenne ». Il joue vis-à-vis du parti un rôle de think tank.



Controverses |


L'héritage idéologique de l'ancien Parti communiste roumain est revendiqué par deux petites formations classées à l'extrême gauche : le Parti socialiste roumain et le Parti communiste roumain, mais étant donné qu'en 1990 la plupart des anciens hauts responsables du PCR, de l'État communiste et de ses organes directeurs ont adhéré au Front de salut national dont l'actuel PSD est issu, ses opposants politiques lui reprochent régulièrement d'être le véritable héritier de l'ancien Parti communiste et de ses pratiques (un dicton populaire de l'époque de la dictature communiste était que « PCR » signifiait pile, combinații, relații soit « piston, magouilles, relations »[7],[8]). Ainsi, plusieurs membres importants du PSD ont été accusés de corruption, d'interférence sur le système judiciaire, et d’abus de biens sociaux[9].


Certains membres du parti ont parfois eu recours à un « antisémitisme utilitaire ». Autrement-dit, sans forcément être eux-mêmes antisémites, mais pensant que leurs électeurs l'étaient, ils ont usé de stéréotypes antisémites pour servir leurs propres intérêts politiques au détriment de ceux du parti et du pays[10]. Ainsi le sénateur PSD Dan Șova, alors porte-parole du PSD, déclara le 5 mars 2012 « qu'aucun Juif ne souffrit sur le territoire roumain, grâce au maréchal Antonescu »[11], or la Roumanie a officiellement reconnu que le régime d'Antonescu, le « Pétain roumain » comme il se qualifiait lui-même, est directement responsable de l'extermination de 250 000 Juifs roumains (près de 400 000 d'entre eux ont été déportés et tués, mais pas tous par le régime Antonescu, car le régime hongrois horthyste en Transylvanie et les Einsatzgruppen nazis en Transnistrie ont aussi leur part de responsabilité)[12]. L'Institut national pour l'étude de l'Holocauste en Roumanie « Elie Wiesel » a alors exprimé son indignation face aux déclarations de Şova[13] qui a dû revenir sur ce propos et formuler des excuses publiques tandis que le président du parti, Victor Ponta, a annoncé le limogeage de Şova de son poste de porte-parole[14].



Membre notables |



Présidents |


















































Nom
Mandat
Remarque

Sin foto.svg
Oliviu Gherman
(1930-)

1992 - 1997


Ion Iliescu

Ion Iliescu
(1930-)

1997-2000

Président de la Roumanie
1990 - 1996
2000 - 2004

Adrian Năstase

Adrian Năstase
(1950-)

2000-2005

Premier ministre
2000 - 2004

Mircea Geoană

Mircea Geoană
(1958-)

2005-2010
Président du Sénat
2008 - 2011

Victor Ponta

Victor Ponta
(1972-)
2010-2015
Premier ministre
2012-2015

Rovana Plumb

Rovana Plumb
(intérim)
(1960-)
2015
Ministre du Travail
2014-2015

Liviu Dragnea

Liviu Dragnea
(1962-)
depuis 2015
Par intérim jusqu'au 12 octobre 2015
Président de la Chambre des députés
depuis 21 décembre 2016


Premiers ministres issus du parti |




  • Nicolae Văcăroiu, 4 novembre 1992-12 décembre 1996


  • Alexandru Athanasiu, 14 décembre 1999-22 décembre 1999, intérim


  • Adrian Năstase, 28 décembre 2000-21 décembre 2004


  • Eugen Bejinariu, 21 décembre 2004-28 décembre 2004, intérim


  • Victor Ponta, 7 mai 2012-5 novembre 2015


  • Sorin Grindeanu, 4 janvier 2017-29 juin 2017


  • Mihai Tudose, 29 juin 2017-16 janvier 2018


  • Mihai Fifor, 16 janvier 2018-29 janvier 2018, intérim


  • Viorica Dăncilă, depuis le 29 janvier 2018



Résultats électoraux |



Élections parlementaires |




































































Année

Chambre des députés

Sénat
Gouvernement
%
Mandats
%
Mandats

1992
27,7
117 / 341
28,3
49 / 143

Văcăroiu

1996
21,5
91 / 343
23,1
41 / 143
Opposition

2000[n 1]
36,6
155 / 345
37,1
65 / 140

Năstase

2004[n 2]
36,8
113 / 332
37,2
57 / 137
Opposition

2008[n 3]
33,1
114 / 334
23,1
49 / 147

Boc I (2008-2009), opposition (2009-2012), Ponta I (2012)

2012
au sein de l'USL

Ponta II (2012-2014), III (2014) et IV (2014-2015), soutien externe (2015-2017)

2016
45,48
154 / 329
45,68
67 / 136

Grindeanu (2017), Tudose (2017-2018) et Dăncilă (depuis 2018)


Élections présidentielles |













































Année
Candidat

1er tour

2e tour
1992 Ion Iliescu 47,2 % 61,4 % (élu)
1996 Ion Iliescu 28,2 % 45,6 %
2000 Ion Iliescu 36,4 % 66,8 % (élu)
2004 Adrian Năstase 40,9 % 48,8 %
2009 Mircea Geoană 31,2 % 49,7 %
2014 Victor Ponta 40,44 % 45,56 %


Élections européennes |



































Année
%
Mandats
Rang
Tête de liste
Groupe
2007 23,11
13 / 35
2e Titus Corlățean
PSE
2009[n 4] 31,07
10 / 33
1re Adrian Severin
S&D
2014[n 5] 37,6
12 / 32
1re Corina Crețu
S&D


Notes et références |



Notes |





  1. Coalition « Pôle social démocratique de Roumanie », avec le PSDR et le PUR.


  2. Coalition avec le PUR, qui a obtenu 19 sièges à la chambre.


  3. Coalition avec le PC.


  4. En coalition avec le PC, qui a obtenu un siège.


  5. En coalition avec le PC et l'UNPR, qui ont obtenu chacun deux sièges.




Références |





  1. (en-US) « Pragmatism is a winner for Romanian Left », sur POLITICO, 12 décembre 2016(consulté le 13 avril 2018).


  2. (en) Wolfram Nordsieck, « Romania », sur Parties and Elections in Europe (consulté le 12 décembre 2016).


  3. (en) « Romania ‘turns illiberal’ with moves against gay marriage », sur politico.eu, 6 octobre 2017.


  4. Jean-Baptise Chastand, « La Roumanie en pleine dérive illibérale », Le Monde, no 23008,‎ 1er janvier 2019, p. 3 (lire en ligne, consulté le 23 février 2019).


  5. (ro) « Cati membri au partidele din Romania. Ce partid a pierdut din adepti » (consulté le 18 novembre 2014).


  6. (ro) « Ion Iliescu: "Dau cuvintul tovarasului Nastase" », sur HotNewsRo, 22 avril 2005(consulté le 18 novembre 2015).


  7. (ro) Bancuri din epoca odiosului, Braşov, Orientul Latin, 1992.


  8. Dana Maria Niculescu-Grasso, Bancuri politice, Bucarest, Fundația Culturală Română, 1999.


  9. (ro) « Ion Caramitru demisioneaza din conducerea PNTCD: Sefii PSD, fosti nomenclaturisti sau copiii lor, sunt tarati de originea comunista. Nu cred in moartea comunismului prin comunisti », sur HotNewsRo, 3 décembre 2009(consulté le 18 novembre 2015).


  10. (en) Michael Shafir, Memories, Memorials and Membership: Romanian Utilitarian Anti-Semitism and Marshal Antonescu, Lexington Books, 2004, p. 71.


  11. (en) « Romanian MP stirs outcry with Holocaust comment », sur eajc.org, 7 mars 2012(consulté le 7 mars 2012).


  12. (en) International Commission on the Holocaust in Romania (Commission Wiesel), « Final Report of the International Commission on the Holocaust in Romania », 2004.


  13. (en) « Elie Wiesel Institute in Romania criticizes Senator Sova for statements made on a TV channel », sur actmedia.eu (consulté le 7 mars 2012).


  14. (de) « Sozi-Chef Ponta enthebt Parteisprecher Sova zeitweilig des Amtes wegen Holocaust-Leugnung », sur punkto.ro (consulté le 7 mars 2012).




Voir aussi |



  • (ro) Site officiel du PSD



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