Aix-les-Bains





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De haut en bas, de gauche à droite : la vallée d'Aix-les-Bains vue depuis le mont Revard ; le Casino Grand Cercle ; l'hôtel de ville ; le parc floral des Thermes ; les thermes Chevalley ; le massif des Bauges et Aix depuis le lac du Bourget.

Aixlesbains.jpg

Palais de Savoie -Aix-les-Bains.JPG

Mairie aix les bains 73.JPG

Aix-les-Bains.jpg

Thermal Baths.jpg

Le Lac du Bourget.jpg


Blason de Aix-les-Bains
Blason


Aix-les-Bains
Logo

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Savoie

Arrondissement

Chambéry

Canton

Aix-les-Bains-1
Aix-les-Bains-2
(bureau centralisateur)

Intercommunalité

Communauté d'agglomération Grand Lac
(siège)

Maire
Mandat
Renaud Beretti
2018-2020

Code postal
73100

Code commune
73008
Démographie

Gentilé
Aixois

Population
municipale
29 799 hab. (2016 en augmentation de 4,25 % par rapport à 2011)
Densité 2 361 hab./km2
Population
aire urbaine
224 811 hab. (2016)
Géographie

Coordonnées

45° 41′ 18″ nord, 5° 54′ 55″ est

Altitude
Min. 224 m
Max. 524 m

Superficie
12,62 km2
Localisation


Géolocalisation sur la carte : Savoie



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City locator 14.svg

Aix-les-Bains





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Aix-les-Bains





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Aix-les-Bains





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Aix-les-Bains





Liens

Site web

aixlesbains.fr


Aix-les-Bains (prononcée [ɛks.le.bɛ̃] voire [ɛks.lɛ.bɛ̃] .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter), nommée localement Aix, est une commune, station balnéaire et thermale française, située dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes.


S'élevant sur les rives du plus grand lac naturel d'origine glaciaire de France, le lac du Bourget, cette station touristique fait également partie des importantes villes thermales françaises. Deuxième commune la plus peuplée du département de la Savoie, avec 29 799 habitants selon la population municipale légale en vigueur (2015), elle forme le pôle septentrional d'une agglomération de plus de 180 000 habitants, l'unité urbaine de Chambéry.


Considérée cinquième ville la plus romantique d'Europe en 2016 selon un classement réalisé par European Best Destinations, Aix-les-Bains, ville-phare de la Belle Époque de renommée internationale, fut un haut-lieu de villégiature pour les familles princières et les gens fortunés. Si aujourd'hui elle confirme plus que jamais son statut de ville d'eau, il n'en demeure pas moins que le thermalisme n'est plus la principale activité du bassin aixois. La cité compense en partie la perte de ses curistes en développant le tourisme. Elle accueille jusqu'à 200 000 visiteurs[1], curistes ou touristes, par an dont 112 000 entre juillet et août. Pour bénéficier d'avantages touristiques et d'un rayonnement international, en 2016, une nouvelle marque de territoire concernant Aix-les-Bains et ses alentours est créée : « Aix les Bains Riviera des Alpes ».


Aix-les-Bains possède plusieurs atouts comme ses thermes nationaux ou encore son festival pop-rock, Musilac. La ville possède par ailleurs de nombreux labels, comme celui des villes et villages fleuris où elle affiche quatre fleurs depuis plus de quarante ans.


Aix est aussi une ville industrielle, avec quelques grosses entreprises comme Alstom et le siège des entreprises Léon Grosse, ABB Cellier, Aixam ainsi qu'une manufacture de haute maroquinerie entre autres.


Selon le classement « Où fait-il bon vivre en France ? »[Note 1] réalisé par Les Échos en 2015, le bassin d'emplois de Chambéry/Aix-les-Bains est au 6e rang sur 304 zones répertoriées[2].





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


      • 1.1.1 Distances des grandes villes françaises




    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Climat


      • 1.5.1 Relevés de températures annuels


      • 1.5.2 Températures mensuelles de l'année 2017




    • 1.6 Voies de communication et transport


      • 1.6.1 Voies routières


        • 1.6.1.1 Carrefours giratoires et tricolores


        • 1.6.1.2 Stationnement




      • 1.6.2 Transport ferroviaire


      • 1.6.3 Transport aérien


      • 1.6.4 Transport en commun


      • 1.6.5 Voies cyclables


      • 1.6.6 Accidents de camions






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Risques naturels et technologiques majeurs


    • 2.2 Morphologie urbaine


      • 2.2.1 Aménagement et urbanisation


      • 2.2.2 Occupation des sols




    • 2.3 Logement


      • 2.3.1 Logement social


      • 2.3.2 Réactions liées aux constructions




    • 2.4 Projets d'aménagement


      • 2.4.1 Extension de la zone d'activités de l'Échangeur


      • 2.4.2 Thermes nationaux






  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Aquae : Aix la romaine


    • 4.2 Du Moyen Âge à la Renaissance


    • 4.3 Le XVIIIe siècle aixois


    • 4.4 Le XIXe siècle


    • 4.5 Le XXe siècle, entre guerres et thermalisme


    • 4.6 Négociations de l'indépendance du Maroc


    • 4.7 Le vignoble aixois : vitiferae Aquae (« Aix la vineuse »)




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Services publics et administratifs


    • 5.2 Tendances politiques


    • 5.3 Résultats


    • 5.4 Administration municipale


    • 5.5 Liste des maires


    • 5.6 Instances judiciaires


    • 5.7 Politique de développement durable


      • 5.7.1 Agenda 21 et démarche « Zéro pesticide »


      • 5.7.2 Eau et assainissement


      • 5.7.3 Déchets ménagers




    • 5.8 Finances locales


      • 5.8.1 Capacité d'autofinancement


      • 5.8.2 Impôts locaux


      • 5.8.3 Autres indicateurs financiers




    • 5.9 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


      • 6.1.1 Pyramide des âges


      • 6.1.2 Taille des ménages




    • 6.2 Enseignement


      • 6.2.1 Primaire


      • 6.2.2 Secondaire




    • 6.3 Manifestations culturelles et festivités


      • 6.3.1 Festival Musilac




    • 6.4 Santé


    • 6.5 Sécurité


      • 6.5.1 Plan Vigipirate


      • 6.5.2 Incendie




    • 6.6 Sports et loisirs


      • 6.6.1 Principaux événements nationaux et mondiaux


      • 6.6.2 Équipements sportifs


      • 6.6.3 Loisirs




    • 6.7 Médias


      • 6.7.1 Presse et radios


      • 6.7.2 Télévision


      • 6.7.3 Internet




    • 6.8 Cultes




  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus et fiscalité


      • 7.1.1 Revenus par quartiers


      • 7.1.2 Impôts




    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises et secteurs d'activité


      • 7.3.1 Principales entreprises




    • 7.4 Commerce


      • 7.4.1 Marchés




    • 7.5 Tourisme


      • 7.5.1 Nombre et capacité des hôtels




    • 7.6 Thermalisme


    • 7.7 Eau minérale naturelle d'Aix-les-Bains




  • 8 Culture locale et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


      • 8.1.1 Casino Grand Cercle


      • 8.1.2 Château de la Roche du Roi


      • 8.1.3 L'église Notre-Dame


      • 8.1.4 Le musée Faure


      • 8.1.5 Les palaces et hôtels aixois


      • 8.1.6 Autres édifices




    • 8.2 Patrimoine naturel


      • 8.2.1 Parcs, forêts et espaces verts


      • 8.2.2 ZNIEFF




    • 8.3 Gastronomie


    • 8.4 Patrimoine culturel


    • 8.5 Labels et distinctions


    • 8.6 Aix-les-Bains dans la littérature


    • 8.7 Personnalités liées à la commune


    • 8.8 Blasonnement


      • 8.8.1 Héraldique




    • 8.9 Logos


      • 8.9.1 Logo officiel de la ville


      • 8.9.2 Logo de l'office de tourisme intercommunal






  • 9 Pour approfondir


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


Aix-les-Bains se situe dans le quart sud-est de la France, près des contreforts des Alpes du Nord[3].


La ville est localisée dans l'ouest du département de la Savoie, à une dizaine de kilomètres de Chambéry[4], préfecture du département, et à moins d'une trentaine de kilomètres d'Annecy[5], préfecture de la Haute-Savoie.


Implantée dans un couloir entre la montagne du mont Revard, premier rempart naturel du massif des Bauges à l'est et le lac du Bourget, plus grand lac naturel de France à l'ouest[6], la ville est établie à 83 kilomètres à vol d'oiseau de Lyon, préfecture régionale[7] et à 60 kilomètres de Genève, en Suisse[8]. Elle est également dotée du plus grand port de plaisance en eau douce de France : le port de plaisance d'Aix-les-Bains[9].


La ville s'étend principalement sur un axe nord-sud. Son extension est telle que son agglomération se confond peu à peu avec celle de Chambéry[10].




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Distances des grandes villes françaises |


Le tableau ci-dessous présente les distances en kilomètre entre Aix-les-Bains et les dix plus grandes villes françaises[11].



























Paris
Marseille
Lyon
Toulouse
Nice
Nantes
Strasbourg
Montpellier
Bordeaux
Lille
578 km
391 km
114 km
615 km
548 km
795 km
566 km
381 km
666 km
799 km


Communes limitrophes |




Aix-les-Bains et ses communes limitrophes.jpg

Aix-les-Bains

La commune Aix-les-Bains

Brison-St-Innocent

La commune Brison-St-Innocent

Grésy-sur-Aix

La commune Grésy-sur-Aix

Pugny-Chatenod

La commune Pugny-Chatenod

Mouxy

La commune Mouxy

Drumettaz-Clarafond

La commune Drumettaz-Clarafond

Viviers-du-Lac

La commune Viviers-du-Lac

Tresserve

La commune Tresserve

Bourdeau

La commune Bourdeau

La Chapelle...

La commune La Chapelle...



La commune d'Aix-les-Bains est limitrophe de 9 communes. Au nord-ouest, la commune touche le territoire de Brison-Saint-Innocent. Puis au nord-est, Aix-les-Bains est bordée par la ville de Grésy-sur-Aix. Ensuite à l'est, dans la continuité des hauteurs aixoises, on trouve la commune de Pugny-Chatenod suivie de la commune de Mouxy. Plus au sud-est, Aix-les-Bains partage les limites de son territoire avec pour ville voisine Drumettaz-Clarafond. Il s'ensuit au sud la commune du Viviers-du-Lac. Pour finir à l'ouest, trois communes bordent Aix-les-Bains : Bourdeau, La Chapelle-du-Mont-du-Chat et Tresserve. L'une des spécificités des limites du territoire communal de la ville d'Aix-les-Bains, sur son flanc ouest, est l'existence de limites immergées au sein du Lac du Bourget. Cette limite de territoire est partagée avec quatre autres communes que sont Bourdeau, Brison-Saint-Innocent, La Chapelle-du-Mont-du-Chat et Tresserve[12].



Géologie et relief |



schéma en couleurs d'une carte repésentant le zonage géologique d'un territoire ; légende détaillée ci-dessous.

Carte géologique simplifiée d'Aix-les-Bains.


  •      Mairie et limites communales

  •      Hauterivien (n3)

  •      Barrémien inférieur (n4a)

  •      Urgonien (n5-4)

  •      Aquitanien (g3)

  •      Burdigalien supérieur (m1b)

  •      Alluvions modernes (Fz)



Le bassin aixois est situé sur une large dépression qui s'étend entre les communes d'Aix-les-bains et de Chambéry, soit sur une partie du sillon molassique péri-alpin[13]. La dépression du bassin est dominée par le chaînon du Mont Revard, où une importante faille est présente : le chevauchement frontal des Bauges[13]. Les calcaires crétacés (Hauterivien, Barrémien et Urgonien), n'affleurent plus qu'au nord (vers Grésy-sur-Aix) et au sud-est où ils séparent Aix de Mouxy. Ailleurs, ce sont les terrains miocènes (Aquitanien) qui dominent dans le ville haute à l'est alors que la ville basse, à l'ouest, en bordure du lac du Bourget et dans la vallée terminale du Tillet, est établie sur des alluvions quaternaires[14].


La superficie de la commune est de 1 262 hectares ; son altitude varie de 224 à 524 mètres[15].


La commune est traditionnellement divisée en deux, la ville basse qui occupe les berges du lac à l'ouest et la ville haute, où se trouve le centre-ville, surplombant le lac du Bourget[3]. La cité s'est d'abord construite sur les hauteurs afin d'éviter les nombreuses crues du lac avant que celui-ci ne soit régulé notamment par le barrage de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) entre le Rhône et le déversoir naturel du lac, le canal de Savières[16]. L'altitude moyenne de la ville est d'environ trois-cent-vingt mètres alors que la partie basse de celle-ci ne se trouve qu'à deux-cent-vingt-quatre mètres, soit au niveau du lac[17].



coupe du relief de la ville d'Aix-les-Bains.

Coupe topographique nord-ouest/sud-est d'Aix-les-Bains.




Hydrographie |



carte en couleurs de la localisation des cours d'eau sur Aix-les-Bains.

Carte des cours d'eau d'Aix-les-Bains.


Le bassin versant de 588 km2 du lac du Bourget est occupé par la station thermale d’Aix-les-Bains, qui le borde sur sa rive est sur environ 3,45 km[18],[19]. Le lac est principalement alimenté au sud par les eaux de la Leysse, et, à l'est, par celles du Tillet et du Sierroz, tous deux passant sur le territoire aixois[20]. L'esplanade du Lac est délimitée au nord et au sud par respectivement le « Grand port » et le « Petit port » constituant ainsi le port de plaisance aixois qui est le plus vaste d’eau douce du pays avec plus de 1 500 emplacements pour les plaisanciers du lac, les bateaux trouvant un emplacement estival ou annuel[21].


La commune est soumise à la Loi Littoral avec comme motif : « commune riveraine d'un lac de plus de 1000 hectares »[22]. Cette loi permet de protéger le patrimoine naturel, et donc de favoriser la biodiversité, de veiller sur l'activité économique d'un secteur et de favoriser l'innovation, la recherche sur les ressources et caractéristiques d'un littoral[23].


D'autres petits cours d'eau traversent également le territoire aixois, principalement visibles en dehors de sa partie très urbanisée : le ruisseau de la Chaudanne, le ruisseau du Cambo-Garins, le ruisseau du Foran, le ruisseau des Gachet, le Nant de l'Abbaye et le Nant des Fougères (en bordure avec Grésy-sur-Aix)[24],[25]



Climat |


La station météorologique de Météo-France située à quelques kilomètres au sud de la commune, sur l'aéroport de Chambéry-Savoie, mesure quotidiennement plusieurs paramètres météorologiques[26].


Le climat y est de type montagnard[27]. La position entre deux massifs favorise le blocage de perturbations qui provoquent des cumuls de précipitations souvent importants par rapport à la moyenne nationale[27],[28]. La neige est peu présente, surtout sur les abords du lac : les eaux du lac du Bourget se refroidissant moins vite que la terre[29], contrairement aux autres communes savoyardes. Une vingtaine de jours de neige sont tout de même recensés en moyenne par année et entre 60 et 80 jours de gel[30],[31]. En décembre 2010, un record historique s'était établi sur l'agglomération avec près de 40 cm de neige tombés en moins de 24 h sur la station[32]. Les orages sont fréquents par rapport à la moyenne nationale[33]. L'ensoleillement est considéré comme normal par rapport à la moyenne française avec près de 2 000 heures de soleil par an[34].




Relevés de températures annuels |


Le tableau ci-dessous montre l'évolution des températures entre 1990 et 2015 à un intervalle régulier de 5 ans sur Aix-les-Bains et ses alentours. On a néanmoins indiqué les relevés de la dernière année achevée, c'est-à-dire 2017, à titre de comparaison.



































































Températures / années[35],[Note 2]

1990
1995
2000
2005
2010
2015
2017
Maximale extrême (°C)
33,6
33,8
34,2
35,2
37,4
38,8
35,8
Maximale moyenne (°C)
16,9
16
17,1
16,3
16
17,8
17,7
Moyenne moyenne (°C)
10,8
11,1
12
11,2
11
12,4
12,3
Minimale moyenne (°C)
6,5
6,9
6,8
6,1
6,2
7,1
7,0
Minimale extrême (°C)
-8,3
-8
-9,7
-12
-11,4
-5,5
-7,7


Par ailleurs, la température moyenne sur Chambéry/Aix-les-Bains pour la période 1974 - 2017 est de 11,15 °C. Entre 1900 et 2015, selon certains indicateurs du réchauffement des températures dans les Alpes françaises, on peut constater une augmentation d'environ 2,05 °C dans les Alpes du nord[36].



Températures mensuelles de l'année 2017 |
































































































Températures année 2017[37],[Note 2]

Janv
Fév
Mars
Avr
Mai
Juin
Juil
Août
Sept
Oct
Nov
Déc

Maximale extrême (°C)

10,2

20,7

23,4

25,5

30,1

34,7

33,9

35,8

26,6

24,5

17,4

12,7
Maximale moyenne (°C)
3,4
12,3
16,3
18,1
22,2
28,1
28,1
27,7
20,8
19,1
10,0
6,0

Moyenne moyenne (°C)

0,1

7,0

10,3

11,3

15,9

22,2

22,2

21,9

15,2

12,6

6,3

3,1
Minimale moyenne (°C)
-3,1
1,7
4,3
4,5
9,6
16,3
16,4
16,2
9,7
6,2
2,6
0,1

Minimale extrême (°C)

-7,7

-3,5

-0,7

-1,7

3,9

10,1

12,5

9,2

2,8

0,8

-3,7

-5,3


Voies de communication et transport |



Voies routières |



Photographie en couleurs d'une grande rue à partir d'un rond-point.

La route départementale 991 qui traverse la ville.



vue sur une avenue d'une ville de Savoie.

Avenue Charles de Gaulle, au fond le mont Revard.


Aix-les-Bains se situe sur l'axe majeur de communication entre Chambéry et Annecy[38]. La branche nord de l'autoroute A41 passe à l'est de la ville, permettant un accès direct à Annecy puis plus loin par la continuité de l'A40, à la ville de Genève[39]. Deux sorties (13 et 14) desservent la commune, l'une au sud, l'autre au nord[39].



Sur le réseau secondaire, la route départementale 991 traverse Aix-les-Bains et rejoint Viviers-du-Lac et Chambéry au sud[40]. À l'ouest, la route départementale 1201 longe, en direction du sud-ouest, le lac du Bourget pour rejoindre la commune du Bourget-du-Lac et au centre la route départementale 991[41].



Représentation en couleurs d'axes routiers sur une carte d'Aix-les-Bains.

Carte du réseau routier principal d'Aix-les-Bains.


Aix-les-Bains comprend 130 kilomètres de chaussées et 180 kilomètres de trottoirs[42]. Outre les avenues, la ville compte plusieurs grands boulevards : on peut citer, par exemple, le boulevard Lepic, le boulevard de Russie, le boulevard du Docteur-Jean-Charcot, le boulevard du Président Wilson ou bien le boulevard Franklin Roosevelt[43]. Ces boulevards sont larges et ouverts contrairement aux rues du centre-ville qui sont plus étroites et aux autres axes qui sont soit plus tourmentés en raison de la proximité du massif des Bauges et de ses montées sinueuses, soit plus anarchiques répondant à des exigences du moment sans prise en compte globale du tissu urbain[43].


En centre-ville, la voiture est l'un des moyens de transport privilégié des aixois, malgré les efforts déployés par l'association Roue Libre chargée du développement du cyclisme urbain[44]. En moyenne, près de 25 000 véhicules circulent quotidiennement sur Aix-les-Bains[45]. La circulation aux heures de pointe y est particulièrement difficile, surtout en été avec l'afflux de touristes. Avec l'augmentation du trafic routier, ainsi que du transit des poids-lourds, sur une voirie de type communale devenue inadaptée, des nuisances sont recensées par les riverains de certains quartiers, comme celui du Tir-aux-Pigeons ou de Saint-Simond[46].


La ville s'est par ailleurs engagée dans une démarche de qualité de vie en mettant tout l'hyper centre-ville, ainsi que certains quartiers résidentiels périphériques, en zone 30[47].



Carrefours giratoires et tricolores |

Sur Aix-les-Bains, on constate depuis plusieurs années l'émergence de carrefours giratoires au détriment des feux tricolores[48]. En effet, on ne compte pas moins de 53 carrefours giratoires sur la ville en 2017 contre 9 carrefours à feux tricolores, situés en dehors du centre-ville et qui permettent de « rythmer la circulation, en lâchant, en quelque sorte, les voitures au fur et à mesure » selon Renaud Beretti, premier adjoint[48]. Dans un reportage réalisé par 8 Mont-Blanc en 2015, l'adjoint explique qu'il y a eu « une volonté municipale, du maire Dominique Dord, à partir de 2001 [...], de supprimer un certain nombre de feux tricolores. [...] C'est plus une volonté de fluidifier la circulation automobile à Aix-les-Bains »[48]. Le responsable du service voirie, Daniel Caille, note par ailleurs la hausse du trafic automobile, à hauteur d'environ 3 % par an, qui « vient compenser tous les efforts [que la municipalité] a fait ces dernières années »[48].




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Stationnement |

La ville d'Aix-les-Bains, comme la plupart des villes françaises, souffre de difficultés de stationnement en centre-ville principalement[49],[50], renforcées par l'attractivité du secteur[51]. Pour lutter contre ces problèmes, différents projets d'aménagement ont été abordés sans être poursuivis, comme la création d'un parking de 500 places en sous-sol au centre-ville[52].


La ville recense 4 000 places de parking[49], dont 2 200 places de stationnement payant en centre-ville[53]. Deux parkings couverts permettent le stationnement de 490 véhicules dans le centre historique[54]. Celui de l'hôtel de ville a, par ailleurs, été totalement rénové en 2016 au niveau de son parc lumineux avec des éclairages LED novateurs[55]. En décembre 2017, la municipalité confirme que ce parking sera agrandi dans le cadre du projet de rénovation et réhabilitation des anciens Thermes nationaux[56].


Le stationnement de surface payant est réglementé en hyper-centre par deux zones de couleurs (vert et orange) afin d'éviter les stationnements à longue durée, comme supérieurs à deux heures[57].


Par ailleurs, selon L'Essor Savoyard, « La cité thermale fait figure de bon élève en termes de places de stationnement réservées aux personnes à mobilité réduite »[58]. En effet, alors que la loi fixe un quota minimal de places de stationnement réservées aux personnes à mobilité réduite à hauteur de 2 %[59], Aix-les-Bains affiche un taux de 4,5 %[60].


En novembre 2016, la ville met en place un nouveau service de paiement à distance pour stationner[61]. Il s'agit de l'application pour mobiles (voire ordinateurs) « Whoosh ». Elle permet d'obtenir un ticket de stationnement virtuel en créant un compte sur l'application[61].


Dès le 1er janvier 2018, avec le forfait post-stationnement, la municipalité fixe la redevance[62] à 20 euros pour un défaut de paiement (ou dépassement) puis, si le contrevenant dépasse un délai de cinq jours, à 30 euros[51].



Transport ferroviaire |



Photographie en couleurs d'une gare municipale.

La gare d'Aix-les-Bains-Le Revard.


Aix-les-Bains est aussi accessible par le train. Elle fut l'une des premières communes européennes à accueillir un réseau ferré sur son territoire lorsqu'elle était administrée par les ducs de Savoie[63],[64]. Dès 1857, le chemin de fer faisait halte à la gare de Choudy (fermée depuis plus d'un siècle)[65].


Aujourd'hui, la ville est reliée à Chambéry ainsi qu'à Annecy et Culoz[66]. La liaison ferroviaire transalpine Paris-Milan va, dans les années à venir, rapprocher la ville de Paris, Lyon, Turin et Milan[67].


La gare d'Aix-les-Bains est dotée d'un pôle multimodal depuis 2007[68]. Située à l'ouest du centre-ville sur le boulevard du Président-Wilson, la gare d'Aix-les-Bains-Le Revard est desservie par le TGV, qui met la ville à environ trois heures de Paris[69].



Transport aérien |


L'aéroport de Chambéry - Savoie[70], anciennement appelé Chambéry - Aix-les-Bains[71], est implanté au sud de la ville d'Aix-les-Bains, sur la commune de Voglans, à quelques mètres seulement de la rive sud du lac du Bourget[72]. Il dessert de nombreux pays dont la Grande-Bretagne (Manchester, Birmingham, Édimbourg, etc.), le Danemark (Copenhague, Billund, etc.), la Suède (Göteborg, etc.) et Paris Orly depuis 2013[73]. Il y a de nombreuses lignes hivernales en raison de la proximité des stations de sport d'hiver[74]. Trois compagnies à bas prix proposent des vols réguliers.



Transport en commun |


Article détaillé : Transports en commun d'Aix-les-Bains.


Vue sur un petit train stationné sur une place.

Le train touristique d'Aix-les-Bains.



Photographie en couleurs d'un bus circulant sur une route en ville.

Bus du réseau de transport en commun d'Aix-les-Bains.


Dès 1913, le service de transports en commun est assuré sur la ville à l'aide d'omnibus à traction automobile[75], après l'arrêt définitif du tramway en 1908[76]. Désormais, en 2017, une vingtaine de lignes desservent l'agglomération dont trois principales circulant toute l'année et régulièrement et les autres uniquement en période scolaire[77]. Le réseau de bus Ondéa est exploité depuis l'été 2015 par la Compagnie des transports du Lac du Bourget (CTLB), filiale de RATP Développement, pour la communauté d’agglomération Grand Lac[78] dans le cadre d’une délégation de service public (DSP).



Pendant la période estivale, c'est-à-dire entre le mois d'avril et la fin octobre, la ville est desservie pour de courts trajets par un petit-train routier touristique circulant sur les axes routiers. Il circule entre l'esplanade du Lac et le centre-ville[79].




Voies cyclables |


La commune d'Aix-les-Bains dispose d'environ 40 km de voies cyclables. La majorité sont des bandes cyclables (26 km répartis le long des chaussées) et 13 km de voies vertes. Contrairement à ce qui est mentionné sur le site de la ville[80], il s'agit bien de voies vertes, accessibles aux cycles mais aussi aux piétons et aux cavaliers, et non de pistes cyclables, voies uniquement réservées aux cycles. En pratique la ville ne compte qu'une seule piste cyclable, unidirectionnelle, le long de la portion du boulevard Pierpont-Morgan situé entre la rue Jean-Mermoz et le boulevard Garibaldi (environ 500 m). La ville a également mis en place les contresens cyclables, notamment dans l'hyper centre-ville[81].


Avec la création d'une voie verte en 2010/2011 le long du lac du Bourget, il est possible de relier les communes d'Aix-les-Bains, du Bourget-du-Lac et de Chambéry jusqu'à la vallée du Grésivaudan, par un itinéraire aménagé et réservé aux modes de transports doux[82]. Depuis 2011, Aix-les-Bains bénéficie du label Ville vélotouristique, qui permet de valoriser les actions des territoires s’engageant pour le développement de la pratique du tourisme à vélo[80],[83]. La ville est en effet un point de départ vers de nombreux cols et montées (belvédère du Revard, col de la Chambotte, du Sapenay) et du tour du lac du Bourget[84].


Depuis le 3 février 2016, sous l'impulsion d'associations de promotion des déplacements doux, la ville s'est dotée d'un groupe de travail sur les aménagements cyclables (GTAC)[85].




Accidents de camions |



Vue en couleurs sur un pont ferroviaire d'un boulevard.

Le pont ferroviaire sur le tronçon Lyon - Culoz - Aix-les-Bains


Un passage précis de la commune sur la route départementale 1201 est le théâtre de nombreux accidents de camions depuis plusieurs années[86]. Il s'agit du passage sous un pont ferroviaire, limité à une hauteur de quatre mètres, sur le boulevard du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, un axe principal du département reliant Chambéry et l'Ain à Annecy et les pays frontaliers[86]. Au mois d'avril 2016, on recense près d'une dizaine d'accidents en l’espace de quelques années, très souvent rencontrés dans le sens Annecy-Chambéry. Ces derniers se déroulent toujours de la même manière : un camion qui pense pouvoir passer sans encombre sous l'ouvrage d'art est stoppé net en le percutant frontalement[86]. La plupart du temps, le véhicule se couche sur la chaussée et le trottoir, paralysant ainsi totalement le trafic routier. Néanmoins, la gravité corporelle de ces accidents reste, jusqu'à présent, faible[86]. Le phénomène est assez régulier et ce, malgré une signalisation de position et lumineuse implantée en amont du pont et renforcée à la suite des accidents successifs[86].



Urbanisme |



Risques naturels et technologiques majeurs |


visualisation du risque "inondation" et "sismique" d'Aix-les-Bains.


Photographie en couleurs d'une esplanade submergée par une crue ; des cygnes nagent sous les arbres.

Inondation de l'esplanade du lac du Bourget en 1990.


Entre 1982 et 2005, la commune d'Aix-les-Bains a fait l’objet de sept arrêtés de reconnaissance de catastrophe naturelle pour les motifs suivants (les années mentionnées sont celles des événements ayant abouti à la reconnaissance de la catastrophe naturelle)[87] : en 1982 après des vents violents (tempête), en 1983 pour des inondations, des coulées de boue et des glissements de terrain, en 1985, 1990, 1992 et en 1995 en raison d'inondations et de coulées de boue et enfin en 1996 pour séisme[88].


Le risque inondations et coulées de boue est principalement lié aux cours d'eau en provenance du massif des Bauges. Un plan de préventions des risques d'inondations a été instauré pour prévenir des risques d'inondations[89] et des mesures supplémentaires de prévention, comme des tests de sirènes d'alarme[90], ont été réalisées.


Aix-les-Bains est par ailleurs située en zone de sismicité moyenne, soit de niveau 4 sur une échelle de 1 à 5[88] ; le risque sismique en Savoie étant, entre autres, compris entre le niveau 3 (modéré) et le niveau 4 (moyen)[91].



La commune est située, à vol d'oiseau, à environ 50 km d'une centrale nucléaire[92], celle du Bugey. Aucune mesure particulière n'a été instaurée[93].




Morphologie urbaine |


Article connexe : Quartiers d'Aix-les-Bains.


Aménagement et urbanisation |



carte en couleurs représentant les quartiers d'Aix-les-Bains

Quartiers administratifs d'Aix-les-Bains.


La vie d'Aix-les-Bains se trouve en grande partie sur ses hauteurs là où se situe son centre-ville, poumon économique, et ses établissements thermaux (Les Thermes nationaux de Chevalley et les Thermes de Marlioz). En effet, l'histoire de la ville a fait d'elle une station thermale. Les Aixois se sont organisés autour de cette activité qui fut initiée par les Romains[94]. La partie basse de la ville, se trouvant sur les rives du lac, était délaissée en raison des risques d'inondation[95]. Les terres étaient cultivées et on y trouvait des piscicultures. L'activité économique étant principalement sur la partie haute, la morphologie urbaine s'y est adaptée. Celle-ci a dû prendre en compte la desserte des lieux de vie (hippodrome, casino, thermes, palaces, gare, hôpital, golf…) et la géographie des lieux.


La ville comprend plusieurs quartiers comme Chantemerle, Boncelin, de la gare, du Sierroz, de la liberté, des Bords du lac, de Marlioz, Lepic, Franklin-Roosevelt et bien d'autres[96].



Image animée représentant l'évolution urbaine d'une ville à deux époques.

L'urbanisation d'Aix-les-Bains au 19e siècle et 21e siècle.


Avec l'expansion urbaine et l'accroissement démographique, Aix-les-Bains s'étend sans cesse un peu plus tout comme les communes voisines[10]. Dès la fin du 19e siècle, les espaces ruraux voire agricoles disparaissent progressivement, pour, au 21e siècle, ne concerner qu'une infime partie du territoire communal[97]. Peu à peu, on ne parle plus de la ville d'Aix-les-Bains en tant que telle, mais du bassin aixois englobant, sur le plan urbain, les communes proches de Tresserve, Grésy-sur-Aix, Mouxy, Méry, Drumettaz-Clarafond, Sonnaz ainsi que d'autres communes. Ce phénomène vaut également pour Chambéry, qui se situe plus au sud d'Aix-les-Bains et où l'on parle de bassin chambérien[10]. La morphologie urbaine de ces deux bassins locaux tend à les rapprocher inexorablement pour n'en former plus qu'un. Afin de concilier le développement urbain des bassins aixois et chambérien, le syndicat mixte Métropole Savoie a été mis en place pour couvrir 95 communes[98]. Il a pour mission de suivre le schéma de cohérence territoriale (S.C.O.T) de la Combe de Savoie, de Chambéry et du lac du Bourget.




Occupation des sols |



























Occupation de l'espace communal en 2012[22]
Surface
Territoires artificialisés
67,7 %
Surfaces en eau
19,0 %
Forêts et milieux semi-naturels
9,5 %
Territoires agricoles
3,9 %
Zones humides
0 %



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Logement |



vue sur une voie de circulation avec de nouvelles habitations.

Un nouveau quartier résidentiel près des bords du lac.


En 2018, la demande de logements est supérieure à l'offre dans le bassin aixois[99]. Le prix moyen du mètre carré à l'achat s'élève aux alentours des 2 500  pour l'ancien et 4 000  pour le neuf[99].


Aix-les-Bains compte 19 743 logements selon les dernières données Insee de 2014 (+8,5 % par rapport à 2009)[100]. Les constructions les plus récentes (postérieures à 1990) représentent, en 2014, environ le quart du total des résidences principales (25,2 %)[100]. À contrario, environ une résidence principale sur cinq est antérieure à 1946 (19,8 %)[100]. Par ailleurs, la majorité des habitations possède au moins trois pièces[100]. 76,6 % des logements sont des résidences principales[100]. Les maisons individuelles représentent 22,7 % des habitations tandis que les appartements en représentent 75,8 %[100]. 51,4 % des habitants sont propriétaires de leur logement pour 46,7 % de locataires[100].


D'anciennes maisons ou villas sont recensées dans l'inventaire régional pour leur architecture, souvent caractéristique de la Belle Époque, par exemple dans le quartier Chantemerle-Saint-Pol[101].



Logement social |


La ville d'Aix-les-Bains comptabilise environ 20 % de logements sociaux au début de l'année 2018. La loi fixant à 25 % le nombre de logements sociaux actifs pour le territoire[102], la commune doit donc en construire environ 1 000 supplémentaires avant 2025[103].



Réactions liées aux constructions |


Classée de type « urbain » par l'Insee[104], la ville est désormais urbanisée dans sa quasi-totalité. En mars 2018, le conseil municipal organise une réunion inédite sur le thème de l'urbanisme[105], à la suite de nombreuses interrogations soulevées par la population et appuyées par quelques pétitions. Le maire Dominique Dord, dans la lettre municipale no 50 du même mois, précise que l'urbanisation ne peut pas ralentir dans le contexte actuel[103]. « Les questions d’urbanisme [...] cachent de vraies inquiétudes et certaines incompréhensions » comme par exemple celles des logements sociaux, où il est nécessaire de « relativiser cette crainte »[103]. « La « Belle endormie » [Aix-les-Bains], telle
qu’elle était appelée par le passé, s’est réveillée ! »
selon l'élu[103].



Projets d'aménagement |


On recense quelques projets d'aménagement sur la ville.



Extension de la zone d'activités de l'Échangeur |



carte en couleurs représentant un futur espace économique.

Situation de la future zone économique entre Aix-les-Bains et Grésy-sur-Aix.


Fin janvier 2016, des études techniques menées par Grand Lac ont mis en avant la création imminente d'ici à quelques années d'une nouvelle zone industrielle à l'extrême nord-est de la ville et sur le sud de Grésy-sur-Aix[106]. Cette zone, dans le prolongement de la Zone d’activités de l’Échangeur, s'étendra sur une quinzaine d'hectares pour un coût total d'environ 10 000 000 d'euros[106]. L'espace industriel s'étirera de l'actuelle zone située à proximité de l’échangeur autoroutier d'Aix nord, sur Grésy, pour arriver jusqu'au niveau du refuge animalier des Amis des Bêtes, sur Aix-les-Bains, en longeant l'autoroute A41. Selon L'Essor Savoyard, « Environ 60 % de la zone se trouveront sur le territoire de Grésy-sur-Aix, les 40 % restants étant à Aix-les-Bains »[106]. Cette extension permet, dans le même temps, de créer une nouvelle route entre Grésy et la zone des Combaruches, permettant notamment la fin des nuisances occasionnées par le transit de camions près de Saint-Simond[107]. Les travaux pourraient débuter à la fin de l'année 2018[107].



Thermes nationaux |


Depuis déjà plusieurs années[108], le maire Dominique Dord fait part d'un projet de restructuration et de restauration totale d'un bâtiment inscrit monument historique[109], racheté par la ville en mars 2012 à l'État[110]. Il s'agit des anciens thermes nationaux implantés en face de l'hôtel de ville et de la place Maurice Mollard, sur une surface d'environ 50 000 m2, qui deviennent de plus en plus délabrés et qui ne sont qu'en partie occupés[111]. Quelques projets sont dès lors proposés mais rapidement rejetés, comme celui du groupe Patriarche & Co en 2013[112]. En 2015, la municipalité annonce de nouvelles possibilités d'aménagement du lieu, avec un projet mené par Vinci[111] ; ce dernier ne sera cependant pas retenu[111]. Néanmoins, dès les premiers mois de l'année 2016, le groupe Bouygues, accompagné par la Société d’Aménagement de la Savoie (SAS), dévoile un nouveau projet avec une maquette[111]. Ce dernier sujet semble davantage retenir l'attention de la municipalité bien qu'il crée polémique chez les habitants et commerçants locaux avec notamment la création de deux tours d'environ 100 logements sur le toit du bâtiment et l'aménagement d'une galerie commerciale[113],[114],[115]. La vente du projet des anciens Thermes au groupe Bouygues est approuvée par la majorité du conseil municipal réuni le 30 juin 2016[116]. Le maire est donc autorisé à signer une promesse de vente en deux axes (aile sud et le reste du bâtiment) et les actes de ventes concernant les prix fixés[116]. Au printemps 2017, le projet est ralenti. En effet, un accord, non trouvé, autour du prix de vente entre le groupe porteur du projet Bouygues, SAS et l'école privée « Peyreffite esthétique » installée à l'intérieur du site, perturbe le bon avancement du projet, tout comme le refus de l'école de déménager dans l'aile extrême-sud du bâtiment (ancienne piscine)[117]. De plus, l'architecte, porteur du projet, a démissionné[117]. En 2018, le projet s'accélère avec l'organisation d'un conseil municipal spécifique à ce sujet en avril[118]. À l'issue de ce dernier, le bâtiment est vendu à Bouygues immobilier (et la Société d’aménagement de la Savoie), contre une somme de 1,2 million d’euros[118]. Tous les occupants doivent ainsi quitter les lieux avant le 30 juin 2020[118]. L'opération de désamiantage, estimée à 2,5 millions d'euros, sera financée par la ville qui annonce lancer incessamment un concours d'architectes[118].



Toponymie |


Aix est un toponyme de forme romane désignant un lieu de sources thermales ou une ville d'eaux[119],[120],[121]. Le mot est dérivé de l'ablatif pluriel aquis « aux eaux » de aqua, « eau »[122].


Aix-les-Bains, ville fondée au Ier siècle de notre ère, n’est que rarement citée dans les textes épigraphiques, et jamais par les auteurs romains connus[123]. Toutefois, deux inscriptions conservées par le musée archéologique font mention d’Aquæ (« les Eaux ») et d’Aquensis (« les habitants du lieu des Eaux »), et nous renseignent donc sur l’appellation de ce vicus dépendant de la cité de Vienne[124]. Le chanoine Adolphe Gros rappelle que des historiens de la région comme Jean-Louis Grillet[125] ou Jules-Joseph Vernier ont tenté de faire le lien entre la ville d'Aix et avec des épithètes fantaisistes, voire apocryphes, Aquæ Allobrogum, Aquæ Domitianæ, Aquæ Gratiane que l'archiviste paléographe Félix Bourquelot précise sans mentions historiques[119],[120],[126],[127]. Elles connurent toutefois un certain succès puisque que Aquæ Gratiane se retrouve inscrite sur le fronton des Thermes nationaux de 1934 à 1968[126],[127].


La cité est mentionnée par contre durant la période médiévale. Une charte de donation de la terre royale d’Aix en 1011, par le roi de Bourgogne Rodolphe III à sa femme Ermengarde, indique Aquis villam[119],[127]. Un autre document du décanat de Saint-André de Savoie daté de 1014, d'après le chanoine François Trépier, mentionne la ville dans l'expression in pago Gratianopolitano seu Savoiense, hoc est Aquis ou encore dans le Cartulaire de Grenoble Locus qui dicitur ad Aquis[119]. Le in pago Gratianopolitano indiquant simplement qu’Aix tout comme le décanat de Savoie faisaient partie du diocèse de Grenoble[128]. On trouve par la suite in oppido Aquis (1184), Aiç (1202), Aquae (1488), Ais in Sabaudia (d'après André Baccius, dans son livre Des Thermes, publié en 1571)[119],[120]. En vieux français, Aix s'écrit et se prononce Ais[119].


Lors de l'occupation du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises, la ville est Aix ou Aix-les-Bains (1793 et 1801[129]), puis pendant la période Aix Mont-Blanc, avant de redevenir Aix en Savoie au cours du XIXe siècle[130].


En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Ésse (graphie de Conflans) ou Éx (ORB)[131].



Histoire |


Articles détaillés : Histoire d'Aix-les-Bains et Chronologie d'Aix-les-Bains.

Aix-les-Bains serait « sans conteste la plus ancienne
ville du département de la Savoie »
[132]. Son histoire est directement liée au lac du Bourget et surtout à ses sources chaudes qui en firent une station thermale des plus réputées au monde. L'analyse historique de la ville doit être rapprochée de l'histoire de la Savoie, si l'on veut mieux comprendre son évolution et ses influences culturelles. Les périodes et les faits historiques les plus marquants de la commune d'Aix-les-Bains sont répertoriés ci-dessous.



Aquae : Aix la romaine |



Dessin en noir et blanc d'un monument antique, inscriptions et légendes en latin.

L'arc de Campanus, dessiné par Borgonio, 1674.


Les historiens s’accordent à dire qu’Aix est née de ses sources d’eau à l’époque romaine, sur les restes d’un habitat celtique. Les premières occupations du site ont été datées par Alain Canal du premier siècle avant notre ère, cependant rien ne permet d’attribuer ces vestiges à un habitat fixe[123]. Il ne nous reste que les ruines d’établissements publics et l’on serait bien en peine d’établir une esquisse de « l’Aquae » antique. La situation administrative du lieu est connue par l’épigraphie, qui nous apprend qu’Aix était au Ier siècle de notre ère un « vicus », doté d’un conseil de « decemlecti » (conseil municipal de dix membres)[133], faisant administrativement parti de la cité de Vienne. Quelques citoyens vivaient là avec, semble-t-il, des moyens assez importants pour offrir aux dieux un bois sacré, une vigne ou se faire construire un arc funéraire pour le cas de la famille des Campanii.


Les archéologues ont découvert au cours de fouilles[134] un important complexe thermal, à proximité immédiate des sources. Sur une terrasse inférieure, à l’ouest, se trouvait l’arc de Campanus[135], probablement construit au Ier siècle et, plus en aval, une seconde terrasse portait le temple dit de « Diane »[136], qui avait remplacé au IIe siècle un édifice circulaire plus ancien, probablement contemporain de l’arc. Des vestiges de nécropoles ont été dégagés au nord du temple. Le parc des Thermes ainsi que différents autres lieux éparpillés en ville, renferment de nombreux vestiges très divers : restes de nécropoles, poteries, etc[137]. Cependant, aucune pièce maîtresse qui aurait conduit à des fouilles archéologiques approfondies n'est présente. À défaut, rien ne nous permet de connaître le vicus gallo romain d’Aquae, ni dans son étendue, ni dans la disposition de son habitat. Où les « Romains » habitaient-ils ? Où se situaient leurs exploitations agricoles, les villages de leur personnel ; quelles étaient les activités du vicus ? Les seuls indices sont issus de la carte archéologique des vestiges dressée par les services archéologiques de la Drac, et l'archéologue Alain Canal. Celui-ci permet alors de conclure que « Paradoxalement, si Aix a livré de nombreux documents illustrant l’ancienneté du site et la qualité de l’urbanisme monumental dès le début de l’Empire, nous n’avons aucune connaissance précise sur l’ordonnance de cette bourgade »[138].


En guise de synthèse, l'histoire de la période peut se résumer à l’occupation du site du centre ville depuis le Ier siècle avant notre ère, puis par un aménagement progressif de la zone entre les Ier et IIe siècles[137]. L’occupation semble s’être faite à partir de l’édification progressive du complexe thermal, autour duquel rayonnaient des édifices monumentaux présentés sur un système de terrasses, qui ont évolué plusieurs fois au cours de la période romaine. Si les sources chaudes furent à l’origine de l’emplacement choisi d’autres facteurs, comme la qualité du site, ont peut-être été déterminant[137].



Du Moyen Âge à la Renaissance |



Plan cavalier d'une ville au XVIIe siècle.

Aix en 1674, d'après Borgonio, Theatrum Sabaudiæ.


La connaissance de l’histoire d’Aix déjà bien pauvre à l'époque romaine, s’obscurcit encore par suite du manque de sources concernant la fin de l’Empire romain et le haut Moyen Âge. Nous en sommes réduits à des conjectures en étudiant les destructions dues aux invasions barbares qui ont laissé des traces d’incendies sur les villas gallo-romaines des environs. Toujours est-il que les thermes romains d’Aix tombent en ruines à partir du Ve siècle et que la trace des aménagements urbains se perd[139].


Aix n'est de nouveau mentionné dans les sources qu’au IXe siècle, en 867[140], puis entre 985 et 1020, au travers de diplômes, de chartes et de donations[141],[142]. Dans ces dernières, le roi Rodolphe III de Bourgogne fait don de la villa sedes regalis d’Aix, qualifiée de siège royal, avec ses colons et ses esclaves à sa femme Ermengarde qui, à son tour, les transmet à l’évêché de Grenoble[143]. Cette charte nous apprend qu’Aix est une bourgade, possédant une église et des domaines agricoles. L'évêque Hugues de Grenoble en fait ensuite don au monastère Saint-Martin de Miséréré, au début du XIIe siècle. Celui-ci érige l’église en prieuré cure, sous le vocable de Sainte Marie.


Le cartulaire de l'église-cathédrale de Grenoble, dit cartulaire de Saint Hugues, révèle[144], à la fin du XIIe siècle, l’existence de deux autres paroisses, celle de Saint-Simond avec son église et celle de Saint-Hippolyte[145] avec aussi un petit prieuré. La géographie urbaine commence à s’éclaircir : il faut imaginer la petite bourgade, enserrée dans ses remparts, dont personne ne sait quand ils ont été construits. Le point central de la cité est le prieuré, à proximité de l’ancien temple romain. Ce centre pourrait être aussi le centre administratif puisqu’au moins depuis le XIIIe siècle, Aix est une seigneurie inféodée à la famille de Seyssel, qui y possède un château qui, même si nous ne savons pas le situer avec certitude, était probablement à l’emplacement du château actuel[146]. Deux hameaux sont attestés, Saint-Hippolyte, à proximité immédiate de la ville mais hors les remparts, avec comme centre un petit prieuré et à son côté, actuellement sous la villa Chevalley, une maison forte, dite de Saint-Hippolyte-sur-Aix ou Saint-Paul (Saint-Pol), dépendant de la famille de Savoie que les dernières études datent du XIIIe siècle[147]. Un second village d’importance apparaît, Saint Sigismond[148], doté lui aussi d’une église et d’un cimetière, érigé en paroisse, membre dépendant de Saint Hyppolite.


Les textes laissent supposer l’existence d'autres villages dont la trace n'est certifiée qu’à partir de 1561, lors du dénombrement général de la population pour la gabelle du sel[149]. À cette époque, sur les 1095 habitants d’Aix, 46 % logent dans le bourg ; Saint Simond compte 125 habitants, Puer 91, Choudy 87, Lafin 86, et le reste des hameaux, soit une dizaine, se partagent le reste (Marlioz ayant échappé aux sources)[150]. Cette géographie de l’habitat semble figée jusqu’à la fin du XIXe siècle. L'abbaye voisine d'Hautecombe possédait à Aix un assez grand domaine sur le haut de Saint Simond.


Au début du XVIe siècle, l'antique église Sainte-Marie est victime d'un incendie dévastateur[151]. Pour la reconstruire les Aixois font appel à Claude de Seyssel, un membre de la famille seigneuriale de la ville, élevé à la dignité épiscopale[151]. Il est en effet évêque d'Albi et, surtout, conseiller particulier du roi de France Louis XII. Il est aussi l'auteur d'un certain nombre de traités de droit[151]. Grâce à son appui les De Seyssel font édifier une église collégiale, dotée d'un chapitre de douze chanoines, commandé par un doyen, dont la nomination revient au comte. Une église est édifiée sur la place, voisine du cimetière, et comporte un chœur de style gothique flamboyant. Si le chœur appartient à la collégiale, la nef elle, appartient aux paroissiens et présente un aspect plus sommaire. D'ailleurs la voûte, mal construite, s'écroule en 1644. Parmi les chapelles latérales, l'une est réservée aux De Seyssel d'Aix qui y enterrent leurs morts. La collégiale, devenue entièrement paroissiale après la Révolution, est démolie en 1909, après la construction de la nouvelle église. Cette église était connue pour abriter une relique de la vraie croix, que l'on venait vénérer d'assez loin[152]. C'est aussi à la fin du Moyen Âge que le château seigneurial d'Aix est reconstruit[141]. Le plafond de la grande salle du rez-de-chaussée est daté de 1400, quant à l'escalier d'honneur, il fut construit vers 1590.



Le XVIIIe siècle aixois |


Le 9 avril 1739, un gigantesque incendie se déclare au centre-ville et détruit 80 maisons, soit près de la moitié de la ville[124],[153]. Pour la reconstruction on fait appel aux subsides du roi, qui impose un plan d’alignement dont la réalisation est confiée à l’ingénieur Garella[124]. Ce plan va plus loin qu’un simple plan de reconstruction puisqu’il prévoit un véritable alignement des rues, et impose certaines règles d’urbanisme comme la construction de maisons de deux étages sur rez-de-chaussée ; il interdit également les toits en chaume[124]. Toutefois il est très limité dans son périmètre puisqu’il ne concerne que le quartier incendié, soit la rue principale (rue Albert-Ier), la place centrale (place Carnot) et la rue des Bains.



Photographie en couleurs d'un ancien bassin thermal public.

Un bain thermal conservé au centre des Thermes nationaux.


Au début du XVIIe siècle, les Aixois et le monde médical commencent à être sensibilisés à la valeur des sources d’eau chaude d’Aix, grâce aux célèbres écrits du médecin dauphinois Jean Baptiste Cabias, qui est suivi en ce domaine par d’autres médecins de renommée[154]. En effet, depuis l’antiquité l’exploitation des sources d’eau chaude n’a jamais totalement oubliée. On se baignait à Aix au Moyen Âge[155] et jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, soit dans la seule piscine romaine existant encore, à l’air libre, soit chez l’habitant où l’on se faisait apporter l’eau thermale par porteur. Le roi de France Henri IV passe pour avoir fortement apprécié son bain aixois, selon Jean Baptiste Cabias[156]. En 1737, afin de protéger les eaux thermales des infiltrations d’eau du ruisseau qui traverse la ville, un important chantier est programmé par l’Intendance générale. Cela modifie la distribution urbaine du centre ville, puisqu’il faut creuser un nouveau lit au ruisseau des moulins, à l’extérieur des remparts[157]. Il faut aussi reconstruire les quatre moulins du marquis d’Aix, jusque-là en centre-ville, le long du nouveau canal (actuellement montée des moulins)[158]. C’est au duc de Chablais, fils du roi Victor Amédée III, qu’Aix doit sa renaissance, car c’est lui qui après avoir goûté au bienfait des sources et s’y être trouvé mal logé, suggère au roi la construction d’un établissement thermal[159],[160]. Par billet royal du 11 juin 1776 le roi Victor Amédée III charge le comte de Robiland de dresser les plans d’un établissement de bains. Celui-ci est construit de 1779 à 1783 sous la direction de l’ingénieur Capellini[158]. Cette date marque aussi le début de la démolition de l’ancien centre ville car, à la suite de cette construction imposante, on commence à dégager les alentours des maisons pour créer une place[161]. Ce premier établissement thermal devient un facteur important de développement.


Pendant toute cette période et jusqu’à la Révolution, la ville accueille un nombre à peu près stable d’environ 600 curistes l’an[162], dont une majorité de Français. Consécutivement la population augmente, comme de nombreuses villes à cette époque, avec environ 1700 habitants en 1793[163],[97]. En 1783, pour agrémenter la vie des curistes, le conseil de la commune fait édifier une promenade publique paysagée : le Gigot, actuellement square A.-Boucher[164]. Elle était alors bordée de marronniers et avait été dessinée par l’architecte Louis Lampro. Mise à part les jardins privés, c’est là la naissance du premier acte d’urbanisme concernant les espaces verts, qui donne un coup de pouce au développement de la ville de ce côté des remparts, le long de la route de Genève. En 1792 les troupes révolutionnaires françaises, sous le commandement de Montesquiou, entrent en Savoie[127]. Le thermalisme marque alors le pas[97]. Les thermes sont réquisitionnés par les armées de la République, qui y envoient les soldats blessés en convalescence. Mais c’est par ailleurs une occasion de faire connaître Aix au plus grand nombre. La Révolution aboutie, abolit les privilèges de la noblesse locale, et permet surtout à la ville de ne pas payer au seigneur marquis d’Aix l’importante somme d’argent qu’elle lui doit à la suite du rachat des droits seigneuriaux (la ville n’avait pas de charte de franchise)[127]. En outre la liberté du commerce instaurée donne un nouveau souffle à la création d’une économie basée sur l’exploitation des sources thermales, dès la paix retrouvée. On assiste alors au développement de pensions, d’hôtels, de cabarets et de restaurants entre autres[97]. En revanche, la Révolution laisse ses marques sur les biens d’église : abandon de la collégiale, destruction du clocher et du mobilier d’église.



Carte postale en noir et blanc représentant une rue parcourue par des tramways.

La ville se dota, de 1896 à 1908, du tramway d'Aix-les-Bains, dont on voit ici le cœur du réseau, à la jonction des rues de Genève et du Casino.



Carte postale en noir et blanc représentant un chemin de fer à crémaillère.

La gare du Revard à Aix était l'origine du Chemin de fer du Mont-Revard, qui reliait la ville au Mont Revard de 1882 à 1937, pour être remplacée par un téléphérique.


C’est au bord du lac qu’il faut se déplacer pour trouver la nouveauté[97]. Le petit môle portuaire de Puer, construit sous l’Ancien Régime (1720) devient un véritable port[97]. D’abord fréquenté par les bateaux ravitaillant les troupes de l’Armée des Alpes, doté d’un magasin militaire, il est progressivement aménagé pour l’exportation de marchandises et notamment de la verroterie issue des ateliers installés au bord du lac[97]. Désormais on l’appelle le Port de Puer. Le développement de ce quartier implique la mise en état de « l’avenue du Lac » et toute cette activité attire les premières constructions en alignement le long de cette voie fréquentée, hors du centre et des villages existants[97].



Le XIXe siècle |


Avec l'Empire, le thermalisme redevient important dans la cité thermale. C'est à cette période que des personnalités mondiales viennent à Aix-les-Bains comme la famille Bonaparte. Ainsi, les curistes arrivent en masse avec plus de 1 200 personnes recensées en 1808[97].


Au niveau de l'urbanisme, un plan d'embellissement des rues est adopté le 27 juillet de la même année. Il a pour objectif de « redresser les rues en fonction de l'établissement thermal ». Un itinéraire de délestage est même prévu et de nouveaux axes périphériques sont créés permettant à la ville de s'agrandir à ses extrémités[97].


En octobre 1816, le premier séjour d'Alphonse de Lamartine dans la cité thermale constitue l'un des éléments fondateurs du mouvement artistique le Romantisme[165]. De retour à Aix-les-Bains l'année suivante, il noiera sa solitude en écrivant les premiers vers du poème Le Lac[166].


En 1860, grâce à l'annexion de la Savoie par la France[167], les difficultés douanières qui perturbent l'économie aixoise sont supprimées. En 1866, le château des marquis d'Aix est racheté ce qui permet d'y établir un hôtel de ville[141] ; ainsi, le bâtiment prend une fonction administrative.
La voie ferrée et la construction de la gare, actuellement gare d'Aix-les-Bains-Le Revard, en 1866, transforment d'une manière assez importante le paysage urbain aixois, en le séparant en deux zones bien délimitées. Une nouvelle voie est créée, l'actuelle avenue Charles-de-Gaulle[97].


Grâce aux nombreux aménagements établis par la municipalité, l'économie thermale progresse d'une manière fulgurante. Près de 8 000 curistes sont dénombrés en 1870, environ 14 000 en 1875 et 24 000 dix ans plus tard, en 1885[97]. Le grand Port et les abords du lac deviennent des lieux hautement touristiques à la fin du XIXe siècle[97].
Cet essor économique favorise la création de palace et d'hôtels prestigieux. Vers les années 1880, l'urbanisation avance sur les coteaux d'Aix-les-Bains au détriment des activités agricoles et viticoles[97].


En 1892 est inaugurée par Jules Roche, alors ministre du Commerce et de l'Industrie, la ligne nouvelle du petit train à crémaillère reliant Aix au plateau du Revard[168]. Elle disposait de sept machines permettant de transporter jusqu'à 550 passagers[169]. La ligne a été fermée au transport des voyageurs le 25 octobre 1935 mais a continué en 1936 pour les transport des marchandises et des matériaux utilisés pour la construction du nouveau téléphérique (présentant à l'époque la plus longue portée du Monde[170]) capable de transporter avec deux cabines 40 personnes en 10 minutes d'Aix à la station de montagne du Revard[169]. Victime d'un grave incident mécanique en mai 1968 (qui fort heureusement n'aura causé aucun mort) et faute de moyens financiers, il cesse toute activité en 1969, supplanté par la route[171]. Le Revard demeure néanmoins le deuxième site naturel le plus visité en Savoie[172].



Le XXe siècle, entre guerres et thermalisme |


Durant la Première Guerre mondiale, l'activité économique et thermale de la cité s'éteint et conduit à une diversification des activités vers les années 1920. Une grande usine de constructions électriques est implantée sur Aix en 1921. Après la première guerre, la ville reprend vie et de nouveaux aménagements du territoire sont planifiés. Des logements et des quartiers se développent alors[97].


À la fin des années 1930, la ville se porte candidate pour organiser un « festival des démocraties contre les dictatures », qui deviendra le festival de la ville de Cannes[173].


Puis vient la Seconde Guerre mondiale avec les combats qui débutent dans les Alpes. L'armée italienne, commandée par Umberto de Savoie et le général Alfredo Guzzoni, formée par 22 divisions et 321 000 hommes se lancent sur les secteurs du Petit-Saint-Bernard et du Mont-Cenis[174]. Face à eux, 185 000 hommes du général René Olry réussissent à résister. Dans la vallée, les Allemands passent le Rhône à Culoz et entrent dans Aix-les-Bains, Chambéry n'est pas encore tombée[174]. La signature de l'armistice le 22 juin 1940 met fin aux combats[175]. Mais un second armistice est signé avec l'Italie le 24 juin qui exige l'occupation de la Haute-Tarentaise et la démilitarisation de la frontière[176]. Cette situation va devenir explosive sur tout le département.


Enfin, après les deux guerres, Aix s'oriente de nouveau vers le thermalisme. Elle devient même la première station thermale de France dans les années 1980 avec près de 60 000 curistes[97]. L'aristocratie étant moins présente, la ville attire petit à petit une clientèle de masse et, en conséquence, la plupart des palaces et grands hôtels ferment leurs portes dans les années 1950 et 1960[97]. La population augmente alors fortement et de nouveaux lotissements sont construits durant les Trente Glorieuses notamment[97].



Négociations de l'indépendance du Maroc |



Photographie en couleurs d'une fontaine dans un espace vert public.

La fontaine marocaine d'Aix-les-Bains.


Les négociations concernant l'indépendance du Maroc se sont déroulées à Aix-les-Bains[177]. Lors de la conférence de septembre 1955[178], le président du Conseil français, en la personne d'Edgar Faure, résuma publiquement, le compromis proposé au Maroc, selon l'expression « L'indépendance dans l'interdépendance ». Jusqu'alors, le territoire marocain était juridiquement sous protectorat français et avait pour sultan l'exilé Mohammed Ben Youssef. Les négociations furent organisées en la présence de nombreuses personnalités et organisations françaises et marocaines[178]. Prenaient place à la table des pourparlers du côté marocain le Parti pour la Démocratie et l'Indépendance (P.D.I.) ainsi que le parti de l'Istiqlal, représenté notamment par Mehdi Ben Barka, Omar Benabdejlil, Abdelhadi Boutaleb, Abderrahim Bouabid ou encore M'Hamed Boucetta[178]. Du côté français, on trouva une délégation française composée d'Edgar Faure, Pierre July, Robert Schuman ainsi que d'autres membres du gouvernement[178].


Bien que ces négociations organisées à Aix-les-Bains aient joué un rôle important dans la marche vers l'indépendance du Maroc, il n'en demeure pas moins que la France avait, au préalable, pris soin de préparer en grande partie cette transition. En effet, l'État français d'alors était convaincu de la nécessité de permettre l'indépendance à ce territoire nord-africain. Officiellement, les négociations permirent de dégager un accord en vue de donner naissance à un État indépendant. Le Maroc fut définitivement proclamé indépendant lors de la déclaration de la Celle Saint-Cloud le 6 novembre 1955[179].


En 2005, à l'occasion du cinquantenaire de la négociation des accords de l’Indépendance du Maroc, une fontaine fut construite, avec un bassin en zellige marocain[180],[181]. Des mâalems-artisans sont venus tout spécialement de leur capitale spirituelle pour réaliser cet ouvrage dans le parc floral des Thermes[182]. Le projet a été pris en charge par le conseil régional du tourisme de la ville de Fès (CRT-Fès) et l’office du tourisme.


En 2016, pour fêter le 60e anniversaire de l’indépendance du Maroc, la ville accueille les « Journées franco marocaines Auvergne Rhône-Alpes ». Ainsi, pendant deux semaines consécutives, un village marocain est installé autour de la fontaine au centre du parc floral[183]. Deux personnalités marocaines ont lancé les festivités : Fatema Marouane, ministre de l’artisanat, de l’économie sociale et solidaire ainsi que Lahcen Haddad, ministre du tourisme[183]. Diverses animations, voire des cérémonies, sont programmées sur l'échéance des quinze jours sur la cité thermale[183].



Le vignoble aixois : vitiferae Aquae (« Aix la vineuse ») |


Considéré comme « l'autre symbole » d'Aix-les-Bains, « d'une valeur exceptionnelle », dans la dernière publication de l'historien Johannès Pallière[184], le vignoble serait présent depuis l'Antiquité dans la plaine alluviale aixoise[184]. Il a occupé certains secteurs d'Aix-les-Bains jusqu'au XXe siècle[184]. Son extension était considérable, notamment sur les coteaux exposés[184],[185]. Les vignes côtoyaient alors les champs de griottes (d'où le secteur des Griattes, Chantemerle-Saint-Pol, aujourd'hui), d'érables ou bien de figuiers et d'amandiers et ce, jusqu'aux abords de l'actuel centre-ville[184]. Lamartine comparait, en 1849, la robustesse des vignes situées près du Pont-Rouge à celle des « lianes d'Amérique »[184]. C'est dans le troisième quart du 19e siècle que l'essor du vignoble a été atteint[184]. En effet, en 1874, plus de 80 % des producteurs aixois pratiquent la viticulture et la production avoisine alors les 8 500 hl[184]. Toutefois, la mainmise de plus en plus forte du thermalisme a progressivement contribué au retrait des vignes[184]. Dès lors, des villas s'installèrent à la fin du 19e sur d'anciennes propriétés viticoles des hauteurs d'Aix-les-Bains[184].



Politique et administration |



Photographie en couleur d'un hôtel de ville en travaux.

L'hôtel de ville d'Aix (en travaux).


À partir des élections départementales de 2015, la ville d'Aix-les-Bains est divisée en deux cantons, tous deux regroupant d'autres communes. Il s'agit du canton d'Aix-les-Bains-1 et le canton d'Aix-les-Bains-2[186].


Concernant la circonscription législative dont dépendent les Aixois, il s'agit de la Première circonscription de la Savoie[187]. Celle-ci étant délimitée par le découpage électoral de la loi no 86-1197 du 24 novembre 1986[188], elle regroupe les divisions administratives suivantes : cantons d'Aix-les-Bains-1, Aix-les-Bains-2, La Motte-Servolex et Le Pont-de-Beauvoisin (en partie).




Services publics et administratifs |


Aix-les-Bains abrite plusieurs administrations et services publics sur son territoire : un bureau de poste[189], un commissariat de police nationale[190], une police municipale[191], une gendarmerie, une agence nationale pour l'emploi (Pôle emploi)[192], un centre de finances publiques[193], un refuge animalier : « Amis des Bêtes »[194], une maison des associations qui n'en regroupe pas moins de 280[195],[196], un centre communal d'action sociale[197], un centre de sécurité sociale : la « Caisse Primaire d'Assurance Maladie »[198] et une gare. Grand Lac est établie à Aix-les-Bains[199].


La mairie d'Aix-les-Bains a mis en place trois antennes de ville. On trouve l'antenne du Sierroz, l'antenne de Marlioz et enfin l'antenne de la Liberté[200]. Il s'agit de relais pour les principaux services de la ville. On peut ainsi y effectuer de nombreuses démarches administratives mais aussi des demandes d'appui et d'informations. Ces antennes sont compétentes, entre autres, en matière d'orientation pour les questions d’emploi, d’accompagnement des projets portés par les habitants (essentiellement issus du tissu associatif), de santé, de droit, de logement, de culture, d'éducation et de loisirs. Ces structures locales décentralisées permettent la diffusion d'informations sur les projets municipaux en cours ainsi que les futurs projets envisagés où les habitants peuvent, le cas échéant, lorsque cela leur est demandé de pouvoir exprimer leur avis[200].



Tendances politiques |


Article connexe : Élections municipales de 2014 en Savoie.

Politiquement, Aix-les-Bains est une ville de droite, les électeurs ayant voté majoritairement à droite pour les élections municipales depuis 1979. L'ancien maire de la commune de 1985 à 2001, Gratien Ferrari[201], bien qu'ayant été élu sous une étiquette centriste avait succédé au maire sortant, André Grosjean[202], dont il fut l'un des conseillers majoritaires du même conseil municipal. De même, Robert Barrier était un homme du centre-droit. Pourtant, dans les années 1920-1930, la ville était le bastion de la Gauche en Savoie, portée par les ouvriers du bassin aixois.



Résultats |


Article détaillé : Résultats des élections à Aix-les-Bains.

Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Aixois ont majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 53,55 % de votes en faveur contre 46,45 % avec un taux d’abstention de 34,97 %[203]. Ces chiffres ne sont pas conformes à la tendance nationale, celle-ci se trouvant en opposition. Ce vote démontre le caractère privilégié des habitants de la ville par rapport au reste des départements ruraux ou comportant des bassins ouvriers importants, l'électorat ayant choisi le vote positif étant, selon les analystes politiques, le fait d'une population plus privilégiée économiquement et d'un plus haut niveau d'éducation[203].


À l’élection présidentielle française de 2007, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 37,8 % soit 5 904 voix, suivi de François Bayrou avec 20,64 % soit 3 286 voix, suivi de Ségolène Royal avec 20,24 % soit 3 223 voix, et enfin de Jean-Marie Le Pen avec 10,92 % soit 1 739 voix, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %[204]. Au second tour, les électeurs ont voté à 61,56 % soit 9 434 voix pour Nicolas Sarkozy contre 38,44 % soit 5 890 voix pour Ségolène Royal, résultat davantage à droite par rapport à la moyenne nationale qui fut, au second tour, de 53,06 % pour Nicolas Sarkozy et 46,94 % pour Ségolène Royal[204]. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été très élevé. On compte 19 774 inscrits sur les listes électorales aixoises, 81,18 % soit 16 053 voix ont participé aux votes, le taux d’abstention fut de 18,82 % soit 3 721 voix, 4,54 % soit 729 voix ont effectué un vote blanc ou nul et enfin 95,46 % soit 15 324 voix se sont exprimées[204].


Aux élections régionales de 2010, c'est le rassemblement de la gauche et des écologistes qui fut en tête (43,3 %) devant l'UMP (40,5 %) et le FN (16,2 %). L'abstention fut forte avec 54,2 % de non votants[205].


Aux élections départementales de 2015, lors du second tour, c'est Renaud Beretti et Marina Ferrari, sous l'étiquette « UMP », qui ont été élus avec 72,28 % des suffrages exprimés. Ils étaient opposés au binôme « front national » conduit par Serge Gathier et Julienne Gourdelier qui a obtenu le score de 27,72 %. Le taux d'abstention fut de 54,81 %[206].


Lors du second tour de l'élection régionale de 2015 en Auvergne-Rhône-Alpes, une triangulaire avait partagé trois listes de candidats[207]. Sur Aix-les-Bains, la liste menée par Laurent Wauquiez (LR) a obtenu le plus de voix[207]. Au niveau départemental et régional, c'est également la liste d'union de la droite conduite par Laurent Wauquiez qui a recueilli le plus de voix avec respectivement 38,75 % et 40,61 %[208],[209].


À l'élection présidentielle française de 2017, au premier tour, François Fillon (LR) avec 26,71 %, soit 4 280 voix, est arrivé en tête, suivi par Emmanuel Macron (EM) avec 24,98 %, soit 4 003 voix[210]. Ensuite, Marine Le Pen (FN) avec 18,52 %, soit 2 968 voix, termine troisième[210]. Jean-Luc Mélenchon (FI), en quatrième position, obtient un score de 16,21 % (2 598 voix)[210]. Enfin Benoît Hamon (PS) termine avec 5,02 % (804 votes)[210]. Les autres candidats n’obtiennent pas un score supérieur à 5 % sur la ville[210]. Le taux d'abstention, pour ce premier tour, s'élève à 23,90 %[210]. Au second tour, Emmanuel Macron arrive en tête avec un résultat de 68,94 %, soit 9 626 voix, face à Marine Le Pen avec 31,06 % (4 336 voix)[211]. Le taux d'abstention s'élève alors à 26,62 %[211].



Administration municipale |


Le conseil municipal aixois, ainsi que l'équipe municipale, est composé d'un maire, de dix maires-adjoints, sept conseillers délégués et sept autres chargés de missions auprès des maires-adjoints. Six sièges du conseil municipal sont pourvus par les élus de la liste Aix de tout cœur (SE) et ceux de la liste Aix avenir (DVG). Dans une plus large mesure on peut également compter un certain nombre aléatoire de délégués du conseil municipal auprès des organismes publics.


Lors des élections municipales de mars 2008, le taux de participation, du premier et unique tour, fut faible avec seulement 58,75 % de votants[212]. Sur les 20 247 inscrits sur listes électorales, 11 895 aixois ont voté et 11 453 électeurs se sont exprimés. Le maire sortant Dominique Dord, tête de la liste Une ville d'avance, a été réélu avec une majorité absolue de 62,27 %, soit 7 132 voix. Il fut suivi du divers gauche Fabrice Maucci, tête de la liste Aix avenir:durable, solidaire, exemplaire, qui a recueilli 28,12 % des suffrages, soit 3 221 voix. Et enfin en troisième position, l'ancien maire aixois UDF Gratien Ferrari, tête de la liste Aix de tout cœur, s'étant présenté sans étiquette, obtient 9,6 %, soit 1 100 voix[212].


Aux élections municipales de mars 2014, Dominique Dord (UMP) a été réélu au premier tour avec 59,71 % des voix. Il était opposé à 3 autres candidats : Véronique Drapeau (FN) qui termine avec 15,33 %, André Gimenez (DVG) avec 12,98 % et Fabrice Maucci (FG) avec 11,96 %[213].


Dominique Dord annonce qu'il démissionne de son mandat de maire le 3 octobre 2018, lors d'une conférence de presse : « Je suis maire depuis 18 ans, il faut une équipe plus jeune qui puisse se projeter sur les vingt ans à venir », déclare-t-il[214]. Le Préfet de la Savoie accepte la démission deux jours plus tard, le 5 octobre[215]. Son premier adjoint, Renaud Beretti, est élu maire lors d'un conseil municipal extraordinaire, le 17 octobre[216].



Liste des maires |


Article connexe : Liste des maires d'Aix-les-Bains.

Depuis 1956, six maires se sont succédé[217] :






























































Liste des maires depuis 1956
Période
Identité
Étiquette
Qualité
janvier 1956
1963
Lucien Spycher

Réélu en 1959, démissionne avant la fin de son mandat.
janvier 1963
1969
Edouard Dorges

Réélu en 1965, démissionne avant la fin de son mandat.
1969
1985

André Grosjean

RPR
Industriel, conseiller général. Réélu en 1971, 1977, 1983, rendu inéligible.
mars 1985
mars 1995

Gratien Ferrari

UDF-AD
Principal de collège, député de la 1re circonscription de la Savoie. Réélu en 1989.
mars 1995
mars 2001

André Grosjean

RPR
Retraité, conseiller général.
mars 2001
octobre 2018

Dominique Dord

UMP

LR


Député de la 1re circonscription de la Savoie (1997-2017). Réélu en 2008 et 2014. Démissionnaire en octobre 2018[218].
17 octobre 2018
En cours
(au octobre 2018)
Renaud Beretti

LR
Conseiller départemental de la Savoie.
Vice-président délégué à la culture et au patrimoine au conseil départemental de la Savoie.
Vice-président de l'agglomération Grand Lac.
Président de la fédération Les Républicains de la Savoie.



Instances judiciaires |



Photographie en couleur d'une place publique avec un bâtiment.

Le palais de justice de Chambéry.


La ville d'Aix-les-Bains dispose de quelques instances judiciaires. Un conseil de prud'hommes une maison de la justice et du droit sont recensés[219],[220]. Pour ce qui est des autres instances judiciaires, le bassin aixois dépend de la ville de Chambéry[221]. Suivant le découpage judiciaire, Aix-les-Bains est dépendante de la cour d'appel de Chambéry, du tribunal de grande instance de Chambéry, du Tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Chambéry, du Tribunal des affaires de la Sécurité Sociale de la Savoie et de la Chambre des Avoués près la cour d'appel de Chambéry[221].



Politique de développement durable |


Grand Lac gère la politique environnementale sur Aix-les-Bains et les communes alentours.



Agenda 21 et démarche « Zéro pesticide » |


La ville s'est tournée vers le développement durable. Elle a lancé sa démarche d'Agenda 21 en 2002[222]. Cette démarche a conduit à la rédaction et à l'approbation, en mai 2006, de l'Agenda 21. La ville ne publie pas d'indicateurs de suivi des actions de son Agenda 21.
Aix-les-Bains est par ailleurs la première ville de Savoie à se lancer dans la lutte intégrée en 2006[223],[224]. La démarche « Zéro pesticide » est également appliquée sur l'ensemble du territoire communal[225].



Eau et assainissement |


Concernant le lac du Bourget, la qualité de l'eau s'était progressivement dégradée pour aboutir dans les années 1950 à 1970 à un phénomène majeur d'eutrophisation, car le lac à l'époque était le déversoir naturel de toutes les canalisations d'égouts, avec en particulier, celles de Chambéry et d'Aix-les-Bains[226].


Aix-les-Bains est alimentée en eau potable par quatre ressources, dont deux principales : le pompage de l'eau du lac à Mémard et le pompage dans la nappe du Sierroz puis, si nécessaire, la source de la Monderesse à Cusy et le trop-plein de la source du Meunaz (premières hauteurs du mont Revard)[227],[228]. L'eau est ensuite traitée par l'usine de production de Mémard avec un traitement physico-chimique pour les deux premières ressources et par un traitement au chlore gazeux pour les deux sources complémentaires[228].


Précisons que l'eau du lac est captée à une profondeur d'environ trente mètres à trois endroits différents dans le lac : Mémard (Aix), Tresserve et vers l'abbaye de Hautecombe[228]. Chaque année, environ 2,5 millions de mètres cubes d'eau potable sont prélevés du lac pour desservir au maximum 80 000 personnes[228].


En 2017, l'eau potable est bonne sur l'ensemble de la ville même si sa gestion doit être suivie[228]. En effet, depuis 1998, une cyanobactérie (une espèce d'algue rouge) est présente dans les eaux du lac pendant plusieurs mois, la durée pouvant varier suivant les conditions climatiques. Cette dernière rend impossible le pompage d'eau dans le lac[228]. La nappe phréatique du Sierroz devient alors la principale ressource[228].


Par ailleurs, des stations services de traitement d'eau ont été implantées en Savoie et notamment à Aix-les-Bains[229]. Les rivières comme le Tillet ou encore le Sierroz ont ainsi été assainis, améliorant au passage la qualité des eaux du lac et la régénération des espèces aquatiques.


Le réseau d'eau potable de la ville est géré depuis 1988 par la SAUR, dans le cadre d'une délégation de service public conclue pour une durée de 30 ans. En 2015, 100 % des prélèvements réalisés dans le cadre du contrôle sanitaires étaient conformes aux normes en vigueur[230]. Si l'eau potable d'Aix-les-Bains est donc de bonne qualité, les performances du réseau d'adduction restent nettement insuffisantes. Fin 2015, le rendement du réseau était de 60,6 % (en recul par rapport à 2014 où il était de 61,2 %), soit 39,4 % de fuites[230].


Grand Lac s'occupe depuis le 1er janvier 2017 de la gestion généralisée de l'eau potable[228]. Les communes ne s'occupent donc plus de cette compétence[228]. Dans un délai de dix ans à compter de 2017, un tarif unique sera instauré pour tous les habitants de agglomération[228].



Photographie en couleurs de deux poubelles destinées au tri des déchets ménagers.

Des poubelles de tri sélectif dans un quartier d'Aix-les-Bains.



Déchets ménagers |


Pour le traitement des ordures ménagères, des poubelles roulantes et des conteneurs fixes collectifs sont mis en place par la communauté d'agglomération dans toutes les voies de la ville[231]. Par ailleurs, des conteneurs plus importants verts, bleus et jaunes pour le verre, les journaux-revues-magazines et les plastiques sont disposés sur divers endroits du territoire communal, en moyenne par zones de 500 habitants[232]. Une collecte des déchets encombrants est réalisée tous les mois par la communauté d'agglomération[233]. Enfin, les Aixois ont accès aux déchetteries de Drumettaz-Clarafond ou de Grésy-sur-Aix, aux limites sud et nord de la commune[234].



Finances locales |



Capacité d'autofinancement |


Le tableau ci-dessous présente l'évolution de la capacité d'autofinancement d'Aix-les-Bains, sur une période de onze ans[235] :




















































Capacité d'autofinancement (CAF) à Aix-les-Bains de 2004 à 2013
Résultats exprimés en €/habitant.

2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
Aix-les-Bains
259
212
166
180
201
227
227
241
222
178
103
256
Moyenne de la strate
160
152
148
141
133
142
171
186
180
172
152
176





CAF d'Aix-les-Bains CAF moyenne de la strate



Comparée à la moyenne de la strate, la capacité d'autofinancement d'Aix-les-Bains observe un profil globalement supérieur à la moyenne de la strate. On note malgré tout une inversion de la tendance pour 2014.



Impôts locaux |


Le tableau ci-dessous présente l'évolution des trois impôts locaux d'Aix-les-Bains (taxe d'habitation, taxe foncière, taxe sur le foncier non bâti), entre 2000 et 2015[236] :































































Impôts locaux à Aix-les-Bains de 2000 à 2015
Résultats exprimés en €/habitant.

2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
Aix-les-Bains
563
560
460 
475
473
483
497
515
528
511
533
571
593
599
595
611
Moyenne de la strate
645
633
371
393
405
419
437
451
467
482
506
525
540
556 
566 
582





Impôts locaux Aix-les-Bains Impôts locaux Moyenne de la strate



Comparés à la moyenne de la strate, les impôts locaux d'Aix-les-Bains observent un profil inférieur à la moyenne de la strate jusqu'en 2001. Depuis 2002, ils sont supérieurs à la moyenne de la strate.


Les aixois doivent par ailleurs s'acquitter d'un impôt local supplémentaire : la surtaxe sur la consommation d'eau, dont le montant est de 0,52 €/m3 en 2016[237]. Cette compétence est transférée à Grand Lac en 2017[238].



Autres indicateurs financiers |


Par ailleurs, le fonds de roulement reste positif sur l'ensemble de la période et même assez largement supérieur à la moyenne de la strate[236].


D'autre part, le montant de l'endettement par habitant au 31 décembre 2015 est de 1 450 , ce qui est au-dessus de la moyenne de la strate qui est de 1 109 [236].



Jumelages |


La ville d'Aix-les-Bains est jumelée avec trois villes étrangères[239],[240] :




  • Drapeau de l'Italie Milena (Italie) ;


  • Drapeau du Maroc Moulay Yacoub (Maroc) ;


  • Drapeau du Canada Rosemère (Canada).



Population et société |



Démographie |


Aix-les-Bains compte près de 30 000 habitants, ce qui en fait la deuxième ville la plus peuplée de son département[241]. On peut même préciser que les aixois représentent près de 7 % de la population savoyarde[Note 3].


Sur la population totale aixoise, on compte 46,6 % d'hommes ce qui est proche de la moyenne nationale de 48,6 %[100].


Les relevés démographiques montrent une augmentation franche et régulière de la population aixoise, tout comme son département en moyenne[100].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[242],[Note 4].



En 2016, la commune comptait 29 799 habitants[Note 5], en augmentation de 4,25 % par rapport à 2011 (Savoie : +2,56 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 415 1 596 2 018 2 813 3 556 3 850 4 116 4 253 4 373



























1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
4 182 4 399 4 741 5 580 6 296 8 328 8 120 8 679 8 934



























1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
8 764 11 563 13 020 12 889 14 556 15 680 18 132 20 627 22 210



























1982 1990 1999 2006 2011 2016 - - -
23 451 24 683 25 782 27 375 28 585 29 799 - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[243] puis Insee à partir de 2006[244].)



Histogramme de l'évolution démographique




En 2012, la ville se trouve au 283e rang national[245]. Sa croissance est en constante augmentation. Son solde migratoire pour la période 1999-2006 fut positif puisqu'il a été évalué à 1 025 habitants[246].










































Soldes de variation annuelle de la population d'Aix-les-Bains exprimés en pourcentages[100].

1968 - 1975
1975 - 1982
1982 - 1990
1990 - 1999
1999 - 2009
2009 - 2014
Taux de variation annuel de la population

Augmentation 1,1 %

Augmentation 0,8 %

Augmentation 0,6 %

Augmentation 0,5 %

Augmentation 0,6 %

Augmentation 2,5 %

Solde naturel
+ 0,4 %
+ 0,1 %
+ 0,2 %
+ 0,2 %
0,0 %
- 0,0 %

Solde migratoire
+ 0,6 %
+ 0,6 %
+ 0,4 %
+ 0,3 %
+ 0,5 %
+ 2,5 %


Pyramide des âges |


Évolution de la pyramide des âges de la ville d'Aix-les-Bains et de la Savoie en 2013[100],[247] :


















































Pyramide des âges à Aix-les-Bains en 2013 en nombre d'individus.
Hommes Classe d’âge Femmes


149 

90 ou plus

345 



1 382 

75 à 89

2 375 



2 315 

60 à 74

2 938 



2 590 

45 à 59

2 837 



2 615 

30 à 44

2 621 



2 447 

15 à 29

2 483 



2 383 

0 à 14

2 100 















































Pyramide des âges en Savoie en 2013 en nombre d'individus.
Hommes Classe d’âge Femmes


1 149 

90 ou plus

2 986 



13 634 

75 à 89

21 018 



30 687 

60 à 74

33 791 



43 798 

45 à 59

44 046 



42 349 

30 à 44

41 742 



36 785 

15 à 29

34 891 



39 394 

0 à 14

37 447 




Taille des ménages |


Voici ci-dessous, l'évolution de la taille des ménages aixois[100].



























Les ménages d'Aix-les-Bains
Années
1968
1975
1982
1990
1999
2008
2013

Nombre moyen d'occupants par résidence principale
3,2
3,0
2,7
2,5
2,4
2,3
2,2
Sources des données : INSEE


Enseignement |



Primaire |



vue en couleurs d'un bâtiment scolaire.

L'école primaire de Boncelin (vue sur le bâtiment de la maternelle).


Aix-les-Bains met à disposition des habitants de la ville plusieurs équipements scolaires dont dix-sept écoles[248]. Entre autres, six sont des écoles maternelles, six des écoles élémentaires et cinq des écoles primaires maternelles et élémentaires. Deux de ces écoles primaires sont sous enseignement privé sous contrat[248]. Les écoles publiques accueillent environ 2 200 écoliers[249]. Entre autres, on trouve ainsi sur la commune les écoles publiques du Centre, Franklin-Roosevelt, la Liberté, Lafin, Sierroz, Marlioz, Saint-Simond et l'école primaire publique Boncelin[248]. Dans le secteur privé mais sous contrat, on peut citer les écoles Lamartine et Saint-Joseph[248].


Par ailleurs, l'école maternelle du centre a reçu une distinction particulière : le « Trophée 2015 Bâtiment Santé »[250]. Cette récompense est le fruit d'un important chantier mené par la ville mêlant qualité de vie des enfants et enjeux sanitaires, énergétiques et environnementaux[250].



Secondaire |


La commune dispose de trois collèges publics, que sont Garibaldi, Jean-Jacques-Perret, Marlioz[251]. Elle compte deux collèges privés sous contrat à savoir le collège catholique Lamartine et le collège Talmudique[248].


Aix-les-Bains ne possède qu'un seul lycée général, technologique et professionnel public : le lycée polyvalent Marlioz.



Photographie en couleurs d'un établissement scolaire et de groupes d'élèves à son entrée.

Le lycée polyvalent Marlioz situé à l'extrême sud de la ville.


Ce dernier offre certaines formations post-secondaires (baccalauréats professionnels, BTS notariat ou commerce)[248]. Il accueille 1 211 élèves pour l'année scolaire 2016-2017[252]. Par ailleurs, le taux de réussite au baccalauréat en 2017 s'élevait à 96,8 % (+0,8 % par rapport à 2016)[253],[254], toutes filières confondues, pour un résultat de 87,9 % au niveau national[255].
Deux autres lycées privés et sous contrat sont également présents à savoir le lycée général Talmudique et le lycée général Tomer-Deborah[248].


La ville accueille également d'autres établissements de formation. On peut par exemple citer la présence depuis 2006 de l'école privée supérieure « Peyreffite esthétique » implantée dans les thermes nationaux d'Aix-les-Bains[251],[256].



Manifestations culturelles et festivités |



Vue sur une étendue publique avec des attractions foraines.

La fête foraine Méga Park au printemps 2017.


De nombreuses manifestations rythment la cité thermale, notamment lors de la saison estivale et touristique. En effet, on retrouve des spectacles de musique, des conférences, des visites et expositions, des compétitions sportives ou des fêtes et autres animations[257].


Entre la fin du mois de mars et le début du mois de mai, le fête foraine Méga Park s'installe sur l'esplanade du Lac[258]. Implantée pendant plus d'un mois, elle propose, entre autres, manèges et autres attractions telles que la grande roue en 2016[258].



Photographie en couleurs montrant des individus déguisés ; lac en arrière-plan.

Le carnaval vénitien d'Aix-les-Bains en 2016.


Par ailleurs, le carnaval vénitien s'installe un week-end, généralement au début du printemps, avec notamment plusieurs dizaines de personnages costumés dans la ville, comme en 2016 pour la 5e édition, où environ 70 personnages ont déambulé dans différents lieux de la cité thermale[259],[260].


On retrouve également des festivals tels que celui de l'Opérette d'Aix-les-Bains lui aussi en juillet, le festival des Nuits Romantiques du lac du Bourget en octobre ou le festival international d'Aix-les-Bains de Scrabble francophone qui accueille environ 2 000 scrabbleurs venant des fédérations française, belge, suisse, sénégalaise et tunisienne principalement entre octobre et novembre, se produisent chaque année sur la ville[261],[262],[263].


Durant tout l'été, d'autres événements ont également lieu dans le bassin aixois tels que des concerts gratuits dans le centre-ville ponctués de feux d'artifices et de courses hippiques nationales sur l'hippodrome départemental d'Aix-les-Bains[257].



Festival Musilac |


Article détaillé : Musilac.


Photographie en couleurs d'une scène et du public d'un concert en plein air.

Le festival national de Musilac.


Le festival de musique Musilac s'installe depuis 2002 sur l'esplanade du lac pendant trois à quatre jours au milieu du mois de juillet. Il s'agit du plus grand événement pop-rock de la région Auvergne-Rhône-Alpes[264] ; celui-ci accueille jusqu'à 30 000 personnes par soirée. Lors de l'édition de 2016, 110 000 festivaliers ont été recensés sur le site[265]. Des artistes de la scène musicale française et internationale s'y produisent sur deux voire trois scènes. De nombreuses stars sont passées par Musilac comme, entre autres, Indochine, Mika, Stromae, David Guetta, Muse ou bien Elton John[266].




Santé |


Aix les Bains est la première ville thermale de France à faire partie des 84 villes et structures intercommunales du réseau français des Villes-Santé OMS. Cela implique une adhésion pour la municipalité à la doctrine de l'OMS Santé pour tous[267]. L'association du réseau français des Villes-Santé de l'OMS a été créée en 1990, la commune y a adhéré en 2008[268].



Vue sur un bâtiment hospitalier d'Aix-les-Bains.

Urgences de l'hôpital général d'Aix-les-Bains.


On recense sur la commune deux hôpitaux dont le principal étant l'hôpital général d'Aix-les-Bains. Ce centre hospitalier comporte de nombreux équipements tels plusieurs blocs opératoires, des scanners, des laboratoires d'analyses ainsi que la présence d'une IRM[269],[270]. L'hôpital a enregistré 15 455 passages au service des urgences en 2013[269]. Celui-ci a par ailleurs fusionné avec le centre hospitalier de Chambéry au début de l'année 2015[271]. Le centre d'appelle désormais le centre hospitalier Métropole Savoie[272]. La cause du regroupement serait la fragilité des services présents à l'hôpital d'Aix-les-Bains[271]. En effet, le centre avait fermé plusieurs services dont celui de la maternité en 2010[273]. Selon les journalistes, « la responsabilité en reviendrait à l'ancienne direction qui n'aurait pas assez anticipé les besoins actuels. »[271].



Photographie en couleurs montrant l'entrée d'un hôpital.

L'hôpital de la Reine Hortense.


Le second hôpital public, situé à seulement quelques mètres des anciens thermes nationaux, est celui de la Reine Hortense[274]. Cet hôpital sert principalement aux petites urgences ainsi qu'aux convalescenses[274]. Le centre hospitalier possède tout de même des services en rhumatologie ainsi qu'en rééducation[275]. De plus, un scanner est recensé ainsi que des salles de radiologie[275].


Une clinique privée est également implantée sur les hauteurs de la ville ; il s'agit de la clinique Herbert inaugurée le 7 novembre 1980[276]. Avec une capacité de 91 places d'hospitalisation en chirurgie, dont 78 en hospitalisation complète ou d'une semaine, la clinique est spécialisée, depuis le 6 septembre 2010, en chirurgie du rachis, en ophtalmologie, en orthopédie ainsi qu'en traumatologie[276],[277]. En octobre 2017, à la suite de difficultés, elle abandonne le groupe Ramsay Générale de Santé pour conclure un partenariat avec le centre hospitalier Métropole Savoie[278].


On recense environ plus d'une quarantaine de médecins généralistes dans la ville[279]. La commune d'Aix-les-Bains correspond au « Bassin 73008 : Aix-les-Bains », soit une seule commune[280]. La desserte médicale est estimée en septembre 2012 à un médecin généraliste pour 964 habitants[280].


Près du lac du Bourget, on trouve également le centre de réadaptation fonctionnelle et de soins Gustav-Zander, nommé localement Zander[281]. Ce dernier est une clinique privée indépendante[282]. Le centre est spécialisé en rééducation fonctionnelle et réadaptation motrice, traumatologique, orthopédique, neurologique et cardiovasculaire[282]. Le lieu accueille plus de 1 000 patients par an ; la durée moyenne des séjours étant d'environ un mois[282]. En 2008, après d'importants travaux, la clinique a augmenté sa capacité d'hébergement à 110 lits et places ; la surface totale avoisinant alors les 6 000 m2[282].


Station thermale depuis de nombreux siècles, Aix-les-Bains possède deux établissements thermaux[283]. Les Thermes Chevalley, situés sur les premières hauteurs de la ville, spécialisés en rhumatologie et phlébologie et les Thermes de Marlioz, spécialisés dans les maladies des voies respiratoires et affections ORL, sont ainsi recensés[283].



Sécurité |


Selon une étude réalisée par Le Figaro, Aix-les-Bains se situe légèrement en dessous de la moyenne nationale du taux de violence pour 1 000 habitants avec 5,9 %[284].


Par ailleurs, depuis 2013, la municipalité a mis en place un système de vidéosurveillance sur des lieux stratégiques, comme le centre-ville[285]. En 2015, les caméras de surveillance sont au nombre de 28[285]. Début novembre 2016, leur nombre a quadruplé : 118 caméras sont en fonction sur la ville. Entre autres, une vingtaine de caméras a été installée dans les écoles publiques d'Aix-les-Bains pour fonctionner dès la rentrée des vacances de la Toussaint, sous réserve d'accord de la Préfecture de Savoie[286]. Selon les derniers calculs, les caméras pourraient atteindre la barre des 170 au cours de l'été 2017 avec leur déploiement dans les équipements sportifs communaux[286].


Pour lutter contre les incivilités imputées aux sans-abri dans certains secteurs du centre-ville, un arrêté « anti-mendicité » est instauré en 2016 par la ville d'Aix-les-Bains[287]. Cet arrêté, signé en novembre 2015, serait le premier du genre en Savoie[288]. Des perturbations sonores et visuelles sont également constatées au parc floral des Thermes où une brigade verte est instaurée depuis le printemps 2016[288].


Dans un entretien réalisé par Le Dauphiné en février 2017, Renaud Beretti, premier adjoint chargé de la sécurité, déplore la création potentielle d'un « climat d'inquiétude » à la suite de quelques faits divers sur la commune[289]. Ce dernier précise que « cette hausse de la délinquance est le reflet de l'évolution de notre société et [que] Aix n'y échappe pas ». Il souhaite renforcer la présence policière et tisser un lien social plus fort en insérant du personnel municipal et des services de proximité dans les espaces concernés[289]. Il évoque par ailleurs l'installation de nouvelles caméras de surveillance[289].


La police municipale aixoise sera armée de revolvers et de flash-ball dès l'automne 2017[289].



Plan Vigipirate |



Photographie en couleurs de véhicules stationnés sur un place publique.

Véhicules de l'opération Sentinelle stationnés sur la place Maurice-Mollard fin juin 2016.


À la suite des attentats de janvier 2015, la ville accueille des renforts militaires dans le cadre de l'opération Sentinelle, dont une centaine de chasseurs alpins du 27e bataillon[290].


Aix-les-Bains abritant une communauté juive importante[291],[292], la sécurité est donc maximale aux abords des zones sensibles, tels que les lieux de culte ou bien les écoles[293].



Incendie |


On recense plus de 300 hydrants (bouches et poteaux d'incendie notamment) répartis sur l'ensemble du territoire de la commune d'Aix-les-Bains[294].


Une caserne de pompiers est présente pour Aix-les-Bains et ses communes voisines : il s'agit du centre de secours principal (CSP) de la « compagnie bassin opérationnel Aix-Chautagne »[295]. Cette caserne est implantée à l'extrême nord d'Aix, sur le territoire administratif de la commune de Grésy-sur-Aix (bien que celle-ci soit très fréquemment située par les habitants de l'agglomération sur la ville d'Aix-les-Bains[296],[297]).



Sports et loisirs |




La navigation sur le lac.


Aix-les-Bains est une ville très active dans le domaine sportif. Plus d'une personne sur trois, soit environ 10 500 personnes, est titulaire d'une licence sportive dans un club de sport aixois en 2016 selon L'Essor Savoyard[298]. La ville a par ailleurs été retenue parmi les cinq premières au classement final du titre de la ville la plus sportive de France[299]. On dénombre près de 70 associations en rapport direct avec le sport[300],[299]. Par ailleurs, selon un classement réalisé par Les Échos en 2015, la zone de Chambéry/Aix-les-Bains est classée 1re de France pour son nombre de licences sportives[2].



Vue en couleurs sur une plage en bordure d'une étendue d'eau.

La plage municipale.


Le lac du Bourget, qui borde le flanc ouest de la ville, permet la pratique d'activités de plaisance. La ville possède quelques plages comme celle d'Aix (plage municipale), surveillée et payante en période estivale[301], ou bien celle du Rowing ou de Mémard[302]. Par ailleurs, on recense un centre nautique : Aqualac[303]. Géré par Grand Lac et rénové en 2014, il offre un accès direct à la plage communale[303]. Un piscine olympique y est présente[303].


Près de 60 disciplines sportives peuvent être pratiquées sur la commune[298], par le biais de nombreux clubs. Sans toutes les énumérer, on peut toutefois citer, entre autres :



  • le parapente et le deltaplane,

  • l'escalade,

  • la planche à voile et le kitesurf,

  • la voile, au sein du C.N.V. Aix-les-Bains,



  • l'aviron au sein de l'Entente Nautique Aix-les-bains Aviron,

  • Le gyropode Segway balade et randonnée dans la forêt de Corsuet

  • la plongée avec notamment quatre des Sites palafittiques préhistoriques autour des Alpes,

  • la natation avec son club le cercle des nageurs d'Aix-les-Bains,

  • le water polo au sein du C.N. Aix-les-Bains,

  • les sports hippiques avec l'Hippodrome de Marlioz et la société des courses d'Aix-les-Bains qui accueille le public à l'hippodrome classé en « 1re catégorie galop » et « 2e catégorie trot »,

  • le tennis, au sein du T.C. Aix-les-Bains, près de 400 licenciés, structure la plus importante du département[304],

  • le tir à l'arc, au sein de 1ère Compagnie de tir à l'Arc,

  • le volley-ball,

  • le handball, au sein du HB.C. Aix-les-Bains,

  • le judo, au sein du Judo Club Aixois,

  • le karaté, au sein du Karaté club d'Aix-les-Bains,

  • le taekwondo, au sein du Taekwondo Club Daniel Bottero

  • la pétanque, au sein de la Petanque d'Aix-les-Bains, de La Boule d'Aix-les-Bains,

  • le rugby à XV, au sein du Football club Aix-les-Bains qui officia en première division groupe B en 1983 et 1986,

  • l'athlétisme, au sein de l'Athlétique sport aixois,

  • le basket-ball avec son club Aix Maurienne Savoie Basket,

  • la boxe, au sein de France Boxe Aix-les-Bains, du Boxing club Aixois, du Club Savate Aixoise Boxe Française d’Aix-les-Bains

  • le cyclisme, au sein de l'Amical cycle Aixois organisant 2 courses en ville : le prix de Pâques, non reconduit en 2016[305], et la nocturne[300],[306],[307],[308].

  • l'escrime, au sein du Cercle d'Escrime d'Aix-les-bains,

  • le football, au sein de l'Aix Football Club,

  • le golf avec le golf international d'Aix-les-Bains de dix-huit trous sur une surface de 45 hectares[309], parsemé d'obstacles naturels et traversé par un cours d'eau, le Tillet,

  • la gymnastique, au sein de l'Union Gymnique d'Aix-les-bains,



ainsi que de nombreux autres sports.



Photographie en couleurs de la piste engazonnée d'un hippodrome.

L'hippodrome de Marlioz au sud de la commune.


La commune gère plusieurs services des sports tels que l'école municipale des sports[310], l'office municipal des sports ou encore le centre aquatique municipal de 12 ha[311]. D'autre part, la situation géographique de la ville se prête volontiers à la pratique du cyclotourisme[312].


Par ailleurs, en juin 2016, le groupe junior, mais aussi quelques jours plus tard, les seniors du Pôle France de gymnastique aérobic d'Aix-les-Bains ont été sacrés champions du monde après avoir participé aux 14e championnats internationaux de gymnastique aérobic en Corée du Sud, à Incheon[313],[314]. Ils décrochent ainsi deux médailles d'or et deux de bronze pour la France[314]. En 2017, trois athlètes aixois permettent à la France d'obtenir la médaille de bronze aux Jeux mondiaux 2017 de Worclaw[315].


En aviron, Aix-les-Bains se hisse dans les plus hauts classements nationaux. Lors de la saison 2016, toutes les catégories du club aixois ont accédé au podium[316]. En juillet 2016, les championnats qui se sont tenus à Vichy ont conforté la position des aixois[316]. Les minimes ont été sacrés champions de France, les cadets vice-champions de France, les juniors ont obtenu la médaille de bronze et les seniors ont aussi obtenu le titre de vice-champion de France[316].



Principaux événements nationaux et mondiaux |


Depuis 1947, Aix-les-Bains a été 14 fois une des villes de passage du Tour de France (dont une étape annulée en 1998)[317].


Le samedi 30 mars 2013, la finale du groupe B du championnat d'Europe de Rugby U18 a eu lieu à Aix-les-Bains entre les Pays-Bas et la Croatie[318].


La montée du Revard, courses dont certaines partent du centre-ville d'Aix-les-Bains depuis plus d'une trentaine d'années, se déroule un dimanche matin au début de l'été : en 2017, le « Marath'rail Aix-les-Bains Riviera des Alpes », d'une longueur de 40 km et d'un dénivelé positif de 2 600 m, partait de la rue de Genève vers le mont Revard[319]. Un autre départ est lancé début septembre depuis 2012 : celui des championnats d'Europe en ElliptiGO (vélo elliptique sur roues)[320].


Les épreuves internationales de l'« Aquae World Cup » (gymnastique aérobic) se déroulent à Aix entre le 16 et le 21 mars 2016[321]. Près de 1 000 athlètes, dont l'aixoise Aurélie Joly, et leurs accompagnateurs sont attendus avec un total de 24 nations[322]. Ces dernières sont renouvelées en 2017 à Aix-les-Bains[323].


Le dimanche 19 avril 2015, la commune a accueilli les championnats de France de 10 kilomètres[324]. La manifestation est reconduite pour la quatrième fois en 2016 et se déroule le 10 avril[325]. Près de 2 000 coureurs sont attendus et une épreuve à destination des enfants est organisée pour la première fois cette année[326]. Cette course bénéficie par ailleurs du « Label National FFA »[325].


Les « Championnats de France Promotion Intersérie Dériveur, Intersérie Quillard », organisés par le Club Nautique de Voile d'Aix-les-Bains (CNVA), sous la protection et le soutien de la Fédération Française de Voile (FFV), se tiennent sur le lac du Bourget entre Aix-les-Bains et Brison-Saint-Innocent du 5 au 8 mai 2016[327]. Environ 120 concurrents, avec 75 bateaux en lice, participent à cette compétition franco-suisse[328].



Depuis 2013, la commune organise, au mois de mai, l'Interlac Trail, un challenge sportif permettant de réaliser plusieurs parcours pédestres, entre les lacs du Bourget et d'Annecy[329]. La course principale, d'une longueur de 80 km, regroupe 69 points de vue pour plus de 1000 participants[329]. En 2016, 17 nations ont participé à cette épreuve[330].



Photographie en couleurs de voitures lors d'un rassemblement.

Le Rassemblement Renault Sport et Alpine à Aix-les-Bains en juin 2016.


On retrouve depuis 2012, le second week-end du mois de juin, le « Rassemblement Renault Sport et Alpine », sur l'esplanade du lac, organisé par l'association Aix Auto Sport[331]. En 2016, plus de 400 véhicules, dont la Renault R.S.01 et Jean Ragnotti, pilote international de rallye et de circuit, sont présents sur le site pendant deux jours consécutifs[332],[333]. On a recensé plus de 1 200 visiteurs lors de ce cinquième rassemblement[333].


Organisée le deuxième week-end de juin et ce sur près de 500 sites partout en France[334], la fête du nautisme se tient également aux abords du lac du Bourget, généralement entre Aix-les-Bains et Le Bourget-du-Lac[335]. Pendant le week-end, de nombreuses animations sont proposées comme des baptêmes d’aviron, de plongée, de voile, de ski nautique ou de catamaran par exemple[336].


Sur l'Hippodrome de Marlioz, des courses hippiques sont organisées l'été. En 2017, dix courses sont prévues : cinq de galop et cinq de trot[337].


Pendant le week-end du 18 au 19 juin 2016, le « championnat de Savoie quadrettes boules » est organisé sur l'esplanade du Lac ainsi qu'un tournoi national de tennis de table dans les gymnases de Marlioz[338],[339].


Par ailleurs, principalement en saison estivale, diverses compétitions d'athlétisme interdépartementales, régionales ou nationales (Championnat des Clubs élite en 2018) se déroulent au stade Forestier[340],[341].


Début septembre se tient l'« Aix Ski Invitational », un événement sportif national de biathlon. En 2016, les sportifs Richard Jouve, Enora Latuillière, Antonin Guigonnat ou encore Anaïs Chevalier étaient présents sur l'esplanade du lac[342].


Aix-les-Bains organise également son propre triathlon, implanté sur les bords du lac du Bourget, en septembre. En 2015, la compétition avaient rassemblée plus de 1 500 concurrents de tout âge et plusieurs centaines de spectateurs[343].


Depuis 2007, la Corrida des lumières d'Aix-les-Bains est organisée autour de la place Maurice-Mollard, en passant par le parc floral des Thermes. Cet événement sportif et culturel attire plus d'un millier de participants aux différentes épreuves[344], dont la course de 7,5 kilomètres nommée « Urban Corrida »[345].


Un tournoi de rugby national et même international (avec des équipes d'Italie) est organisé sur l'hippodrome depuis 2016 au début du mois de mai[346]. Il s'agit du challenge Gérard Bontron[346]. Cette manifestation nécessite la mise en place de mesures considérables en termes d'organisation (secours, sécurité) et de planification[346]. Le challenge parraine l’association Grégory Lemarchal en 2017[346].



Équipements sportifs |


De nombreux équipements sportifs sont présents sur la ville. On peut citer le complexe sportif de Marlioz dont l'hippodrome, le stade Jacques-Forestier, le gymnase des Prés-Riants, le gymnase du Revard spécialisé en gymnastique, le gymnase de Marlioz, le gymnase de Garribaldi, Aqualac (centre nautique), le centre équestre, les courts de tennis, le golf, les boulodromes sans oublier les plateaux sportifs de certaines écoles[347].



Loisirs |


En juin 2016, deux bridgeuses aixoises sont sacrées championnes de France dames par équipes en catégorie « excellence » lors d'une compétition nationale de bridge organisée par la Fédération française de Bridge (FFB) dans les Hauts-de-Seine, à Saint-Cloud[348].


On recense 47 associations sur la commune dans le thème général des loisirs[349].


L'école municipale des sports, destinée aux sports et loisirs chez les enfants de la maternelle jusqu'aux cours moyens, existe depuis plus de 40 ans ; faisant de la ville un « précurseur national » dans ce domaine ludique et sportif selon le site officiel municipal[350].


Aix-les-Bains possède par ailleurs 13 aires de jeux destinées aux jeunes enfants sur son territoire[351].



Dans le cadre des activités périscolaires, la ville propose diverses occupations sportives aux écoliers, dont le ski-roues, une discipline où Aix-les-Bains se veut précurseur dans ce domaine[352].




Médias |



Presse et radios |


La presse est représentée majoritairement par les grands quotidiens régionaux et notamment Le Dauphiné libéré[353]. Plus localement, on trouve aussi d'autres journaux avec La Vie nouvelle[354] ou bien L'Essor savoyard[355] et ses déclinaisons. De plus, le siège du média régional Carnet d'Art est installé sur les hauteurs de la ville depuis 2013[356].


En plus des stations de radiophonie nationales, la ville est couverte par de nombreuses antennes locales dont France Bleu Pays de Savoie[357], ODS radio et Hot Radio entre autres.


La ville possédait même sa propre radio : Radio Aix-les-Bains (ou Radio Aix) 88FM[358], active de janvier 2013 à juin 2018. Véritable relais d'informations locales, Radio Aix prônait la diversité culturelle en donnant la parole à des nombreux acteurs de la vie aixoise ; mais aussi en invitant des grandes figures sportives ou artistiques[359]. Le 6 octobre 2016, Radio Aix-les-Bains inaugure ses nouveaux locaux avec une journée entière de direct sur les ondes[360]. Soucieuse d'assurer aux talents locaux une bonne promotion, elle lance en septembre 2017 une session live mensuelle, en direct du bar le Rendez-Vous à Albens. À l'occasion du réveillon du Nouvel An 2018, 4 groupes et artistes s'y sont produits[361]. En mai 2018, l'association gérant Radio Aix est visée par un audit financier. À la suite de la mise au jour par les autorités de l'audiovisuel de détournements et d'abus de pouvoir au sein de l'association, la radio se voit supprimer sa fréquence hertzienne, ainsi que ses locaux techniques et administratifs, jadis prêtés par la municipalité aixoise.


Plusieurs médias électroniques traitent également de l'actualité de la ville et de son bassin. On peut notamment citer Le Journal d'Aix-les-Bains[362], aixlesbains.info[363], ou encore Le Stefanini Journal[364].



Télévision |


La télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie[365]. Régulièrement l'émission La place du village expose la vie locale du bassin aixois. C'est également le cas dans les informations locales de cette même chaîne télévisée ainsi que sur France 3 dans l'édition locale et régionale de France 3 Alpes[366].



Internet |


Aix-les-Bains est récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet » avec @@@@@ depuis 2015 (mentions spéciales « Démocratie » et « Télétravail » en 2016 et 2017)[Note 6]. Aix-les-Bains est ainsi la commune la mieux récompensée de son département, de la Haute-Savoie et de l'Ain pour avoir obtenu la récompense maximale au label[367].


Déployée en Savoie depuis 2012, la fibre optique s'installe aussi progressivement sur la ville d'Aix-les-Bains[368]. Début 2016, la commune a décidé de créer son propre projet permettant ainsi de déployer cette nouvelle forme de transmission de données à tous les foyers d'Aix-les-Bains d'ici à 2020[369]. Fin 2018, selon le quotidien local, « la fibre optique se fait attendre » mais le projet, mené par Orange, poursuit son cours[370].



Cultes |


Le territoire aixois dépend de la paroisse catholique des « douze apôtres en pays d'Aix » au sein de l'archidiocèse de Chambéry, Maurienne et Tarentaise[371]. Le doyenné d'Aix les Bains comprend quatre autres paroisses, en plus de celle déjà citée : la paroisse Sainte-Marie en Chautagne, la paroisse Sainte-Jeanne de Chantal en Albanais, la paroisse Saint-François de Sales en Albanais et la paroisse Saint-Bernard de Menthon en Bauges[372]. La ville d'Aix-les-Bains possède quatre communautés catholiques : Notre Dame Assomption (église Notre-Dame d'Aix-les-Bains), Sainte Bernadette, Saint Joseph et Saint Simond (église Saint-Simond)[371].


Par ailleurs, la ville abrite l'une des plus importantes communautés juives du pays[291]. Ainsi, sur la commune, on compte plusieurs synagogues et oratoires israélites[373]. Le Yechiva d'Aix-les-Bains, pratiquant le rite ashkenaz, est l'une des principales académies talmudiques de France[373].


La ville abrite également deux sites de prière musulmane : la mosquée d'Aix-les-Bains, gérée par l'association musulmane, du quartier Lafin et la mosquée d'Aix-les-Bains, gérée par l'association cultuelle franco-marocaine d’Aix-les-Bains, du quartier Lepic[374],[375].


Aix-les-Bains possède également l'église protestante unie située dans le quartier Centre-ville-Nord[376].


On peut également citer une église évangélique des assemblées de Dieu de France (ADDF) ainsi l'église protestante évangélique le Rivage, toutes deux présentes sur le territoire communal[377].



Économie |



Carte en couleurs représentant des revenus par quartier.

Les quartiers d'Aix-les-Bains colorés en fonction de leur revenu disponible médian par UC en 2014 :


  •      15 000 à 17 000 €

  •      17 000 à 19 000 €

  •      19 000 à 21 000 €

  •      21 000 à 23 000 €

  •      23 000 à 25 000€

  •      > 25 000 €




Essentiellement station thermale jusqu'au milieu du XXe siècle, Aix-les-Bains a progressivement transformé son économie locale pour ne plus dépendre des thermes, bien moins fréquentés qu'auparavant[378]. Tout comme d'autres stations thermales, les Aixois diversifient leur économie et investissent beaucoup sur le potentiel touristique[378].



Revenus et fiscalité |


En 2015, la médiane du revenu disponible par ménage s'élevait à environ 21 235  (+1,6 % par rapport à 2014) à Aix-les-Bains[379]. Ce revenu est situé plutôt en dessous de la zone de comparaison, c'est-à-dire du département, qui s'élève à 21 802  pour la même année[380].


En outre, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait, quant à lui, à 26 375  en 2011[381].


Le taux de pauvreté sur la commune, en 2015, était de 12,7 % (-0,2 points par rapport à 2014)[379], soit inférieur de 1,5 points par rapport à la moyenne nationale[382].


Le pourcentage de ménages imposables, 57,4 % en 2015[100], était inférieur aux moyennes départementales : 60,3 %[380].


Entre autres, la ville comptait 210 redevables à l'impôt sur la fortune en 2015.



Revenus par quartiers |


Article principal : Quartiers d'Aix-les-Bains.

Néanmoins, à l'échelle communale, des différences marquées coexistent entre les quartiers. En effet, grâce à la méthode développée par l'Insee des Îlots Regroupés pour l'Information Statistique (IRIS), on sait que le quartier de Chantemerle-Saint-Pol, situé sur les hauteurs de la commune, possédait un revenu fiscal médian de 26 442 euros en 2013 tandis que celui de Lafin, au nord de la ville, s'élevait à 15 849 euros[383]. D'une manière géographique plus globale, selon L'Essor Savoyard, les hauteurs d'Aix-les-Bains regroupent « bon nombre d’habitants fortunés »[384].



Impôts |


L'impôt moyen sur le revenu en 2015 est de 3 458  sur la ville tandis qu'il s'élève en moyenne à 1 283  ailleurs en France[384],[385]. Ce dernier est en hausse assez nette : en l'espace d'un an, il a augmenté de plus de 12 % sur Aix-les-Bains, tandis qu'il quasiment stagné sur le reste du pays[385]. Selon L'Essor Savoyard, plusieurs facteurs sont responsables de cette hausse progressive : l'environnement et la situation de la ville, le marché de l'emploi et finalement, l'augmentation de la population municipale[384].



Emploi |


En 2013, la population âgée de 15 à 64 comptait 73,2 % d'actifs[379]. Ainsi, parmi les actifs ayant un emploi en 2012, les employés sont la catégorie professionnelle la plus représentée, avec 29,0 % du total[100]. Suivent les professions intermédiaires avec 28,8 %, les ouvriers avec 19,3 %, les cadres et professions intellectuelles avec 13,9 %, les commerçants, artisans et chefs d'entreprise avec 8,9 %, et les agriculteurs avec 0,1 %[100].


Le tableau ci-dessous présente le taux de chômage à Aix-les-Bains et en Savoie et leur évolution entre 2007 à 2013[100],[386] :




































Évolution du taux de chômage (au sens du recensement) sur la commune et au niveau du département entre 2007 et 2013.

Aix-les-Bains (2007)
Aix-les-Bains (2012)
Aix-les-Bains (2013)

Savoie (2007)
Savoie (2012)
Évolution
Nombre de chômeurs
1 267
1 742
Increase Negative.svg + 37,49 %
1 692
Decrease Positive.svg - 2,87 % (par rapport à 2012)

13 860
17 817

Increase Negative.svg + 28,55 %
Taux de chômage (%)
10,6
13,7

Increase Negative.svg + 3,1 pts


13,5

Decrease Positive.svg - 0,2 pts (par rapport à 2012)



7,1
8,7

Increase Negative.svg + 1,6 pt

La commune comptait 12 534 emplois en 2013[379]. Les secteurs d'activité qui comptaient le plus d'emplois étaient le commerce, les transports et les services, avec 46,5 % du total, l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale avec 33,7 %, et l'industrie avec 28,8 %[100]. Cette même année, 50,1 % des actifs résidant dans la commune y avaient leur emploi[100]. Par ailleurs, cette dernière année, 32,2 % des actifs travaillaient dans une autre commune de la Savoie et 15,0 % dans un autre département de la région[100].


L’indicateur de concentration d'emploi était de 112,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offrait alors environ 1,13 emploi pour chaque habitant actif[100].


La commune dispose de nombreuses structures pour aider les chercheurs d'emploi dans leurs démarches et leur parcours professionnel ainsi que pour l'orientation. Une agence nationale pour l'emploi y est présente ainsi qu'une mission locale spécialisée dans l'orientation et l'organisation d'ateliers de découverte du monde de l'emploi[387]. On peut citer également l'« Association pour le Développement de la Promotion Sociale », organisme de formation, mais aussi la permanence d’accueil d’information et d’orientation et le centre d'information et d'orientation[388],[389].



Entreprises et secteurs d'activité |



Photo en couleurs d'une voiturette.

Une voiture Aixam.


Le nombre d'entreprises, au 31 décembre 2015, était de 2 348 (+16 % par rapport à 2013)[100]. Aix-les-Bains a atteint un nombre de 272 créations d'entreprises pour l'année 2015[100].


Par ailleurs, on peut représenter, sous forme d'un tableau, la répartition des différents secteurs d'activités des 3 492 établissements actifs, sur Aix, au 31 décembre 2015[100] :




































Entreprises d'Aix-les-Bains par secteur d'activité au 31 décembre 2015

Nombre
Pourcentage
Agriculture, sylviculture et pêche
11
0,3
Industrie
146
4,2
Construction
281
8,0

Commerce, transports, services

2 454

70,3
Administration publique, enseignement, santé, social
600
17,2


Principales entreprises |


Les deux principales entreprises présentes sur la commune d'Aix-les-Bains sont :




  • Léon Grosse, avec un chiffre d'affaires annuel de près de 631 millions d'euros[390] et un cours en bourse stable estimé à 1 078  au 21 mars 2016, — ce qui fait d'elle la plus importante entreprise régionale cotée en bourse —[391] et


  • Aixam, avec un chiffre d'affaires de 63 millions d'euros[392].


Le bassin aixois comprend également de nombreuses autres entreprises. Entre autres, sont également présentes à Aix-les-Bains,



  • l'entreprise Savoie-Yaourt[393],

  • l'entreprise Cavaillé dans le domaine viticole[394],

  • l'entreprise Alstom ainsi que

  • la Manufacture de Haute-Maroquinerie[395] appartenant au maroquinier Hermès[396].


Par ailleurs, depuis quelques années, le secteur de l'hôtellerie se développe fortement. Le géant de l'hôtellerie, Accor, est tout particulièrement présent dans le bassin aixois afin de bénéficier de l'essor des marchés du bien-être et donc du thermalisme[397].



Commerce |



Photographie en couleurs du quartier commerçant d'une grande ville.

Le centre-ville d'Aix-les-Bains.


Aix-les-Bains totalise près de 450 commerçants et artisans[398]. Ceux-ci sont, pour le plus grand nombre, présents dans le centre-ville. Par exemple, on peut citer la rue de Genève (Centre-ville-Nord), artère centrale majeure, qui totalise une trentaine de commerces ou bien la rue de Chambéry (Centre-ville-Sud)[399]. Les commerçants bénéficient de l'attrait de la situation géographique de la commune avec la proximité du lac et du massif des Bauges, mais également grâce au casino.



Vue en couleurs d'une rue commerçante et centrale d'une ville.

La rue de Chambéry, en direction de l'hôtel de ville.


Par ailleurs, la ville est confrontée à la concurrence des villes et zones d'activités alentours. Le bassin Chambérien regroupe de nombreux commerces dont ceux de la zone d'activité des Landiers[400], où se trouvent la plupart des grandes enseignes telles que Darty, Gémo, King Jouet, la Halle aux vêtements, Feu vert, mais aussi la grande surface Carrefour[401].


Les commerces d'Aix-les-Bains ont ainsi, dans cette configuration générale, bien du mal à subsister et à attirer les clients potentiels. Cependant, la municipalité aixoise a pris conscience de cet état de fait. Un dossier Fisac a été ouvert[402]. La ville s'est fixé de nombreux objectifs et mesures. À titre d'exemple, on peut citer la création d'un office du commerce et de l'artisanat, des animations événementielles à la carte, la création d'un site internet, l'accompagnement des commerces alimentaires, l'étude d'aménagements du sud de la ville ainsi que sur l'amélioration de la liaison entre le lac du Bourget et le centre-ville, la valorisation de l'espace public, et d'une manière générale l'amélioration de la communication ainsi que le développement de conseils par le biais de plusieurs canaux d'informations[403].



Marchés |


Deux marchés hebdomadaires se tiennent à Aix-les-Bains[404] :



  • mercredi matin et après-midi (plein-air (4 500 m2) et halle (1 000 m2)) : marché forain et alimentaire au bas du centre-ville ;

  • samedi matin (plein-air (2500 m²) et halle (1 000 m2)) : marché principalement alimentaire, place Clemenceau (partie sud).


Ces marchés sont recensés par la fédération des Marchés de France[405]. En 2018, Aix-les-Bains est sélectionnée pour participer au concours du plus beau marché de France (TF1)[406].



Tourisme |



logo d'une marque touristique concernant Aix-les-Bains et ses alentours.

Logo d'Aix les Bains Riviera des Alpes.


Selon une étude menée par l'office de tourisme d'Aix-les-Bains avec un cabinet spécialisé, les retombés économiques liées au tourisme s’élèveraient à environ 70 000 000 d'euros en 2015, inférieures de 10 % à celles 2014[407]. Néanmoins, on notera que pour le début de l'été 2016, la fréquentation du centre-ville aixois est en hausse de 10 % selon la même source[407].


En 2014, la capacité d'accueil de la station-commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 21 671 lits touristiques répartis dans 3 892 structures[Note 7]. Les hébergements se répartissent comme suit : 1 263 meublés ; 5 résidences de tourisme ; 38 hôtels ; 4 structures d'hôtellerie de plein air ; 1 centre ou village de vacances/auberge de jeunesse[408]. Lors du palmarès de 2016, la table l'Auberge Saint-Simond se trouve dans le palmarès du guide Michelin, avec la distinction d'un Bib gourmand[409].


En 2016, une dénomination officielle de tourisme concernant les territoires proches d'Aix-les-Bains et du lac du Bourget est créée : Aix les Bains Riviera des Alpes[410]. Selon Le Dauphiné Libéré, l'objectif de cette marque « est de promouvoir la destination touristique au plan local, national et à l’international en s’appuyant sur trois notions : la notoriété de la station thermale et ses eaux de soins, la Riviera à laquelle les notions de « chic » et « balnéaire » sont attachées, ainsi que les Alpes, qui appellent les notions de grand air et de ski »[410].


Par ailleurs, la commune dispose d'un office de tourisme principal classé et labellisé « Qualité Tourisme » situé dans les Thermes nationaux ainsi que d'un second, au Grand Port, fermé l'hiver[411],[412]. La ville d'Aix-les-Bains s'est lancée depuis 2013 dans la démarche de labellisation « Tourisme et Handicap » afin de rendre accessible aux personnes à mobilité réduite les points d'informations touristiques[413].



Nombre et capacité des hôtels |


Au 1er janvier 2017, la ville comptabilisait 1 392 chambres pour 34 hôtels sur son territoire[100].












































Hôtels
Chambres

Ensemble

34

1 392
1 étoile
2
34
2 étoiles
16
437
3 étoiles
12
669
4 étoiles
3
232
5 étoiles
0
0
Non classé
1
20


Thermalisme |


Article détaillé : Thermalisme.


Photographie en couleurs d'un long bâtiment style XIXe siècle.

Les Thermes nationaux d'Aix-les-Bains.


En 2016, Aix-les-Bains est la 3e station thermale de France, après celles de Balaruc-les-Bains et de Dax[414].


Rattaché à la cité de Vienne, après la conquête de Gnaeus Domitius Ahenobarbus au Ier siècle av. J.-C., le vicus romain d'Aquae (Aix)[138] se développa autour d'un établissement de bains, plusieurs fois agrandi et amélioré.
Cette tradition des bains fut, dès lors, définitivement conservée au fil des siècles. Nous avons également des témoignages de la présence du roi Henry IV en 1600 qui se lava dans l'unique piscine romaine encore accessible à l'époque, dit le Bain Royal[126].
En 1783, grâce aux subsides du roi Victor Amédée III, un premier établissement thermal moderne fut construit[415]. Ces thermes royaux, plusieurs fois agrandis, devinrent naturellement des thermes Nationaux lors du rattachement de la Savoie à la France en 1860. De nouveaux bâtiments complétèrent le complexe en 1897, et surtout en 1934[416],[417]. En 2000[418], un nouvel établissement appartenant d'abord à l'État puis au groupe privé Valvital en 2011[419], les thermes Chevalley furent inaugurés, s'appuyant sur plusieurs nouveaux captages profonds des sources.



Photographie en couleurs d'un bâtiment de soins thermaux.

Les thermes Chevalley.


On doit également citer les thermes de Marlioz[420]. Ce dernier établissement se situe dans un parc de dix hectares[420]. Il utilise l'eau de sources découvertes vers 1850. Ce thermalisme est tout particulièrement adapté pour la libération de l’appareil respiratoire et guérit les affections de la bouche. Les pathologies O.R.L. traitées sont les otites, les rhinites, les sinusites, les pharyngite, les angines, les laryngites, les préparations chirurgicales et post-chirurgicales en O.R.L. Sont traités également les pathologies en pneumologie, la trachéite, la bronchite, la dilatation des bronches et pour finir l'asthme[420].


Grâce à ses thermes, en 1986, la ville comptait environ 52 000 curistes[421] et en 1992, plus de 44 550 curistes[422]. Depuis l'année 2000, à la suite de la disparition des accords avec la Sécurité sociale l'affluence a diminué. Entre l'année 2004 et l'année 2005, une baisse significative de 3 % du taux de fréquentation a été constatée. Depuis 2007, la direction des Thermes Nationaux d'Aix-les-Bains conduit une politique volontaire afin de redynamiser la fréquentation et de privatiser l'établissement.


La baisse de plus en plus effective des curistes induit négativement l'économie locale et ce notamment dans le domaine de l'Hôtellerie[378]. Selon Marie-Hélène Albert, présidente du club des hôteliers aixois, « On a toujours fonctionné avec les thermes. Mais aujourd’hui c’est beaucoup plus compliqué. Nous pouvons estimer cette baisse à 30 environ % »[378].


Entre 2014 et 2015, selon l'office de tourisme d'Aix-les-Bains, les réservations des curistes ont baissé de 20 %[407]. Mais selon la directrice de l'office de tourisme, « Pour en avoir discuté avec la société Valvital, notre analyse est de dire que pas mal de clients n’ont pas besoin d’hébergement, car ce sont des régionaux »[407].


L'année 2016 marque un tournant : la fréquentation des thermes a en effet augmenté de 4,9 % avec 28 100 curistes recensés, soit 1 320 curistes de plus que 2015[414].


En 2016 et 2017, la commune accueille les rencontres européennes de thermalisme[423]. On recense plus de 260 acteurs scientifiques et économiques de toute l'Europe en 2017[423].


Un plan de soutien financier est instauré par la région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le cadre du Grand plan thermal 2016-2020[423]. La station thermale d'Aix a été retenue, tout comme quinze autres sites régionaux[423]. Le montant de l'aide s'élève à 20 millions d'euros[423].



Eau minérale naturelle d'Aix-les-Bains |



Logo en couleurs d'une marque d'eau minérale ; une chaîne de montagnes est stylisée.

Logo de l'eau minérale naturelle d'Aix-les-Bains.


Article connexe : Eau minérale naturelle d'Aix-les-Bains.

La vile d'Aix-les-Bains possède sa propre eau minérale naturelle locale commercialisée[424] : l'eau minérale naturelle d'Aix-les-Bains. Le site de conditionnement de l'eau est basé dans la commune voisine de Grésy-sur-Aix et est géré par la SEAB[425],[426]. Le point de captage de la source se nomme « Raphy-St-Simon Est » et est, quant à lui, situé sur la ville d'Aix[427].



Culture locale et patrimoine |


La culture d'Aix-les-Bains se mélange à celle de son département que ce soit pour la gastronomie ou pour son histoire commune. Son patrimoine est un florilège d'influences issues des nombreuses invasions historiques. Elle doit beaucoup à son statut de ville thermale ce qui à la Belle époque lui permit un essor considérable et lui offrit un capital patrimonial riche et varié. Par conséquent elle est classée Ville d'art et d'histoire[428].



Lieux et monuments |



De son riche passé et son évolution récente, la commune d'Aix-les-Bains possède un patrimoine important et varié. La commune compte ainsi quatorze monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[429] et 902 répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[430]. Par ailleurs, elle compte trois objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[431] et quatre répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[432].



Carte interactive des monuments historiques classés ou inscrits d'Aix-les-Bains :


  •      Monuments historiques classés, au moins partiellement.


  •      Monuments historiques inscrits, au moins partiellement.




Le patrimoine a également fait l'objet d'études par la Direction de la Culture de la région Auvergne-Rhône-Alpes dans sa série « Les dossiers de l'inventaire » (Études sur le patrimoine). Ce ne sont pas moins de 1163 édifices qui ont ainsi retenu une certaine attention[433].



Casino Grand Cercle |



Photographie en couleurs de l'entrée en forme de porche d'un grand bâtiment, drapeaux et enseigne CASINO au-dessus du porche.

Le Casino Grand Cercle.


Article détaillé : Casino Grand Cercle.

Le Casino Grand Cercle se trouve à Aix-les-Bains, constitue un ensemble architectural majeur en Savoie, au même titre que le casino d'Évian-les-Bains. Ce bâtiment a été construit à partir de 1847 puis entièrement rénové depuis 1988[434]. Il a été inauguré par Victor-Emmanuel II en 1850[434]. Ce lieu, symbolique de la Belle Époque, regroupe des salles de réunion, un théâtre, des restaurants, des discothèques et bien sûr les machines à sous[435].


Le casino Grand Cercle a été classé au 19e rang des casinos français sur la base de son produit brut des jeux pour l'année 2012[436].



Château de la Roche du Roi |



Photographie en couleurs d'un château émergeant des bois.

Château de la Roche du Roi.


Article détaillé : Château de la Roche du Roi.


Le Château de la Roche du Roi est un château du XXe siècle[437]. Il se situe sur les hauteurs d'Aix-les-Bains, bâti à flanc de colline, le château domine une bonne partie de la ville et surplombe entre autres l'hippodrome et le golf. Il fut construit en 1900 par l'architecte de la ville Jules Pin (aîné) ainsi que par l'entreprise Léon Grosse[437]. Ce château est à présent classé monument historique[437]. Son style architectural est un mélange entre les palais orientaux et les châteaux de la Renaissance. Il est construit sur une terrasse supportée par des soubassements voûtés en plein cintre. À l'extérieur du château, dans sa périphérie, se trouve une forêt très dense composée d'arbres multi-centenaires, de broussailles, et de végétaux communs à la région. Le château appartient actuellement à un propriétaire de la Haute-Savoie[438]. Constatant qu'il est laissé à l'abandon depuis de nombreuses années, la ville tente, après plusieurs dégradations majeures constatées et après de multiples interventions des pompiers sollicitées pour des incendies, de se porter acquéreur de ce monument[438]. Mais alors qu'il tombait en ruine depuis 15 ans, laissé à l’abandon par son ancien propriétaire allemand, la ville l'avait l'acquis pour 485 000 [438]. En 2015, un industriel de la Haute-Savoie s’est porté acquéreur afin de le rénover et d’en faire un centre culturel privé pour 530 000 [438].



Photographie en contre-plongée du portail et du clocher d'une église.

La façade de l'église.



L'église Notre-Dame |


Article détaillé : Église Notre-Dame d'Aix-les-Bains.

L’église Notre-Dame-des-Eaux, paroisse de l’Assomption se trouve dans le centre-ville d'Aix-les-Bains[439]. Construite sur les plans de l'architecte Arthur Bertin dans un style romano-byzantin, elle est inaugurée en 1899[439]. Le chevet de l'église est éclairé par des vitraux réalisés par Lucien Bégule, maître verrier d'origine lyonnaise[439].


La place devant l'église se transforme durant la semaine en parking public en raison de son emplacement central dans le tissu urbain.



Le musée Faure |


Article détaillé : Musée Faure.


vue en couleurs sur un musée public entouré d'un parc.

La façade ouest du musée Faure.


Le musée Faure a été fondé en 1949[440]. Au commencement, il devait accueillir le legs du docteur Jean Faure[440]. Le musée est présent dans une villa de style génois[440]. Chaque année, plus de 10 000 visiteurs passent par le musée Faure[441].



On peut voir entre autres des peintures de Corot, Boudin, Jongkind, Ravier, Besnard, Puy, Cézanne, Sisley, Pissarro, Degas, Bonnard, Vuillard, Lebourg, Lebasque, Marquet, Robert Antral, Cottet, Jules Desbois, Aman-Jean, Sargent, Victor Vignon, Constant Troyon, Lépine, et aussi Adolphe Monticelli, Georges Michel et de Jean Victor Bertin[442].




Les palaces et hôtels aixois |


Parmi les autres grands édifices aixois, on se doit d'énumérer les grands palaces, vestiges de la Belle Époque et pour la plupart désormais transformés en habitations collectives[443]. Toutefois, ceux-ci conservent leurs imposantes façades extérieures ainsi que leurs magistrales entrées ornées la plupart du temps de marquises en fer forgés. Ces palaces sont le Beau-site, le Grand Hôtel, le Bernascon (en partie ravagé par un incendie en août 2015[444]), le Splendide, le Royal et le Mirabeau[445].


Ainsi, on peut répertorier les lieux suivants :



  • palace Le Splendide (1884) construit par Gaudens Antoine Rossignoli[446] ;

  • palace L'excelsior (1906) construit par Gaudens Antoine Rossignoli[447] ;

  • palace Le Bernascon (1909) construit par Jean-Marie Bernascon avec son annexe la villa Regina[448]. Près de la moitié de l’édifice est ravagé par un incendie le 18 août 2015[449] ;

  • palace Le Royal (1914) construit par Louis Rossignoli[450] ;

  • palace Le Mirabeau (1910) construit par l'architecte Martinet[451] ;

  • le Grand Hôtel (1857) construit par C-B Pellegrini avec une annexe "Les Ambassadeurs" en 1877[452] ;

  • l'Hôtel Beau-Site (1883)[453] ;

  • l'Hôtel des Iles Britanniques (1891)[454] ;

  • l'Hôtel International (1893), incendié dans les années 1985-1995, aujourd'hui rénové[455] ;

  • l'Hôtel l'Astoria (1905-1906)[456], définitivement fermé[457] ;

  • l'Hôtel Le Panoramic (1929)[458], actuellement immeuble[Note 8].




Autres édifices |



Photographie en couleurs des vestiges d'un arc de triomphe romain ; gra, d bâtiment à l'arrière-plan.

L'arc romain de Campanus.


La ville d'Aix-les-Bains est jalonnée de nombreux édifices historiques ainsi que de bâtiments de caractère. De l'époque gallo-romaine, il subsiste l'« arc funéraire romain de Campanus »[459]. Cet arc fut dressé par le patricien de la Gaule Narbonnaise, Lucius Pompeius Campanus, afin d'honorer les défunts de sa famille[460]. L'arc a une hauteur de plus de neuf mètres. Il est constitué d'une arcade entre deux piliers surmontés d'un entablement avec architrave, le tout fait de pierres taillées ajustées sans apports de mortier[460]. L'arc comprend une frise, une corniche et un attique. La frise de huit niches devait abriter les bustes de quelques-uns des personnages à qui l'arc est dédié[460].


On trouve également comme édifice marquant, les Thermes antiques ou Thermes nationaux[109]. Vers 120 avant Jésus-Christ, les Romains construisirent des thermes confortables à la mode romaine telle que cela se faisait dans tout l'empire. Cette structure comprend plusieurs bains à savoir un bain chaud (caldarium), un bain tiède (tepidarium) puis un bain froid (frigidarium)[109]. Tous les bassins sont revêtus de marbres. Les salles étaient ornées de colonnes et de sculptures. Actuellement les vestiges romains sont encore visibles à l'intérieur des Thermes Nationaux[109].


Remarquons aussi l'actuel hôtel de ville d'Aix-les-Bains ; à l'origine ce fut une résidence de Conrad le Pacifique, puis l'ancien château des marquis d’Aix du XVe au XVIIe siècle[141]. Adossé à l’hôtel de ville on trouve le temple gallo-romain, dit Temple de Diane devenu le Musée lapidaire[461],[140]. Ce sanctuaire antique est l'un des trois temples conservés intégralement en France[462]. Aujourd'hui reconverti en musée archéologique, l'édifice abrite en son sein de nombreuses statues et objets antiques ainsi que de l'âge du bronze[462].



Patrimoine naturel |



Parcs, forêts et espaces verts |


Article détaillé : Espaces verts d'Aix-les-Bains.

Aix-les-Bains est une ville fleurie 4 fleurs au label national des villes et villages fleuris depuis 1974[463],[464]. Primée régulièrement, la commune possède par ailleurs plusieurs prix :



  • Grand prix national du fleurissement[225] ;

  • Grand prix national du fleurissement d'automne en 1991[464] ;

  • Grand prix européen des villes et villages fleuris en 1992[464] ;

  • En 2011, la Fleur d'or[225]. Millésimée, elle est décernée pour un an et ne pourra plus être attribuée à nouveau à la ville avant 6 ans[225] ;

  • En 2014, une mention spéciale : « gestion écologique du jardin Vagabond et reconquête du Port du Tillet »[465].

  • En 2017, une deuxième Fleur d'or[466]. Seules huit autres communes françaises ont obtenu deux fois cette récompense depuis son instauration en 2008.


La ville comporte également plusieurs parcs et forêts, tels que le parc floral des Thermes ou bien le bois Vidal, recensés sur la page des espaces verts d'Aix-les-Bains.




ZNIEFF |


Bien qu'Aix-les-Bains soit une ville, on retrouve tout de même quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique sur le territoire communal[467] :


  • La zone de type 2 « Ensemble fonctionnel formé par le lac du Bourget » (7 504 ha)[468] :

Cette zone a été mise en place pour la protection du lac du Bourget et de ses abords tant au niveau floristique qu'au niveau faunistique. De plus, l'ensemble présente un grand intérêt paysager, géomorphologique, hydrobiologique et climatique reconnu au niveau national. On peut retrouver dans cette zone le Cornifle nageant (Ceratophyllum demersum) ou la Gesse des marais (Lathyrus palustris). En ce qui concerne l'avifaune, on trouve par exemple la Gorgebleue à miroir (Luscinia svecica) ou la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti). L'avifaune hivernante est par ailleurs très présente aux abords du lac. On peut aussi retrouver des espèces variées remarquables au niveau de l'entomofaune. Des mammifères sont aussi implantés comme le Castor d'Europe (Castor fiber L.) ou le Cerf élaphe (Cervus elaphus). Par ailleurs, des poissons propres au lac apparaissent tels l'Omble chevalier ou les truites de lac.


  • La zone de type 1 « Baie de Mémard » (21,25 ha)[469] :

Située au nord-ouest de la ville, la baie de Mémard est un refuge majeur pour la faune et la flore aquatique. Grâce à la présence d'une importante roselière aquatique, de nombreuses espèces d'oiseaux passent et s'installent sur le lieu. Certains oiseaux sont très rares sur le département comme la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti) ou la Rousserolle turdoïde (Acrocephalus arundinaceus).


  • La zone de type 1 « Colonies méridionales des versants de la Chambotte et de la Montagne de Cesseins » (882,13 ha)[470] :

Aix-les-Bains et six autres communes partagent cette zone située au nord du bassin aixois. La présence d'un climat exceptionnellement clément et chaud pour le département a favorisé l'installation d'animaux et végétaux originaux pour la Savoie. Le nombre d'espèces remarquables est tellement important que son recensement serait trop long. Des plantes méditerranéennes se retrouvent sur la colline comme le Rouvet Blanc (Osyris alba), la Fumana fausse-bruyère (Fumana ericoides) ou bien le Pistachier térébinthe (Pistacia terebinthus L.). Sur la plan faunistique, on peut citer que le site est fréquenté par le Faucon pèlerin (Falco peregrinus) et le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus).


  • La zone de type 2 « Chaînon de la montagne des Princes, du gros Foug et de la montagne de Cessens » (7 691,35 hectares)[471] :

La ville partage cette zone avec pas moins de vingt autres communes. On précise que « Le zonage de type II souligne les multiples interactions existant au sein de cet ensemble dont les éléments les plus représentatifs en terme d'habitats ou d'espèces remarquables sont retranscrits à travers plusieurs zones de type I (gorges, friches, versants) au fonctionnement fortement interdépendant. »[471]. Ce site présente lui aussi un intérêt important au niveau paysager, géomorphologique et biogéographique. Le territoire abrite des très nombreuses espèces qu'elles soient faunistiques ou floristiques. En effet, on retrouve une abondance d'érables de Montpellier (Acer monspessulanum L.), de fougères Capillaire (Adiantum capillus-veneris) ou bien de Primevère oreille d'ours (Primula auricula) y est présente. On retrouve également côté faune l'Hibou grand-duc d'Europe (Bubo bubo), l'Hirondelle de rochers (Ptyonoprogne rupestris) ou le Martinet à ventre blanc (Tachymarptis melba). Le lieu abrite aussi des Chamois (Rupicapra rupicapra).




Gastronomie |



Photographie en couleurs d'une casserole remplie d'une préparation crémeuse et filante.

La traditionnelle fondue savoyarde.


La cuisine aixoise est une cuisine typiquement savoyarde basée sur des produits du terroir local et des alpages montagnards[472]. Outre la célèbre fondue savoyarde[473], on s'y plaît à préparer pour plat principal les bognettes à base de pomme de terre, mais aussi les crozets, la péla, la tartiflette, les diots, la polenta ou les rioutes[474],[475]. En dessert, on ne peut que solliciter les bugnes ou le célèbre gâteau de Savoie[476].



Les tables d'Aix-les-Bains arborent les fromages savoisiens comme l'abondance, le beaufort, le bleu du Mont-Cenis, l'emmental de Savoie, le gruyère de Savoie, le persillé des Aravis, le reblochon, le tamié, la tomme de Savoie et encore de nombreux autres préparations fromagères[477].




Deux vins de Savoie : Mondeuse et Chardonnay.


Cependant, la présence du lac du Bourget et des rivières telles que le Tillet et le Sierroz, offrent aux cuisiniers aixois un éventail important de poissons d'eau douce qui composent bon nombre de plats locaux. On mange très volontiers de la truite, des ombles chevaliers et du lavaret[478]. Les forêts environnantes et les montagnes de moyenne altitude telles que le Mont Revard offrent des produits très appréciés. On trouve des champignons dans les Bauges[479]. La réputation des cèpes, des bolets du Revard ne se dément pas. Plusieurs vignobles autour de la commune aixoise produisent des vins de terroirs employés dans de nombreuses spécialités comme la fondue savoyarde par l'usage de vin blanc[480]. Ainsi, on retrouve près d'Aix-les-Bains le vignoble de Saint-Innocent, le vignoble de Saint-Baldoph et d'une manière générale on consomme la plupart des vins de Savoie[480].


Par ailleurs, la commune est labellisée « Vignobles et découvertes »[481]. Cette distinction repose sur les informations mises à disposition des visiteurs sur le patrimoine naturel et culturel du territoire labellisé mais également sur la gastronomie, le savoir-faire local, l’hébergement et la restauration[481].




Patrimoine culturel |



Photographie en couleurs d'une esplanade garnie de rangées de chaises au premier plan, scène au second plan.

Le théâtre de Verdure dans le parc floral des Thermes.


La ville d'Aix-les-Bains bénéficie de plusieurs installations pour promouvoir la culture. La présence du casino Grand Cercle permet à la commune de disposer d'un théâtre[482]. Il offre une capacité de neuf cent places assises et une scène de vingt mètres par treize[482]. Ce théâtre à l'italienne possède une fosse d’orchestre, un jeu d’orgue et un écran de cinéma[482].


Plus original encore, Aix-les-Bains bénéficie d'un théâtre extérieur que l'on nomme le Théâtre de verdure situé en plein centre ville, dans le parc floral des thermes[483]. Il offre une capacité de trois mille places pour des concerts en plein air[463]. Des thés dansants y sont régulièrement organisés[484], ainsi que des manifestations. L'une des principales salles de la commune est le Palais des congrès d'Aix-les-Bains. On y organise des expositions, des congrès, des concerts, des spectacles comiques, et bien d'autres événements artistiques et culturels[485].


Aix-les-Bains fut l'une des toutes premières villes françaises à avoir accueilli un cinéma. Aujourd'hui elle possède deux cinémas que sont le Victoria et Les Toiles du Lac d'Aix-les-Bains[486],[487]. La création du multiplexe Les Toiles du Lac offrant huit salles a fait disparaître un ancien cinéma implanté en centre-ville : Le Rex[488]. Le Victoria, avec ses cinq salles, devrait être conservé et est encore en activité. Celui-ci devrait progressivement accueillir des films d'auteurs, d'arts et d'essais. De plus, cet établissement à la particularité d'abriter le deuxième casino d'Aix-les-Bains[489]. De taille plus modeste que le casino Grand Cercle, le Nouveau Casino, qui est sa dénomination commerciale, possède un parc de jeux toutefois honorable avec ses quarante-cinq machines à sous, sa table de boule, treize rouleaux, quinze vidéo-rouleaux et dix-sept vidéo-poker[489].


Le Casino Poker Bowl ou Poker Bowl est un récent établissement qui a ouvert ses portes durant l'année 2010[490]. Le lieu présente de nombreuses activités comme des pistes de bowling, des salles pour séminaires et réceptions, un bar-restaurant et bien sûr, une salle avec 63 machines à sous entre autres[491],[492].


On peut visiter le Musée Lapidaire[493]. Adossé à l’hôtel de ville, cet ancien temple gallo-romain, dit Temple de Diane, fut reconverti en musée archéologique[140]. L'édifice abrite en son sein de nombreuses statues et objets antiques ainsi que de l'Âge du bronze[494]. On peut contempler des vestiges des cités lacustres du lac du Bourget. Autre lieu de souvenir et de rayonnement culturel, la bibliothèque municipale Lamartine possède un fonds documentaire important[495]. Son nom est un hommage au poète et écrivain Alphonse de Lamartine.


Plusieurs sociétés savantes de Savoie sont présentes sur la commune d'Aix-les-Bains. Ces associations permettent à des amateurs éclairés et à des spécialistes de se réunir autour de thèmes divers, dont notamment l'histoire régionale ou l'étude du patrimoine culturel régional. Sont présents, notamment, sur la commune la Société du Patrimoine de Savoie (S.P.S)[496], fondée à Aix-les-Bains en 1995, la Société d'Art et d'Histoire d'Aix-les-Bains et sa région[497], fondée en 1993, et le Centre d'archéologie lacustre d'Aix-en-Savoie[498], fondé en 1975.



Labels et distinctions |


Aix-les-Bains a obtenu un certain nombre de labels et de distinctions[499] :


photographie en couleur d'un panneau d'informations concernant une ville.


  • 4 fleurs et 2 Fleur d'or au concours national des villes et villages fleuris. Durant l'année 1992, la ville se voit décerner le « grand prix européen du fleurissement » ;


  • station touristique (station classée de tourisme) ;


  • Ville Internet avec 5 arobases ;


  • Ville d'art et d'histoire ;


  • Station nautique « Aix-les-Bains Riviera des Alpes » 3 étoiles ;

  • Ville amie des enfants (Unicef) ;

  • Ville Active et Sportive avec 1 laurier (millésime 2018-2019)[500] ;

  • Ville vélo-touristique ;

  • Ville santé (OMS) ;

  • Vignobles & Découvertes ;

  • AVF (Accueil des Villes Françaises) ;

  • lauréate du concours des Décibels d’or en 2006, avec Léon Grosse, Champion et Azimut monitoring[501] ;

  • la distinction « Pôle d’excellence de cœur de ville » en 2008[502] ;

  • la démarche « Tourisme et Handicap » instaurée en 2013 par l'office de tourisme[503] ;


  • 5e « destination la plus romantique d'Europe » en 2016[504] ;

  • lauréate du concours national 2016 de la « Marianne d'air » (actions en faveur de l'amélioration de la qualité de l'air)[505].



Aix-les-Bains dans la littérature |


Le romancier tourangeau René Boylesve fait se dérouler plusieurs scènes de son œuvre Le Médecin des dames de Néans à Aix-les-Bains, dans et autour des thermes. Boylesve a commencé la rédaction de son roman à Paris en 1893 et l'a terminée l'année suivante à Aix-les-Bains[506].



Personnalités liées à la commune |


Article connexe : Liste de personnalités liées à Aix-les-Bains.

De nombreuses personnalités sont nées, ont vécu ou ont été de passage dans la cité thermale. Outre la présence de Victor-Amédée III de Sardaigne qui fit construire les thermes nationaux, Alphonse de Lamartine qui a séjourné plusieurs années sur la commune en écrivant son poème Le Lac ou bien la famille de Napoléon Bonaparte qui a été de passage à Aix, il y a bel et bien de nombreuses autres personnes qui ont plus ou moins marqué l'histoire de la ville. On peut également citer, plus récemment, Mercotte, Laurence Ferrari voire Christophe Lemaitre qui sont nés ou ont passé une partie de leur vie à Aix-les-Bains.



Blasonnement |



Héraldique |


Article connexe : Armorial des communes de la Savoie






Armes d'Aix-les-Bains


Les armes d'Aix-les-Bains se blasonnent ainsi : De gueules à une étoile d'or au point du chef.


On sait très peu de choses sur ce blason. Amédée IV, comte de Savoie, avait pour armoiries : De gueules à une étoile de seize rais d'argent[507].


On sait cependant que ces armoiries furent dessinées au XIXe. Elle apparaisse pour la première dans l'ouvrage du Comte de Résie en 1847, intitulé "La Savoie, voyage à Chambéry et aux eaux d'Aix".

La ville n'ayant jamais obtenue de chartes de franchises de la part de ses seigneurs, ne disposait pas de blason en propre. En revanche, les armes de la famille de Seyssel sont présentes dans le château d'Aix, aujourd'hui l'hôtel-de-ville.





Logos |



Logo officiel de la ville |


Logo reprenant de manière stylisée le nom d'une ville.

Depuis 1988, la ville utilise aussi un logo, notamment présent sur les publicités de ses partenaires économiques, comme les eaux d'Aix. La dernière version du logo (2018) se trouve ci-contre[508].




Logo de l'office de tourisme intercommunal |


Logo reprenant de manière stylisée le nom d'une entité touristique.

L'office de tourisme de l'agglomération, centré sur Aix-les-Bains et le lac du Bourget, utilise quant à lui un autre logo[509].



Pour approfondir |



Bibliographie |




  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, 1984, 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6, lire en ligne), p. 6-54. ([PDF] lire en ligne)

  • Joël Lagrange, Aix-les-Bains, t. 2 : l'Entre-deux-guerres, Saint-Cyr-sur-Loire, A. Sutton, 2007(ISBN 9782849107133)

  • collectif, La nouvelle rando : Savoie, Aix-les-Bains, autour du lac du Bourget, Saint-Laurent-de-Neste (Hautes-Pyrénées, Cité 4, 2006(ISBN 9782915069174)

  • Geneviève Giraud et al., Les thermes nationaux d'Aix-les-Bains : le fil de l'eau, Barberaz(140 Galerie de la Chartreuse, 73000, Ed. Figep, 2005(ISBN 9782952397506)

  • Geneviève Frieh-Giraud, Aix-les-Bains : Ville d'eaux de la Belle Époque, Dauphiné Libéré, 2005, (ISBN 978-2-911739-86-6)

  • Jean-François Connille, Aix-les-Bains : Héritages et ouvertures, Questio, 2003, (ISBN 978-2-913732-15-5)

  • Collectif, Chambéry, Aix-les-Bains, lac du Bourget, Comp'Act, 2003, (ISBN 978-0-7549-3389-2)

  • V.Barbier, Aix-les-Bains et ses environs, Bastion, 2001, (ISBN 978-2-7455-0131-8)

  • Jean-Marie Jeudy, Les sentiers autour de Chambéry-Aix : histoires et itinéraires, Claix, Didier-Richard, 1998(ISBN 9782703802389)

  • Jean-Marie Jeudy, Chambéry et Aix-les-Bains autrefois, Horvath, 1998, (ISBN 978-2-7171-0920-7)

  • Paul Collet, Notre cher Aix-les-Bains : poèmes, Paris, Les Éd. La Bruyère, 1997(ISBN 9782840143918)

  • Geneviève Lecoq, 52 balades en famille autour de Chambéry, Aix-les-Bains, Grenoble, Didier Richard, 1993(ISBN 9782703801115)

  • Planche Henry, Aix-les-Bains, Saep, 1972, (ASIN B0000DMCJP)


  • Gabriel Pérouse, La vie d'autrefois à Aix-les-Bains : la ville, les thermes, les baigneurs, Dardel, 1967, (ASIN B0000DRAKF)

  • Collectif, Recherches sur l'action de la cure d'Aix-les-Bains, Pacomhy, 1954, (ASIN B0000DL4VX)

  • Collectif, Les guides bleus illustrés : Aix-les-Bains, Chambéry, Hachette, 1934, (ASIN B0000DRNTW)


  • Jacques Boucher de Perthes, Voyage à Aix-Savoie, Turin, Milan, retour par la Suisse, en 1859, Paris, Éditions Jung-Treuttel, Derache, Dumoulin et Didron, 1867, 282 p. Télécharger cette édition au format ePub (Wikisource)

  • Amédée Achard, Eugène Ginain, Une saison à Aix-les-Bains, Bourdin, 1850, 358 p.

  • Jacques Le Groignec, Pétain et De Gaulle, Nouvelles Editions Latines, 1998, 399 p. (ISBN 9782842063597)

  • Louis Comby, Histoire des Savoyards, Nathan, 1977(ISSN 0154-9499)

  • Jules de Mouxy de Loche, Histoire d'Aix-Les-Bains, vol. 1, Imprimerie savoisienne, 1900, 18 p.

  • Attilio Gaudio, Guerres et paix au Maroc : reportages 1950-1990, KARTHALA Editions, 1950(ISBN 9782865373123)

  • Maryse Fabriès-Verfaillie, Pierre Stragiotti, Annie Jouve, La France des villes : le temps des métropoles ?, Editions Bréal, 2000, 336 p. (ISBN 9782842916428)

  • Marc Boyer, Le Thermalisme dans le grand sud-est de la France, Presses universitaires de Grenoble, 2005(ISBN 9782706112713)

  • Jean-Baptiste de Cabias, Roussin, Les Merveilles des bains d'Aix en Savoye : Dediees à... Thomas de Sauoye : Par le Sr. Iean Baptiste de Cabias, Roussin, 1623, 8 p.



Articles connexes |



  • Liste des communes de la Savoie

  • Liste des stations thermales françaises



Liens externes |


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  • Site officiel municipal

  • « Office de tourisme intercommunal »

  • « Inventaire du patrimoine architectural d'Aix-les-Bains »



Notes et références |



Notes |





  1. Les critères utilisés par Les Échos pour déterminer un classement sont la croissance de la population, l'espérance de vie, le revenu des ménages, la pauvreté, les familles monoparentales, le chômage, les salariés précaires, les diplômés en supérieur ainsi que les licences sportives.


  2. a et bL’intensité de la couleur du fond des cellules varie tous les °C. Elle s'assombrit en s'éloignant de °C. Elle est bleue pour les températures négatives et rouge pour les températures positives.


  3. La population municipale du département étant de 426 924 habitants et celle d'Aix-les-Bains de 30 291 au dernier recensement (2014), on peut donc en déduire qu'Aix-les-Bains représente ~ 7 % de la population départementale [(30 291/426924)*100 ~ 7,09 %].


  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.


  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.


  6. Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Aix-les-Bains[367] :

    • 2011 « @@ »

    • 2012, 2013 « @@@ »

    • 2014 « @@@@ »

    • 2015 « @@@@@ »

    • 2016 « @@@@@ » (démocratie)

    • 2017 « @@@@@ » (télétravail)

    • 2018 « @@@@@ »

    • 2019 « @@@@@ »




  7. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[408].


  8. Ce bâtiment n'a jamais été un hôtel malgré le terme Hôtel Le Panoramic : « L´hôtel fut vendu aux enchères en 1931, avant d´être terminé. Il fut, finalement, transformé en appartements vendus en copropriété, sans jamais avoir servi d´hôtel. » d'après le site du patrimoine d'Aix-les-Bains.




Références |





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     · « Un camion percute une poutrelle en béton »

     · « Un camion s’encastre sous le pont SNCF »

     · « Aix-les-Bains : un camion percute un pont et se couche sur la chaussée »

     · « Un camion percute le pont et se retourne »

     · « Aix-les-Bains : un camion s’encastre sous le pont SNCF »

     · « Et pan, encore dans l'pont! »

     · « Encore un camion coincé sous le pont SNCF ! »  · « Encore un poids lourd couché sous un pont SNCF d'Aix-les-Bains, en Savoie »



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