Honduras







République du Honduras


República de Honduras (es)











Drapeau
Drapeau du Honduras.


Blason
Armoiries du Honduras.




Description de l'image Honduras (orthographic projection).svg.














Devise nationale
Libre, Soberana e Independiente
Libre, Souveraine et Indépendante

Hymne national
'Tu bandera es un lampo de cielo, composé par Augusto Coello





















Administration
Forme de l'État
République
Président de la République
Juan Orlando Hernández
Langues officielles
Espagnol
Capitale
Tegucigalpa

14° 04′ 55″ N, 87° 11′ 53″ O























Géographie
Plus grande ville
Tegucigalpa
Superficie totale
112 090 km2
(classé 101e)
Superficie en eau
Négligeable
Fuseau horaire
UTC -6













Histoire
Indépendance
De l'Espagne
Date
15 septembre 1821

















Démographie
Gentilé
Hondurien

Population totale (2018[1])

9 182 766 hab.
(classé 95e)
Densité
82 hab./km2













Économie

IDH (2017)

0,617[2] (moyen  ; 133e)
Monnaie
Lempira (HNL​)

















Divers
Code ISO 3166-1
HND, HN​
Domaine Internet
.hn
Indicatif téléphonique
+504



Le Honduras, en forme longue la république du Honduras, en espagnol República de Honduras, est un pays situé en Amérique centrale, limité au nord par la mer des Caraïbes, qui compte de nombreuses îles, cayes et îlots dont les plus importants sont les Islas de la Bahía et les îles du Cygne (voir version anglaise ou espagnole pour plus d'informations). Le Honduras est aussi bordé à l'ouest par le Guatemala et au sud par le golfe de Fonseca, le Salvador et le Nicaragua. Le Honduras était le pays le plus inégalitaire d’Amérique latine en 2016[3].




Sommaire






  • 1 Histoire


  • 2 Politique


  • 3 Subdivisions


  • 4 Géographie


    • 4.1 Frontières terrestres




  • 5 Économie


  • 6 Démographie


    • 6.1 Santé


    • 6.2 Problèmes sociaux et criminalité


    • 6.3 Langues


    • 6.4 Religions




  • 7 Culture


    • 7.1 Cuisine


    • 7.2 Sports




  • 8 Codes


  • 9 Notes et références


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Articles connexes


    • 10.2 Liens externes







Histoire |


Article détaillé : Histoire du Honduras.

Le Honduras était habité par des peuples autochtones, on peut citer les Lencas, les Chortis, les Pech, les Tolupanes, etc. Christophe Colomb arriva à Trujillo (Honduras) en 1502. Il baptisa cette région Honduras, car quand il arriva, il venait de sortir d'une tempête, et il s'écria « Gracias a Dios, salimos de estas honduras ! » (« Grâce à Dieu ! Nous sommes sortis de ces eaux profondes »). Le cap (à l'extrémité orientale du Honduras) a pris le nom de « Gracias a Dios » et le pays « Honduras ».


En 1821, le Honduras proclama son indépendance et il fit partie, de 1821 à 1823, de l'empire mexicain d'Iturbide. Ensuite, jusqu'en 1838, il fit partie des Provinces unies d'Amérique centrale. En 1839, le Honduras devint un État souverain. En 1963, l'armée renverse le gouvernement élu de Ramón Villeda Morales, rendu populaire par un début de réforme agraire, afin de replacer au pouvoir le Parti national, plus soucieux de satisfaire les intérêts de l'oligarchie terrienne[4]. Le Salvador envahit brièvement le Honduras en juillet 1969 durant la guerre du football après qu'un match de football eut exacerbé les tensions entre les deux pays.


De 1972 à 1983, le Honduras est gouverné par des militaires. L'influence des États-Unis est si forte que l'expression « proconsul » est utilisée pour désigner leur ambassadeur[5]. Dans les années 1980, l’administration Reagan utilise le pays comme plate-forme dans sa guerre contre le gouvernement sandiniste du Nicaragua et les guérillas de gauche du Salvador et du Guatemala. L’aide militaire des États-Unis au Honduras est portée de 4 millions de dollars en 1981 à 77,4 millions en 1984[5]. Tout en soulignant en interne que les forces gouvernementales honduriennes commettent des « centaines de violations des droits humains (…), dont la plupart pour des motifs politiques », la CIA donne son appui aux escadrons de la mort qui, en particulier le Bataillon 3-16, torturent, assassinent, ou font disparaître par dizaines des syndicalistes, des universitaires, des paysans et des étudiants. Des documents déclassifiés ultérieurement indiquent que l’ambassadeur John Negroponte intervient personnellement pour faire obstacle à d'éventuelles divulgations de ces crimes d’État, afin d’éviter de « créer des problèmes de droits humains au Honduras »[5].


Plusieurs présidents démocratiquement élus se succèdent alors, jusqu'en 2009. Le 28 juin de cette année-là, le président Manuel Zelaya est en effet victime du coup d'État de 2009 au Honduras[6]. Arrêté et expulsé du pays par l'armée, il est remplacé dans ses fonctions par Roberto Micheletti, qu'une grande partie de la communauté internationale refuse alors de reconnaître. Le coup d’État aurait été commandité par l'élite économique hondurienne et les multinationales établies au Honduras, inquiétées par le rapprochement effectué par le gouvernement avec l'ALBA (soutenue notamment par le Venezuela et Cuba) au détriment de la Banque mondiale, et de l'éventualité que ce changement comportait sur une réorientation alternative au néolibéralisme de l’économie[7]. Des élections générales sont organisées fin 2009 par le gouvernement putschiste. En dépit du boycott de l'opposition, l'élection du candidat Porfirio Lobo est assez rapidement entérinée par la communauté internationale.



Politique |


Article connexe : Politique au Honduras.

Le Honduras est une république parlementaire.


Le président, élu pour un mandat de 4 ans, exerce à la fois les fonctions de chef de l'État et de chef du gouvernement.


Le pouvoir législatif n'est exercé que par une seule chambre : le Congrès. Elle compte 128 députés élus tous les 4 ans.


Le droit du Honduras est inspiré du code napoléonien en vigueur en Espagne et est influencé par le système judiciaire des États-Unis. Les juges sont désignés par les députés pour un mandat de 4 ans.


Depuis quelques années, le pays doit faire face à la montée de la violence, impliquant notamment des gangs de mineurs (Maras) : une commission interministérielle permanente pour l'intégration morale et physique des enfants a recensé 744 meurtres de mineurs entre 1998 et 2005.


Depuis le coup d’État de 2009, le Honduras présente le taux le plus élevé d'assassinats politiques dans le monde, par rapport à sa population. Les écologistes et syndicalistes sont particulièrement ciblés par ces assassinats, alors que l'impunité des crimes sociaux et politiques avoisine les 95 %[8].


Les élections présidentielles de 2017 donnent lieu à des accusations de fraudes. L'Organisation des États américains recommande la tenue d'un nouveau scrutin[9].



Subdivisions |


Articles détaillés : Région spéciale de développement du Honduras, Départements du Honduras et Liste des municipalités du Honduras.

Les 18 départements sont eux-mêmes subdivisés en 298 municipalités.



Géographie |




Carte du Honduras.


Article détaillé : Géographie du Honduras.

Entouré par la mer des Caraïbes, le Guatemala, le Nicaragua, le Salvador et l'océan Pacifique, le Honduras occupe une superficie de 112 090 km2. Le Honduras dispose de 820 km de côtes.


Le Cerro Las Minas, haut de 2 870 m, est le point culminant du pays ; il est situé dans l'Ouest. Parmi les ressources naturelles, on trouve l'or, l'argent, le cuivre, le plomb, le zinc, les minerais de fer, l'antimoine et le charbon. Grâce à ses accès à la mer, le Honduras possède une importante activité de pêche.


Le pays est sujet aux tremblements de terre, inondations et ouragans. L'ouragan Mitch qui a eu lieu à Tegucigalpa en 1998 a fait beaucoup de ravages sur cette ville, qui sont encore visibles aujourd'hui.


À la limite du bassin caraïbe, au large des côtes du Honduras, les îles de la Baie (Utila, Roatán et Guanaja) sont peuplées de descendants de pirates anglais. Colonies britanniques, elles ont été cédées au Honduras en 1859, sans que leurs habitants aient été consultés.


Agglomérées les unes aux autres, des familles prospères de pêcheurs de crabes habitent sur les récifs de corail qui bordent les côtes de l'île de Guanaja. Une manière pour eux de fuir les moustiques qui infestent l'île. Conséquence d'une isolation maintenue depuis des générations, des problèmes de consanguinité se posent parmi cette population.



Frontières terrestres |



  • 920 km avec le Nicaragua ;

  • 342 km avec le Salvador ;

  • 256 km avec le Guatemala.



Économie |


Article détaillé : Économie du Honduras.

En 1998, l'ouragan Mitch a causé la mort d'environ 5 000 personnes et des pertes de quelque 3 milliards de dollars. Malgré l'aide étrangère de 2,76 milliards de dollars, le PIB a diminué de 3 %. D'après l'ONU, 77,3 % des Honduriens vivent dans la pauvreté[10].


Le secteur primaire représente 13 % des revenus totaux de la population hondurienne. 32 % de ces revenus sont générés grâce au secteur secondaire. Finalement, 55 % regroupent les revenus du secteur tertiaire[11].


Les femmes au Honduras représentent 31 % en fonction de toute la main-d'œuvre[12].


L'agriculture représente 22 % du PIB. Le café est l'un des principaux produits exportés et représentait 22 % des exportations honduriennes dès 1999). Au cours de la décennie des années 2010, le Honduras s'est hissé à la sixième place au palmarès des quinze plus grands producteurs mondiaux de café et à la première pour l'Amérique centrale. Le pays était par ailleurs le deuxième plus grand exportateur de bananes jusqu'en 1998. Une très grande majorité de la production du pays est aux mains de l'entreprise américaine Chiquita (ex-United Fruit Company). Les autres principales ressources qui sont exportées du Honduras sont la canne à sucre, le maïs, les oranges, les crustacés, le tabac et l'élevage de bovins[13]. Les transferts d’argent des émigrés représentent 18,5 % du PIB[14].


La monnaie est le lempira, divisée en 100 centimes (centavos). La dette du Honduras est de 3 871 000 000 CAD en 2008, soit environ 16 % du PIB, et le déficit budgétaire était d'environ 3,6 %. Le taux d'inflation atteint 4,60 % en 2011. Le Honduras est un pavillon de complaisance.


Le taux de chômage en 2017 est de 7,40 %[15]. Toutefois, le sous-emploi concerne plus de 60 % de la population active[15].



Démographie |




Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.


Article détaillé : Démographie du Honduras.

Le Honduras comptait 7,64 millions d'habitants (appelés Honduriens) en 2008 (8,296,693 estimation juillet 2012). La population se compose de 90 % de métis (Hispaniques et Indigènes), 7 % d'Indigènes purs, 2 % de Noirs (Garifuna), et 1 % de Blancs.


L'espérance de vie est de 72,3 ans pour les hommes et de 77 ans pour les femmes. Le taux de mortalité infantile s'évalue à 18,7  en 2015.



Santé |


Le pays est l'un des plus touchés par le sida dans toute l'Amérique centrale.


La croissance de la population s'élève annuellement à 2,1 %, et le taux de fécondité était estimé à 3,3 enfants par femme en 2007[16].


L’avortement est interdit et puni de prison[17]. En avril 2012, le gouvernement conservateur de Porfirio Lobo fait adopter la criminalisation de la prise ou de la vente de la pilule du lendemain et instaure des peines de prison allant de 3 à 10 ans[18]. Le Honduras est le seul pays au monde où la pilule du lendemain est interdite[réf. nécessaire].



Problèmes sociaux et criminalité |


Le Honduras détient depuis plusieurs années l'indice le plus élevé d'homicides volontaires avec, en 2012, 90,4 homicides pour 100 000 habitants (soit 7 172 homicides) notamment du fait de la présence de gangs mafieux « ultra violents » nommés maras. Cet indice serait en baisse en 2013 et 2014. La criminalité est principalement liée au trafic de stupéfiants et aux extorsions de fonds. Les touristes n'échappent pas aux agressions[19]. Les journalistes et les opposants politiques sont également les victimes de ces violences[20]. La ville la plus touchée est San Pedro Sula, la deuxième ville du pays, qui détient le taux le plus haut taux d'homicides au monde avec 173 morts pour 100 000 personnes[21]. Le pays est considéré comme l'un des plus dangereux au monde pour les journalistes[22].


Les gangs mafieux sont parvenus à s'introduire profondément au sein des forces de police, « pourries jusqu’à la moelle » selon les déclarations d’un ancien officier de police abattu deux semaines plus tard, et les assassinats politiques sont fréquents[23]. En 2016, une commission spéciale pour la purge et le processus de transformation de la police nationale est mise en place pour mener une enquête parmi les forces policières : plus de 5 000 des 17 000 policiers du pays ont été renvoyés à cette occasion[24]. La classe politique est elle aussi particulièrement corrompue, en particulier le Parti national du Honduras au pouvoir, qui détournait jusqu'à l'explosion du scandale des millions de dollars des services publics pour alimenter ses propres finances[23].


Des documents révélés par Wikileaks indiquent que les vestiges d’un avion ayant transporté au moins une tonne de cocaïne ont été enterrés dans la propriété de Miguel Facussé Barnum, où il avait atterri. Grand propriétaire cultivant la palme africaine, industriel éminent et propriétaire du quotidien La Tribuna, Miguel Facussé Barnum compte parmi les hommes les plus riches du Honduras. En 2017, les membres de la richissime famille Rosenthal, particulièrement influente (propriétaire du quotidien Tiempo et du Canal 11 de télévision) tombent pour leurs relations avec le narcotrafic : Yankel Rosenthal (ex-ministre de l’Investissement de Juan Orlando Hernández), Jaime Rosenthal Oliva (vice-président du Honduras entre 1986 et 1989), Yani Rosenthal Hidalgo (ex-candidat à la magistrature suprême pour le Parti libéral). Le fils de l'ancien président Porfirio Lobo est pour sa part extradé aux États-Unis où il se reconnait coupable d'« association de malfaiteurs pour trafiquer de la cocaïne »[14].


En octobre 2018, le pays connait une crise migratoire avec la formation d'une caravane de migrants allant vers les États-Unis[25].



Langues |


Article détaillé : Langues au Honduras.

L'espagnol (castillan) est la langue officielle. La variété locale utilise la forme vos au lieu de et de nombreux mots tombés en désuétude en Espagne y sont toujours utilisés, comme « carro » (de « chariot » en espagnol et non de « car » en anglais) ainsi que de nombreux mots souvent d'origine préhispanique.



Religions |


Selon le Pew Research Center, en 2010, 87,6 % des habitants du Honduras sont chrétiens, principalement catholiques (50,3 %) et dans une moindre mesure protestants (36,6 %), alors que 10,5 % de la population n'est pas affilié à une religion et que 1,1 % pratique une religion populaire[26].



Culture |


Articles détaillés : Culture du Honduras, Cuisine du Honduras et Équipe du Honduras de football.





















Fêtes et jours fériés
Date Nom Remarques
3 février Fête de la Vierge de Suyapa
Patronne de la République
15 septembre Fête de l'Indépendance



Cuisine |


Article détaillé : Cuisine du Honduras.


Sports |


Article détaillé : Équipe du Honduras de football.


Codes |


Le Honduras a pour codes :



  • HN, selon le code ISO 3166-1, code alpha-2 ;

  • HN, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques ;


  • .hn, selon la liste des domaines internet ;

  • HND, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays) ;

  • HND, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3 ;

  • HO, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2 ;

  • HON, selon la liste des codes pays du CIO ;

  • MH, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports ;

  • XH, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs.



Notes et références |





  1. (en) « Central America :: Honduras — The World Factbook - Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consulté le 24 décembre 2018).


  2. (en) « Human Development Reports », sur hdr.undp.org (consulté le 23 octobre 2018).


  3. (es) « ¿Cuáles son los 6 países más desiguales de América Latina? », sur BBC Mundo, 16 mars 2016(consulté le 12 décembre 2017).


  4. Maurice Lemoine, Les enfants cachés du général Pinochet. Précis de coups d’État modernes et autres tentatives de déstabilisation, Don Quichotte, 2015, p. 116.


  5. a b et cAlexander Main, « Passage en force au Honduras », Le Monde diplomatique,‎ 1er janvier 2018(lire en ligne, consulté le 10 février 2018).


  6. Jorge Mafjud, « Un coup d’État qui ne veut pas dire son nom », Courrier international,‎ 29 juin 2009(lire en ligne).


  7. « Honduras, un an après le coup d’État », Le Monde diplomatique,‎ 28 juin 2010(lire en ligne).


  8. « Coup d'État électoral au Honduras », Le Courrier,‎ 1er décembre 2017(lire en ligne, consulté le 4 décembre 2017).


  9. « Honduras : l'opposition à la réélection de Juan Hernandez ne baisse pas les bras. », sur rfi.fr, 7 janvier 2018(consulté le 8 janvier 2018).


  10. Commission économique de l'ONU pour l'Amérique latine et les Caraïbes, Synthèse. Panorama économique de l'Amérique latine 2002-2006, Ciudad de Mexico, 2007.


  11. http://www.indexmundi.com.


  12. http://www.pays-monde.fr.


  13. http://perspective.usherbrooke.ca.


  14. a et b« Au Honduras, le coup d’État permanent », sur www.medelu.org, 5 décembre 2017.


  15. a et b(es) « El desempleo en Honduras un problema sin fin, que agobia dia a dia a la población hondureña. », Tiempo.hn,‎ 30 mars 2017(lire en ligne, consulté le 9 décembre 2017).


  16. INED - Populations et Sociétés : Tous les pays du monde (2007).


  17. (es) « Aborto en Honduras seguirá siendo un crimen », Diario La Prensa,‎ 4 mai 2017(lire en ligne).


  18. « Honduras : une pilule du lendemain au goût amer », sur geopolis.


  19. « Honduras : Le pays possède le plus fort indice d'homicides au monde selon l'ONU », Actu Latino,‎ 22 avril 2014(lire en ligne, consulté le 3 novembre 2018).


  20. « Le Honduras bat les records de criminalité », RFI,‎ 29 avril 2013(lire en ligne, consulté le 3 novembre 2018).


  21. « Dans l'enfer de San Pedro Sula, la ville la plus violente au monde », Atlantico.fr,‎ 12 décembre 2013. (lire en ligne, consulté le 3 novembre 2018).


  22. « Un journaliste tué par balles au Honduras, le 70e depuis 2003 », L'Orient-Le Jour,‎ 15 juin 2017(lire en ligne).


  23. a et b« Au Honduras, simulacre de mesures anticorruption - Mémoire des luttes », sur www.medelu.org.


  24. « Le Honduras, un pays « pris en étau entre pauvreté extrême et ultraviolence » », Le Monde.fr,‎ 22 octobre 2018(lire en ligne, consulté le 25 octobre 2018).


  25. « Cause des départs du honduras », sur ouest-france.fr, 23 octobre 2018(consulté le 31 octobre 2018).


  26. (en) « Religions in Honduras », sur www.globalreligiousfutures.org (consulté le 23 février 2018).




Voir aussi |




Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Honduras.



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Articles connexes |



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  • Triangle du Nord



Liens externes |




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