École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie









Icône de paronymie
Cet article possède des paronymes, voir École centrale des travaux publics et École nationale des travaux publics de l'État.




Page d'aide sur l'homonymie Pour les homonymes du sigle de l'école, voir Estp.


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Histoire et statut
Fondation

1er juin 1891Voir et modifier les données sur Wikidata
Type

École d'ingénieurs (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique

Association loi de 1901Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur

Léon EyrollesVoir et modifier les données sur Wikidata
Président

François-Xavier ClédatVoir et modifier les données sur Wikidata
Directeur

Florence Darmon (d)Voir et modifier les données sur Wikidata













Localisation
Localisation

CachanVoir et modifier les données sur Wikidata
Pays

FranceVoir et modifier les données sur Wikidata




















Chiffres-clés
Étudiants

2 429 (2018)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants

90 professeurs permanents et 700 intervenants professionnels
Budget

21 257 548 euro (2018)Voir et modifier les données sur Wikidata













Divers
Membre de

Conférence des grandes écoles, Union des grandes écoles indépendantes, Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieursVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web

estp.frVoir et modifier les données sur Wikidata



L'École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie (ESTP Paris) est l'une des 207 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au 1er septembre 2017 à délivrer un diplôme d'ingénieur[1].


La durée de la scolarité ingénieur est de trois ans après le cursus de classes préparatoires aux grandes écoles ou par admission sur titre. Elle a été fondée en 1891 à Paris dans le 5e arrondissement, entre la rue Thénard et le boulevard Saint-Germain, au cœur du Quartier latin et fait donc partie des plus anciennes écoles de France.


Le campus de Cachan, érigé en 1905 pour accueillir les laboratoires, est le principal site de l'école depuis la rentrée 2011 à accueillir les élèves en formation d'ingénieur, de techniciens spécialisés « conducteurs de travaux » et de licence professionnelle. Un nouveau campus implanté à Troyes a ouvert ses portes à la rentrée 2017 et accueillera à termes 300 élèves supplémentaires.


Elle est membre de la conférence des grandes écoles (CGE), de l'union des grandes écoles indépendantes (UGEI), de la conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs (CDEFI), du G16+ ainsi que du pôle universitaire Paris-Est.




Sommaire






  • 1 Fondation de l'école


  • 2 Formations proposées


    • 2.1 Ingénieur


    • 2.2 Techniciens spécialisés conducteur de travaux


    • 2.3 Licences professionnelles


    • 2.4 Mastère spécialisé®


    • 2.5 Anciennes formations




  • 3 Activités de Recherche


    • 3.1 Institut de recherche en Constructibilité


    • 3.2 Équipe de Recherche


    • 3.3 Chaires d'enseignement-recherche




  • 4 Vie associative


    • 4.1 BLOC ESTP (Bureau des élèves)


    • 4.2 Principales associations


    • 4.3 La Campagne




  • 5 Quelques ancien(ne)s élèves


  • 6 Voir aussi


    • 6.1 Bibliographie


    • 6.2 Articles connexes


    • 6.3 Liens externes




  • 7 Notes et références





Fondation de l'école |


Né à Tulle dans un milieu modeste, Léon Eyrolles est reçu en 1882 conducteur des ponts et chaussées. Tout en exerçant ses fonctions dans l’administration, il aide quelques collègues à préparer le concours de conducteur des Ponts et chaussées. L’École nationale des ponts et chaussées est à cette époque pratiquement le seul établissement d’enseignement supérieur dans le domaine des travaux publics alors que l’époque est aux grands travaux sollicités par la révolution technique (avènement de l'électricité, du téléphone, naissance de l’architecture métallique, du béton armé etc.). C'est une époque de fondation d'écoles supérieures, l'École centrale d'architecture est fondée en 1865, reconnue d'utilité publique en 1870.


En 1891, Léon Eyrolles crée un cours par correspondance dénommé "l'École chez soi", tandis qu'à Marseille s'ouvre cette année là l'École d'ingénieurs de Marseille qui formera les ingénieurs de l'empire colonial. En 1898, il se consacre exclusivement à l'enseignement et installe les classes et bureaux de l’École au Quartier latin, elle est alors connue comme l'École Eyrolles. Peu à peu, avec le soutien des pouvoirs publics et de la profession, il crée une annexe à Cachan pour y installer les applications pratiques. Le développement de l'École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie ne fait que commencer.


Parallèlement au développement de l'école, Léon Eyrolles ouvre en 1925 la Librairie de l'enseignement technique, qui deviendra une maison d'édition, le groupe Eyrolles.


Reconnue pour ses missions d'intérêt général par l'Etat depuis 1921, l'École spéciale des travaux publics bénéficie du statut d'Établissement d'Enseignement Supérieur Privé d'Intérêt Général par arrêté du 6 juillet 2015.



Formations proposées |


L'ESTP Paris est reconnue dans le monde du bâtiment et travaux publics (BTP) et dans celui de l'industrie comme étant une école à la fois généraliste et professionnalisante. L'école est administrée par les entreprises elles-mêmes.



Ingénieur |


L'ESTP Paris est l'école de référence dans la formation d'ingénieurs dans le secteur du BTP en France. Les étudiants ont le choix entre cinq spécialités post-concours CPGE et une par l'apprentissage après un bac+2.


D'après la CTI, en 2018, les caractéristiques des formations sont les suivantes[2] :


























Intitulé de la spécialité du diplôme d'ingénieur
Type
Accréditation
Label

Bâtiment (B)
Formation initiale sous statut d'étudiant
Maximale

EUR-ACE

Topographie (T)

Travaux publics (TP)

Génie mécanique et électrique (GME)
Énergétique de la construction (GECD)
Formation initiale sous statut d'étudiant et d'apprenti

Elle recrute principalement via le Concours Commun Centrale-Supélec et le concours de la Banque PT après deux années de classes préparatoires aux grandes écoles pour 95 % des effectifs. Des admis sur titre (admis directement en première année de cycle ingénieur avec une formation en DUT, IUP de génie civil ou autre) intègrent également cette école (5 %). L'école délivre environ 700 diplômes par an.


Le titre d'ingénieur diplômé de l'ESTP Paris, banalisé sous le nom d'Ingénieur E.T.P., est reconnu par la commission des titres d'ingénieur. De plus l'ESTP Paris signe un « plan quinquennal» avec l'État.


L'ESTP Paris est une école privée associative et les élèves doivent s'acquitter durant chacune de leurs années de formation des frais de scolarité (respectivement en 2017 : Ingénieur 7 725 €/an, Ingénieur Architecte entre 8 050 € et 8 400 €/an, Licence professionnelle 6 350€/an et Conducteur de travaux 5 750 €/an[3]). Cependant, de nombreuses bourses sont attribués aussi bien aux élèves ingénieurs qu'aux conducteurs de travaux. Chaque année un tiers des étudiants bénéficient d'une aide financière (bourse de l'Enseignement Supérieur, bourse des entreprises partenaires, bourse de l'école ou de sa Fondation).


L'ESTP Paris sélectionne également des élèves ingénieurs afin qu'ils suivent un cursus bi-diplômant:



  • double diplôme d'ingénieur ESTP / ENSAM;

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / ENSAPLV;

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / ESA

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / Master Administration des Entreprises MBA de l'IAE de Paris Panthéon Sorbonne ;

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / Master of Science in Management de l'ESCP Europe;

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / Master "Stratégies Territoriales et Urbaines" de Sciences Po.

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / Master "Governing the large metropolis" de Sciences Po.

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / École Nationale Supérieure du pétrole et des moteurs.

  • double diplôme d'ingénieur ESTP / EDHEC

  • doubles diplômes avec des universités étrangères :

    • TU Dresden


    • MIT (high performance structures) ;


    • UCLA (structural, environmental, water ressources engineering) ;


    • UC Berkeley (civil systems, structural engineering) ;


    • Texas A&M (civil engineering, mechanical engineering) ;


    • Northwestern University (Civil engineering, Master Project Management) ;


    • University of Melbourne (civil engineering) ;


    • University of Birmingham (Construction management, geotechnical engineering, road and management engineering, communication engineering) ;


    • Université de Newcastle upon Tyne (Master Structural Engineering, Consultancy skills, Transport, Geotechnics...) ;


    • Imperial College London ;


    • KTH en Suède ;

    • Tech de Monterrey (génie mécanique et génie civil) ;


    • Universidad Politecnica de Valencia UPV (Ingenieria de Caminos, Canales y Puertos; Ingenieria Geodesica y Cartografica).




L'ESTP Paris a des partenariats avec 80 universités sur les cinq continents.


Les élèves de 3e année peuvent choisir entre plusieurs options de spécialisation au sein de l'ESTP Paris :



  • Aménagement territorial et urbain durables

  • Bâtiments et villes durables

  • Aménagement de la propriété

  • Génie civil nucléaire

  • Ingénierie et international

  • Routes et Ouvrages d'Art

  • Structures

  • Développement immobilier

  • Constructibilité et culture de projet

  • Ingénierie et Efficacité Énergétique

  • Construction électromécanique

  • Ingénierie Designer

  • Entrepreneuriat

  • Building Information Modeling


L'ESTP Paris propose également à ses élèves de faire un master en 3e année dans un établissement français partenaire :



  • à l'École des Ponts ParisTech (gestion et gouvernance de l'espace, sciences de l'environnement) ;

  • à l'École nationale supérieure du pétrole et des moteurs ;

  • à l'Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN au sein du CEA) pour une spécialisation en génie atomique ;

  • à l'École polytechnique (master matériaux pour la construction durable) ;

  • à l'École supérieure d'électricité (master recherche Sciences et traitement du signal et de l'automatique) ;

  • à l'École normale supérieure de Cachan ;

  • à l'École des ingénieurs de la ville de Paris.



Techniciens spécialisés conducteur de travaux |


Depuis sa création en 1891, l'ESTP Paris forme aussi des techniciens spécialités conducteurs de travaux, appelés dans la profession « conducteurs de travaux Eyrolles », actuellement suivant deux spécialités : bâtiment et travaux publics.


Cette formation est dispensée sous deux statuts :



  • en formation initiale (CB et CTP) ;

  • en formation par l'apprentissage (CAB et CATP).


Le recrutement se fait principalement après le baccalauréat S ou STI2D. Les diplômes de technicien spécialisé conducteur des travaux publics et conducteur des travaux du bâtiment sont homologués par l'État au niveau III (bac +2). La majorité des élèves poursuivent leurs études en écoles d'ingénieurs ou en licence.


Mais aujourd'hui, ce diplôme peut également se préparer par alternance. En signant un contrat d'apprentissage de deux ans, on peut intégrer ce cursus, rémunéré entre 50 et 70 % du SMIC selon l'âge et les diplômes.
Cette formation est entièrement financée par les entreprises.



Licences professionnelles |


Deux licences professionnelles :



  • Management et conduite de travaux (en formation initiale ou par l'apprentissage) en partenariat avec le CNAM,

  • Licence professionnelle « Topographie, Voirie et Réseaux Divers » avec l'Université de Crétail (UPEC).


Formation en un an après un bac + 2 (homologué au niveau II par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.


Les licences professionnelles de l’ESTP Paris, en partenariat avec le Cnam (Conservatoire national des Arts et Métiers) ou l'UPEC, ont pour objectif de renforcer les formations bac+2 en organisation et gestion de travaux, management des ressources humaines, sécurité, qualité et environnement pour la licence en management et conduite de travaux (LM), et de développer principalement la maîtrise des nouveaux codes de calcul européens (eurocodes) et des logiciels professionnels de CAO ou de calcul de structures pour celle de projeteur calculateur BTP (LP).


Un Bachelor :


  • Le Bachelor « Manager de Projet Immobilier » sera proposé par l’ESTP Paris à la rentrée 2018. Il a pour objectif de former des professionnels de la construction au métier de gestion technique d’opérations immobilières. 


Mastère spécialisé® |


Les différents mastères spécialisés® accrédités par la Conférence des Grandes Écoles (CGE) proposés par l'ESTP Paris sont :


en temps plein :



  • Maîtrise d'Ouvrage et Gestion Immobilière (MOGI) ;

  • Management des Entreprises de Construction (AMEC) ;

  • Management de l’Immobilier et des Services (MIS) ;

  • Urgentiste Bâtiment et Infrastructures (UBI) ;


en temps partagé :



  • Maîtrise d'Ouvrage et Gestion Immobilière en temps partagé (MOGI) ;

  • Management de l’Immobilier Tertiaire (MIT) ;

  • Management et Techniques en Entreprise Générale (MTEG) ;


Co accrédités avec les Arts et Métiers ParisTech :



  • Management Global des Risques (MGR) ;

  • Construction et Habitat Durables (CHD) ;


Co accrédité avec les Ponts et Chaussées :


  • Building Information Modeling : intégration et cycle de vie du bâtiment et des infrastructures (BIM)


Anciennes formations |


À sa fondation, les prémisses de l'école présentaient une forme différente.


En 1900, les cours techniques supérieurs préfigurent trois spécialités actuelles: Travaux Publics (trois ans), Bâtiment (deux ans) et Électricité (deux ans). Les cours techniques élémentaires ont pour but de se préparer pour les moins à l'aise aux cours techniques supérieurs ou de se préparer aux concours de conducteurs de travaux dans ces spécialités. La section administrative, d'un ou deux ans, prépare aux concours administratifs des Ponts et Chaussées, de la Ville de Paris ou des chemins de fer[4].


Entre les deux guerres, à côté des quatre écoles alors en deux ans (TP, B, ME et IG) se trouvent des cours préparatoires d'un maximum de trois ans (TS1, 2 et 3, celle-ci divisée en sections B, TP, ME et C), dont des concours à tous les niveaux permettent l'accès aux quatre écoles ou à une formation aux concours administratifs en deux ans, dénommés SA1 et SA2. À côté se trouvent des formations en deux ans pour le personnel des chemins de fer (PLM, CFE, CFV...)[5].


Après 1958, l'école inclut déjà des formations continues. La promotion ouvrière technique (permise en 1943 par le syndicat des producteurs et distributeurs d'énergie électrique) et la promotion ouvrière administrative (permise en 1947 et au quart féminisée) permet à des agents justifiant plus de trois ans de poste, une progression de carrière. En 1963, sur une centaine d'élèves des deux formations, 8 % des agents ont les deux parties du baccalauréats, 8 % en ont une seule partie, le restant étant en deçà[6]. Par correspondance ou sur le site de l'école, elle consiste en une première année technique ou administrative, puis une seconde année plus spécialisée (respectivement gaz ou électricité, administrative ou commerciale). En contrepartie est signée un engagement de service sur cinq ans[7]. Ces formations tombent en désuétude dans les années 1970.



Activités de Recherche |



Institut de recherche en Constructibilité |


L'activité de recherche de l'ESTP s'articule depuis 2009 autour de l'Institut de recherche en constructibilité (IRC) autour des trois sujets suivants : les éléments de construction, les ouvrages, les systèmes.


Les axes scientifiques de recherche sont au nombre de sept :



  • matériaux Tp ;

  • matériaux de construction ;

  • géo-matériaux ;

  • génie civil nucléaire ;

  • construction durable ;

  • management des risques ;

  • BIM et ingénierie numérique.


L'école dispose d'un réseau de huit laboratoires, d'une salle BIM et Cloud et d'un observatoire des risques. Les directions de toutes les unités de recherche travaillent en étroite collaboration afin d'assurer une transversalité de l'effort de recherche et une mise en commun des résultats pour l'atteinte des objectifs de l'IRC.



Équipe de Recherche |


En 2017, l’équipe de recherche regroupe les enseignants-chercheurs de l’École dans les compétences clés du secteur, elle est composée d’une cinquantaine de collaborateurs, dont une vingtaine de doctorants, elle accueille trente-cinq stagiaires de Master ou TFE Recherche et propose vingt sujets de Projets industriels d’entreprenariat et de recherche par an.



Chaires d'enseignement-recherche |


L'ESTP dispose par ailleurs de deux chaires d'enseignement-recherche en Génie Civil Nucléaire (GCN) et en ingénierie des Bétons (IdB).



Vie associative |




Logo du BLOC ESTP.



BLOC ESTP (Bureau des élèves) |


Historiquement, l'appellation "BLOC" existe depuis la Seconde Guerre Mondiale. Fondée en 1943 par Henri Ducassou, les étudiants de l'ESTP ont rejoint les groupes de résistance et ont fait "BLOC" face à l'occupant.


L'ESTP s'illustre alors par son engagement ce qui lui vaudra d'être citée en 1954 à l'Ordre de l'armée avec attribution de la Croix de guerre 1939-1945, remise le 11 juin 1954.


Le BLOC a pour objet de :



  • stimuler la culture école au sein des activités extra-scolaires : week-end d'intégration (week-end BLOC), soirées, garden, summer ;

  • développer l'« esprit ESTP » qui soude le réseau des anciens.


Fonctionnement


Le BLOC ESTP appelé couramment BLOC est une équipe constituée de 27 étudiants. Divisé en plusieurs pôles, le BLOC ESTP a pour objectif de gérer la vie associative de l'ESTP. Il fait le lien entre l'administration et les élèves.


7 pôles constituent le BLOC :



  • le Bureau constitué du Président, du Vice-Président, du Trésorier, du Vice-Trésorier, du Secrétaire et enfin du Vice-Secrétaire. (gère la trésorerie et les relations avec l'administration)

  • le Pôle Entreprises, composé de 4 membres

  • le Pôle Communication

  • le Pôle Evènementiel constitué de 4 membres (Organisation de soirées)

  • le Pôle SID/COSI composé d'un respo SID, un respo COSI et un respo Assos

  • le Pôle Forum, au plus 2 membres (Un des membres du BLOC est nommé Secrétaire général du Forum ESTP)

  • le Pôle Gala (Organisation du Gala de l'école fin février)

    Le Pôle Entreprises

    Le Pôle Entreprises est chargé des relations et partenariats avec les sociétés proche de l'école et des élèves. Il assure :

  • l'organisation des journées Bloc, où interviennent des entreprises en amphithéâtre pour présenter leur métier,

  • l'organisation du Forum TFE, à destination des 3A de l'école pour leur permettre de trouver leur stage final,

  • la mise en place de partenariats annuels et sur mesure avec des entreprises souhaitant tisser de forts liens avec les élèves,

  • l'organisation d'événements complémentaires : afterworks, ateliers CV & lettre de motivation, visites de chantier...

    Le Pôle SID/COSI

    Généralement constitué de 3 membres : un responsable SID, un responsable COSI et un responsable Assos.


La SID est l'association des anciens élèves de l'ESTP. Celle-ci organise pendant l'année des événements en partenariat avec l'association Jeunes ETP. Le responsable SID fait la liaison entre la SID et les élèves de l'ESTP.


Le COSI (Comité d'Organisation du Séminaire d'Intégration de l'ESTP) est une association qui a pour rôle d'organiser la première journée d'intégration des élèves à l'ESTP. Depuis peu l'association est rattachée au BLOC. Les membres du Pôle SID/COSI ont pour rôle d'organiser entièrement cette journée composée de représentants d'entreprises.


Le responsable Assos doit gérer le planning des associations de l'ESTP. (Poste crée très récemment)



Principales associations |


L'ESTP Paris est particulièrement réputée parmi les grandes écoles d'ingénieur pour la richesse de sa vie associative. Voici une liste non exhaustive de ses principales associations.



  • BLOC ESTP : BDE des élèves

  • BDI-PUB ESTP : Gère un Pub dans l'établissement

  • Skiclub ESTP : Organise la semaine ski ainsi que des weekends ski

  • BDS ESTP : Bureau des sports

  • Forum ESTP : Organise le plus grand forum de BTP pour étudiants de France

  • GMP ESTP : (anciennement PN) Organise des soirées pour les élèves dans Paris

  • Larssen ESTP : Association culturelle de l'école, organisant notamment des voyages

  • Œnologie ESTP : Club d'Œnologie de l'école

  • Mixologie ESTP : Club de mixologie

  • Junior ESTP : Junior Entreprise de l'école

  • Défi Voile ESTP : Association nautique organisant notamment une croisière

  • TEDx ESTP Paris : Association qui organise annuellement un TEDx autour du thème du BTP

  • Hilap ESTP : Association organisant des stages humanitaires

  • Les Parpaings Perdus ESTP : Fanfare de l'école

  • Tournage ESTP : Association Photo-Vidéo de l'école

  • Circa ESTP : Association de cirque

  • Dreams ESTP : Organise une comédie musicale

  • Fous de la Rampe ESTP : Organise des spectacles comiques

  • Belote ESTP : Organise des soirées jeux de cartes

  • Run For Them ESTP : Association de running de l'école

  • Sound ESTP : Collectif de musique électronique

  • Histudent ESTP : Aide à l'intégration des élèves internationaux

  • FitFess ESTP : Club de fitness

  • Eole ESTP : Association humanitaire et environnementale

  • Maroc ESTP : Vise à partager la culture Marocaine

  • Rock N' Dance ESTP : Association de rock dansant

  • Mécène ESTP : Association Artistique

  • NonStop ESTP : Organise des voyages en stop

  • Classik ESTP : Organise des concerts de musique classique

  • Trek ESTP : Organise plusieurs Treks

  • Roselend ESTP : Organise une course de ski de randonnée

  • Jump ESTP : Organise une compétition équestre

  • Sky ESTP : Organise des initiations au saut en parachute

  • Aviron ESTP : Club d'aviron

  • Castors de Paris ESTP : Équipe de football américain

  • Gaming ESTP : Association de gamers

  • Gourm ESTP : Association de cuisine (gourmet)

  • Lg-btp ESTP : Association de toutes les orientations

  • Bace ESTP : Association de promotion des métiers de l'énergétique de la construction

  • Aumônerie ESTP-ESITC : Association culturelle catholique

  • Maguen ESTP : Association culturelle juive

  • Salam ESTP : Association culturelle musulmane

  • Zik ESTP : Association des musiciens de l'ESTP

  • Afros ESTP : Association de promotion de la culture africaine

  • Reflex ESTP : Association de sensibilisation aux premiers secours

  • Body ESTP : Association de musculation

  • Maraichage ESTP : Association qui s'occupe d'un potager

  • Meca ESTP : Association de mécanique



La Campagne |


Tout au long de l'année, différentes listes d'élèves s'affrontent pour reprendre des associations l'année suivante. Il existe ainsi une campagne avec des listes pour le SkiClub ESTP, l'Œnologie ESTP, et la plus importante de toutes pour le BLOC ESTP (BDE). Afin de pouvoir accéder à la campagne, les listes ont d'abord besoin de passer la pré-campagne en finissant parmi les 3 meilleurs.



Quelques ancien(ne)s élèves |


Article détaillé : Catégorie:Élève de l'École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie.



  • Alfred de Pischof (CTP05), pionnier de l'aéronautique.


  • Jeanne Scelles-Millie (1924), première femme diplômée de l'ESTP et première femme ingénieure architecte en France en 1924, ancienne Résistante


  • Farid Bensaïd, homme d'affaires et violoniste marocain.


  • Adrien Conus (TP23), Compagnon de la libération, colonel.


  • Martial Lapeyre (TP26), fondateur du groupe Lapeyre.


  • Moshé Feldenkrais (ME30), physicien, fondateur du judo en France


  • Gustave Lucius-Duquesnes (TP30), ancien sénateur.


  • Nicolas Grunitzky (CTP34), ancien président du Togo.


  • Menachem Mendel Schneerson (ME37), grand Rabbin et leader spirituel du Judaïsme Loubavitch


  • Léon Grosse (TP50), président du conseil de surveillance Léon Grosse.


  • Pierre Thevenin (IG52), architecte de golf.


  • Daniel Kahane (B60), architecte, premier grand prix de Rome d'architecture, membre de l'Académie d'architecture.


  • Mansour Skhiri (TP62), homme politique tunisien, ancien ministre de la Fonction publique et du Transport.

  • Jacques Merceron-Vicat (TP62), Président du groupe Vicat.


  • Patrick Le Lay (TP64), ex PDG de TF1.


  • Roger Martin (TP65), ex-PDG d'Eurovia, DG délégué du groupe Vinci.

  • Pierre Zemor (TP66), conseiller d'Etat honoraire


  • Michel Guerry (TP68), sénateur.


  • François-Xavier Clédat (TP70), président du Conseil de surveillance de Spie Batignolles

  • Serge Eyrolles (B71), petit-fils du fondateur de l'ESTP Léon Eyrolles, PDG des Éditions Eyrolles et des Éditions d'Organisation


  • Guillaume Sarkozy (B74), ex-délégué général du groupe Malakoff Médéric.

  • Patrick Jolly (B74), créateur du journal De Particulier à Particulier


  • Philippe de Dieuleveult (CB75), reporter et animateur de télévision.


  • Jean-Louis Chaussade (B76), PDG de Suez Environnement

  • Hervé Le Bouc (TP76), PDG de COLAS




  • Philippe Monloubou, (ME77), Président du directoire d'Enedis (ex-ERDF)


  • Harold Martin (CB78), président du gouvernement de Nouvelle-Calédonie.


  • Mohamed Saâd Hassar, homme politique marocain

  • Marc de Garidel (TP80), PDG d'Ipsen


  • Meka Brunel (TP80), DG de Gecina


  • François Darnaudet (TP81), écrivain de littérature policière et fantastique.


  • Patrick Bernasconi (CTP80), ex-président de la FNTP.


  • Bertrand Stalla-Bourdillon (ME81), DG Louis Vuitton, PDG Berluti, PDG Marc Jacobs.

  • Bruno Jean-Richard Itoua (1982), ancien ministre congolais

  • Olivier Genis (B83), PDG d'Eiffage Construction


  • Gilles Tonelli (TP83), homme d'État monégasque


  • Vincent Taupin (TP84), président du directoire de la banque Groupe Edmond de Rothschild


  • Dominique Cerutti (B84), ex-PDG d'Euronext, PDG d'Altran

  • Philippe Hamequin (TP84), DG de Bouygues Travaux Publics

  • Jean-Philippe Trin (TP86), Directeur général délégué de Bouygues Construction.

  • Alain Triolle (TP86), Préfet de la Savoie

  • Matthieu Malige (TP97), Directeur Financier de Carrefour

  • Najoua Arduini-Elatfani (ME05), ancienne présidente du Club XXIe siècle [8]



Voir aussi |



Bibliographie |



  • Les figures de l'ingénieur colonial à la fin du XIXe siècle: la formation de la Société française des ingénieurs coloniaux et de l'Ecole spéciale des travaux publics Dans Le Mouvement Social 1999/4 (n°189) par Hélène Vacher École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy

  • L'ESTP et sa section Bâtiment : la formation des ingénieurs – architectes au premier vingtième siècle. par chmcc · Publication 5 juin 2017 · Mis à jour 25 avril 2017. par Hélène Vacher École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy, LHAC.

  • Pour une présentation générale de l’ESTPBI, Cf. Hélène Vacher, « Building the Modern City: Planners and Planning Expertise at Léon Eyrolles’ Ecole Spéciale des Travaux Publics, 1898-1939 », Planning Perspectives, vol. 17, n° 1, 2002, p. 41-60.


  • ESTP […] Plans d’études et programmes de l’enseignement, Paris, Librairie de l’enseignement technique, 1921



Articles connexes |



  • Maison Eyrolles, ancien lieu de résidence des directeurs de l'école


Liens externes |


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  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :

    • Fichier d’autorité international virtuel

    • International Standard Name Identifier


    • Bibliothèque nationale de France (données)

    • Système universitaire de documentation



  • Site officiel



Notes et références |





  1. Arrêté du 24 janvier 2018 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé (lire en ligne)


  2. http://extranet.cti-commission.fr/recherche/showDonneesCertifiees/id/1441


  3. Montants des frais disponibles sur le site de l'ESTP rubrique Frais de scolarité


  4. L'école chez soi, numéro 5, avril 1912.


  5. Archives du Val-de-Marne


  6. Archives du Val-de-Marne, carton 122J124


  7. Yves PALAZZESCHI, Introduction à une sociologie de la formation, volume 1.


  8. https://www.lesechos.fr/13/02/2014/LesEchos/21626-162-ECH_najoua-arduini-elatfani--du-btp-a-la-presidence-du-club-du-xxie-siecle.htm





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