Will Smith
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Nom de naissance | Willard Carroll Smith, Jr. |
---|---|
Surnom | Will |
Naissance | 25 septembre 1968 Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis |
Nationalité | Américain |
Profession | Acteur Chanteur Producteur Scénariste |
Films notables | Men in Black (trilogie) Ali Je suis une légende Bad Boys (trilogie) |
Séries notables | Le Prince de Bel-Air |
Willard Carroll[1] Smith, Jr., dit Will Smith est un acteur, chanteur de rap et producteur de cinéma américain, né le 25 septembre 1968 à Philadelphie[2] (Pennsylvanie).
Il est l'un des rares artistes à avoir connu le succès dans trois différents médias de divertissement aux États-Unis et dans le monde : cinéma, télévision et musique. Il est devenu rapidement célèbre en tenant le rôle-titre de la série télévisée Le Prince de Bel-Air et a joué dans plusieurs grosses productions hollywoodiennes comme Bad Boys, Independence Day et Men in Black.
Il est l'un des acteurs les mieux payés d'Hollywood avec 80 millions de dollars gagnés entre le 1er juin 2007 et le 1er juin 2008[3],[4] et le seul acteur à avoir tourné dans huit films classés premiers au box-office américain dès leur premier week-end de diffusion[5].
Sommaire
1 Biographie
1.1 Jeunesse et formation
1.2 Carrière
1.2.1 Débuts dans la musique
1.2.2 Révélation dans Le Prince de Bel-Air
1.2.3 Révélation mondiale au cinéma
1.2.4 Overbrook Entertainment
1.2.5 Confirmation dramatique et production
1.2.6 Échecs critiques successifs
1.3 Vie privée
1.3.1 Famille Smith
1.3.2 New Village Leadership Academy
2 Filmographie
2.1 Cinéma
2.1.1 Films
2.1.2 Films d'animation
2.2 Télévision
2.3 Comme compositeur et / ou interprète
2.4 Comme producteur / producteur exécutif
3 Discographie
3.1 DJ Jazzy Jeff and the Fresh Prince
3.2 Albums solo en studio
3.3 Singles
4 Salaires
5 Particularités
6 Distinctions
6.1 Récompenses et nominations
7 Voix francophones
8 Notes et références
8.1 Notes
8.2 Références
9 Voir aussi
9.1 Articles connexes
9.2 Bibliographie
9.3 Liens externes
Biographie
Jeunesse et formation
Willard Carroll Smith, Jr. nait à Philadelphie. Sa mère Caroline (née Bright) travaille dans une école et son père Willard Carroll Smith, Sr. est technicien. Il reçoit une éducation baptiste[6]. Ses parents se séparent quand il a 13 ans[6],[7]. Il a une sœur, plus âgée de 4 ans, Pamela, ainsi que des jumeaux, 3 ans plus jeunes que lui, Ellen et Harry[8]. Dès son enfance, Will Smith se révèle être un enfant intelligent et charismatique. Il est capable de charmer par ses discours et ainsi d'éviter les ennuis, si bien que ses professeurs du lycée le surnomment « Prince Charming »[7],[9].
En 1982, à l’âge de 14 ans, Will Smith est grandement influencé par Eddie Murphy et les nouveaux héros du hip-hop.
À 16 ans, il rencontre Jeffrey Townes à une fête. Ils deviennent amis proches et commencent à chanter ensemble, Jeff en tant que DJ Jazzy Jeff et Smith en tant que The Fresh Prince[7].
Élève brillant, Smith fait ses études secondaires à la Julia Reynolds Masterman Laboratory and Demonstration School, école réputée de Philadelphie[10]. Bien que cette idée soit largement répandue, il est faux qu'il ait refusé une bourse d'études au Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour se consacrer à sa carrière musicale[10]. Il a déclaré à ce propos : « Ma mère qui travaillait pour la Commission Scolaire de Philadelphie était amie avec le directeur des admissions du MIT. Mon score au SAT était plutôt élevé et ils avaient besoin d'enfants noirs de peau, donc j'aurais probablement pu y être admis. Cependant, j'avais nullement l'intention d'entrer à l'université[11]. »
Carrière
Débuts dans la musique
Sous le nom de scène The Fresh Prince, Will Smith et son ami Jeffrey Townes (DJ Jazzy Jeff) forment le duo DJ Jazzy Jeff and The Fresh Prince. Il est maître de cérémonie (MC), DJ Jazzy Jeff est disc jockey et producteur. Ils sont accompagnés par Clarence Holmes (Ready Rock C) pour le beatbox[9].
En 1987, le groupe sort son premier album Rock the House contenant le hit Girls Ain't Nothing But Trouble[9]. Ils continuent sur leur lancée en sortant He's the DJ, I'm the Rapper en 1988. C'est un double album, format couramment utilisé en rock and roll, mais innovant dans le monde du rap de l'époque[9]. C'est leur premier gros succès commercial, le single Parents Just Don't Understand, tiré de cet album, leur vaudra un Grammy award dans la catégorie « Best Rap Performance » (Meilleure Performance Rap). L'album est un des premiers Long Plays rap de l'histoire à devenir double disque de platine.
Leur style comique et frimeur faisait contraste avec le rap de l'époque, beaucoup plus sérieux et violent. L'absence de vulgarité dans les textes rendit leurs chansons idéales pour les stations de radio, et reçut l'approbation des parents américains, tout en touchant tous les publics[9].
Will Smith commence à attirer l'attention d'Hollywood et des grands réseaux américains.[réf. à confirmer]
Révélation dans Le Prince de Bel-Air
Malgré la popularité et la richesse, Will Smith cherche de nouveaux défis à relever. Les opportunités ne tardent pas en la personne de Benny Medina, qui avait l'idée de produire une sitcom basée sur sa vie[12]. Cette idée se transforme en 1990 par la création de la sitcom Le Prince de Bel-Air (The Fresh Prince of Bel-Air) pour NBC dans laquelle Smith tient le rôle principal en y incarnant le Prince de Bel-Air. La série est l'histoire d'un adolescent des rues de Philadelphie qui débarque chez son oncle à Bel-Air (Los Angeles) dans une famille aisée. Le succès est immédiat, et la série se poursuit jusqu'en 1996.
Sur le plan musical, le groupe DJ Jazzy Jeff and The Fresh Prince réalise Summertime, extrait de l'album Homebase, qui remporte un important succès. En 1993, DJ Jazzy Jeff & The Fresh Prince sortent leur dernier disque ensemble, Code Red[13] qui fut un échec commercial[9]. Il décida de mettre sa carrière de rappeur de côté pour se consacrer au cinéma et à son premier enfant[9].
Par la suite, Smith essaie d'explorer ses capacités d'acteur en jouant dans le film Break Out (Where the day takes you), jusqu'à être reconnu par la critique en 1993 pour son rôle dans Six degrés de séparation (Six Degrees of Separation), film dans lequel il tient le rôle d'un bisexuel où l'acteur refuse d'embrasser un autre acteur comme l'exige le scénario. Il suit alors les conseils de son ami Denzel Washington et s'oppose au réalisateur Fred Schepisi. Celui-ci modifie donc le script à contrecœur, ce qui n'empêche pas le film de remporter un bon succès dans les salles[14].
La même année, NBC décide de terminer la série Le Prince de Bel-Air à la fin de la troisième saison, mais la vive réaction des fans et la masse de courrier reçue incite la chaîne à revoir sa position. Finalement la série sera reconduite pour trois saisons supplémentaires.
Révélation mondiale au cinéma
En 1995, Will Smith a été payé 5 millions de dollars pour Bad Boys avec Martin Lawrence, un succès commercial qui lui ouvre les portes de plus grosses productions[réf. nécessaire]. Après la fin de la série le Prince de Bel-Air en 1996, il se consacre à sa carrière au cinéma avec Independence Day de Roland Emmerich, où il joue le capitaine Steven Hiller, un pilote de l'air chasseur d'aliens, avec un énorme succès cette fois (le film se plaçant à l'époque comme le second plus gros succès commercial mondial de l'histoire du cinéma derrière Jurassic Park). Avec 800 millions de recettes au box-office, c'est à ce jour le plus grand succès de Will Smith.
L'année suivante, il joue dans Men in Black, où il donne la réplique à Tommy Lee Jones[15], puis dans Ennemi d'État en 1998[16] et Wild Wild West en 1999[17]. Il refuse d'ailleurs de jouer dans Matrix car il trouvait le scénario trop compliqué à son goût[18] et a préféré tourner Wild Wild West aux côtés de Kevin Kline. Ce long métrage rembourse à peine son budget et est raillé par la critique. Plus tard, ce premier échec sera regretté par l'acteur reconnaissant avoir cédé au salaire et à la facilité[19].
En marge de sa carrière d'acteur, Will Smith se lance dans la musique en solo à la fin des années 1990, le plus souvent avec des singles associés à ses films. Ses plus célèbres singles sont Men in Black, Gettin' Jiggy wit It (ce qui a fait du terme Jiggy une expression à la mode pendant quelque temps aux États-Unis en 1998) et Just the Two of Us, un message d'affection à son premier fils, Willard « Trey » Smith III.
Overbrook Entertainment
C'est entre 1997 et 1999 que Will Smith et le producteur américain James Lassiter fondent Overbrook Entertainment une société de production de films, de séries télévisées et de musique[20],[21]. En mars 2007, Will Smith et son associé figurent en couverture du magazine « Black Enterprise ». Ils sont classés en effet troisième de la liste des 50 noirs les plus influents d’Hollywood (derrière Oprah Winfrey et Richard Parsons, président-directeur général de Time Warner)[20].
Confirmation dramatique et production
En 2001, Smith interprète le boxeur Mohamed Ali dans le film Ali de Michael Mann. Ce rôle lui a demandé un an de travail. Il a non seulement appris à parler et à se mouvoir comme Ali, mais il a aussi subi un entraînement intense et une transformation physique importante. Lors des scènes de combat, l'acteur s'est aidé de professionnels et a combattu réellement[22]. Smith dira que pour ce rôle : « Je ne voulais pas me contenter d'avoir l'air d'un boxeur. Je voulais penser comme un boxeur. Cela signifie manger en boxeur, dormir en boxeur, réagir en boxeur. Devenir boxeur. »[22]. Son interprétation lui vaut une nomination aux Oscars dans la catégorie Meilleur acteur en 2002 mais c'est finalement l'acteur Denzel Washington qui remporte le trophée[23].
Concernant sa carrière musicale, ses deux premiers albums solo ont été disques de platine, mais son troisième album fut une déception du point de vue des ventes. Si bien que Smith a été licencié du label Sony en 2003 en raison de son âge, estimé trop vieux pour assurer de grands succès commerciaux. Il signe un nouveau contrat avec Interscope Records et lance l'album Lost & found en 2005.
Après son rôle dans Ali, Smith commence à s'impliquer dans la production des films dans lesquels il tourne, comme I, Robot en 2004 ou Hitch en 2005. Il multiplie également les projets en tant que producteur avec des films en projet tels que ATL, My wife hates your wife, White boy shuffle et The Mark.
En 2004, dans le film d'animation Gang de requins (Shark Tale), il prête sa voix à Oscar, poisson qui a une personnalité similaire à Fresh Prince de la série Le Prince de Bel-Air[24],[25]. Pour cette interprétation, il remporte un Kids' Choice Awards en 2005, dans la catégorie « Favorite Voice from an Animated Movie » (Voix Favorite dans un film d'animation)[26].
En 2005, Will Smith entre au Livre Guinness des records car il a atteint un record de 3 premières en 24 heures[27].
Fin 2006, il tient le rôle de Chris Gardner dans le mélodrame À la recherche du bonheur (The Pursuit of Happyness). C'est un de ses grands succès avec son fils, Jaden Smith qui joue son premier rôle en tant qu'acteur de cinéma.
En 2007, il prend le rôle principal du film Je suis une légende (I am Legend), un film post-apocalyptique qui a connu un très grand succès au box-office en rapportant 585 millions de dollars[28]. Cette même année, Will Smith laisse ses empreintes sur le ciment d'Hollywood, au Grauman's Chinese Theatre le 10 décembre 2007[29].
En 2008, Smith joue dans Hancock, où il interprète un super-héros alcoolique et moralement douteux. Sorti aux États-Unis le 2 juillet 2008, le film obtient plus de 600 millions de dollars au box-office mondial (second meilleure performance mondiale de Will Smith derrière Independance Day), en dépit des critiques mitigées. La même année, Smith est la tête d'affiche du drame Sept Vies (Seven Pounds), un film sur la quête de la rédemption, qui fonctionne commercialement, mais est mal accueilli par la presse.
Will Smith a dépassé Johnny Depp au classement des acteurs qui rapportent le plus d'argent en 2008 et peut se vanter d'être le premier acteur noir depuis 1968 (alors Sidney Poitier) à parvenir en tête du sondage Quigley, qui chaque année détermine les dix acteurs qui ont généré, selon les exploitants, le maximum d'argent au box-office. Avec Hancock et Sept vies, il devient le numéro un du box-office 2008, place détenue l'année précédente par Johnny Depp[30].
En 2009, Forbes classe la star 11e dans le top 100 des célébrités[31].
Pourtant, l'échec de Sept Vies annonce une décennie 2010 décevante.
Échecs critiques successifs
En 2010, Will Smith produit, avec sa femme, le remake Karaté Kid de Harald Zwart, avec Jaden Smith dans le rôle titre. Un film qui sera un tremplin pour sa carrière d'acteur, Karaté Kid a été un grand succès public au regard de son budget faible.
En 2012, Will Smith reprend son rôle de l'agent J pour le blockbuster Men in Black 3, dix ans après le second opus. L'acteur y retrouve le réalisateur Barry Sonnenfeld, mais également son ancien partenaire à l'écran, Tommy Lee Jones, dans le rôle de l'agent K[32] et sortit le 12 mai 2012. C'est durant le tournage (chaotique) du film que Will Smith refusa le rôle-titre dans le western de Quentin Tarantino, Django Unchained, rôle qui revient finalement à Jamie Foxx[33]. Une grande méprise pour Smith, le film sera un triomphe dans les salles, et sera multi-récompensé.
En janvier 2012, à quelques mois de la sortie de Men in Black 3, Smith présente les Kids' Choice Awards sur Nickelodeon, marquant le coup d'envoi d'une promotion qui culminera avec le succès commercial, mais aussi critique[34] du dernier volume de la trilogie amorcée en 1999. Il s'agira de la dernière performance de l'acteur sur ces deux plans.
En 2013 sort le second projet de Will et Jaden Smith : After Earth, un blockbuster de science-fiction de M.Night Shyamalan, construit comme un passage de relais entre le père, méga-star, et son fils, jeune valeur montante. Mais le film fait des recettes correctes sans plus, surtout grâce à l'international, tandis que les critiques sont catastrophiques, les plus mauvaises de la carrière de l'acteur[35]. Le projet est non seulement débiné pour ses qualités intrinsèques, mais également pour ce qu'il est : la filmographie de Shyamalan est à son plus bas à ce moment, tandis que la performance très moyenne de Jaden Smith, le conduit à être soupçonné de pistonnage, surtout compte tenu de la promotion avenante assurée par Smith avant la sortie[36].
La carrière du jeune Jaden est donc mis en standby, y compris les projets d'un Karate Kid 2, tandis que Smith père tente de se racheter une crédibilité artistique. En 2015, il enchaîne deux projets différents, mais adultes : en février, il partage l'affiche de la comédie d'action Diversion avec l'actrice montante Margot Robbie, sous la direction d'un tandem de scénaristes/réalisateurs prometteurs, Glenn Ficarraet et John Requa. Le projet, qui mise énormément sur le glamour et le sex-appeal de son duo de stars, fonctionne commercialement mais divise la critique[37]. En novembre, Smith revient au biopic sportif avec Seul contre tous, écrit et réalisé par l'écrivain Peter Landesman et produit par Ridley Scott. Le projet rembourse à peine son budget, mais reçoit des critiques correctes qui saluent la performance de l'acteur dans le rôle du Dr Bennet Omalu[38].
L'acteur a déjà alors entamé le tournage d'un blockbuster attendu de Warner Bros. : Suicide Squad. L'acteur a non seulement accepté de figurer au sein d'un casting choral, composé notamment de Margot Robbie (Harley Quinn) et Jared Leto (le Joker), mais surtout d'incarner un méchant[39]. Il est néanmoins l'acteur le plus connu de la distribution et son rôle de Deadshot[40] lui permet d'occuper le devant de la scène durant une bonne partie du long métrage écrit et réalisé par David Ayer. Sorti en 2016, ce thriller urbain d'action fantastique reçoit de très mauvaises critiques[41] mais fonctionne très bien à l'étranger. À la fin de cette même année sort un autre projet choral dont Smith domine la distribution, le drame Beauté cachée de David Frankel. Tandis que le film rembourse à peine son budget, les critiques sont les secondes plus mauvaises de la carrière de l'acteur[42].
En 2017, il retrouve le réalisateur David Ayer pour un polar fantastique, Bright avec pour partenaire Joel Edgerton. Tandis que le projet Bad Boys for Life, qui devait marquer le retour du tandem du premier succès de Smith, est une nouvelle fois repoussé suite au désistement du scénariste et réalisateur Joe Carnahan[43]. La même année, il est membre du jury du Festival de Cannes sous la présidence de Pedro Almodóvar, aux côtés des actrices Jessica Chastain et Fan Bingbing, des réalisateurs Maren Ade, Agnès Jaoui, Park Chan-wook et Paolo Sorrentino et du compositeur Gabriel Yared.
L'année 2019 le ramène à des projets plus ambitieux : il prêtera sa voix au Génie de la Lampe dans le blockbuster des studios Disney Aladdin, de Guy Ritchie. Mais il sera surtout la tête d'affiche du film de science-fiction Gemini Man de Ang Lee. Il y aura pour partenaire la jeune Mary Elizabeth Winstead.
De mai à juillet 2018, Will Smith interprète Live It Up, aux côtés d'Era Istrefi et Nicky Jam, chanson officielle pour la coupe du monde de football de 2018[44].
Vie privée
Famille Smith
Le 9 mai 1992, Will Smith se marie avec Sheree Zampino. Leur fils Willard Christopher « Trey » Smith est né le 11 novembre 1992. Ils divorcèrent en 1995 après trois ans de mariage[10].
Le 31 décembre 1997, Will Smith épouse Jada Pinkett, actrice et chanteuse américaine. Ils ont ensemble un fils, Jaden Christopher Syre Smith né le 8 juillet 1998 et une fille, Willow Camille Reign Smith née le 31 octobre 2000[45].
Le 7 novembre 2016, le père de Will Smith, Willard Carroll Smith Sr. est mort[46]
New Village Leadership Academy
Will Smith et sa femme Jada Pinkett Smith ont investi 890 000 dollars dans la New Village Leadership Academy, à Calabasas en Californie[47],[48],[49]. Cette école, dont les cours débutent dès la maternelle, base ses enseignements sur certains concepts pédagogiques développés par l'église de Scientologie (en particulier « Study Technology (en) », une méthode d'enseignement développée par Ron Hubbard). Certains enseignants, ainsi que des membres de l'administration, sont scientologues.
Il est à noter que les Smith ont déclaré ne pas être scientologues, et que l'école, qui réfute toute affiliation religieuse, n'est pas soupçonnée d'avoir pour but d'enseigner la scientologie. Toutefois, des critiques se sont élevées (comme David S. Touretzky, enseignant chercheur à la « Computer Science Department » et le « Center for the Neural Basis of Cognition » de la Carnegie Mellon University), qui accusent l'école d'inculquer au moins le jargon scientologue et de présenter Ron Hubbard comme une autorité intellectuelle, préparant de fait les enfants à rejoindre l'église de Scientologie.
L'année scolaire coûte entre 7 500 et 12 000 dollars.[réf. nécessaire]
Filmographie
Cinéma
Films
- Années 1990
1992 : Break Out (Where the Day Takes You) de Marc Rocco : Manny
1993 : Made in America de Richard Benjamin : Tea Cake Walters- 1993 : Six degrés de séparation (Six Degrees of Separation) de Fred Schepisi : Paul
1995 : Bad Boys de Michael Bay : l'inspecteur Mike Lowrey
1996 : Independence Day de Roland Emmerich : le capitaine Steven « Eagle » Hiller
1997 : Men in Black de Barry Sonnenfeld : l'officier James Darrell Edwards / l'agent J
1998 : Welcome to Hollywood d'Adam Rifkin et Tony Markes : lui-même
1999 : Torrance Rises (en) de Spike Jonze : lui-même- 1999 : Ennemi d'État (Enemy of the State) de Tony Scott : Robert Clayton Dean
- 1999 : Wild Wild West de Barry Sonnenfeld : James West
- Années 2000
2001 : La Légende de Bagger Vance (The Legend of Bagger Vance) de Robert Redford : Bagger Vance- 2001 : Ali de Michael Mann : Muhammad Ali
2002 : Men in Black 2 (Men in Black II) de Barry Sonnenfeld : James Darrell Edwards / l'agent J
2003 : Bad Boys 2 (Bad Boys II) de Michael Bay : l'inspecteur Mike Lowrey
2004 : I, Robot d'Alex Proyas : Del Spooner- 2004 : Père et Fille (Jersey Girl) de Kévin Smith : lui-même
2005 : Hitch, expert en séduction (Hitch) d'Andy Tennant : Alex Hitchens « Hitch »
2006 : À la recherche du bonheur (The Pursuit of Happiness) de Gabriele Muccino : Chris Gardner
2007 : Je suis une légende (I Am Legend) de Francis Lawrence : Robert Neville
2008 : Hancock de Peter Berg : Hancock- 2008 : Sept vies (Seven Pounds) de Gabriele Muccino : Tim Thomas / Ben Thomas
- Années 2010
2012 : Men in Black 3 (Men in Black III) de Barry Sonnenfeld : James Darrell Edwards / l'agent J
2013 : After Earth de M. Night Shyamalan : Cypher Raige- 2013 : Légendes vivantes (Anchorman 2: The Legend Continues) d'Adam McKay : le journaliste d'ESPN
2014 : Un amour d'hiver (Winter's Tale) d'Akiva Goldsman : le juge
2015 : Diversion (Focus) de John Requa et Glenn Ficarra : Nicky- 2015 : Seul contre tous (Concussion) de Peter Landesman : Dr Bennet Omalu
2016 : Suicide Squad de David Ayer : Floyd Lawton / Deadshot
- 2016 : Beauté cachée (Collateral Beauty) de David Frankel : Howard Inlet
2017 : Bright de David Ayer : Daryl Ward
- Prochainement
2019 : Aladdin de Guy Ritchie : le Génie (en postproduction[50])
- 2019 : Gemini Man d'Ang Lee : Henry (en tournage[50])
2020 : Bad Boys for Life d'Adil El Arbi et Bilall Fallah : l'inspecteur Mike Lowrey
- Sources : IMDb[50] et AlloCiné[51]
Films d'animation
2004 : Gang de requins (Shark Tale) d'Éric Bergeron : Oscar (voix originale)
- Prochainement
2019 : Spies in Disguise de Nick Bruno et Troy Quane : Lance Sterling (voix originale) (en préproduction[50])
Télévision
Will Smith commence sa carrière en tant qu'acteur à la télévision en jouant le rôle de William « Will » Smith dans Le Prince de Bel-Air où il a connu un grand succès. Grâce auquel, Will Smith a été nommé deux fois aux Golden Globes.
1990 : Saturday Morning Videos : lui-même (animateur)
- 1990-1996 : Le Prince de Bel-Air (The Fresh Prince of Bel-Air) : William « Will » Smith (145 épisodes, scénariste d'un épisode et producteur exécutif de 23 épisodes)
1991 : Petite Fleur (Blossom) : Fresh Prince (1 épisode)
2003-2007 : All of Us : Johnny (3 épisodes, scénariste de 88 épisodes et producteur exécutif de 88 épisodes)
2004 : American Chopper : lui-même (2 épisodes[52])
2012 : Kids' Choice Awards : lui-même (présentateur)
- Sources : IMDb.com[50] et AlloCiné.fr[51]
Comme compositeur et / ou interprète
Will Smith a écrit et/ou interprété plusieurs chansons de films. Ne sont pas listés ici les films qui réutilisent des chansons préexistantes.
1993 : Made in America de Richard Benjamin (coauteur de la chanson Dance or Die)
1997 : Men in Black de Barry Sonnenfeld (auteur-interprète de la chanson Men in Black
1999 : Wild Wild West de Barry Sonnenfeld (auteur-interprète de la chanson Wild Wild West
- 1999 : À nous quatre (The Parent Trap) de Nancy Meyers (coauteur de la chanson Parents Just Don't Understand (en))
- 2002 : Men in Black 2 (Men in Black II) de Barry Sonnenfeld (coauteur et interprète de la chanson Black Suits Comin' (Nod Ya Head))
2004 : Gang de requins (Shark Tale) d'Éric Bergeron (featuring seulement sur la chanson Got to Be Real interprétée par Mary J. Blige)
Comme producteur / producteur exécutif
2003 : RAP Connection (Ride or Die) de Craig Ross Jr. (en) (producteur exécutif)
2004 : The Seat Filler de Nick Castle (producteur exécutif)
- 2004 : Saving Face d'Alice Wu
- 2004 : I, Robot d'Alex Proyas (producteur exécutif)
2005 : Hitch, expert en séduction (Hitch) d'Andy Tennant
2006 : ATL de Chris Robinson
- 2006 : À la recherche du bonheur (The Pursuit of Happiness) de Gabriele Muccino
2008 : Hancock de Peter Berg
- 2008 : Harcelés (Lakeview Terrace) de Neil LaBute
2009 : Sept vies (Seven Pounds) de Gabriele Muccino- 2009 : Le Secret de Lily Owens (The Secret Life of Bees) de Gina Prince-Bythewood
2010 : Karaté Kid (The Karate Kid) d'Harald Zwart
2012 : Target (This Means War) de McG
2013 : After Earth de M. Night Shyamalan
2014 : Annie de Will Gluck (producteur)[50]
2018 : À tous les garçons que j'ai aimés (To All the Boys I've Loved Before) de Susan Johnson (producteur)
Discographie
Sources[53],[54]:
DJ Jazzy Jeff and the Fresh Prince
- Albums studio
1987 : Rock the House (Jive Records/RCA Records) |
1988 : He's the DJ, I'm the Rapper (Jive Records/RCA Records) |
1989 : And in This Corner… (Jive Records) |
1991 : Homebase (Jive Records) |
1993 : Code Red (Jive Records) |
- Albums compilations
1998 : Greatest Hits |
2006 : The Very Best of D.J. Jazzy Jeff & The Fresh Prince
|
Albums solo en studio
1997 : Big Willie Style (Columbia Records)
|
1999 : Willennium (Columbia Records)
|
2002 : Born to Reign (Columbia Records)
|
2005 : Lost and Found (Interscope Records) |
- Album compilation
2002 : Greatest Hits (Columbia Records)
|
Singles
Année | Single | Album |
---|---|---|
1988 | Girls Ain't Nothing But Trouble | He's the DJ, I'm the Rapper |
Parents Just Don't Understand | ||
1990 | The Fresh Prince of Bel-Air | The Fresh Prince of Bel-Air |
1991 | Summertime | Homebase |
1993 | Boom! Shake the Room | Code Red |
1997 | Men in Black | Big Willie Style |
Just Cruisin' | ||
1998 | Gettin' Jiggy Wit It | |
Just The Two of Us Big | ||
Miami | ||
1999 | Wild Wild West | Willennium |
Will2K | ||
2000 | Freakin' it | |
2002 | Black Suits Comin' (Nod Ya Head) | Born To Reign |
2005 | Switch | Lost and Found |
Party Starter |
Salaires
Année | Film | Salaire[55],[56] |
---|---|---|
2008 | Hancock | 20 000 000 $, +20 % des revenus |
2007 | Je suis une légende | 25 000 000 $ |
2007 | À la recherche du bonheur | 10 000 000 $, +30 % des revenus |
2004 | Gang de requins | 15 000 000 $ |
2004 | I, Robot | 28 000 000 $ |
2003 | Bad Boys 2 | 20 000 000 $, +20 % des revenus |
2002 | Men in Black 2 | 20 000 000 $, +10 % des revenus |
2001 | Ali | 20 000 000 $ |
2001 | La Légende de Bagger Vance | 10 000 000 $ |
1999 | Wild Wild West | 7 000 000 $ |
1999 | Ennemi d'État | 14 000 000 $ |
1997 | Men in Black | 5 000 000 $ |
1996 | Independence Day | 5 000 000 $ |
1995 | Bad Boys | 2 000 000 $ |
1995 | Six degrés de séparation | 500 000 $ |
1993 | Made in America | 100 000 $ |
1992 | Break Out | 50 000 $ |
Particularités
- Les films dans lesquels Will Smith figure ont rapporté plus de 2,2 milliards de dollars au box-office américain et plus de 5,7 milliards de dollars en box-office mondial.
- Il figure en 49e position dans la liste des célébrités les mieux payées du magazine Forbes avec des gains estimés à 25 millions de dollars pour 2006[57].
- Il est l'acteur qui a tourné dans le plus de films à avoir dépassé les 100 millions de dollars de recettes sur le territoire américain[58].
- Il participa à la chanson Voices that Care en 1991, en rapport avec la guerre du Golfe.
- Il refuse initialement le rôle titre dans Men in Black en 1997, mais sa femme le convainc d'accepter.
- Le rappeur Bow Wow qualifia Smith de « rappeur guimauve » (bubble-gum rapper) à cause de son approche plus coulée, plus « soft » du hip-hop. Smith répondit « Je n'ai pas à répondre à un enfant gâté et immature ». Ils ont depuis résolu leurs disputes.
- Il se rend tous les ans dans une station thermale de l'Arizona avec sa mère pour une semaine, appelant ces séjours « moments d'affection mère-fils ».
- Son équipe NBA favorite sont les Lakers de Los Angeles, ce qui provoqua la colère des fans de l'équipe de basketball de Philadelphie (d’où il est originaire), qui le huèrent à plusieurs reprises lors de ses apparitions publiques avec le maillot des Lakers.
- Il cite Harrison Ford comme une inspiration pour son implication dans le métier d'acteur. Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir est son film préféré.
- Il a été envisagé pour tenir le rôle de Willy Wonka dans Charlie et la Chocolaterie (Johnny Depp obtient finalement le rôle).
- Smith et sa famille résident à Star Island, Miami, Floride.
- Tout comme Smith, Kevin James, son partenaire dans Hitch, est le héros d'une sitcom appelée Un gars du Queens (The King of Queens). Smith est un grand fan de cette série, et choisit James pour tenir le rôle d'Albert dans Hitch.
- Il admire le héros fictionnel John Shaft, auquel il fait quelques références dans Le Prince de Bel-Air.
- Il refuse d'embrasser un homme dans le film Six degrés de séparation.
- Son épouse actuelle, Jada Pinkett Smith, auditionna pour le rôle de Lisa dans Le Prince de Bel-Air mais ne fut pas retenue à cause de sa taille, jugée trop petite.
- Il a été grandement critiqué par le gouvernement de Georges W. Bush pour avoir aidé financièrement Gaza lors de l'assaut d'Israël qui a débuté le 27 décembre 2008.
- Il était envisagé pour le rôle de John Smith dans le film Mr et Mrs. Smith, mais c'est Brad Pitt qui obtient finalement le rôle.
- Il est caricaturé dans Les riches débarquent (Here Comes the Neighborhood), épisode 12 de la saison 5 de South Park[59].
- Il est un grand fan de cinéma indien et avait proposé le rôle de Sara dans Hitch à Aishwarya Rai Bachchan.
- Il est l'acteur le mieux payé à Hollywood avec 80 millions de dollars en 2008.
- Il est la star préférée des Américains entre le 1er juin 2007 et le 1er juin 2008.
- Il est l'acteur qui rapporte le plus d'argent au box-office américain pour l'année 2008.
- Il a activement soutenu Barack Obama lors des élections présidentielles de 2008 et 2012.
- En mai 2009, Will Smith a été récompensé pour son engagement humanitaire et a reçu le prix de l'engagement humanitaire de l'année[60],[61].
- Will Smith est passionné par le jeu d'échecs. Il raconte sa passion dans la préface de l'ouvrage de Maurice Ashley, La diagonale du succès, Olibris, 2008(ISBN 978-2-916340-23-4)[62].
- Il a été sélectionné pour incarner Néo dans le film Matrix mais accaparé par son rôle dans Wild Wild West, c'est Keanu Reeves qui a interprété le personnage[63],[64].
- Will Smith est capable de résoudre le fameux puzzle mathématique « Rubik's Cube » en moins d'une minute, comme il a pu le démontrer sur le plateau du petit journal people et dans le film À la recherche du bonheur (Pursuit of Happiness).
Distinctions
Récompenses et nominations
- Sources : IMDb.com[65], Willsmithuk.tripod.com[66], Members.tripod.com[67]
Voix francophones
En version française, Greg Germain est la voix régulière de Will Smith depuis 1992[68],[69]. Il est le premier comédien à l'avoir doublé avec le personnage de William « Will » Smith dans la série télévisée Le Prince de Bel-Air[68]. Il le double aussi notamment pour les films Men in Black, I, Robot, Hitch, expert en séduction et Sept vies, etc. Lucien Jean-Baptiste l'a également doublé à plusieurs reprises (dont les scènes coupées d’Independence Day, Wild Wild West, Je suis une légende et Seul contre tous[68],[70],[69]). À titre exceptionnel, Bruno Dubernat lui prête sa voix dans Made in America[71], Olivier Jankovic dans Six degrés de séparation[72], Jacques Martial est sa voix dans Bad Boys[68], Serge Faliu dans Independence Day[72],[70] et Jean-Paul Pitolin dans Ali[68].
En version québécoise, Pierre Auger est la voix régulière de Will Smith, dans la plupart de ses films et notamment dans Le Jour de l'indépendance, Hommes en noir, Ali, Hitch, Je suis une légende et Sept vies[73]. Jacques Lavallée double l'acteur dans Mauvais Garçons et sa suite[73].
- Version française
Greg Germain dans : la série télévisée Le Prince de Bel-Air[68], la série de films Men in Black[68],[69], I, Robot[68], Hitch[68], Sept vies[68], etc.
Lucien Jean-Baptiste dans : les scènes coupées d’Independence Day[70], Wild Wild West[68], Je suis une légende[68], Seul contre tous[69], etc.
- Version québécoise
- Note : La liste indique les titres québécois.
Pierre Auger dans : Le Jour de l'indépendance, Hommes en noir, Ali, Je suis une légende, Sept vies[73]
Jacques Lavallée dans : Mauvais Garçons, Mauvais Garçons 2[73]
Notes et références
Notes
Références
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Voir aussi
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Articles connexes
- Overbrook Entertainment
- Le Prince de Bel-Air
- DJ Jazzy Jeff and The Fresh Prince
- James Lassiter
- Jada Pinkett Smith
- Trey Smith
- Jaden Smith
- Willow Smith
Bibliographie
- (en) Kristin McCracken, Will Smith, Children's Press, septembre 2000, 48 p., relié (ISBN 978-0-5162-3327-7)
- (en) Susan Mitchell, Will Smith, Gareth Stevens Publishing, janvier 2007, 32 p., relié (ISBN 978-0-8368-7653-6)
- (en) Matt Doeden, Will Smith, Lerner Publications, février 2007, 112 p., relié (ISBN 978-0-8225-6608-3)
- (en) Eric Embacher, Will Smith: The Funny, Funky, and Confident Fresh Prince, Red Bricklearning, 13 décembre 2007, 48 p., broché (ISBN 978-0-7368-2829-1)
- (en) Lisa Iannucci, Will Smith: A Biography, Greenwood Press, 1er décembre 2009, 133 p. (ISBN 978-0313376108)
- (en) Matt Doeden, Will Smith: Box Office Superstar, Twenty-First Century Books, septembre 2009, 112 p. (ISBN 978-0761342656)
Liens externes
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