Cary Grant





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Cary Grant



Description de cette image, également commentée ci-après

Cary Grant dans Les Enchaînés en 1946.






























Nom de naissance
Archibald Alexander Leach
Naissance
18 janvier 1904
Bristol, Angleterre
Royaume-Uni
Nationalité
Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Drapeau des États-Unis Américain (naturalisation en 1942)
Décès
29 novembre 1986(à 82 ans)
Davenport, Iowa
États-Unis
Profession
Acteur
Films notables
Cette sacrée vérité,
L'Impossible monsieur Bébé,
Indiscrétions,
Soupçons
Les Enchaînés,
On murmure dans la ville,
Charade,
Elle et lui,
La Mort aux trousses



Archibald Alexander Leach, dit Cary Grant, est un acteur anglo-américain, né le 18 janvier 1904 à Bristol (Angleterre) et mort le 29 novembre 1986 à Davenport (Iowa). Il a été naturalisé citoyen des États-Unis le 26 juin 1942.


Après une adolescence troublée, ce bricoleur habile, de grande taille (il mesurait 1,87 m)[1] et qui avait la particularité d'avoir un menton dit « en fesses d'ange », devient chanteur dans les comédies musicales de Broadway à New York. Son accent britannique mi-aristocratique mi-ouvrier de représentant de commerce fit de lui un spécialiste du genre dit « loufoque » (screwball comedy).
Charmant mais peu stable, il a été marié cinq fois. Il tourna dans plusieurs films d'Alfred Hitchcock qui, bien connu pour ne pas aimer les acteurs, dit de lui « qu'il était le seul acteur qu'il ait jamais aimé de toute sa vie ».


Ian Fleming s'est inspiré de sa séduction et de son apparence soignée pour créer le personnage de James Bond. En 1961, il fut le premier acteur à avoir été approché par Ian Fleming pour le rôle de James Bond, qu'il refusa parce qu'à 57 ans, il se sentait trop vieux pour incarner le célèbre agent secret[2].


À la fin de sa vie, il fit des tournées aux États-Unis intitulées A Conversation with Cary Grant et au cours desquelles étaient projetés des extraits de ses films suivis de débats.


L'American Film Institute l'a classé deuxième acteur de légende du cinéma américain.




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Enfance et débuts


    • 1.2 Carrière à Hollywood


      • 1.2.1 Retraite




    • 1.3 Vie privée à Hollywood


      • 1.3.1 Mariages






  • 2 Filmographie


  • 3 Citations


  • 4 Voix françaises


  • 5 Notes et références


  • 6 Voir aussi


    • 6.1 Bibliographie


    • 6.2 Articles connexes


    • 6.3 Liens externes







Biographie |



Enfance et débuts |


Archibald Alexander Leach naît le 18 janvier 1904 au 15 de la rue Hughenden à Horfield (en), faubourg du nord de Bristol, en Angleterre. Il est le second fils d'Elias James Leach (1873–1935), travaillant comme préposé au repassage dans une usine de confection, et d'Elsie Maria Leach (née Kingdon, 1877–1973), couturière[3]. Son frère John William Elias Leach (9 février 1899 – 7 février 1900) souffrant d'une méningite tuberculeuse, Elsie le veille régulièrement mais en janvier 1900, une porte se referme sur l'ongle de son fils alors qu'elle le tient dans ses bras, et au bout d'une semaine une gangrène se développe[4]. Convaincue d'être responsable de la mort de son fils, elle reportera toute son affection sur Archibald. Mère surprotectrice, elle rêve pour lui d'un grand destin et lui donne une éducation sévère, le battant lorsqu'il se tient mal à table[5].


Il est élève dans l'école primaire de Bishop Road puis à la Fairfield Grammar School. Il vit une enfance malheureuse et agitée, avec un père alcoolique et une mère souffrant de dépression chronique depuis la mort de John. Elias la fait placer dans un hôpital psychiatrique lorsqu'Archie a dix ans mais il raconte à son fils qu'elle est partie pour de longues vacances. Archibald croit donc que sa mère l'a abandonné et en garde une grande méfiance envers les femmes. En 1915, son père qui a trouvé un meilleur travail à Southampton, part s'y installer avec sa seconde épouse et abandonne Archibald à sa grand-mère paternelle. Souvent livré à lui-même dans une maison glaciale, il doit se débrouiller tout seul[6].


Sa fascination pour le monde du spectacle remonte à l'automne 1917, lorsqu'un électricien, enseignant à temps partiel de son école, l'invite à visiter les coulisses du théâtre Hippodrome de Bristol où il doit installer un tableau de distribution d'éclairage[7]. Il se fait probablement renvoyer de la Fairfield Grammar School de Bristol en 1918 pour rejoindre la troupe d'acrobates de Bob Pender et voyage avec le groupe vers les États-Unis en 1920, lors d'une tournée de deux ans. À la fin de la tournée, il décide de rester sur place pour poursuivre sa carrière théâtrale.


Encore sous son nom de naissance, il joue sur la scène de The Muny à St. Louis (Missouri), dans les spectacles suivants : Irene (1931) ; Music in May (1931) ; Nina Rosa (1931) ; Rio Rita (1931) ; Street Singer (1931) ; The Three Musketeers (1931) et Wonderful Night (1931).



Carrière à Hollywood |




Dans Indiscrétions (1940)


Ayant connu le succès dans des comédies légères de Broadway, il part pour Hollywood en 1931, où il prend le nom de Cary Lockwood. Il choisit ce nom d'après son personnage dans la pièce Nikki. Il signe avec Paramount Pictures, mais les patrons du studio étaient plus impressionnés par l'acteur que par son pseudonyme. Le prénom convenait mais le nom de Lockwood prêtait à confusion avec un autre acteur. C'est en parcourant une liste de noms d'emprunt que naquit Cary Grant, choisi pour ses initiales C et G qui avaient déjà porté chance à Clark Gable et Gary Cooper, deux des plus grandes stars de l'époque.


Après des participations et un premier rôle face à Marlène Dietrich dans Blonde Venus, sa célébrité survient grâce à Mae West qui le choisit pour lui donner la réplique dans deux films à grand succès Lady Lou et Je ne suis pas un ange (tous les deux de 1933)[8]. Je ne suis pas un ange s'avère un succès très rentable, tout comme Lady Lou, nommé pour l'Oscar du meilleur film, qui sauve Paramount de la banqueroute.


Peu de temps avant de mourir, son père lui révèle son mensonge au sujet de sa mère. Cary Grant la fait sortir de l'asile et l'installe à Bristol où il lui rend régulièrement visite jusqu'à la fin de ses jours[9].


En 1936, l'acteur commence à se montrer très exigeant, il ne supporte plus que la Paramount ne voie en lui qu'un sosie de Gary Cooper[10], aussi décide-t-il à la fin de son contrat de devenir indépendant. Il signe deux contrats notamment avec la RKO et la Columbia Pictures qui lui permettent de devenir un acteur indépendant, et c'est à titre d'acteur indépendant qu'il devient l'égal de Gary Cooper et l'acteur de légende qu'on connaît[10].


Grant devient citoyen américain le 26 juin 1942 pour désamorcer le scandale résultant de sa non-incorporation à l'armée britannique. Il a pourtant servi comme volontaire dans la Royal Navy dès 1940, mais à 36 ans il a atteint la limite d'âge d'incorporation[11]. Cela lui fait déclarer qu'il veut participer activement, même pour un poste de pompier. Mais une partie du gouvernement britannique pense qu'il serait d'une plus grande utilité en restant à Hollywood. Durant les années de guerre, il reverse l'intégralité de ses cachets aux œuvres de charité anglaises et le bruit court même qu'il travaille pour les services de renseignement de son pays, transmettant les suspicions de sympathie nazie parmi l'élite d'Hollywood. Mais ceci n'a jamais pu être prouvé, tant que les archives sur ce sujet restent classées à ce jour. En 1946, George VI l'honore de la médaille du Roi pour services rendus à la Grande-Bretagne durant les hostilités[réf. souhaitée].





Marilyn Monroe et Cary Grant dans Chérie, je me sens rajeunir (1952)


Cary Grant joue dans les plus célèbres screwball comédies, dont L'Impossible monsieur Bébé avec Katharine Hepburn, La dame du vendredi avec Rosalind Russell, Arsenic et vieilles dentelles avec Priscilla Lane, et Chérie, je me sens rajeunir avec Ginger Rogers et Marilyn Monroe. Son rôle dans Cette sacrée vérité avec Irene Dunne représente l'incarnation type du personnage de Grant à l'écran. Ces rôles solidifient sa force d'attraction, et Indiscrétions, avec Katharine Hepburn et James Stewart, démontre son stéréotype à l'écran : l'homme charmeur mais peu fiable, précédemment marié à une femme intelligente et de caractère qui, après avoir divorcé de lui, réalise que - malgré ses défauts - il est irrésistible.


À la fin des années 1950, son enfance douloureuse et les échecs de ses relations amoureuses le mènent à une crise existentielle. Sa femme, Betsy Drake, lui fait découvrir la psychanalyse et la thérapie en vogue à Hollywood, à base de LSD. Il raconta comment un traitement à base de cette drogue hallucinogène – légale à l'époque – dans la prestigieuse clinique californienne du docteur Mortimer Hartman lui apporta la paix intérieure que le yoga, l'hypnose et le mysticisme n'avaient pu lui procurer[12],[13],[14].


Grant s'affirme comme une valeur sûre du box-office pendant plusieurs décennies. Acteur polyvalent, il peut jouer des rôles physiques comme dans Gunga Din avec le savoir-faire acquis sur la scène. Howard Hawks dit de lui qu'il était « de si loin le meilleur qu'aucun ne pouvait se comparer à lui. »[15]


Il tourne dans plusieurs films d'Alfred Hitchcock qui, bien connu pour ne pas aimer les acteurs, dit de lui « qu'il était le seul acteur qu'il ait jamais aimé de toute sa vie »[16]. Grant apparaît ainsi dans de grands classiques du maître du suspense : Soupçons, Les Enchaînés, La Main au collet et La Mort aux trousses. Hitchcock réussit à sortir Cary Grant de la comédie pour le tirer vers des rôles plus noirs et ambigus, montrant ainsi une palette plus étendue de son talent. Le biographe Patrick McGilligan a écrit qu'en 1965, Hitchcock proposa à Grant de jouer dans Le Rideau déchiré mais celui-ci avait décidé de se retirer après son dernier film, Rien ne sert de courir (1966); Paul Newman prit son rôle face à Julie Andrews[17].





Grace Kelly dans La Main au collet (1955)


Au milieu des années 1950, Grant crée sa propre maison de production, Grantley Productions, et produit plusieurs films distribués par Universal, tels Opération jupons, Indiscret, Un soupçon de vison (avec Doris Day), et Grand méchant loup appelle. En 1963, il joue aux côtés d'Audrey Hepburn dans Charade.


Grant est perçu comme un électron libre du fait qu'il s'avère être le premier acteur « indépendant », à contre-courant de l'ancien système des studios, qui décidaient des évolutions de leurs acteurs. Il peut ainsi avoir le contrôle de chaque aspect de sa carrière. Il décide quels films tourner et s'implique dans le choix du réalisateur et de ses partenaires et négocie même parfois un pourcentage sur les bénéfices, un privilège rare à l'époque mais désormais courant parmi les grandes stars.


Il est nommé deux fois aux Oscars dans les années 1940 mais, étant l'un des premiers acteurs indépendants des grands studios, il ne l'obtient pas durant ses années d'activité. Ce n'est qu'en 1970 que l'académie lui remet un Oscar d'honneur pour sa carrière. En 1981, il reçoit les honneurs du Kennedy Center.



Retraite |


Éloigné des écrans, l'acteur reste néanmoins actif. À la fin des années 1960, il accepte un poste au comité de direction de Fabergé. Une fonction qu'il assume pleinement en assistant aux assemblées et faisant de la promotion, conscient que sa présence lors du lancement d'un nouveau produit peut lui garantir le succès.


À la fin de sa vie, il fait des tournées aux États-Unis appelées A Conversation with Cary Grant au cours desquelles sont projetés des extraits de ses films suivis de débats. Dans l'après-midi du 29 novembre 1986, alors que l'acteur fait une répétition pour une représentation à l'Adler Theater à Davenport dans l'Iowa, Cary Grant est victime d'un accident vasculaire cérébral. Il meurt dans la nuit au St. Luke's Hospital à l'âge de 82 ans. Son corps est ramené en Californie, où il est incinéré et ses cendres dispersées dans l’Océan Pacifique[18].



Vie privée à Hollywood |


La vie privée de l'acteur est agitée, comprenant notamment cinq mariages.


Cary Grant vit également pendant 12 ans avec l'acteur Randolph Scott qu'il rencontre en 1932 dans les studios Paramount et avec qui il emménage dans une maison à Malibu, 2177 W. Live Oak Drive, dans le quartier de Los Feliz à Los Angeles, qui sera surnommé "Bachelor Hall"[19]. Scotty Bowers et Marlene Dietrich ont déclaré très clairement à plusieurs reprises que l'acteur avait bien eu des aventures avec des hommes[réf. nécessaire].



Mariages |



  • Sa première femme, Virginia Cherrill, divorce de lui le 26 mars 1935 au motif de violences conjugales. Ils s'étaient mariés le 10 février 1934.

  • En 1942, Grant épouse la très riche et mondaine Barbara Hutton et devient une figure paternelle pour son fils, Lance Reventlow, qui trouve la mort dans un accident d'avion. Le couple est ironiquement surnommé « Cash and Cary », même si dans un accord prénuptial, l'acteur refusait tout arrangement financier en cas de divorce. Celui-ci survint en 1945, mais les ex-époux restèrent amis tout au long de leur vie. Grant a toujours réfuté l'accusation d'un mariage d'argent. Il a dit avec son humour typique : « Je peux m'être marié pour de très bonnes raisons, mais l'argent n'a jamais été l'une d'elles. »

  • Sa troisième femme est l'actrice Betsy Drake, qu'il épouse le 25 décembre 1949. Ils partagent l'affiche de deux films ensemble. Ce mariage, qui s'avère le plus durable, s'achève le 14 août 1962.

  • Grant s'unit en quatrièmes noces à l'actrice Dyan Cannon, de trente-trois ans sa cadette, le 22 juillet 1965 à Las Vegas. Le mariage est suivi de la naissance prématurée de son unique enfant, Jennifer Grant, le 26 février 1966 alors que l'acteur est âgé de 62 ans. Il l'appelait souvent « ma meilleure production » et regretta de n'avoir pas eu d'enfant plus tôt. Le mariage a du plomb dans l'aile dès le début et Cannon quitte Grant en décembre 1966, déclarant que ce dernier faisait souvent état de rages soudaines et la battait quand elle lui « désobéissait ». Le divorce, prononcé en 1968, est amer et public, et la bataille pour la garde de leur fille dure dix ans.

  • Le 11 avril 1981, Grant épouse sa compagne de longue date, Barbara Harris, qui a trente et un ans de moins que lui. Elle restera à ses côtés jusqu'à sa mort.



Filmographie |





Katharine Hepburn et Cary Grant dans Indiscrétions (1940)




Cary Grant et Ingrid Bergman dans Les Enchaînés (1946)





La Mort aux trousses (1959)




Cary Grant et Audrey Hepburn dans Charade (1963)




  • 1932 : La Belle Nuit (This Is the Night) de Frank Tuttle : Stephen


  • 1932 : Sinners in the Sun d'Alexander Hall : Ridgeway


  • 1932 : Singapore Sue de Casey Robinson : premier marin


  • 1932 : Merrily We Go to Hell de Dorothy Arzner : Charlie Baxter 'DeBrion


  • 1932 : Le Démon du sous-marin (Devil and the Deep) de Marion Gering : Lieutenant Jaeckel


  • 1932 : Blonde Vénus (Blonde Venus) de Josef von Sternberg : Nick Townsend


  • 1932 : Hot Saturday de William A. Seiter : Romer Sheffield


  • 1932 : Madame Butterfly de Marion Gering : Lieutenant B.F. Pinkerton


  • 1933 : Lady Lou (She Done Him Wrong) de Lowell Sherman : Capt. Cummings


  • 1933 : Celle qu'on accuse (The Woman Accused) de Paul Sloane : Jeffrey Baxter


  • 1933 : L'Aigle et le Vautour (The Eagle and the Hawk) de Stuart Walker : Henry Crocker


  • 1933 : Gambling Ship de Louis Gasnier et Max Marcin (en) : Ace Corbin


  • 1933 : Je ne suis pas un ange (I'm No Angel) de Wesley Ruggles : Jack Clayton


  • 1933 : Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) de Norman Z. McLeod : la Simili-tortue


  • 1934 : Princesse par intérim (Thirty Day Princess) de Marion Gering : Porter Madison III


  • 1934 : Born to Be Bad de Lowell Sherman : Malcolm 'Mal' Trevor


  • 1934 : Kiss and Make Up de Harlan Thompson : Dr Maurice Loman


  • 1934 : La Demoiselle du téléphone (Ladies Should Listen) de Frank Tuttle : Julian De Lussac


  • 1934 : Caprice de femmes (Enter Madame) d'Elliott Nugent : Gerald Fitzgerald


  • 1935 : Les Ailes dans l'ombre (Wings in the Dark) de James Flood : Ken Gordon


  • 1935 : Intelligence Service (The Last Outpost) de Charles Barton et Louis Gasnier : Michael Andrews


  • 1935 : Fête pirate sur l'île Catalina (Pirate Party on Catalina Isle) (court métrage, non crédité)


  • 1935 : Sylvia Scarlett de George Cukor : Jimmy Monkley


  • 1936 : Empreintes digitales (Big Brown Eyes) de Raoul Walsh : Danny Barr


  • 1936 : Suzy de George Fitzmaurice : Capitaine Andre Charville


  • 1936 : La Chasse aux millions (The Amazing Quest of Ernest Bliss) d'Alfred Zeisler : Ernest Bliss


  • 1936 : Bonne blague (Wedding Present) de Richard Wallace : Charlie


  • 1937 : Le Cœur en fête (When You're in Love) de Robert Riskin : Jimmy Hudson


  • 1937 : Le Couple invisible (Topper) de Norman Z. McLeod : George Kerby


  • 1937 : L'Or et la femme (The Toast of New York) de Rowland V. Lee : Nicholas 'Nick' Boyd


  • 1937 : Cette sacrée vérité (The Awful Truth) de Leo McCarey : Jerry Warriner


  • 1938 : L'Impossible monsieur Bébé (Bringing Up Baby) de Howard Hawks : Dr David Huxley


  • 1938 : Vacances (Holiday) de George Cukor : John Johnny Case


  • 1939 : Gunga Din de George Stevens : Sgt. Archibald Cutter


  • 1939 : Seuls les anges ont des ailes (Only Angels Have Wings) de Howard Hawks : Geoff Carter


  • 1939 : L'Autre (In Name Only) de John Cromwell : Alec Walker


  • 1939 : Fantômes en croisière (Topper Takes a Trip) de Norman Z. McLeod


  • 1940 : La Dame du vendredi (His Girl Friday) de Howard Hawks : Walter Burns


  • 1940 : Mon épouse favorite (My Favorite Wife) de Garson Kanin : Nick Arden


  • 1940 : Howard le révolté (The Howards of Virginia) de Frank Lloyd : Matt Howard


  • 1940 : Indiscrétions (The Philadelphia Story) de George Cukor : C. K. Dexter Haven


  • 1941 : La Chanson du passé (Penny Serenade) de George Stevens : Roger Adams


  • 1941 : Soupçons (Suspicion) d'Alfred Hitchcock : Johnnie Aysgarth


  • 1942 : La Justice des hommes (The Talk of the Town) : Leopold Dilg - Joseph


  • 1942 : Lune de miel mouvementée (Once Upon a Honeymoon) de Leo McCarey : Patrick 'Pat' O'Toole


  • 1943 : Pile ou Face (Mister Lucky) de H.C. Potter : Joe Adams alias Joe Bascopolous


  • 1943 : Destination Tokyo de Delmer Daves : Capt. Cassidy


  • 1944 : Étrange histoire (Once Upon a Time) d'Alexander Hall : Jerry Flynn


  • 1944 : Rien qu'un cœur solitaire (None But the Lonely Heart) de Clifford Odets : Ernie Mott


  • 1944 : Arsenic et vieilles dentelles (Arsenic and Old Lace) de Frank Capra : Mortimer Brewster


  • 1946 : Sans réserve (Without Reservations) de Mervyn LeRoy


  • 1946 : Nuit et Jour (Night and Day) de Michael Curtiz : Cole Porter


  • 1946 : Les Enchaînés (Notorious) d'Alfred Hitchcock : T.R. Devlin


  • 1947 : Deux sœurs vivaient en paix (The Bachelor and the Bobby-Soxer) d'Irving Reis : Richard Nugent


  • 1947 : Honni soit qui mal y pense (The Bishop's Wife) de Henry Koster : Dudley


  • 1948 : Un million clé en main (Mr. Blandings Builds His Dream House) de Henry C. Potter : Jim Blandings


  • 1948 : La Course aux maris (Every Girl Should Be Married) de Don Hartman : Dr Madison W. Brown


  • 1949 : Allez coucher ailleurs (I Was a Male War Bride) d'Howard Hawks : Capt. Henri Rochard


  • 1950 : Cas de conscience (Crisis) de Richard Brooks : Dr Eugene Norland Ferguson


  • 1951 : On murmure dans la ville (People Will Talk) de Joseph L. Mankiewicz : Dr Noah Praetorius


  • 1952 : Cette sacrée famille (Room for One More) de Norman Taurog : George "Poppy" Rose


  • 1952 : Chérie, je me sens rajeunir (Monkey Business) d'Howard Hawks : Dr Barnaby Fulton


  • 1953 : La Femme rêvée (Dream Wife) de Sidney Sheldon : Clemson Reade


  • 1955 : La Main au collet (To Catch a Thief) d'Alfred Hitchcock : John Robie (Georges Robert en français)


  • 1957 : Elle et lui (An Affair to Remember) de Leo McCarey : Nickie Ferrante


  • 1957 : Orgueil et Passion (The Pride and the Passion) de Stanley Kramer : Anthony


  • 1957 : Embrasse-la pour moi (Kiss Them for Me) de Stanley Donen : Commodore Andy Crewson


  • 1958 : Indiscret (Indiscreet) de Stanley Donen : Philip Adams


  • 1958 : La Péniche du bonheur (Houseboat) de Melville Shavelson : Tom Winters


  • 1959 : La Mort aux trousses (North by Northwest) d'Alfred Hitchcock : Roger O. Thornhill


  • 1959 : Opération jupons (Operation Petticoat) de Blake Edwards : Lieutenant Commodore Matt T. Sherman


  • 1960 : Ailleurs l'herbe est plus verte (The Grass Is Greener) de Stanley Donen : Victor Rhyall


  • 1962 : Un soupçon de vison (That Touch of Mink) de Delbert Mann : Philip Shayne


  • 1963 : Charade de Stanley Donen : Peter Joshua


  • 1964 : Grand méchant loup appelle (Father Goose) de Ralph Nelson : Walter Christopher Eckland


  • 1966 : Rien ne sert de courir (Walk Don't Run) de Charles Walters : Sir William Rutland



Citations |



  • « Tout le monde veut être Cary Grant, même moi. »

  • Après l'échec de son mariage avec Barbara Hutton : « Elle pensait qu'elle avait épousé Cary Grant. »

  • « J'ai probablement choisi cette profession à la recherche d'approbation, d'adulation, d'admiration et d'affection. »

  • « J'ai passé la plus grande partie de ma vie à osciller entre Archie Leach et Cary Grant, peu sûr de chacun d'entre eux, les suspectant tous les deux. »

  • Après Charade (1963) avec Audrey Hepburn : « Tout ce que je veux pour Noël, c'est un autre film avec Audrey Hepburn ! »



Voix françaises |








  • Jean Davy dans :

    • Gunga Din

    • Nuit et Jour

    • Allez coucher ailleurs

    • La Main au collet

    • Orgueil et Passion

    • La Péniche du bonheur

    • Opération Jupons




  • Maurice Dorléac dans :

    • Ailleurs l'herbe est plus verte

    • Un soupçon de vison

    • Charade

    • Grand méchant loup appelle




  • Marc Valbel dans :

    • Seuls les anges ont des ailes

    • La Justice des hommes

    • Les Enchaînés







  • Roger Tréville dans :

    • Deux sœurs vivaient en paix

    • Chérie, je me sens rajeunir

    • Elle et lui




  • Michel Gudin dans :

    • Mon épouse favorite

    • Soupçons




  • Michel Roux dans :

    • La Femme rêvée

    • La Mort aux trousses




  • Jean-Louis Faure dans :


    • Sylvia Scarlett (2e doublage)


    • L'Impossible Monsieur Bébé (2e doublage)




  • Jean Chevrier dans L'Impossible Monsieur Bébé (1er doublage)


  • François Richard dans Arsenic et vieilles dentelles


  • Daniel Lecourtois dans Un million clé en main


  • Jean Martinelli dans On murmure dans la ville


  • Guy Chapellier dans Les cadavres ne portent pas de costard (images d'archives)





Notes et références |




  1. Yann-Brice Dherbier, Cary Grant les images d'une vie, Paris, YB éditions, 2009(ISBN 978-2-355-37031-1), p. 5.


  2. Yann-Brice Dherbier 2009, p. 187


  3. (en) Geoffrey Wansell, Cary Grant, Dark Angel, Skyhorse Publishing, 2013, p. 13.


  4. Geoffrey Wansell, Cary Grant, Gremese Editore, 1998, p. 13.


  5. Geoffrey Wansell, Cary Grant, Gremese Editore, 1998, p. 14.


  6. Geoffrey Wansell, Cary Grant, Gremese Editore, 1998, p. 15-16.


  7. Geoffrey Wansell, Cary Grant, Gremese Editore, 1998, p. 18.


  8. Encyclopedia Britannica, biographie de Cary Grant


  9. (en) Graham McCann, Cary Grant: A Class Apart, HarperCollins UK, 2016, p. 47.


  10. a et bYann-Brice Dherbier 2009, p. 7


  11. (en) Cary Grant in the spotlight, Galley Press, 1980, p. 60.


  12. White, Betty. "Cary Grant Today" - Saturday Evening Post - (c/o CaryGrant.net) - March 1978


  13. McKelvey, Bob. "Cary Grant - Hollywood's Zany Lover Reaches 80" - Detroit Free Press - (c/o CaryGrant.net) - 18 janvier 1984


  14. (en) Lionel Godfrey, Cary Grant : the light touch, New York, St. Martin's Press, 1981(ISBN 0-312-12309-4)


  15. Entretien d'Howard Hawks avec Joseph McBride, in Hawks, Howard et Gerald Mast, Bringing Up Baby, p. 260. New Brunswick, NJ: Rutgers University Press, 1988.


  16. Nancy Nelson et Cary Grant, Evenings with Cary Grant : recollections in his own words and by those who knew him best, Thorndike, Maine, Thorndike Press, 1992(ISBN 1-560-54342-6), p. 325


  17. (en) Patrick McGilligan, Alfred Hitchcock : a life in darkness and light, New York, Regan Books, 2003(ISBN 0-060-39322-X), p. 663-664


  18. (en) Gary Morecambe, Martin Sterling, Cary Grant: In Name Only, Robson, 2001, p. 325.


  19. (en) Charles Higham, Roy Moseley, Cary Grant: The Lonely Heart, Avon Books, 1990, p. 57.



Voir aussi |


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Bibliographie |



  • Jean-Jacques Dupuis, Cary Grant, Henri Veyrier, 1984, 220 p.

  • Geoffrey Wansell, Cary Grant, Gremese Editore, 1998, 192 p. (lire en ligne)



Articles connexes |


  • Cinéma américain


Liens externes |




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  • (en) Cary Grant sur l’Internet Movie Database



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