Alix de Hesse-Darmstadt





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Alix de Hesse-Darmstadt
(ru) Alexandra Fedorovna



Description de l'image Alekszandra Fjodorovna orosz cárné – Koppay József Árpád.jpg.

Titre


Impératrice consort de Russie


26 novembre 1894 – 15 mars 1917
(22 ans, 3 mois et 17 jours)














Prédécesseur
Dagmar de Danemark
Successeur
Abolition de la monarchie













































Biographie
Titulature
Princesse de Hesse et du Rhin
Dynastie
Maison de Hesse-Darmstadt
Nom de naissance
Alice Victoire Hélène Louise Béatrice(Alix Viktoria Helene Luise Beatrix)
Naissance
6 juin 1872
Drapeau du Grand-duché de Hesse Grand-duché de Hesse, Darmstadt
Décès
17 juillet 1918(à 46 ans)
Drapeau de la république socialiste fédérative soviétique de Russie RSFS de Russie, Villa Ipatiev (Iekaterinbourg)
Sépulture
Cathédrale Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg
Père
Louis IV de Hesse
Mère
Alice du Royaume-Uni
Conjoint
Nicolas II de Russie
Enfants
Olga Nikolaïevna de Russie
Tatiana Nikolaïevna de Russie
Maria Nikolaïevna de Russie
Anastasia Nikolaïevna de Russie
Alexis Nikolaïevitch de Russie





Description de cette image, également commentée ci-après

Impératrices de Russie




La Princesse Alix Viktoria Helene Luise Béatrix de Hesse et du Rhin (Alice Victoire Hélène Louise Béatrice de Hesse-Darmstadt), née le 6 juin 1872 et assassinée le 17 juillet 1918, est un membre de la famille grand-ducale de Hesse et du Rhin. Épouse du tsar Nicolas II de Russie en 1894, elle est la dernière impératrice de Russie, sous le nom d'Alexandra Fedorovna Romanova (en russe : Александра Фёдоровна Романова).




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Enfance


    • 1.2 Romances et fiançailles


    • 1.3 Mariage


    • 1.4 Couronnement et règne




  • 2 Emprisonnement et mort


    • 2.1 L’assassinat par les bolcheviks


    • 2.2 La découverte des Protocoles des Sages de Sion dans la chambre de l'impératrice




  • 3 Controverses


    • 3.1 Découverte des corps et rapports de survie




  • 4 Titulature


  • 5 Œuvres


  • 6 Dans la culture


  • 7 Notes et références


  • 8 Annexes


    • 8.1 Bibliographie


    • 8.2 Articles connexes


    • 8.3 Liens externes







Biographie |



Enfance |


Alix naît le 6 juin 1872 à Darmstadt. Son père, le grand-duc Louis IV de Hesse et du Rhin, est le fils du prince Charles de Hesse et de la princesse Elisabeth de Prusse. Sa mère, la princesse Alice du Royaume-Uni, est la seconde fille de la reine Victoria et du prince consort Albert de Saxe-Cobourg-Gotha (cf. article Descendance de Victoria Ire du Royaume-Uni).


Baptisée le 1er juillet 1872 au sein de l'Église luthérienne, elle a pour parrains le prince de Galles (futur Édouard VII) et l'empereur Alexandre III de Russie, et pour marraines la princesse de Galles, née Alexandra de Danemark, la sœur de celle-ci l'impératrice de Russie née Dagmar de Danemark, la princesse Béatrice du Royaume-Uni, la duchesse de Cambridge née princesse Augusta de Hesse-Cassel et la landgravine de Hesse-Cassel-Rumpenheim née princesse Anne de Prusse, .


Alix est surnommée Sunny (petit soleil) par ses proches, du fait de son éternel sourire et de sa constante gaieté. Un drame pourtant la touche alors qu'elle n'a que six ans : sa mère et sa sœur cadette sont emportées en l'espace de quelques jours par la diphtérie. Pour la petite Sunny, c'est un choc terrible qui modifiera à jamais ses rapports aux autres. De la petite fille joyeuse et équilibrée, il ne reste qu'un petit être triste, timide, égaré et constamment sur la défensive. Elle est alors élevée en Grande-Bretagne par sa grand-mère la reine Victoria, dont elle sera la petite-fille préférée.



Romances et fiançailles |





Le tsarévitch Nicolas et la princesse Alix en 1894.


Malgré les pressions familiales, Alix refuse une demande en mariage de son cousin le prince Albert Victor, duc de Clarence, fils aîné du prince de Galles et deuxième dans l'ordre de succession au trône britannique. C'est à l'âge de 12 ans, au cours de l'année 1884, à l'occasion du mariage de sa sœur aînée Elisabeth de Hesse-Darmstadt, dite "Ella", avec le grand-duc Serge Alexandrovitch de Russie, frère cadet du tsar Alexandre III, qu'elle rencontre pour la première fois celui qui n'est alors que l'héritier au trône de Russie et le nouveau neveu de sa sœur, le grand-duc Nicolas Alexandrovitch, alors âgé de 16 ans. Un sentiment très fort naît entre ces deux jeunes gens : ce sentiment perdurera tout au long de leur vie. Mais, tout d’abord, le couple impérial russe ne veut pas d'une princesse allemande ; cependant, la santé du tsar se dégradant, les souverains finissent par céder aux sentiments de leur fils aîné. Nicky et Sunny se fiancent en avril 1894 à l'occasion du mariage du frère d'Alix, le grand duc héritier de Hesse, avec sa cousine Victoria de Saxe-Cobourg-Gotha.



Mariage |


Alix se convertit à la religion orthodoxe et prend le nom d'Alexandra Fiodorovna. Le mariage est célébré le 26 novembre 1894 au Palais d'Hiver, à Saint-Pétersbourg, une vingtaine de jours après la disparition du tsar Alexandre III. Alix est, tout comme son jeune époux, le nouvel empereur Nicolas II, trop jeune et inexpérimentée. Pour le peuple russe, cette princesse est marquée par le malheur puisqu'elle est arrivée « derrière un cercueil ! ». De plus - comme pour le roi et la reine de France, Louis XVI et Marie-Antoinette -, pendant les fêtes qui célèbrent leur union, un terrible accident se produit sur le champ de foire causant des centaines de victimes.



Couronnement et règne |




Le couronnement de Nicolas et Alexandra.


Les premières années de règne du jeune couple sont marquées par le conservatisme. Nicolas et Alexandra, bien que de bonne volonté, refusent d'envisager les changements nécessaires à l'avenir de la Russie. Le couple devient rapidement impopulaire, en particulier Alexandra, qui, par sa personnalité névrosée et sa trop grande timidité, s'est rendue antipathique auprès de la cour et des peuples de Russie.


Alexandra et Nicolas ont eu cinq enfants : d'abord quatre filles, puis, au bout de dix ans de mariage, un garçon.





L'impératrice Alexandra Feodorovna et son fils, le tsarévitch Alexis, en 1906.













































Nom Nom russe Naissance Décès Mort à
Grande-duchesse Olga Nikolaïevna Великая Княжна Ольга Николаевна
15 novembre 1895 au Palais de Tsarskoïe Selo

17 juillet 1918 à Ekaterinbourg
22 ans
Grande-duchesse Tatiana Nikolaïevna Великая Княжна Татьяна Николаевна
10 juin 1897 au Palais de Peterhof

17 juillet 1918 à Ekaterinbourg
21 ans
Grande-duchesse Maria Nikolaïevna Великая Княжна Мария Николаевна
26 juin 1899 au Palais de Peterhof

17 juillet 1918 à Ekaterinbourg
19 ans
Grande-duchesse Anastasia Nikolaïevna Великая Княжна Анастасия Николаевна
18 juin 1901 au Palais de Peterhof

17 juillet 1918 à Ekaterinbourg
17 ans
Tsarévitch Alexis Nikolaïevitch Цесаревич Алексей Николаевич
12 août 1904 au Palais de Peterhof

17 juillet 1918 à Ekaterinbourg
13 ans




L'impératrice Alexandra Feodorovna et ses filles, les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Anastasia, Maria (1913).


Nicolas et Alexandra sont couronnés empereur et impératrice de Russie le 14 mai 1896 à Moscou.


La tzarine a longtemps désespéré de donner le jour à un héritier mâle. Elle s'est entourée de mages, de moines, de guérisseurs russes et français comme Nizier Philippe. La joie de la naissance du tsarevitch Alexis après dix ans de mariage fut ternie par la découverte de la maladie de l'enfant atteint d'hémophilie dont le gène responsable est transmis par les femmes ; Alexandra l'a reçu de sa mère, qui elle-même l'a reçu de sa mère la reine Victoria. Ce drame personnel pousse le couple impérial à s'installer définitivement au palais Alexandre, à Tsarskoïe Selo, en 1905, renforçant un isolement propice aux évènements qui se précipitent. La tsarine supporta également la canonisation de Séraphim de Sarov.


Les années qui suivent sont la scène d'évènements dramatiques et de grande importance : défaite contre le Japon, émeutes ouvrières et étudiantes, ouverture de la Douma. Alexandra a pour demoiselle d'honneur, mais également amie et confidente, Anna Vyroubova, qui présentera Grégori Raspoutine à la famille impériale. Ce moine originaire de Sibérie, présenté comme prophète et thaumaturge, traîne une réputation sulfureuse, mais il est le seul à arrêter les hémorragies du tsarévitch.
Alexandra, toute à son drame de mère, exerce une influence néfaste sur la politique de son époux. Son mysticisme effréné et l’amitié qu’elle porte à Raspoutine accentuent son impopularité.


Lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale, Alexandra, accompagnée de ses filles aînées, s’investit dans les soins aux blessés[1],[2]. Mais il est déjà trop tard. L'impopularité de l'impératrice surnommée par le peuple "l'Allemande", les défaites nombreuses provoquent la contestation politique, les grèves à répétition, le mécontentement populaire qui paralysent le pays. Raspoutine est assassiné le 31 décembre 1916 par un complot organisé par le neveu par alliance du tsar, le prince Félix Ioussoupov, non sans avoir prédit la chute de la monarchie. Le régime tsariste vit ses derniers jours.



Emprisonnement et mort |



L’assassinat par les bolcheviks |


Emprisonnées à Tsarskoïe Selo, puis à Tobolsk et enfin à Ekaterinbourg, Alexandra et sa famille sont tuées sans aucun jugement dans les caves de la maison Ipatiev (propriété d'un industriel de cette dernière ville : Nikolaï Ipatiev), le 17 juillet 1918, par un groupe de bolcheviks. Officiellement, l'ordre est venu de Moscou d'abattre toute la famille.


Les corps de la famille impériale sont chargés dans un camion puis transférés dans une forêt proche de Ekaterinbourg. Ils sont jetés dans un puits de mine d'où ils sont retirés quelques jours plus tard pour être ensevelis sous un chemin forestier.



La découverte des Protocoles des Sages de Sion dans la chambre de l'impératrice |


Pour Pierre-André Taguieff[3], l’exécution de la famille impériale de Russie en 1918 est une occasion pour les Russes blancs de dénoncer un mythique « complot judéo-bolchévique » basé sur la réactivation de « l'imaginaire du crime rituel juif ».


Un juge d'instruction nommé par l'Amiral Koltchak pour enquêter sur l'exécution saisit l'occasion de la présence de quelques Juifs parmi les exécuteurs de la famille du tsar pour affirmer que « celui qui joua le rôle principal dans le meurtre de la famille impériale fut Yakov Yourovski. Ce fut lui qui en conçut le plan et en assura l'exécution. »[4]. Les Russes blancs reprennent ces accusations en affirmant que parmi les exécuteurs, les Juifs constituaient 70 % du commando. Ils ajoutent que « les « Sages de Sion » sanguinaires, incarnés par Trotski, ont donné à leurs hommes de main, eux-mêmes juifs, l'ordre d'assassiner la plus emblématique des familles chrétiennes »[5] Mais la réalité est tout autre. Les historiens indiquent que « les maitres bourreaux étaient des Russes "ethniquement purs" (Piotr Z. Ermakov, Alexandre Beloborodov, Fédor Syromolotov, Serguei Tchoutzkaev, Fédor Loukoyanov), et Yourovski n'était que l'un des comparses juifs des tueurs ».


La présence d'un volume des Protocoles des Sages de Sion, dans la chambre de l'impératrice Alexandra, dans la Villa Ipatiev, à Ekaterinbourg permet à l'« antisémite fanatique », Pierre Chabelski-Bork, futur membre de l'Union du peuple russe qui se trouve à Ekaterinbourg, en septembre 1918, d'alimenter « la légende d'un "complot juif" contre la Sainte Russie, incarnée par la famille impériale »[5].



Controverses |


Ne serait-ce que pour cette connotation d'antisémitisme le sort de la famille impériale reste plus que jamais sujet à controverses : si le juge Nicolaï Sokolov, dépêché par l'amiral Koltchak, et par le siège des grands Blancs à Omsk conclut immédiatement au massacre collectif et à l'incinération des corps, divers historiens- s'appuyant en cela sur l'absence totale de découverte des corps -intacts comme incinérés des témoins domiciliés à Perm - contestèrent ses conclusions. Ainsi l'historienne Marina Gray, fille du général Dénikine, tenta de démontrer la survie provisoire limitée à la guerre civile d'une partie de la famille impériale[6]. En 1990, Marc Ferro suit aussi la piste de Perm mais penche lui pour la possible survie prolongée d'une partie de la famille Romanov : Maria, Olga et Anastasia sous les traits d'Anna Anderson. Toutefois, Ferro souligne la rareté des informations relatives à Tatiana et à l'Impératrice.


La théorie de la survie est encore ponctuellement défendue[7],[8].



Découverte des corps et rapports de survie |




Chapelle funéraire de la famille de Nicolas II.


En 1991, les corps de la famille impériale et de leurs suivants ont finalement été retrouvés dans une fosse commune dans les bois en dehors de Ekaterinbourg. Une fois la tombe ouverte, les archéologues remarquent que sur les onze corps (le tsar Nicolas II, la tsarine Alexandra, le tsarévitch Alexis, les quatre grandes-duchesses, Olga, Tatiana, Maria et Anastasia, le médecin de la famille Evgueny Botkine, leur valet Alexeï Trupp, leur cuisinier Ivan Kharitonov, et la femme de chambre d'Alexandra, Anna Demidova) il n'y en a que neuf. Il manque, en effet, les corps du tsarévitch Alexis et de la grande-duchesse Anastasia.


Le 16 juillet 1998, Alexandra, son mari, trois de ses filles et les quatre membres de sa suite dans la Cathédrale Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg sont inhumés en présence des descendants de la famille Romanov, notamment du prince Nicolas Romanov, chef de la maison impériale de Russie. Le 14 août 2000, Alexandra et sa famille ont été canonisées par l'Église orthodoxe de Russie, qui les considère comme martyrs.


En août 2007, deux corps ont été retrouvés à Ekaterinbourg, près de là où furent retrouvés ceux d'Alexandra et de sa famille. Le 30 avril 2008, Edouard Rossel, gouverneur de la région de Sverdlovsk, déclare :



« Le plus grand laboratoire génétique des États-Unis a confirmé leur identité, les corps retrouvés en août 2007, sont bien les corps des deux enfants d'Alexandra et du tsar Nicolas II, la grande-duchesse Anastasia et le tsarévitch Alexis [...] Nous avons à présent retrouvé la famille au grand complet. »



Cette confirmation pourrait mettre un terme à l'histoire tourmentée de la famille impériale de Russie et obliger les "tsaristes" à renoncer à leurs spéculations concernant la survie de deux enfants de Nicolas II à ce massacre[9].



Titulature |




  • Son Altesse Grand-Ducale la princesse Alix de Hesse et du Rhin (1872–1894)


  • Son Altesse Impériale la grande-duchesse Alexandra Fidorovna de Russie (1894–1894)


  • Sa Majesté Impériale l'impératrice de Russie (1894–1917)



Œuvres |


  • 1924 : Alexandra Feodorovna (Alix de Hesse-Darmstadt), Lettres de l'impératrice Alexandra Feodorovna à l'empereur Nicolas II (préf. et notes de J.W. Bienstock), Paris, Payot, coll. « Collection de mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la Première Guerre mondiale », 1924, 559 p. – En ligne sur Gallica.


Dans la culture |


L'impératrice est interprétée à la télévision en 1974 par Gayle Hunnicutt dans la série Britannique "Fall of the Eagles" (en français "La Chute des aigles") puis en 2011 par Fanny Ardant dans le Raspoutine de Josée Dayan.


Romans



  • Les Filles du tsar, Marie ou les tourbillons du destin, Paris, Michel Lafon, 2003.


  • Paul Mourousy, Alexandra Feodorovna, la dernière tsarine, Édition du Rocher, 2001.


  • Laurence Catinot-Crost, La Tsarine martyre, dernière impératrice de Russie, Atlantica, 2001.


  • Maurice Paléologue, Le Crépuscule des Tsars, Mercure de France, 2007.

  • Franck Ferrand, L'Ombre des Romanov, Paris, Xo Éditions, 2010.


  • Jean des Cars, Nicolas II et Alexandra de Russie. Une tragédie impériale, Perrin, 2015, 462 p.



Notes et références |




  1. « L'Oeuvre de l'ambulance russe sur le front occidentale », Le Temps,‎ 15 mars 1915, p. 3 (lire en ligne) disponible sur Gallica.



  2. Bernard Isserlis, « Les Ambulances russes aux Armées françaises », sur Gazette de l'ASCERF en ligne (consulté le 27 avril 2016).



  3. Pierre-André Taguieff, La Judéophobie des Modernes : des Lumières au Jihad, Odile Jacob, 2008, 686 p. (ISBN 978-2-73811-736-6, présentation en ligne), p. 283-284.


  4. Nikolaï Sokolov, Enquête judiciaire sur l'assassinat de la famille impériale russe, Payot, 1924.


  5. a et bPierre-André Taguieff, La Judéophobie des Modernes : des Lumières au Jihad, Odile Jacob, 2008, 686 p. (ISBN 978-2-73811-736-6, présentation en ligne), p. 284.


  6. Marina Grey,Enquête sur le massacre des Romanov, Paris, Perrin, 1987


  7. Michel Wartelle, L'affaire Romanov ou le mystère de la maison Ipatiev, p. 95.


  8. Alexis Durrazzo, Moi, Alexis... op cit. 1982, p. 202.


  9. Des tests ADN permettent d'identifier les restes de deux enfants du dernier tsar russe - La Tribune.fr



Annexes |


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Bibliographie |



  • Marina Grey, Enquête sur le massacre des Romanov, Paris, Perrin, 1987.


  • Marc Ferro, Les Tabous de l'histoire, Pocket, 2004. (ISBN 2266133446)


  • Pierre Lorrain, La Fin tragique des Romanov, Bartillat, 2005.

  • Jean Des Cars, La Saga des Romanov, Paris, Plon, 2008.

  • Michel Wartelle, L'Affaire Romanov, ou le Mystère de la maison d'Ipatiev, Louise Courteau, 2008.



Articles connexes |



  • Révolution russe

  • Nicolas II

  • Chapelle russe de Darmstadt

  • Assassinat de la famille impériale russe

  • Descendance de la reine Victoria



Liens externes |



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  • Frozen Tears : Frozen in Time. Never in Memory

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