Alexandre Millerand





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Alexandre Millerand

Illustration.
Portrait officiel d'Alexandre Millerand.
Fonctions
Sénateur français
30 octobre 1927 – 10 juillet 1940[Note 1]
(12 ans, 8 mois et 10 jours)
Élection
30 octobre 1927
Réélection
14 janvier 1936
Circonscription

Orne
Prédécesseur

Robert Leneveu
Successeur

aucun (régime de Vichy)
5 avril 1925 – 9 janvier 1927
(1 an, 9 mois et 4 jours)
Élection
5 avril 1925
Circonscription

Seine
Prédécesseur

Paul Magny
Successeur

Amédée Dherbecourt
Président de la République française
23 septembre 1920 – 11 juin 1924
(3 ans, 8 mois et 19 jours)
Élection

23 septembre 1920
Président du Conseil

Georges Leygues
Aristide Briand
Raymond Poincaré
Frédéric François-Marsal
Prédécesseur

Paul Deschanel
Successeur

Gaston Doumergue

Président du Conseil des ministres français
Ministre des Affaires étrangères
20 janvier – 23 septembre 1920
(8 mois et 3 jours)
Président

Raymond Poincaré
Paul Deschanel
Gouvernement

Millerand I et II
Législature

XIIIe
Coalition

Bloc national
(ARD, FR, RI, DVD)
Prédécesseur

Georges Clemenceau
(président du Conseil)
Stephen Pichon
(Affaires étrangères)
Successeur

Georges Leygues
Ministre de la Guerre
26 août 1914 – 29 octobre 1915
(1 an, 2 mois et 3 jours)
Président

Raymond Poincaré
Président du Conseil

René Viviani
Gouvernement

Viviani II
Prédécesseur

Adolphe Messimy
Successeur

Joseph Gallieni
14 janvier 1912 – 12 janvier 1913
(11 mois et 29 jours)
Président

Armand Fallières
Président du Conseil

Raymond Poincaré
Gouvernement

Poincaré I
Prédécesseur

Adolphe Messimy
Successeur

Albert Lebrun

Ministre du Commerce, de l'Industrie,
des Postes et Télégraphes
22 juin 1899 – 7 juin 1902
(2 ans, 11 mois et 16 jours)
Président

Émile Loubet
Président du Conseil

Pierre Waldeck-Rousseau
Gouvernement

Waldeck-Rousseau
Prédécesseur

Paul Delombre
Successeur

Georges Trouillot
Député français
4 octobre 1885 – 23 septembre 1920
(34 ans, 11 mois et 19 jours)
Élection

13 décembre 1885
Réélection

6 octobre
20 août 1893
8 mai 1898
27 avril 1902
6 mai 1906
8 mai 1910
26 avril 1914
16 novembre 1919
Circonscription

Seine
Titulaire du fauteuil 5 de la Section 3
de l'Académie des sciences morales et
politiques
décembre 1918 – 7 avril 1943
(24 ans et 3 mois)
Prédécesseur

Maurice Sabatier
Successeur

Jules Basdevant
Biographie
Nom de naissance
Étienne Alexandre
Millerand
Date de naissance
10 février 1859
Lieu de naissance

Paris (Xe)
Date de décès

7 avril 1943(à 84 ans)
Lieu de décès

Versailles (Seine-et-Oise)
Nature du décès

Maladie de Parkinson[1]
Parti politique

Socialiste indépendant
Indépendant
PRS
LRN
Conjoint

Jeanne Levayer
Diplômé de

Université de Paris
Profession

Avocat, journaliste
Religion

Agnostique

Présidents du Conseil des ministres français
Présidents de la République française

Alexandre Millerand, né à Paris le 10 février 1859 et mort à Versailles le 7 avril 1943, est un homme d'État français, président de la République de 1920 à 1924.


D'abord de tendance socialiste, il évolue à droite au fur et à mesure de son parcours politique. Il est le premier socialiste (quoique indépendant) à entrer dans un gouvernement français.




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Origines


    • 1.2 Vie familiale


    • 1.3 Carrière professionnelle


    • 1.4 Débuts comme socialiste


    • 1.5 Première Guerre mondiale


    • 1.6 Président de la République


    • 1.7 Sénateur


    • 1.8 Mort




  • 2 Détail des mandats et fonctions


    • 2.1 Président de la République


    • 2.2 Fonctions ministérielles


    • 2.3 Mandats parlementaires




  • 3 Décorations


  • 4 Publications


  • 5 Généalogie


  • 6 Notes et références


    • 6.1 Notes


    • 6.2 Références




  • 7 Annexes


    • 7.1 Archives nationales


    • 7.2 Bibliographie


    • 7.3 Articles connexes


    • 7.4 Liens externes







Biographie |



Origines |


Né à Paris le 10 février 1859, Alexandre Millerand est le fils de Jean François Millerand[Note 2] (3 décembre 1826 à Gentilly – 1897 à Paris), négociant en drap installé dans le quartier du Sentier, originaire de la Haute-Saône (de Roche-sur-Vanon, aujourd'hui Roche-et-Raucourt), et de Mélanie Caen (née en 1835).



Vie familiale |


Il épouse le 26 octobre 1898 à la mairie du 9e arrondissement de Paris, Jeanne Levayer, fille d'un marchand de bois de la Sarthe et belle-fille de Jehan de Bouteiller, président du conseil municipal de Paris. Ils auront quatre enfants[2] :



  • Jean (1899 – 1972), industriel, marié à Andrée Lebert, fille d'Albert Lebert (1877 – 1957), banquier, directeur général de la Société de construction des Batignolles, commandeur de la Légion d'honneur ;

  • Alice (1902 – 1980), resta célibataire ;

  • Jacques (1904 – 1979), avocat, puis magistrat, marié à Miquette Lazard, fille de Christian Lazard, associé de la Banque Lazard, et petit-fils d'Ernest May ;

  • Marthe (1909 – 1975), mariée à Jean-Paul Alfassa, docteur en droit, petit-fils d'Eugène d'Eichthal.



Carrière professionnelle |


Licencié en droit, il s'inscrit au barreau de Paris en 1881 et devient un avocat d'affaires important. Il défend les révolutionnaires se réclamant de Narodnaïa Volia, 27 membres de l'organisation terroriste ont comparu devant la cour de justice, le 5 juillet 1890, en correctionnelle, à Paris ; certains d'entre eux, défendus par Alexandre Millerand, ont été condamnés à trois ans de prison[3],[Note 3].


Il entame parallèlement une carrière de journaliste — il collabore notamment au journal de Georges Clemenceau, La Justice — et une carrière d'homme politique. Il devient franc-maçon le 21 mai 1883 en adhérant à la loge L'Amitié du Grand Orient de France[4],[5].



Débuts comme socialiste |




Alexandre Millerand en 1893.


Lors des élection législatives de 1885, âgé de 26 ans, il est élu député dans le département de la Seine. Il siège à l'extrême gauche. Il est réélu sans interruption jusqu'à son accession à la présidence de la République.


Il fait signer les « décrets Millerand » qui réglementent et réduisent le temps de travail tout en garantissant un temps de repos hebdomadaire. Il préconise en 1892 la nationalisation de toutes les mines.


Encouragés par leurs scores électoraux de 1892 et 1893, les divers courants socialistes envisagent « une première tentative de programme commun[6]. » Le 30 mai 1893, à l'occasion des élections municipales, les maires socialistes français sont conviés à un grand banquet à la Porte Dorée. Millerand y prononce son discours dit de Saint-Mandé[7],[8], où il développe un programme minimum autour de plusieurs thèmes : outre « la substitution nécessaire et progressive de la propriété sociale à la propriété capitaliste », Millerand souligne que seul le suffrage universel permet la conquête des pouvoirs publics : à ses yeux, « il s'agit donc d'intégrer le parti socialiste au jeu parlementaire[9]. » Par ailleurs, il n'oppose pas nécessairement l'internationalisme au patriotisme[10].


Il accepte une place dans le gouvernement « bourgeois » de Pierre Waldeck-Rousseau en 1899, situation inédite pour un socialiste sous la Troisième République[11]. Cette entrée au gouvernement, en pleine affaire Dreyfus, aux côtés du général de Galliffet, suscite la désapprobation de nombreux socialistes, dont Jules Guesde et Rosa Luxemburg. Jaurès, ainsi que le radical Clemenceau, le soutiennent toutefois.



Première Guerre mondiale |




Alexandre Millerand en 1914.


Il affirme son patriotisme en créant en 1914 la Fédération des gauches (avec les députés favorables à la loi Briand des Trois ans) puis la Ligue républicaine nationale.


Il entre au ministère de la Guerre tout d'abord dans le premier gouvernement Poincaré (de janvier 1912 à janvier 1913), puis y est à nouveau nommé dans le second gouvernement Viviani (26 août 1914 - 29 octobre 1915). Intermédiaire entre le Grand Quartier général du général Joffre et son gouvernement dans les débuts de la Première Guerre mondiale, il ne fait en fait qu'exprimer la volonté du commandant en chef durant tout son mandat, estimant que son rôle doit se contenir à assurer la satisfaction du généralissime, et non à lui donner des ordres. Fortement critiqué pour cette attitude au Parlement, et jusqu'au sein même du conseil des ministres, il est rapidement considéré comme la principale faiblesse du gouvernement. Il n'est pas reconduit à la chute de Viviani.


Sa carrière politique culmine en 1920, d'abord avec sa nomination comme président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, puis par son élection à la présidence de la République le 23 septembre, après la démission de Paul Deschanel dont il assura d'abord l'intérim à la tête du gouvernement (du 21 au 23 septembre 1920).



Président de la République |


Article connexe : Élection présidentielle française de septembre 1920.

Alexandre Millerand, qui était le président du Conseil de Paul Deschanel, lui succède le 23 septembre 1920 en obtenant de l'Assemblée nationale (le Sénat et la Chambre des députés réunis) 695 suffrages sur 892 voix.


Il connaît des relations difficiles avec les présidents du Conseil en raison de son intention d'appliquer la Constitution à la lettre et qui de fait donne une importance réelle au chef de l'État ; il se heurte au refus du président du Conseil, Raymond Poincaré, de soumettre une réforme de la Constitution en 1923. Mais c'est avec le président du Conseil Aristide Briand que les relations sont les plus difficiles car Briand voulait tendre la main à l'Allemagne alors que Millerand était pour une politique de fermeté, au sujet des réparations notamment.


Millerand s'engage dans la politique intérieure notamment dans son discours d'Évreux en 1923, dans lequel il témoigne son attachement à la majorité sortante. Le Cartel des gauches, qui gagne les élections législatives françaises de 1924, le lui reproche et demande sa démission. Dans un premier temps, Millerand refuse car rien ne l'y oblige ; par provocation, il charge même un modéré, ministre des Finances du gouvernement Poincaré, Frédéric François-Marsal, de former le nouveau gouvernement. La Chambre des députés lui refuse sa confiance.


Alexandre Millerand présente sa démission dans une lettre aux deux Chambres en ces termes : « Monsieur le Président [du Sénat], j'ai l'honneur de vous présenter ma démission de Président de la République. »


Georges Clemenceau en a brossé ce portrait : « Il a l'air idiot, mais méchant (…) une tête carrée, fermée à tout, des yeux de myope, et pourtant il a des lueurs de bon sens »[12].



Sénateur |


En avril 1925, il est élu sénateur dans le département de la Seine. En janvier 1927, il est battu par Pierre Laval[13].


Il fait son retour au Sénat comme représentant de l'Orne en octobre 1927, à la suite du décès de Leneveu, ayant été élu avec 536 voix sur 845 exprimés au premier tour de scrutin[14]. Il reste sénateur jusqu'à sa mort. Le 10 juillet 1940, âgé et affaibli, il ne prend pas part au vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain.



Mort |


Il meurt à son domicile, rue Mansart à Versailles, le 7 avril 1943.



Détail des mandats et fonctions |



Président de la République |



  • 23 septembre 1920 - 11 juin 1924 : président de la République française


Fonctions ministérielles |



  • Ministre du Commerce, de l'Industrie et des Postes et Télégraphes dans le gouvernement Pierre Waldeck-Rousseau du 22 juin 1899 au 7 juin 1902

  • Ministre des Travaux publics et des Postes et Télégraphes dans le gouvernement Aristide Briand (1) du 24 juillet 1909 au 3 novembre 1910

  • Ministre de la Guerre dans le gouvernement Raymond Poincaré (1) du 14 janvier 1912 au 12 janvier 1913

  • Ministre de la Guerre dans le gouvernement René Viviani (2) du 26 août 1914 au 29 octobre 1915

  • Président du Conseil, gouvernement Alexandre Millerand (1) du 20 janvier 1920 au 18 février 1920

  • Président du Conseil, gouvernement Alexandre Millerand (2) du 18 février 1920 au 24 septembre 1920



Mandats parlementaires |




  • 1885 – 1919 : député pour le département de la Seine


  • 1925 – 1927 : sénateur pour le département de la Seine


  • 1927 – 1943 : sénateur pour le département de l'Orne



Décorations |



  • Grand-croix de la Légion d'honneur Grand-croix de la Légion d'honneur en 1920 et Grand-maître de la Légion d'honneur de 1920 à 1924 en tant que président de la République.


Publications |


  • Alexandre Millerand, La guerre libératrice. Conférence faite à Versailles le 22 octobre 1916, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1916, 27 p.


Généalogie |




Notes et références |



Notes |




  1. De facto, puisque durant la période de l'Occupation, le parlement ne fut pas dissous, mais Sénat et Chambre des députés furent « ajournés jusqu'à nouvel ordre », seul le chef de l'État pouvant les réunir (voir « Acte constitutionnel no 3 du 11 juillet 1940 », sur mjp.univ-perp.fr (consulté le 23 novembre 2016). Le Parlement ne se réunit plus durant toute l'Occupation, entérinant dans les faits le caractère autoritaire du régime de Vichy.


  2. Le patronyme Millerand serait un dérivé du mot milière : « champ de mil » ou « champ de milet ». On trouve aussi des variantes du patronyme avec la même signification : Millerant, Meillerand, Millerat, Milleraud, Millerault, Milleraut, Milleray, Millereau, Millereaux, Milleret, Millereux, Milleret, Millerin, Milleriot, Millerioux, Milleron, Millerot, Millerou, Millery. C'est en Bourgogne et en Franche-Comté que le nom a toujours été le plus répandu c.f. « Origine du nom « MILLERAND » », sur www.geneanet.org (consulté le 23 novembre 2016).


  3. Le provocateur Abraham Hackelman ou Hekkelman alias Landesen, de son vrai nom Arkady Mikhaïlovich Harting qui plus tard dirigera la direction parisienne de l’Okhrana entre 1905 et 1909 avait établi au Raincy, avec Piotr Ratchkovski, un atelier de fabrication de bombes destinées à tuer Alexandre III. Lorsque les bombes furent prêtes, Harting dénonça à la Sûreté parisienne, le 29 mais 1890, le groupe de révolutionnaires se réclamant de Narodnaïa Volia, qu'il avait recruté. Le but de l’opération était d’ouvrir une brèche dans le soutien dont jouissaient dans l’opinion française les révolutionnaires russes.



Références |




  1. Dominique Frémy, Quid des présidents de la République… et des candidats, éditions Robert Laffont, Paris, 1987, p. 40, (ISBN 2-221-05360-5).


  2. Jean Marie Mayeur et Arlette Schweitz, Les parlementaires de la Seine sous la Troisième République, Publications De La Sorbonne, 2001, (ISBN 2859444335), page 424.


  3. disponible sur Gallica.


  4. Alain Garric, « Essai de Généalogie, Alexandre Millerand », sur gw.geneanet.org (consulté le 23 novembre 2016).


  5. Histoire de la franc-maçonnerie en France sur Google Livres.


  6. Alain Bergounioux et Gérard Grunberg, L'ambition et le remords : les socialistes français et le pouvoir (1905-2005), Paris, Fayard, coll. « L'espace du politique », 2005, 610 p. (ISBN 2-213-62104-7).


  7. Nouvelle histoire de la France contemporaine (présentés par Olivier Wieviorka et Christophe Prochasson), vol. 20 : La France du XXe siècle : documents d'histoire, Paris, Points, coll. « Points. Histoire » (no H120), 2011 (1re éd. 1994, Seuil), 800 p. (ISBN 978-2-7578-2182-4), « 1896. Le discours de Saint-Mandé ».


  8. Emmanuel Jousse, « L'unité socialiste oubliée : le programme de Saint-Mandé, 30 mai 1896 », sur jean-jaures.org, 30 mai 2016(consulté le 6 août 2018).


  9. Emmanuel Jousse (préf. Marc Lazar), Les hommes révoltés : les origines intellectuelles du réformisme en France, 1871-1917, Paris, Fayard, 2016, XI-465 p. (ISBN 978-2-213-68657-8, présentation en ligne).


  10. Valentine Zuber, Le culte des droits de l'homme, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque des sciences humaines », 2014, 405 p. (ISBN 978-2-07-014250-7, présentation en ligne).


  11. Derfler 1963, p. 81.


  12. Cité par son secrétaire Jean Martet dans Le silence de M. Clemenceau, Plon, 1929.


  13. Le Petit Parisien, 10 janvier 1927. Laval est élu dès le 1er tour. Millerand obtient 368 voix au 1er tour, 404 au second, et se retire au 3e.


  14. Le Petit Parisien, 31 octobre 1927, p. 1. Au renouvellement de janvier 1927, Leneveu avait obtenu 515 voix.


  15. « Généalogie de Dupraz Alain : Ascendants d'Alexandre Étienne Millerand », sur gw4.geneanet.org (consulté le 23 novembre 2016).



Annexes |



Archives nationales |


Les papiers personnels d'Alexandre Millerand sont conservés aux Archives nationales sous la cote 470AP. Cf. « Archives nationales », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le 23 novembre 2016).



Bibliographie |



  • Yvert Benoît (dir.), Premiers ministres et présidents du Conseil. Histoire et dictionnaire raisonné des chefs du gouvernement en France (1815-2007), Paris, Perrin, 2007, 916 p.


  • Leslie Derfler, « Le « cas Millerand » : une nouvelle interprétation », Revue d'histoire moderne et contemporaine, Paris, Presses universitaires de France, t. X,‎ avril-juin 1963, p. 81-104 (lire en ligne).


  • (en) Leslie Derfler, Alexandre Millerand : the socialist years, La Haye / Paris, Mouton, coll. « Issues in Contemporary Politics » (no 4), 1977, X-326 p. (présentation en ligne).


  • (en) Emmanuel Jousse, « Social change and socialist politics : Alexandre Millerand and the contradictions of French reformism, 1899–1902 », French History, Oxford University Press, vol. 31, no 3,‎ septembre 2017, p. 351–375 (DOI 10.1093/fh/crx034).



Articles connexes |



  • Île Millerand

  • Conférence de San Remo (1920)



Liens externes |


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