Beuzec-Cap-Sizun
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La mairie-poste de Beuzec-Cap-Sizun. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Finistère | ||||
Arrondissement | Quimper | ||||
Canton | Douarnenez | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cap Sizun - Pointe du Raz | ||||
Maire Mandat | Gilles Sergent 2014-2020 | ||||
Code postal | 29790 | ||||
Code commune | 29008 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beuzécois | ||||
Population municipale | 1 016 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 04′ 34″ nord, 4° 30′ 37″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m | ||||
Superficie | 34,54 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Finistère
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Beuzec-Cap-Sizun [bøzɛk kap sizœ̃] (en breton : Beuzeg-ar-C'hab) est une commune française du département du Finistère, en région Bretagne.
Sommaire
1 Géographie
2 Toponymie
3 Histoire
3.1 Préhistoire
3.2 Moyen Âge
3.3 Époque moderne
3.4 Révolution française
3.5 Le XIXe siècle
3.6 Le XXe siècle
3.6.1 La Première Guerre mondiale
3.6.2 La Seconde Guerre mondiale
3.6.2.1 Les morts de la Seconde Guerre mondiale
3.6.2.2 Les combats de Pors Lesven
3.7 L'après-Seconde Guerre mondiale
4 Politique et administration
5 Économie
6 Population et société
6.1 Démographie
6.2 Manifestations culturelles et festivités
7 Culture locale et patrimoine
7.1 Lieux et monuments
7.2 Patrimoine naturel
8 Personnalités liées à Beuzec-Cap-Sizun
9 Voir aussi
9.1 Bibliographie
9.2 Articles connexes
9.3 Liens externes
10 Notes et références
Géographie |
Beuzec-Cap-Sizun est située sur la côte nord du Cap Sizun, sur la baie de Douarnenez, face au cap de la Chèvre (presqu'île de Crozon) elle est la commune d'entrée sur le Grand Site de France de la Pointe du Raz en Cap Sizun.
Carte de la commune de Beuzec-Cap-Sizun.
La grève de Pors Piron (Porz Peron) vers 1910 (carte postale Villard).
Toponymie |
Beuzec-Cap-Sizun, en breton Beuzeg-ar-C'hab, est attesté pour la première fois en 1038 ; il se retrouve dans le cartulaire de Landevennec sous forme latine Buzoc in pago Cabsizun, Bodoc Kapsithun en 1170 [1].
Le nom Beuzec provient de l'anthroponyme Budoc[2], éponyme du saint fondateur de la paroisse, saint Budoc. L'église paroissiale Notre-Dame-de-la-Clarté est également dédiée à saint Budoc.
Histoire |
Préhistoire |
L'éperon barré de Castel Coz, vaste d'environ 1,2 ha, est implanté sur un promontoire granitique dominant la mer d'une hauteur d'une vingtaine de mètres ; côté terre, il était protégé par une triple ceinture de remparts séparés par des fossés, avec, de plus, des blocs rocheux épars disposés en chevaux de frise en avant de la première ligne des remparts. Le site a été occupé dès le néolithique et réoccupé au second âge du fer et à nouveau au Moyen Âge ; des traces de 150 à 200 huttes y ont été découvertes[3].
La barque de saint Conogan (menhir couché) à Beuzec-Cap-Sizun.
L'allée couverte de Kerbalannec à Beuzec-Cap-Sizun.
Le dolmen de Kerbalannec vers 1900 (en fait, une allée couverte).
Moyen Âge |
La paroisse de Beuzec-Cap-Sizun serait issue d'un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plogoff[4].
En 1145, le duc Conan III exempta de taille et de quelques autres subsides les terres qui appartenaient dans cette paroisse au chapitre de la cathédrale de Quimper[5].
Avant la Révolution, la paroisse dépendait du diocèse de Quimper et comprenait une trève : Notre-Dame de Roscudon de Pont-Croix.
Époque moderne |
En 1741, une épidémie de dysenterie sévit : « Dans chacune des paroisses de Goulien, Plogoff, Esquibien, Plouinec, Plozévet, Mahelon, Poulan, Beuzet-Cap-Sizun [Beuzec-Cap-Sizun], Pouldergat, Douarnenez, on compte le chiffre énorme de dix à douze morts par jour »[6].
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Beuzec-Capsizun [Beuzec-Cap-Sizun] de fournir 30 hommes et de payer 196 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[7].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Beuzec-Cap-Sizun en 1778 :
« Beuzec-Cap-Sizun ; à peu de distance de la mer, à l'entrée de la presqu'île du Ratz ; à 6 lieues trois-quarts à l'ouest-nord-ouest de Quimper, son Évêché ; à 45 lieues de Rennes, et à trois-quarts de lieue de Pont-Croix, sa subdélégation. Cette paroisse, dont la cure est présentée par trois chanoines prébendés, relève du Roi et ressortit au siège présidial de Quimper, où sa juridiction royale fut unie et incorporée par édit du roi Charles IX en 1564. On y compte 2 600 habitants. Son territoire, plein de vallons et de collines, est fertile en grains de toute espèce. (...) À un tiers de lieue au nord-ouest de ce bourg se trouvent le château de Beuzec [en fait Ogée fait une confusion avec la Pointe du Château] et le manoir de Treffieu[5]. »
Révolution française |
La paroisse de Beuzec-Cap-Sizun, qui comprenait alors 255 feux, élit trois délégués (Mathieu Fily, Joseph Le Gal, Jean-Gilles Gloaguen), pour la représenter à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper au printemps 1789[8].
La loi du 12 septembre 1791 « relative à la circonscription des paroisses du district de Pont-Croix » donne à la paroisse de Pont-Croix comme succursale Beuzec[9].
Henri Le Bras, ancien élève du séminaire de Quimper, ouvrit une école à Beuzec-Cap-Sizun en vertu de la loi du 5 nivôse an II (25 décembre 1793) qui rendait l'école primaire obligatoire et gratuite. Jacques Keruzoret, puis Jean-Marie Violant lui succèdent, ce dernier abandonnant Beuzec pour ouvrir une école à Primelin car le curé constitutionnel de Beuzec, Ansquer, lui refuse un local au presbytère pour tenir ses classes[10].
Le XIXe siècle |
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Beuzec-Cap-Sizun en 1843 :
« Beuzec-Cap-Sizun (sous l'invocation de saint Budoc) ; commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Kermabreau, Kergounoy, Trémaouer, Porspéron, Kériolet, Lescogan, Trémoan, Trémaria, Cosquer, Kerleven. Superficie totale : 3 468 hectares, dont (...) terres labourables 1 273 ha, prés et pâturages 146 ha, bois 27 ha, vergers et jardins 4 ha, landes et incultes 1 931 ha (...). Moulins : 12 (à eau, de Kerlévec, de Kerioual, Lesalguen, Trévien, Lescogan ; à vent, de Castel, Leilsac'h). Beuzec veut dire en breton pays de buis. Il y avait autrefois trois chapelles : Lochrist, Sainte-Espérance et Lescogan ; ces deux dernières sont encore desservies. L'église est de 1665. De la tour, qui est remarquable, on a une fort belle vue sur toute la Baie de Douarnenez. Les pardons qui ont lieu à l'église et aux chapelles ne durent qu'un jour chacun. La pomme de terre est très cultivée et l'on en fait un commerce d'exportation. Les bois de charpente, l'ormeau excepté, sont fort rares ; on les tire [fait venir] du dehors. Les cultivateurs sont presque toute l'année vêtus en toiles grossières, qui se fabriquent dans la commune. On voit encore les anciens restes d'un camp dit de La Fontenelle. Foire le lundi des Rogations. Géologie : terrain granitique entre le bourg et la mer ; micaschiste au sud. On parle le breton[11]. »
Le XXe siècle |
La Première Guerre mondiale |
Le monument aux morts de Beuzec-Cap-Sizun porte les noms de 92 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[12].
La Seconde Guerre mondiale |
Les morts de la Seconde Guerre mondiale |
Le monument aux morts de Beuzec-Cap-Sizun porte les noms de 9 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi eux, Guillaume Le Beul est disparu en mer lors du naufrage du contre-torpilleur Bison le 3 mai 1940 en Mer de Norvège. L'un d'entre eux, Jean-Louis Claquin est en fait mort peu après la fin de la guerre en Europe, le 29 juillet 1945 à Hoa Binh (Viet-Nam)[12].
Les combats de Pors Lesven |
Le 25 août 1944, près de 600 soldats allemands, venant de Lézongar en Esquibien, tentent d’évacuer le Cap Sizun à partir de Pors Lesven pour se réfugier dans la Presqu'île de Crozon, encore tenue par les troupes sous les ordres du général Ramcke, et Brest. Ils ont réquisitionné une trentaine de charrettes conduites par des paysans, chargées d’armes, munitions et vivres.
Le 26 août 1944, dès 1 h 30 du matin, ils sont attaqués par des résistants de la 4e compagnie FFI venue de Tréboul et de la compagnie FTP Kléber de Douarnenez ainsi que par 6 hommes de la compagnie FFI Surcouf de Pont-Croix, Jean Bourdon, Alain Cotonéa, Jean Le Coz (qui sera tué), Pierre Lannou, Jos Le Dem et Hervé Savina. Ils sont rejoints à partir de 8 heures du matin par le reste de leur compagnie, puis vers 10 heures du matin, par ceux de Plouhinec - Audierne, commandés par le lieutenant Wolf, de Plogastel-Saint-Germain, sous les ordres de Léon Goraguer, de Quimper (la 7e compagnie FFI)[13].
Les Allemands, qui occupent le village de Lesven (ils brûlent les maisons et dépendances des familles Hénaff et Ansquer), quittent ce village vers 11 heures du matin, se repliant vers Kervoal et Kervigoudou où les combats font rage en début d'après-midi, les résistants étant renforcés par des compagnies FFI venues de Douarnenez et Briec. Les derniers combats cessent vers 17 h 30, les troupes allemandes se rendant après le suicide de leur chef, le lieutenant Wilhelm Kieppe ; 228 soldats allemands sont faits prisonniers (25 sont blessés) et conduits au collège Saint-Vincent de Pont-Croix. Un important matériel, dont 4 canons de 20, est capturé.
Les combats ont fait trente tués dans les rangs allemands. Onze résistants et civils français ont été tués, soit lors des combats (Jean Cloarec, 21 ans ; Robert Le Goff, 20 ans ; Laurent Gonidec , 34 ans ; Jean Tanguy, 20 ans ; Jean Le Coz, 29 ans ; Jean Thomas, 21 ans ; Yves Quinquis ; Germain Piriou, 42 ans ; Hubert Cajean, 18 ans ; Henri Sergent, 34 ans (fait prisonnier la veille à Esquibien et assassiné par les Allemands près de la plage de Lesven) ; Clet Gourmelen, 67 ans (assassiné par les Allemands dans sa ferme de Lesven).
Précédemment, le 22 juillet 1944, Marie Ansquer, 12 ans, de Kerguian, qui gardait les vaches, avait été abattue sans raisons par un soldat allemand et mourut des suites de ses blessures[14].
L'après-Seconde Guerre mondiale |
François Cotonea[15], garde à la 2e Légion de Marche de Garde républicaine, a été tué à l'ennemi le 24 avril 1947 à Puoc Than (Cochinchine) pendant la Guerre d'Indochine[12].
Politique et administration |
Économie |
Le gîte communal accueille les groupes, les scolaires et les randonneurs toute l'année.
Population et société |
Démographie |
Manifestations culturelles et festivités |
Tous les ans le deuxième dimanche d'août, à la Pointe de Kastel-Koz, sont organisées des messes avec chants en breton, des aubades et autres noces bretonnes lors de la Fête des Bruyères.
Également tous les ans au mois d'août à Pors-Lanvers, est organisée la fête de la mer : promenades en mer avec la SNSM, fumages de poissons, fabrication de casiers, concerts de chants de marins, randonnées sur le GR 34 et souper du pêcheur, etc.
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
- La pointe de Kastel Koz : la pointe a été occupée au Néolithique et à l'âge du bronze. À l'Âge du fer ce fut un éperon barré. Il a été réoccupé à l'époque gallo-romaine et médiévale[18]. Il a accueilli pas loin de 200 habitations datées de 450 av. J.-C.. On en distingue encore les trois fossés. Les fouilles réalisées en 1869 ont permis la découverte d’une pointe de flèche à ailerons, de pédoncules en silex, de tessons de poterie médiévale ou encore de balles de fronde, Classé MH (1921)[19],[20].
- L'allée couverte de Kerbalannec à Kerbannalec Vraz, au lieu-dit de Ker Bannalec, Classé MH (1924)[21].
- Le menhir de Luguenez vers la pointe de Luguenez, Classé MH (1924)[22].
- Le menhir couché, appelé aussi vaisseau de pierre ou bateau de pierre de saint Conogan proche du moulin de Kériolet sur la Pointe du Millier, Classé MH (1924)[23], il fait également l'objet d'une inscription à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France[24].
- L'église Notre-Dame-de-la-Clarté, dédiée aussi à saint Budoc, qui date pour partie du XVIe siècle, pour partie du XVIIe siècle (le porche sud date de 1648), pour partie du XIXe siècle et restaurée au XXe siècle après l'incendie du 13 décembre 1936.
- Le moulin de Kériolet près de la pointe du Millier.
- Les chapelles Saint-Conogan, consacrée à saint Conogan, et de Sanspez consacrée à sainte Espérance (Santez Spe en breton).
- Le phare du Millier.
- Le sentier littoral (une partie du GR 34) allant de Douarnenez à la pointe du Van, est long d’une cinquantaine de kilomètres et il faut une douzaine d’heures à de bons marcheurs pour le parcourir. Très accidenté, l’addition des dénivelés dépassant 2 000 mètres, ce sentier permet de découvrir la pointe de Leydé (correspondant à une caisse filonienne d'un filon de dolérite[25]), de la Jument, du Millier, de Beuzec, de Luguénez, de Brézellec et du Van (avec sa chapelle Saint-They), les éperons barrés de Castel-Meur et de Kastel-Koz (Castel Coz), Pors Lanvers , Pors Péron et Pors Théolenn, la réserve naturelle de Goulien-Cap Sizun, le phare du Millier (qui accueille l’été des expositions), Ti Félix (maison achetée et restaurée par la commune de Goulien).
Patrimoine naturel |
- Le sentier côtier qui longe 16 kilomètres de côte et permet de découvrir un paysage de falaises et de criques qui a reçu le label Grand Site de France depuis 2013 (pointe du Raz en cap Sizun).
- La pointe du Millier, connue pour sa maison-phare et le moulin de Keriolet, mais aussi pour l'imposante pierre qui, selon la légende, serait la barque de saint Conogan.
- La plage de Pors Péron, fréquentée l'été par les touristes, mais surtout par les gens de la région.
L'allée couverte de Kerbalannec.
La barque de saint Conogan.
L'église Notre-Dame-de-la-Clarté et son calvaire à Beuzec-Cap-Sizun.
Le calvaire situé dans l'enclos paroissial de l'église Notre-Dame-de-la-Clarté.
Le moulin de Keriolet : vue extérieure, la façade.
Le littoral de Beuzec-Cap-Sizun en hiver, dans le secteur de Toull ar Marc'h Du.
Personnalités liées à Beuzec-Cap-Sizun |
- Yves d'Alam (en religion père Bruno de Saint-Yves) (né à Kerbusec (en fait Beuzec) près de Pont-Croix en avril 1600, mort en 1661 à Alep), cordelier, qui devint au XVIIe siècle supérieur du couvent des Cordeliers de Paris, puis missionnaire en Syrie. Il a écrit notamment le Livre des controverses (en arabe), l' Office des Morts et l' Office de la Sainte Vierge, dans la même langue[26].
Voir aussi |
Bibliographie |
- Paul Du Chatellier, Exploration de l'allée couverte de Kerbannalec en Beuzec-Cap-Sizun, Finistère, Imp. Francisque Guyon, Saint-Brieuc, s. d., 8 p. (extrait des Mémoires de la Société d'émulation des Côtes-du-Nord)
- Serge Duigou, Quand bringuebalait le train youtar, Éditions Ressac, Quimper, 1984 (historique de la petite ligne de chemin de fer à voie métrique qui desservait la commune de 1894 à 1946)
- Hilary Spurling, Matisse, Seuil, Paris, 2001 (sur le séjour du peintre Matisse à Beuzec-Cap-Sizun en 1895)
Articles connexes |
- Communes du Finistère
- Armorial des communes du Finistère
Liens externes |
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Site officiel.- Les « objets immobiliers », « objets mobiliers », d'après l'Inventaire général du patrimoine culturel du ministère de la Culture.
Beuzec-Cap-Sizun sur topic-topos.
Beuzec-Cap-Sizun sur Les mégalithes du monde.
Notices d'autorité : Bibliothèque nationale de France (données)
Notes et références |
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 1036
Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Christine Bonneton Éditeur, 2004, 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 149.
Patrick Maguer, Les enceintes fortifiées de l'âge du fer dans le Finistère, "Revue archéologique de l'Ouest" no 13, 1996, consultable http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rao_0767-709x_1996_num_13_1_1043
http://www.infobretagne.com/beuzec-cap-sizun.htm
Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 1, 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist01og/page/76
A. Dupuy, Les épidémies en Bretagne au XVIIIe siècle", revue "Annales de Bretagne", 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k214900h/f31.image.r=Plogoff.langFR
"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f7.image.r=Plovan?rk=21459;2
"Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 2-7. États généraux ; Cahiers des sénéchaussées et bailliages", série 1, tome 5, 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49520z/f514.image.r=Plovan?rk=4206029;2
" Collection complète des lois promulguées sur les décrets de l'assemblée nationale, imprimée par ordre de l'assemblée nationale", tome 12, 1791, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5685361x/f428.image.r=Pouldreuzic.langFR
Daniel Bernard, L'enseignement primaire dans le district de Pont-Croix (Finistère) en l'an II et en l'an III, revue "Annales de Bretagne", 1936, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115337d/f172.image.r=Plogoff.langFR
A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 1, 1843, consultable https://books.google.fr/books?id=DI8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi4if-fwsveAhUFxoUKHSmnAroQ6wEIQDAE#v=onepage&q=Beuzec&f=false
http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=29008&dpt=29&idsource=15660&table=bp03
http://maquisardsdefrance.jeun.fr/t10800-les-combats-de-lesven-en-finistere-26-aout-1944
Article publié dans le journal Le Télégramme de Brest no 21814 du 25 août 2015 d’après les archives municipales de Beuzec-Cap Sizun et les écrits de Jean-Pierre Griffon et Alain Le Berre
François Cotonéa, né le 29 octobre 1918 à Beuzec-Cap-Sizun
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
L'ouest de la Cornouaille dans les tourments de l'histoire, guide de découverte sur le patrimoine fortifié du Pays Bigouden, du Cap-Sizun et du Pays de Douarnenez, Syndicat Mixte, Pointe du Raz, (ISBN 9782952581004), p. 2, et voir : Plan d'interprétation du patrimoine bâti de l'ouest de la Cornouaille.
« Oppidum gaulois de Castel-Coz », notice no PA00089838, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Oppidum de Castel Coz », notice no IA00006369, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Allée couverte de Ty-ar-c'horriket », notice no PA00089834, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Menhir de Luguenez », notice no PA00089836, base Mérimée, ministère français de la Culture.
« Dolmen dit Bateau de Saint-Conogan, dit Ty Ar C'Horriket », notice no IA00006113, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Fiche d’inventaire du « Bateau de pierre de Saint Conogan » au patrimoine culturel immatériel français, sur culturecommunication.gouv.fr (consultée le 13 mars 2015)
Claude Augris, Atlas thématique de l'environnement marin de la baie de Douarnenez (Finistère), Editions Quae, 2005(lire en ligne), p. 47.
Louis de Sainte-Thérèse, "Annales des Carmes déchaussés de France", 1666, consultable https://books.google.fr/books?id=P_Tl7wWfW_IC&pg=PA709&lpg=PA709&dq=Kerbusec&source=bl&ots=u_6EV9YdwT&sig=geFWNoNcToAn7S8Z7tL5cRnjs5w&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjD0b6NtqzbAhWGPxQKHc4SDd8Q6AEIMzAB#v=onepage&q=Kerbusec&f=false
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