Nouvelle-Écosse





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Nouvelle-Écosse
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Blason de Nouvelle-Écosse
Armoiries.


Drapeau de Nouvelle-Écosse
Drapeau.


Nouvelle-Écosse
Carte de localisation.
Administration

Pays

Drapeau du Canada Canada

Capitale

Halifax

Plus grande ville

Halifax
Entrée dans la Confédération

1er juillet 1867 (1er)

Lieutenant-gouverneur

Arthur Joseph LeBlanc

Premier ministre

Stephen McNeil (Libéral)

Sièges à la Chambre des communes
11 (sur 338)

Sièges au Sénat
10 (sur 105)

Code postal

B
Abréviation postale
NS
ISO 3166-2:CA
CA-NS
Démographie

Gentilé
Néo-Écossais(e)

Population
923 598 hab.[1](2016)
Densité 17 hab./km2
Rang

7e

Langues officielles

De jure : Aucune
De facto : Anglais
Géographie

Superficie
55 284 km2
Rang

12e
Terre
53 338 km2
Eau
1 946 km2 (3,52 %)

Fuseau horaire

UTC -4
Divers

Devise

Munit Haec et Altera Vincit
(latin : « L'une défend et l'autre conquiert »)

Domaine Internet
.ns.ca




Panneau de bienvenue en Nouvelle-Écosse.


La Nouvelle-Écosse (en anglais : Nova Scotia) est une province du Canada, située dans la région des Provinces maritimes, sur la côte atlantique à l'est du pays. Elle est bordée par le Nouveau-Brunswick à l'ouest. Elle couvre une superficie de 55 284 km2. Sa capitale est Halifax.




Sommaire






  • 1 Géographie


  • 2 Histoire


  • 3 Politique


    • 3.1 Assemblée législative


    • 3.2 Premier Ministre


    • 3.3 Lieutenant-gouverneur


    • 3.4 Politique étrangère




  • 4 Religion


  • 5 Économie


  • 6 Subdivisions


  • 7 Société


    • 7.1 Démographie


      • 7.1.1 Population depuis 1851


      • 7.1.2 Langues


      • 7.1.3 Médias et communications






  • 8 Personnalités de la Nouvelle-Écosse


  • 9 Notes et références


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Articles connexes


    • 10.2 Liens externes







Géographie |


Article détaillé : Géographie de la Nouvelle-Écosse.



Carte des climats de Köppen au Nouvelle-Écosse


La partie continentale de la province est une péninsule entourée de l'océan Atlantique, qui a façonné sa côte de plusieurs baies et estuaires. Aucun endroit de Nouvelle-Écosse ne se trouve à plus de 50 km de la mer.


L'île du Cap-Breton, une grande île au nord-est de la partie continentale, fait aussi partie de la province, de même que l'île de Sable, une petite île célèbre pour ses naufrages.


La Nouvelle-Écosse est la deuxième plus petite province en superficie après l'Île-du-Prince-Édouard. La Nouvelle-Écosse est aussi la province canadienne centrée le plus au sud. Elle n'est cependant pas celle qui descend le plus au sud, laquelle est l'Ontario. Même si une partie de l'Ontario s'étend loin vers le sud, le centre de l'Ontario est plus au nord que la Nouvelle-Écosse.



Histoire |


Article détaillé : Histoire de la Nouvelle-Écosse.



L'Acadie de 1604 à 1607, avec les deux établissements et les voyages entrepris.




La Nouvelle-Écosse de William Alexander, en 1632.


Bien que l'explorateur Jean Cabot l'eût visitée en 1497 pour la couronne d'Angleterre, la Nouvelle-Écosse fut colonisée pour la première fois par la France. Pierre Dugua de Mons, entouré notamment de Samuel de Champlain et de François Gravé, fonda une colonie sur une île à l'embouchure de la Rivière Sainte-Croix en 1604. L'eau potable manqua à cette île pendant l'hiver et, l'année suivante, la colonie fut déplacée à Port Royal près d'Annapolis Royal, en 1605.


Au cours des années 1620, le roi Charles Ier d'Écosse et d'Angleterre envoya une troupe d'Écossais pour y fonder une colonie sous le nom de Nova Scotia, en l'honneur de Jacques Ier d'Écosse[2]. À cet effet, il fonda le baronnetage de Nouvelle-Écosse : ceux qui désiraient acquérir le titre nobiliaire de baronnet devaient payer une taxe qui servirait à l'établissement de la colonie, et y recevraient une dotation en terres. Or, lors de la signature d'une paix avec la France, la Couronne écossaise/anglaise céda le territoire à la France et les colons écossais durent abandonner leur mission, le baronnetage de Nouvelle-Écosse y perdit sa spécificité et devint une simple catégorie nobiliaire.


La colonisation française se poursuivit dans toute la région des provinces maritimes actuelles, en étant centrée sur ce qui constitue aujourd'hui la péninsule de la Nouvelle-Écosse. Cette Acadie péninsulaire tomba toutefois sous juridiction britannique après le traité d'Utrecht en 1713. Une Acadie sous contrôle français perdurait dans l'île Saint-Jean (île du Prince-Édouard) et l'île Royale (île du Cap-Breton). Le Nouveau-Brunswick actuel était alors un territoire disputé.


En conséquence de la perte de l'Acadie péninsulaire, la forteresse française de Louisbourg fut construite sur l'île Royale pour que les marchands et pêcheurs français puissent participer au commerce et à la pêche à la morue. Éventuellement, Louisbourg a joué un rôle stratégique, en surveillant les approches maritimes en direction du fleuve Saint-Laurent. Louisbourg fut prise par des forces continentales britanno-américaines, puis retournée à la France en 1748 (à la fin de la guerre de Succession d'Autriche) ; durant la guerre suivante, dite de la Conquête ou guerre de Sept Ans, elle retourna aux mains des Britanniques en 1758 avant la Conquête de Québec. La ville fut rasée et ses habitants déportés en France, comme ceux de l'île Saint-Jean.


La ville d'Halifax fut fondée en 1749 par Edward Cornwallis après la restitution de Louisbourg à la France pour sauvegarder la colonie britannique de la Nouvelle-Écosse contre la menace perçue de la grande forteresse française[3]. Les Britanniques y firent construire une citadelle fortifiée[4].


La présence des Acadiens, francophones et catholiques, sur le territoire de la future colonie britannique posait, aux yeux des autorités britanniques, un problème. En 1750, un bon nombre de colons protestants, la plupart des Allemands, furent attirés en Nouvelle-Écosse pour s'établir sur la côte sud. La colonie restait cependant majoritairement acadienne. À partir de 1755, au début de la guerre de la Conquête qui enflamma le continent, les Britanniques décidèrent de déporter les Acadiens dans les colonies américaines, en France, en Grande-Bretagne tandis que plusieurs prirent la fuite, dans les forêts de Nouvelle Ecosse ou du Nouveau-Brunswick, en Louisiane (où plusieurs s'établirent et contribuèrent à la naissance de la culture cadienne), ou encore au Québec.


Après la Déportation des Acadiens, les terres acadiennes furent allouées aux colons américains provenant de la Nouvelle-Angleterre. Environ 8 000 de ces planters s'établirent dans la colonie entre 1759 et 1774, dont l'arrière-grand-père de Robert Laird Borden. Une nouvelle immigration écossaise vers l'île du Cap-Breton, tard dans le XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, rétablit de façon effective, une présence écossaise.


Des milliers de loyalistes qui s'étaient opposés à l'indépendance américaine, dépouillés de leurs terres et de la plupart de leurs biens par le gouvernement de la nouvelle république américaine, s'échappèrent après le Traité de Paris en 1783 et vinrent s'établir en Nouvelle-Écosse. En 1784, la portion continentale du nord-ouest de la colonie fut séparée et devint la colonie du Nouveau-Brunswick, en raison du mécontentement des milliers de loyalistes qui furent déposés à l'embouchure du fleuve Saint-Jean, ou à Passamaquoddy et qui furent très peu satisfaits d'être gouvernés de loin d'Halifax.


En Nouvelle-Écosse, beaucoup de ces loyalistes s'installèrent dans la région au sud d'Halifax. Les nouveaux colons s'ajoutèrent aux populations de planters déjà venus de la Nouvelle-Angleterre à Port Roseway, renommé Shelburne, Lockport, etYarmouth et fondèrent d'autres communautés, telles que Digby.


En 1848, la Nouvelle-Écosse devint la première colonie de l'Empire britannique à avoir un gouvernement responsable, où le gouverneur britannique devait accepter les décisions de l'assemblée législative et des ministres. Elle est aussi en pointe dans les communications: dès février 1849, le Pony express de Nouvelle-Écosse permet de gagner une journée dans la réception des nouvelles d'Europe arrivées à Halifax, via un système de cavaliers qui se relaient pour traverser la province de part en part, jusqu'à Digby où un steamer amène les nouvelles au terminus du télégraphe américain, de l'autre côté de la Baie de Fundy.


La Nouvelle-Écosse est devenue, en entrant dans la Confédération canadienne, l'une des quatre provinces fondatrices du Canada, avec le Nouveau-Brunswick, le Québec (Canada-Est), et l'Ontario (Canada-Ouest).


Le Bluenose, le voilier qui figure sur la pièce de dix cents canadiens, fut construit à Lunenburg, sur la côte sud.


Malgré son nom, il reste très peu de personnes qui parlent toujours le gaélique écossais, mais la musique celtique est populaire dans l'île du Cap-Breton. Il y a toujours une présence acadienne francophone dans la municipalité de Clare (partie ouest de la province) et une radio communautaire, CIFA sur 104.1 FM[5], qui émet majoritairement en français.



Politique |



Assemblée législative |




La Province House (l'Assemblée législative) de Nouvelle-Écosse.


L'Assemblée législative de Nouvelle-Écosse a vu le jour en 1758. Elle est la plus ancienne du Canada. En 1848, elle est la première de toutes les colonies britanniques à obtenir un gouvernent responsable. Composée de 51 députés, cette assemblée se réunit à Halifax dans le plus ancien édifice législatif au pays[6].



Premier Ministre |




Le Premier Ministre actuel de la Nouvelle-Écosse, Stephen McNeil.


Le Premier Ministre actuel de Nouvelle-Écosse est Stephen McNeil[7].



Lieutenant-gouverneur |


Le 32e lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-Écosse était John James Grant[8]. Arthur Joseph LeBlanc, le premier Acadien à occuper le poste de lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-Écosse, lui a succédé le 14 juin 2017[9].



Politique étrangère |




La Nouvelle-Écosse fait partie de l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie.


La province est membre de l'Assemblée parlementaire de la francophonie[10].



Religion |




Ici la St. James' Anglican Church


Comme ailleurs au Canada, la majorité de la population est chrétienne. Il faut par contre redistribuer cette majorité selon la religion catholique ou protestante. Ainsi il y a en Nouvelle-Écosse 328 700 catholiques et 438 150 protestants en incluant la branche royaliste du protestantisme, les anglicans[11].


Les catholiques sont représentés par l'Assemblée des évêques catholiques de l'Atlantique[12]. Les anglicans (protestants), pour leurs part, sont représentés par le Diocèse anglican de Nouvelle-Écosse et de l'Île-du-Prince-Edward[13].



Économie |


Article détaillé : Économie de la Nouvelle-Écosse.



Halifax, capitale provinciale.


L'économie de la Nouvelle-Écosse est aujourd'hui une économie mixte, de services et d'industrie.


Le secteur primaire occupe une place importante dans l'économie locale avec notamment les exploitations forestières, agricoles et piscicoles. L'industrie de la pâte à papier comprend quatre usines de pâte, qui sont situées à Port Hawkesbury, Pictou, Hantsport et Liverpool. Les principales productions agro-alimentaires sont celles de lait, de pomme de terre et de pomme, tandis que les pêches les plus importantes sont celle du homard et des pétoncles. Le sous-sol est également très riche (fer, zinc, cuivre et surtout charbon). Du pétrole offshore a été découvert à Sydney-Glace-Bay, le plus important port de l'île du Cap-Breton, ainsi qu'à Halifax.



Subdivisions |


Article détaillé : Liste des comtés de Nouvelle-Écosse.

La Nouvelle-Écosse est subdivisée en 18 comtés.



Société |



Démographie |


En 2016, la population de la Nouvelle-Écosse est estimée à 923 598 habitants[1].



Population depuis 1851 |




La langue maternelle en Nouvelle-Écosse.


  •      Majorité anglophone, moins de 33 % de francophones

  •      Majorité anglophone, plus de 33 % de francophones

  •      Majorité francophone, plus de 33 % d'anglophones

  •      Majorité francophone, moins de 33 % d'anglophones

  •      Données non disponibles





Carte de la Nouvelle-Écosse

























































































































































Année
Population
Changement %
en cinq ans
Changement %
en dix ans
1851 276 854 non non
1861 330 857 non 19,5
1871 387 800 non 17,2
1881 440 572 non 13,6
1891 450 396 non 2,2
1901 459 574 non 2,0
1911 492 338 non 7,1
1921 523 837 non 6,4
1931 512 846 non -2,1
1941 577 962 non 12,7
1951 642 584 non 11,2
1956 694 717 8,1 non
1961 737 007 6,1 14,7
1966 756 039 2,6 8,8
1971 788 965 4,4 7,0
1976 828 570 5,0 9,6
1981 847 442 2,3 7,4
1986 873 175 3,0 5,4
1991 899 942 3,1 6,2
1996 909 282 1,0 4,1
2001 908 007 -0,1 0,9
2006 913 462 0,6 0,5
2011 921 727 0,9 1,5
2016 923 598 0,2 1,1


Langues |




Panorama de Peggys Cove.




Port de bateaux de pêche à Yarmouth.


Sur les 921 727 habitants recensés en 2011, seules 904 285 réponses individuelles ont été recueillies concernant les langues parlées à travers cette province :





































































Rang
Langue
Nombre de locuteurs
Pourcentage
1.

Anglais
836 085
92,46 %
2.

Français
31 105
3,44 %
3.
Arabe
5 965
0,66 %
4.
Micmac
4 620
0,51 %
5.
Allemand
3 275
0,45 %
6.
Chinois
2 750
0,30 %
7.
Néerlandais
1 725
0,19 %
8.
Espagnol
1 545
0,17 %
9.
Tagalog
1 185
0,13 %
10.
Persan
1 185
0,13 %

Au total, il y a également eu 105 réponses référençant l'anglais et une langue non officielle ; 25 référençant le français et une langue non officielle ; 495 référençant l'anglais et le français ; 10 référençant l'anglais, le français et une langue non officielle ; et environ 10 300 personnes n'ayant donné aucune réponse durant le recensement des langues primaires. La population francophone, d'origine acadienne, habite surtout la ville de Clare et la Baie Sainte-Marie.



Médias et communications |


The Chronicle Herald est un quotidien de langue anglaise publié à Halifax mais distribué dans toute la province. Il y a cinq autres quotidiens, dont le Cape Breton Post à Sydney. Il y a aussi plusieurs hebdomadaires de comté. Il n'y a pas de quotidien francophone mais Le Courrier de la Nouvelle-Écosse est publié à chaque semaine.


La Première Chaîne, en français, et CBC Radio, en anglais, sont les principales stations de radio, auxquelles s'ajoutent de nombreuses stations privées. Les principales stations de télévisions sont la CBAFT en français ainsi que CBHT, CIHF-TV et CJCH-TV en anglais. Les stations de télévision et les producteurs indépendants produisent de nombreuses émissions de télévision et de radio[14].



Personnalités de la Nouvelle-Écosse |





  • Joseph Howe (13 décembre 1804 - 1er juin 1873), homme politique fédéral.


  • Charles Tupper (2 juillet 1821 - 30 octobre 1915), Premier ministre du Canada.


  • Joshua Slocum (20 février 1844 - 14 novembre 1909), navigateur canadien.


  • John Sparrow David Thompson (10 novembre 1845 - 12 décembre 1894), Premier ministre de la Nouvelle-Écosse en 1882.


  • Robert Borden (26 juin 1854 - 10 juin 1937), huitième Premier ministre du Canada, du 10 octobre 1911 au 10 juillet 1920.


  • Cyrus Eaton (en) (27 décembre 1883 - 9 mai 1979), homme d'affaires canadien.


  • Portia White (en) (24 juin 1911 - 13 février 1968), musicienne afro-canadienne.


  • Chef Membertou (1510 ? - 18 septembre 1616), chef d'une bande micmaque.


  • Al MacInnis (11 juillet 1963-), joueur de hockey retraité.


  • Wendell Young (1er août 1963-), joueur de hockey retraité.


  • Leslie Feist (13 février 1976-), chanteuse canadienne.


  • Ellen Page (21 février 1987-), actrice canadienne.


  • Sidney Crosby (7 août 1987-), joueur de hockey évoluant actuellement avec les Penguins de Pittsburgh en LNH.


  • Brad Marchand (11 mai 1988-), joueur de hockey évoluant actuellement avec les Bruins de Boston en LNH.


  • Nathan MacKinnon (1er septembre 1995-), joueur de hockey évoluant actuellement avec l'Avalanche du Colorado en LNH.


  • August Ames (30 novembre 1994 - 5 décembre 2017), actrice de films pornographiques, remportant la trophée des fans AVN de la nouvelle actrice la plus mignonne (Cutest Newcomer).




Notes et références |




  1. a et b« Chiffres de population et des logements, Canada, provinces et territoires, recensements de 2016 et 2011 – Données intégrales », Statistique Canada, 28 août 2017(consulté le 9 novembre 2017)


  2. Le Petit Robert des noms propres, 2011(ISBN 9782849027400), p. 1646


  3. Halifax, Warden of the North, Thomas Raddall, McClelland & Stewart, 1984 p. 18


  4. Parcs Canada - Lieu historique national du Canada de la Citadelle-d'Halifaxhttp://www.pc.gc.ca/lhn-nhs/ns/halifax/natcul/index_F.asp


  5. Site de CIFA : http://www.cifafm.ca


  6. http://nslegislature.ca/index.php/fr/about/


  7. https://premier.novascotia.ca/


  8. https://lt.gov.ns.ca/lieutenant-governor


  9. « Le premier ministre annonce la nomination d’un nouveau lieutenant-gouverneur et d’une nouvelle commissaire territoriale », sur pm.gc.ca (consulté le 16 juin 2017)


  10. « Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) », sur apf.francophonie.org (consulté le 26 mai 2017)


  11. http://www.statcan.gc.ca/tables-tableaux/sum-som/l02/cst01/demo30a-fra.htm


  12. http://www.cccb.ca/site/membres/assemblees-episcopales-regionales#lien1


  13. http://www.nspeidiocese.ca/


  14. J. Murray Beck, « Nouvelle-Écosse - Histoire », sur L'encyclopédie canadienne.



Voir aussi |


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Articles connexes |



  • Canada


  • Histoire de la Nouvelle-Écosse Article détaillé

  • Île de Sable

  • Liste de villes de la Nouvelle-Écosse

  • Liste des provinces et territoires canadiens

  • Liste des gouverneurs de la Nouvelle-Écosse

  • Liste des premiers ministres de la Nouvelle-Écosse

  • Villes du Canada

  • Louisbourg



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