Villerupt
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L’ancienne salle des fêtes. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Briey | ||||
Canton | Villerupt Chef-lieu | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette | ||||
Maire Mandat | Alain Casoni 2014-2020 | ||||
Code postal | 54190 | ||||
Code commune | 54580 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villeruptiens | ||||
Population municipale | 9 645 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 1 470 hab./km2 | ||||
Population aire urbaine | 20 247 hab. (2015 partie française) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 11″ nord, 5° 55′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 309 m Max. 442 m | ||||
Superficie | 6,56 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
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Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | mairie-villerupt.fr | ||||
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Villerupt [vilʁy][1] est une ville du nord-est de la France, chef-lieu de canton du département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est, situé au sud-est de Longwy.
Ses habitants sont appelés les Villeruptiens.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Écarts et lieux-dits
2 Toponymie
3 Histoire
3.1 Villerupt et Thil restent français en 1871 grâce à un Normand
3.2 Sidérurgie
4 Politique et administration
4.1 Tendances politiques et résultats
4.2 Liste des maires
5 Population et société
5.1 Démographie
6 Culture locale et patrimoine
6.1 Lieux et monuments
6.1.1 Édifices civils
6.1.2 Édifices religieux
6.2 Personnalités liées à la commune
6.3 Héraldique, devise et logotype
6.3.1 Blason
6.3.2 Logotype
7 Pour approfondir
7.1 Bibliographie
7.2 Articles connexes
7.3 Liens externes
8 Notes et références
8.1 Notes
8.2 Références
Géographie |
Villerupt est arrosée par l'Alzette.
Cette commune fut un village-frontière avec l'Allemagne entre 1871 et 1919. L'Empire allemand avait annexé la partie de la Lorraine, qui correspond à l'actuel département de la Moselle, non seulement pour des questions culturelles et linguistiques, mais aussi pour s'approprier les minerais de fer.
Il se trouve en effet que les géologues, en prospectant les couches connues géologiques de Moselle dont le pendage descend vers l'ouest dans cette partie du Bassin parisien, en déduisirent qu'il serait possible de retrouver les mêmes minerais plus en profondeur. Les plus accessibles étant les moins profondes, ce sont les villes-frontières qui, disposant de vastes mines à ciel ouvert, furent alors exploitées en priorité.
Villerupt doit son développement grâce à l'exploitation de ces mines et fut donc au centre d'un enjeu qui suscita les convoitises des nations alentour.
Écarts et lieux-dits |
- Cantebonne, Micheville, Gaertchen, Haneberg, La Delle, La Forge Basse, Sur le pré, Orbeusse, Les Quatre Chemins, Bois de Butte.
Toponymie |
Villerupt : De ville + rupt « ruisseau ». Viluirue en 1287, Villereux en 1573, Willeront au XVIIIe siècle, Ville-Rupt en 1749[2].
Wyler ou Weiler en allemand[3], Weller en luxembourgeois[4].
Cantebonne : Cambourne (1383), Cantelbron (1756), Kamer (XIXe siècle). Kantelbron en luxembourgeois[4].
Thutange : Tutingen en 1169, Tuttenges en 1572, Tutange (sans date).
Micheville : Micheweller (1456), Micheweiler (1576), Petit-Villereux (XVIe siècle).
Histoire |
La fondation de Villerupt est aussi impossible à déterminer qu’elle paraît ancienne. L’hypothèse fréquemment admise est que Villerupt fut peuplée dès l’époque du néolithique (entre 4500 et 1700 avant Jésus-Christ).
Si, en 1284, Anselme de Villerupt et les siens sont vassaux du comte Henri III de Luxembourg, c'est du comte de Bar que, en 1333, les Malberg, sires d'Audun-Le-Tiche, tiennent en fief Cantebonne et Villerupt.
Durant le Moyen Âge, l’histoire de Villerupt épouse celle de cette région frontière, appelée Lorraine à partir du IXe siècle, ballottée entre les royaumes de France et de Germanie.
Il est à noter que, dès ses origines, Villerupt, où l’existence d’une forge est attestée, travaille le minerai de fer. Mais c'est surtout pendant le XVIIe siècle que se développe progressivement la technique du haut fourneau.
Villerupt dispose alors d’un site avantageux de par la nature de sous-sol. En effet, le plateau lorrain à ossature calcaire contient une couche géologique d’un grand intérêt industriel : l’aalénien. Il renferme le minerai de fer lorrain, la « Minette ».
En 1817, Villerupt, village de l'ancienne province du Barrois sur l'Alzette, avait pour annexes le village de Thil, les hameaux de Cantebonne et de Micheville et le moulin de Tutange. À cette date, la commune comptait 363 habitants, répartis dans 72 maisons.
Villerupt et Thil restent français en 1871 grâce à un Normand |
En 1871, Adolphe Thiers souhaitait donner de l'espace à la place-forte de Belfort devant rester française. Les Allemands, qui n'ignoraient pas la grande valeur du sous-sol, acceptèrent à condition de récupérer à leur profit des communes en déplaçant vers l'ouest la frontière prévue lors des préliminaires de paix signés à Versailles le 26 février 1871. Les communes de Rédange, Thil, Villerupt, Aumetz, Boulange, Lommerange, Sainte-Marie-aux-Chênes, Vionville devenaient donc allemandes. L’humeur joviale d’un des négociateurs français, Augustin Pouyer-Quertier, qui plaisait à Bismarck, sauva du moins Villerupt : "... Je ne vous eusse pas obligé à devenir Français, dit-il au chancelier Bismarck, et vous me faites Allemand ! — Comment cela ?... Qui vous parle de prendre votre Normandie ?... — La chose est pourtant bien simple : je suis un des principaux actionnaires des forges de Villerupt, et vous voyez bien que, de ce côté, vous me faites Allemand. " Et Villerupt, comme Thil, resta française grâce au normand Augustin Pouyer-Quertier, ministre des finances du gouvernement Thiers[5].
Sidérurgie |
La première mention des forges de Villerupt date en effet du XVe siècle, mais s'agit-il vraiment d'un haut fourneau ? Elles connaissent au maximum quatre hauts fourneaux au bois dont un qui se maintient jusqu'au XIXe siècle.
En 1831, des documents signalent l'existence des Forges de Sainte-Claire-lès-Villerupt, qui ont compté jusqu'à quatre hauts fourneaux au bois.
En 1866, ces deux établissements se regroupent pour former la Société des Usines de Villerupt et Sainte-Claire, celle-ci fusionne en 1894 avec la Société des fonderies d'Aubrives pour donner naissance à la Société d'Aubrives-Villerupt. Dès l'origine, la production de cette usine est orientée essentiellement vers la production de fonte.
À la veille de la Première Guerre mondiale, l'usine exploite deux hauts fourneaux.
L'année 1926 marque le rachat de l'usine de Laval-Dieu, datant de 1882 et où deux hauts fourneaux sont en activité depuis 1899 ; détruite après la Première Guerre mondiale, elle n'a jamais été reconstruite.
En 1930, l'usine de Villerupt compte deux hauts fourneaux ; en 1955, ils ont un diamètre de creuset de quatre mètres et une capacité de production de 125 000 tonnes de fonte de moulage par an.
Lors de la grande grève des mineurs de 1948, les ouvriers des cokeries font grève par solidarité. Dès le début de la grève, ils prennent en otage les patrons. Ils finissent par suspendre les mesures de sécurité. Lors de l'intervention des compagnies républicaines de sécurité (CRS), les ouvriers résistent armés de blocs de fer, de pierres, tuyaux de plomb et boulons, et font reculer les CRS qui ont 40 blessés[6].
Un nouveau haut fourneau est mis en service en 1960. En novembre 1968, l'usine de Villerupt cesse toute activité et le dernier haut fourneau est éteint.
L'usine de Micheville trouve son origine dans la création en 1872 de la Société Ferry et Cie, qui met à feu son premier haut fourneau en 1878. Dès 1873, il travailla au lancement de l'usine de Micheville et de 1880 à 1927, Ernest Nahan dirigea d'une manière paternaliste l'usine qui passa progressivement à six hauts fourneaux.
À la veille de la guerre de 1914-1918, cinq hauts fourneaux sont à feu et un sixième en reconstruction. Ils ont une capacité annuelle de production de 390 000 tonnes de fonte. L'usine est endommagée pendant la Première Guerre mondiale, mais des travaux de reconstruction sont lancés dès 1918.
En 1920, le haut fourneau no 1 est rallumé. En 1925, l'usine compte à nouveau six hauts fourneaux en état de marche. L'activité de l'usine est arrêtée pendant la Seconde Guerre mondiale.
Cette usine est à l'origine du développement de Villerupt. De modeste village, le bourg se mua progressivement en une petite ville industrielle, passant de 561 habitants en 1861 à 6 636 habitants en 1911 ; ensuite de 9 041 habitants en 1936 jusqu'à atteindre son maximum démographique à 16 300 habitants en 1966. La progression serait d'un rapport de près de 16 fois la population de 1861 !
Dans les années 1950, les quatre hauts fourneaux existants ont un volume compris entre 580 et 680 m3 ; un nouveau haut fourneau (1 bis), de 7,05 m de creuset, est allumé le 29 mai 1957. En 1959, l'usine comprend cinq hauts fourneaux, puis quatre en 1971 (les no 1, 3, 4 et 6).
En 1974, l'usine est définitivement arrêtée, c'est alors la création de la S.L.V. (Société des laminoirs de Villerupt).
Politique et administration |
Le canton de Villerupt est composé des communes de Bréhain-la-Ville, Crusnes, Errouville, Fillières, Hussigny-Godbrange, Laix, Longlaville, Morfontaine, Saulnes, Serrouville, Thil, Tiercelet, Villers-la-Montagne et Villerupt.
Par ailleurs, Villerupt fait partie depuis 2006 de la communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette (CCPHVA) comprenant les communes de : Audun-le-Tiche, Aumetz, Boulange, Ottange, Rédange, Russange et Thil.
En 2010, la commune de Villerupt a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[7].
En 2013, la commune de Villerupt est labellisée « Ville Ludique et Sportive ». Ce label a pour objet de valoriser et récompenser les collectivités territoriales qui développent des politiques volontaristes pour promouvoir l'activité physique et sportive sur leurs territoires.
Tendances politiques et résultats |
Liste des maires |
Population et société |
Démographie |
Villerupt doit son essor urbain grâce à ses mines de fer qui sont à l'origine du développement de la sidérurgie et de la métallurgie.
L'agglomération actuelle, qui s'étend également sur le département de la Moselle avec la petite ville voisine d'Audun-le-Tiche, n'est qu'une partie d'une conurbation industrielle plus étendue qui franchit la frontière, dont le principal centre est la ville luxembourgeoise d'Esch-sur-Alzette.
En raison de la crise sidérurgique de la région, la population est passée de presque 15 000 habitants dans les années 1960 à moins de 10 000 aujourd'hui.
Avant que ne commence ce déclin urbain à partir des années 1970, la croissance de la population était stimulée en grande partie par l'immigration italienne. Villerupt est, à ce titre, sans doute l'une des communes les plus « italiennes » de France, ce qui peut se constater à la lecture de l'annuaire, la très grande majorité des noms de famille y étant à consonance italienne. Villerupt fut aussi comme Audun-le-Tiche et Hussigny-Godbrange un actif centre de l’immigration italienne qui fournissait une main-d’œuvre importante pour les besoins du bassin minier de la minette. Une grande partie de cette immigration italienne provenait de Gualdo Tadino.
Villerupt organise chaque année le Festival du film italien vers la fin du mois d'octobre.
Soucieuse de développer son volet culturel, Villerupt possède aussi une MJC dynamique proposant diverses activités, mais aussi une école de musique, une école de danse, une école d'arts plastiques et une salle de concerts et d'expositions dénommée La Cave.
La municipalité participe activement aux programmations sportives et culturelles proposées par le tissu associatif de la ville.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[10].
En 2016, la commune comptait 9 645 habitants[Note 1], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2011 (Meurthe-et-Moselle : +0,1 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
Édifices civils |
- Salle des fêtes Maurice-Thorez, située au 1er étage de l’hôtel de ville – avenue Albert-Lebrun. La salle des fêtes de Villerupt a eu l'occasion d'accueillir de grands artistes tels que : Johnny Hallyday et Jimi Hendrix (15 octobre 1966), Jean Ferrat (12 décembre 1966), les Chœurs de l'Armée rouge (29 septembre 2007) et beaucoup d'autres encore.
- Ancien château seigneurial, première moitié du XVIIIe siècle, pour François Joseph de Hunault.
- Mur alvéolé (rue Gambetta) de l'ancienne usine sidérurgique d'Aubrive (les alvéoles étaient des « caisses à mine »).
- Cage à laminoir provenant du site de l'usine de Micheville et vieille locomotive servant à l'époque pour le transport du minerai de fer.
- Les cités de Butte, site unique en Lorraine. Une des caractéristiques de la géographie urbaine de Villerupt est sans aucun doute la présence d'un quartier de cités ouvrières construites dès 1908 en suivant les courbes de niveau du relief.
- L'exposition Guerino Angeli (né à Villerupt en 1926) visible au rez-de-chaussée et au deuxième étage de l'hôtel de ville.
Édifices religieux |
- Ancienne église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge, construite en 1736, agrandie en 1844, fermée en 1905, détruite après 1905, autel en marbre. Une nouvelle église ayant été construite 200 mètres au nord, à la suite de l'augmentation de la population liée à l'essor de la sidérurgie. Elle se situait au-dessus du monument aux morts.
- Nouvelle église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge, construction début 1902 fin 1907. L'orgue de l'église datant du milieu du XIXe siècle, réparée en 1947, grâce aux dommages de guerre et restauré et classé monument historique en 2012.
- Chapelle Sainte-Croix de Cantebonne, XXe siècle. Chapelle construite et bénite en 1913, en remplacement d'une petite chapelle devenue fort vétuste et insuffisante ; clocher reconstruit après la guerre 1939-1945.
- Croix Monumentale, située 1 rue Carnot. Croix élevée en 1630 (date portée) aux frais de Gérard Villiribus et de son épouse Catherine. Remployée dans une façade de maison.
- Oratoire à la Vierge, ce monument à la Vierge Immaculée a été élevé en reconnaissance de la protection reçue pendant la guerre 1939-1945.
Personnalités liées à la commune |
Gilles Benizio, alias Dino du duo comique Shirley et Dino
- Alain Casoni, homme politique
Aurélie Filippetti, femme politique et romancière française
Frédéric Vion, journaliste français
Olivier Jacque, champion motocycliste
Rebecca Manzoni, journaliste et animatrice radio et télévision
Carlo Molinari, ancien président du FC Metz
Frédéric Biancalani, footballeur
Ludovic Biancalani, footballeur
Christophe Borbiconi, footballeur
Stéphane Borbiconi, footballeur
Patrick Formica, footballeur français
Pascal Raspollini, footballeur français
Georges Sesia, ancien footballeur français
Baru, dessinateur de bandes dessinées
Arnaud Lepercq, homme politique
Héraldique, devise et logotype |
Blason |
Blason | Blasonnement : d'azur à deux bars adossés d'or, accostés de deux croix de Lorraine de même et accompagnés en chef et en pointe de deux croix recroisetées d'argent ; mi parti d'or au haut-fourneau de sable, flambant de gueules sur une terrasse de sable avec une coulée aussi de gueules. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
La partie 'azur' (gauche) représente la moitié des armoiries de Villers la Montagne, rappelant l’ancien bailliage établi en ce lieu, succédant à une châtellerie et prévôté dont dépendait Villerupt. La deuxième moitié (droite) symbolise le champo d’or : la richesse apportée au pays par l’industrie, le haut fourneau.
Logotype |
La forme rouge symbolise la vie, l'énergie. Après une période de déclin (usine), la courbe remonte pour créer un ensemble proche de la lettre V de Villerupt.
Les rayures bleues dans une forme carrée symbolisent un proche passé où l’on a vu une industrie stagner puis s’effondrer.
Les rayures vertes et la partie blanche du cercle permet de mettre en évidence le virage opéré par le cheminement de la vie. En opposition au passé symbolisé par le bleu.
Pour approfondir |
Bibliographie |
Articles connexes |
- Liste des communes de Meurthe-et-Moselle
- Festival du film italien de Villerupt
Liens externes |
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Notices d'autorité :- Fichier d’autorité international virtuel
Bibliothèque nationale de France (données)- Gemeinsame Normdatei
- Site de la mairie
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références |
Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Louvain-la-Neuve, Peeters, 1994(lire en ligne), p. 104.
Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
Alain Simmer - L'ORIGINE DU NOM DE VILLERUPT
Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, 1983(ISSN 0762-7440)
Extrait du livre "La délimitation de la frontière franco-allemande" par le colonel Aimé Laussedat, éditions Delagrave, Paris 1902.
Danielle Tartakowsky, Les manifestations de rue en France, 1918-1968, Paris : Publications de la Sorbonne, 1997. Collection : « Histoire de la France au XIXe et XXe siècle », ISSN 1243-0269. (ISBN 2-85944-307-X), p. 555.
Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
CORTESI Olivier, « Robert Choltus, résistant et maire de Villerupt », dans : Le Pays-haut (Bulletin des amis du vieux Longwy), n°1, 2007.
L'organisation du recensement, sur insee.fr.
Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
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